La banque du Vatican soupçonnée de blanchiment d'argent : Dossiers SOS JUSTICE

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02/06/2010

La banque du Vatican soupçonnée de blanchiment d'argent

Un scandale de plus contre le Vatican, mais est-ce étonnant ?
Le Vatican, le plus grand paradis fiscal couvert sous l'image de Dieu !
Quelles sont les seules banques au monde à ne jamais étre contrôlées ? Du reste quelles sont les banques qui sont contrôlées ?
Quelle jolie manière d'endormir l'humanité en blanchissant de l'argent des trafics en empruntant le nom de Dieu ?
Christ et Dieu n'ont jamais demandé à créer des églises et des religions !
On va encore nous faire croire que Dieu a demandé aussi à créer des banques pour blanchir l'argent du crime organisé ?
N'est-ce pas ce qui a valu l'assassinat du Pape Jean-Paul 1er pour avoir voulu nettoyer "les écuries d'Augias " et éclaircir le mystère de la Banque Ambrosiono ?

La justice italienne soupçonne l'Institut des Oeuvres Religieuses (IOR), la banque du Vatican, d'être impliqué dans des opérations de blanchiment d'argent et le parquet de Rome a ouvert une enquête, écrit mardi le quotidien La Repubblica.

L'Institut des Oeuvres Religieuses, qui gère les comptes des ordres religieux et des associations catholiques, est une structure bénéficiant de l'extraterritorialité accordée à l'Etat pontifical, donc non tenue de respecter les normes financières en vigueur pour les établissements italiens.

Selon La Repubblica, dix banques italiennes, dont les plus grandes comme Intesa San Paolo et Unicredit, sont également dans le collimateur des magistrats.

Sigle mystère et suspect

La justice a découvert que la banque vaticane gérait des comptes auprès des établissements italiens sans nom de titulaire, identifiés uniquement avec le sigle IOR. Sur un de ces comptes, découvert en 2004, "environ 180 millions d'euros ont transité en deux ans", écrit la Repubblica.

"L'hypothèse des enquêteurs est que des sujets ayant leur résidence fiscale en Italie utilisent l'IOR comme 'paravent' pour cacher différents délits, comme la fraude ou l'évasion fiscale", précise le quotidien.

L'institut a fait la Une de la presse avec la faillite, en 1981, de la banque italienne privée Banco Ambrosiano, dont l'IOR était le principal actionnaire.

L'IOR est depuis sous la coupe d'une "Commission cardinalice de vigilance", un groupe de cinq cardinaux nommés par le pape, qui comprend aujourd'hui l'actuel numéro deux du Vatican, le cardinal-secrétaire d'Etat Tarcisio Bertone, ainsi que son prédécesseur Angelo Sodano. (belga)

01/06/10 11h54

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