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C'est facile de proposer des Lois en France et ensuite de se décharger de ses responsabilités Civiles et Pénales vers l'Union Européenne qui a géré la Plandémie de manière catastrophique pour les intérêts d'une certaine Caste mafieuse, et ce, tout en écartant nos Professeurs en Infectiologie, en interdisant à nos Médecins de prescrire des traitements médicaux qui existaient pour certains en vente libre en pharmacie pour quelques Euros, depuis 70 ans, et ce, pour nous imposer leur Dictature et leur Tyrannie !
Il va falloir sortir de cette colonisation étrangère de manière urgente par le FREXIT!
Personne n'en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne "renforcée" dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l'an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !
Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France.
Une résolution contre la souveraineté sanitaire
Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée.
On retiendra du texte qu’il appelle :
à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”
Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…
Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible
On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques.
On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.
Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe.
La base de données de l’Union européenne sur les rapports de réactions médicamenteuses suspectées est EudraVigilance, et ils signalent désormais 24 526 décès et 2 317 495 blessures, suite aux injections COVID-19.
Un abonné de Health Impact News d’Europe nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays d’Europe qui font partie de l’Union européenne (UE), qui comprend 27 pays.
Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, au nombre d’environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays faisant techniquement partie de l’Europe.)
Aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel en Europe de morts ou de blessés suite à des injections COVID-19 serait beaucoup plus élevé que ce que nous rapportons ici.
La base de données EudraVigilance rapporte qu’au 11 septembre 2021, 24 526 décès et 2 317 495 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre vaccins COVID-19 expérimentaux:
VACCIN COVID-19 à ARNm MODERNA (CX-024414)
VACCIN COVID-19 à ARNm PFIZER-BIONTECH
VACCIN COVID-19 ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
VACCIN COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S)
Sur le total des blessures enregistrées, près de la moitié d’entre elles (1 126 869) sont des blessures graves.
« La gravité renseigne sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme «grave» s’il correspond à un événement médical entraînant la mort, mettant la vie en danger, nécessitant une hospitalisation, entraînant une autre affection médicalement importante, ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraînant une invalidité ou une incapacité persistante ou importante, ou est une anomalie congénitale/malformation congénitale.
Un abonné de Health Impact News en Europe a publié les rapports pour chacun des quatre vaccins COVID-19 que nous incluons ici. C’est beaucoup de travail de totaliser chaque réaction avec les blessures et les décès, car il n’y a pas de place dans le système EudraVigilance que nous avons trouvé qui comptabilise tous les résultats.
Depuis que nous avons commencé à publier ceci, d’autres européens ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux.*
Voici les données récapitulatives jusqu’au 11 septembre 2021.
Total des réactions pour le vaccin à ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/Pfizer – 11 711 décès et 980 474 blessures au 11/09/2021
26 634 Troubles du système sanguin et lymphatique incl. 156 décès
26 940 Troubles cardiaques incl. 1 745 décès
253 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques incl. 21 décès
13 005 Troubles de l’oreille et du labyrinthe incl. 9 décès
Tout est bien orchestré par avance et ce dans la mesure où Macron attend que le Sénat ne statue le 13 octobre 2021 pour rendre la vaccination obligatoire pour tous, avant d'examiner devant le Sénat, la prolongation du Passe Sanitaire après la mi-octobre 2021.
Emmanuel Macron « n’exclut pas » la prolongation du passe sanitaire, instauré jusqu’au 15 novembre. Un projet de loi sera nécessaire. Il prolongera aussi le régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire, qui se termine le 31 décembre. La question se pose pour le gouvernement de le proroger pour deux mois, ou au-delà de la présidentielle… Le débat s’annonce sensible.
On imaginait mal le passe sanitaire s’arrêter le 15 novembre, comme le prévoit la loi votée cet été. Sa prolongation semble bien se confirmer. Après le ministre de la Santé, Olivier Véran, c’est Emmanuel Macron qui ne l’exclut pas.
« Il est trop tôt pour le dire. Il est vraisemblable que les situations épidémiques, en particulier en Outre-mer, restent quand même très tendues après la mi-novembre. C’est un débat qui se nouera au sein du gouvernement et au Parlement. Il ne faut pas exclure qu’il y ait besoin, pour les territoires qui sont encore sous forte pression de l’épidémie, de cet instrument, qui est un instrument provisoire, qui évite de fermer les structures », a affirmé Emmanuel Macron, lors d’un point de presse, dans le cadre de son déplacement à Marseille. « Donc si l’épidémie est encore présente dans les semaines qui viennent, il faudra se laisser cette possibilité pour les territoires qui sont les plus touchés », a insisté le chef de l’Etat.
Le ministre de la Santé avait déjà avancé cette éventualité le 26 août. « Ce passe ne peut être prolongé au-delà du 15 novembre, sans quoi il nous faudrait un nouveau texte de loi, qui serait à nouveau débattu au Parlement », a souligné Olivier Véran, avant d’ajouter : « Je ne dis pas que ça ne peut pas arriver, ça pourrait arriver si le Covid ne disparaissait pas de nos vies dans les trois prochains mois ». Autrement dit, on voit mal aujourd’hui comment on pourrait éviter de prolonger le passe sanitaire. Le sujet ne fait guère plus de doute.
« Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire »
Ce projet de loi devra forcément être adopté avant la date de fin prévue pour le passe. De source gouvernementale, on soutient qu’il devrait être examiné par les députés « dans la deuxième quinzaine d’octobre ». Il devra ensuite passer par le Sénat. « Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire », nous confie un ministre. On imagine mal en être autrement, après les tensions de l’été et les manifestations des anti-passe.
Ce projet de loi ne concernera pas le seul passe sanitaire. Se posera aussi la question du régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire. Pour lutter contre l’épidémie de covid-19, il permet au premier ministre de prendre de nombreuses mesures privatives de libertés – celles d’aller et venir, de commerce, de rassemblement, fermeture de lieux recevant du public, etc – à l’exception du confinement généralisé, qui nécessite la proclamation de l’état d’urgence sanitaire. Mis en place le 2 juin, ce régime transitoire avait été prolongé jusqu’au 30 septembre, puis jusqu’au 31 décembre.
« On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… » (un ministre)
La question de la nouvelle date de prolongation du régime de sortie de l’état d’urgence n’est pas tranchée. D’autant que le sujet est épineux. Deux possibilités pourraient s’offrir au gouvernement. Soit prolonger le régime jusqu’à la fin de la session parlementaire, qui se termine le 28 février 2022, pour cause de campagne présidentielle. Mais la situation épidémique risque d’être encore difficile et la prolongation serait un peu courte. Soit prolonger jusqu’au 30 juin 2022.
Certains pensent que prolonger le régime au-delà de la présidentielle et des législatives, c’est s’aventurer en terrain glissant. Dans le contexte électrique des derniers mois, les anti-passe, et plus globalement les oppositions à Macron, n’hésiteront pas à s’en saisir. C’est du moins la crainte d’un ministre : « On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… Si on peut s’éviter cette polémique en pleine année présidentielle… »
Reste une autre option, toujours possible : celle de prolonger jusqu’au 28 février, et « s’il faut, reconvoquer le Parlement » pour adopter une nouvelle prolongation, face à la situation sanitaire. Quelle que soit la solution, le même ministre euphémiste : « Ça promet des petits débats… » Une chose est sûre, la présidentielle se fera sous covid. Au gouvernement, on espère que l’épidémie restera, comme aujourd’hui, sous relatif contrôle.
Publié le : 02/09/2021 à 17:17 - Mis à jour le : 02/09/2021 à 17:24
Nous vous invitons à écouter l'audition du Dr Séralini réalisée par l'assemblée nationale et le débat qui s'en est suivi.
Très intéressant et surtout très instructif sur les positions adoptées par certains des élus..
Les seules questions qui se poseraient, ici, pour débarrasser le débat de tout ce qui l'encombre y compris les polémiques autour de ce sujet, seraient celles de savoir s'il est normal tout simplement :
1- que Monsanto s'arroge le droit de s'octroyer des brevets sur les semences et sur le vivant, et de modifier génétiquement des semences que la nature intelligente nous a laissées ?
A quel titre ce qui doit rester à l'état naturel doit-il être modifié génétiquement pour enrichir Monsanto et sa clique mafieuse d'empoisonneurs planétaires qui visent les buts d'agir contre la nature ?
2 - est-ce que les produits chimiques tels que l'herbicide ROND-UP et autres pesticides et fongicides ont un effet chimique négatif sur la bio diversité, l'équilibre des espèces, sur la bio-diversité et sur l'environnement naturel ainsi que sur la santé ?
La logique commanderait de répondre :
- que si les herbicides tuent les herbes, déjà, nous avons une réaction chimique qui tue les herbes et certaines plantes.
- que si les pesticides et les fongicides tuent les insectes et notamment les polinisateurs telles que les abeilles,
- que si nous avons des OGM et des produits chimiques qui tuent la vie sous toutes ses formes, c'est que tout ce qui perturbe l'état naturel initial est source de déséquilibre, de disparitions des espèces et d'empoisonnement des espèces, de mutations génétiques des animaux qui consomment ces organismes génétiquement modifiés, et que par là-même, si nous suivons la chaîne alimentaire, la consommation par les hommes, des animaux nourris aux OGM ou aux plantes génétiquement modifiées et empoisonnées par des herbicides, des pesticides, des fongicides, ne peut être qu'une source supplémentaire de modification de l'ADN humain et de développement de maladies dont le cancer.
Est-ce que pour cela nous avons besoin des études scientifiques et des avis des élus pour le comprendre ?
Le bon sens et notre intime conviction suffiraient à dire : Non, nous ne voulons pas que les semences naturelles qui sont le patrimoine naturel de l'humanité, soient modifiées, et que la bio-diversité soit déséquilibrée par l'usage d'herbicides, de pesticides et de fongicides.
Et cela c'est l'affaire de l'humanité, dont c'est le patrimoine naturel, et non pas l'affaire de quelques lobbies qui visent la culture de la maladie et la dépopulation planétaire par voie de conséquence.
Le débat à l'assemblée nationale qui sera visible jusqu'en janvier 2013 sur le site de l'assemblée nationale.
Il faut que ce soit le Syndicat de la Magistrature qui rappelle au garde des Sceaux, le Droit, la Constitution et la séparation des Pouvoirs !
On voit clairement dans la République bananière qui veut s'octroyer tous les droits y compris celui "d'enterrer les affaires sensibles qui mettent en cause des élus et non des moindres" ! C'est ce que l'on appelle la transparence et la démocratie dans le pays des Droits de l'Homme et l'état de Droit !
Encore un joli mythe pour endormir les Français et l'opinion internationale !
Il va s'en dire que le Juge Courroye est un proche de SARKOZY !
Cherchez l'erreur !
S'il ne s'agit pas de corruption, de trafic d'influence et de conflit d'intérêts, on peut se demander ce que c'est ?
La Dictature à la Française et les magouilles qui se passent dans les coulisses du pouvoir illégitime !
Ensuite on mettra sur la sellette la dictature Iranienne !
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Lettre ouverte au garde des Sceaux au sujet de l’affaire Bettencourt et de l’attitude du procureur de la République de Nanterre
Deux événements, survenus ces derniers jours, nous conduisent à vous interpeller, car ils nous semblent mettre en cause, de façon très forte, l’image et le cours de la justice.
En premier lieu, la presse vient de révéler de bien curieuses pratiques en marge de l’affaire dite « Bettencourt ». Ainsi, selon plusieurs médias, la police aurait récemment saisi au domicile de Liliane Bettencourt des documents datés de 2008 au terme desquels l’avocat « Goguel prépare une note à remettre au directeur adjoint du cabinet du ministre de la justice, de façon à ce qu’il puisse nous dire où en sont les choses dans l’esprit du juge et quelle est la position du parquet ».
La démarche est, vous en conviendrez, surprenante : il n’appartient nullement à la Chancellerie de renseigner une partie sur un dossier en cours, et encore moins sur la position du parquet.
Vous observerez à ce propos que, pour ces avocats, interroger le cabinet du garde des Sceaux revient à connaître la position des magistrats, ce qui en dit assez long sur l’image d’indépendance qui est donnée dans cette affaire. Comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement dès lors que des enregistrements clandestins ont démontré que ce dossier d’abus de faiblesse avait été pris en compte par le propre conseiller justice du président de la République ?
Aussi le Syndicat de la magistrature souhaiterait-il savoir si cette note est bien parvenue à votre ministère et quelle réponse y a été apportée.
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En second lieu, il s’avère que le procureur de la République de Nanterre, Philippe Courroye, a signé, lundi 4 octobre, un réquisitoire aux fins de non-lieu en faveur de Jacques Chirac dans l’affaire du financement occulte du RPR.
A cet égard, le Syndicat de la magistrature constate qu’une fois de plus dans une affaire sensible, les réquisitions du parquet sont parfaitement conformes aux intérêts du pouvoir exécutif. C’est sans doute un effet de ce que vous appelez son « indépendance ».
Pour autant, un problème déontologique majeur semble se poser dans cette affaire.
En effet, la presse a révélé comment, durant l’été 2008, Philippe Courroye avait dîné en compagnie de Jacques Chirac au domicile de François Pinault. Interrogé à ce sujet, le magistrat n’avait pas contesté et s’était permis cet unique commentaire : « Je dîne avec qui je veux ».
Il se trouve que le recueil déontologique des magistrats apporte au moins deux contrepoints à cette dernière affirmation.
L’article A.20 dispose en effet que « le magistrat a, comme tout citoyen, le droit au respect de sa vie privée. Il s’abstient cependant d’afficher des relations ou d’adopter un comportement public de nature à faire naître un doute sur son indépendance dans l’exercice de ses fonctions. »
Quant à l’article C.22, il ajoute que « dans sa vie privée, le magistrat reste soumis à une stricte obligation de probité qui inclut la délicatesse. Elle lui impose de faire preuve de discernement et de prudence dans la vie en société, le choix de ses relations, la conduite de ses activités personnelles et sa participation à des événements publics ».
Il nous paraît essentiel, Madame le garde des Sceaux, que vous vous saisissiez d’un tel sujet, en indiquant les suites que vous entendez réserver à cette affaire : les magistrats ont besoin de savoir s’il leur est dorénavant possible de dîner avec une personne mise en examen dans un dossier dont ils ont la charge, puis, quelques mois plus tard, de prendre des décisions ou des réquisitions en sa faveur.
Ces questionnements seraient sans rapports entre eux si les faits dont ils procèdent n’accréditaient, dans l’esprit de nos collègues mais aussi des citoyens, l’idée d’un traitement différencié des procédures et des magistrats par le ministère de la justice, selon leur sensibilité politique.
Compte-tenu de l’intérêt général qui s’attache aux questions soulevées, vous comprendrez que nous rendions public le présent courrier.
Nous vous prions d’agréer, Madame le garde des Sceaux, l’expression de notre considération vigilante.
Plus le scandale de la campagne criminelle de vaccination contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1 qui n'est toujours pas réglé.
Cela fait beaucoup pour un Président qui se dit intègre, non ?
Nous savons aussi que ce sont deux pays qui mènent l'Eurogroupe, si cher à Sarkozy, dont la France et l'Allemagne, dont il a dit dans son allocution télévisée du 11 juillet 2010 : "qu'il fallait cesser d'attacher l'image du Nazisme à ce dernier pays".
Nous voyons que l'affaire ELF a été partiellement étouffée et que Eva Joly a été menacée. Mais ne devons-nous pas instaurer les liens entre les pétroliers, ELF et les Laboratoires Pharmaceutiques Sanofi-Aventis ?
Ne voyez-vous pas un lien entre le bide que nous avons infligé aux Laboratoires Pharmaceutiques (les pétroliers) par notre lutte contre la vaccination criminelle et la marée noire déclenchée dans le Golfe du Mexique ?
"Sanofi Aventis est un groupe pharmaceutique français qui a été créé en2004suite à l'acquisition par le groupe français Sanofi-Synthélabo du groupe franco-allemand Aventis.
Sanofi-Synthélabo est issue de la fusion de Sanofi et Synthélabo, respectivement filiales pharmaceutiques des groupesElf(faisant partie aujourd'hui de Total) et L'Oréal. Aventis est le fruit de multiples fusions comprenant des groupes français (Rhône-Poulenc et Roussel Uclaf), allemands (Hoechst), américains (Rorer, Marion) et britanniques (Fisons)."
Extrait : Historique
"En1970, les laboratoires Dausse et Robert & Carrière fusionnent pour donner naissance à Synthélabo, racheté parL'Oréalen 1973. La même année, la Société nationale des pétroles d'Aquitainecrée une filiale dans le secteur de l'hygiène et de la santé qui prend le nom de Sanofi et grossit par l'absorption des laboratoires Labaz et Parcor, et d'entreprises de parfumerie, d'alimentation et de santé animale."
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Quels sont les liens qu'entretiennententre-eux, les laboratoires pharmaceutiques soit, les pétroliers, avec BP ?
Selon vous, la marée noire déclenchée dans le Golfe du Mexique est-ce un accident ou un attentat et un crime dirigé contre l'humanité, et commis en représailles de sa résistance à se laisser vacciner et aux pertes infligées aux Laboratoires pharmaceutiques, soit aux pétroliers ?
Il fallait à tout prix dépopuler la planète par ce moyen bioterroriste et entraver l'évolution neurologique de l'Homme pour le lobotomiser chimiquement sur du long terme pour en faire un mouton décébré !
La marée noire déclenchée dans le Golfe du Mexique pourrait être le plan B à déclencher en cas de résistance des peuples à la vaccination criminelle et pour pousser à l'Instauration du Nouvel Ordre Mondial à tout prix, après avoir instauré le chaos sur la planète.
Ce qui fait partie des plans des Illuminati-reptiliens !
Créer le chaos mondial pour pousser l'humanité à réclamer l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, leur seul moyen de survie soi-disant !
Ne trouvez-vous pas curieux que le Mexique soit à nouveau visé par la Marée Noire ?
Le virus de la GrippeA/H1N1 est soi-disant né au Mexique en avril 2009. Les Laboratoires Sanofi-Aventis (les pétroliers) ont créé leurs laboratoires au Mexique en mars 2009, etc...
Que se passe-t-il avec le Mexique et les pétroliers propriétaires des Laboratoires Sanofi-Aventis, et BP ?
Les pratiques eugénistes continueraient-elles, bien que les gouvernants s'en défendent ?
Marée noire US dans le Golf du Mexique, un coup monté ?
Une série de scandales liés à la corruption dans les secteurs pétrolier et de l’armement, s’étalant sur une vingtaine d’années, constitue le contexte judiciaire du procès de l’affaire Clearstream engagé par le président Nicolas Sarkozy contre l’ex-premier ministre Dominique de Villepin.
Si le but principal du procès est de légitimer et renforcer les changements politiques de droite menés par Sarkozy depuis son élection de 2007, il y a un autre objectif en lien avec celui-ci : cacher la corruption incroyable que ces affaires ont révélée. Au lieu d’élucider le contexte plus large de ces « affaires politico-financières », le procès s’est concentré très étroitement sur le fait de savoir si Villepin cherchait à diffamer Sarkozy en préparant des listings financiers truqués. Il faut également noter que Sarkozy a décidé en janvier dernier de supprimer la fonction de juge d’instruction telle qu’elle existe actuellement, alors que ce sont de tels juges qui ont fait révéler au grand jour ces scandales.
Un aspect remarquable de ces affaires tient à l’impunité juridique dont jouissent les politiciens et les hommes d’affaires impliqués – alors même que les enquêtes ont mis à jour des preuves de détournements de fonds, de fraudes à grande échelle, et de meurtres. Être membre de la bourgeoisie européenne signifie apparemment qu’il n’est pas nécessaire de s’excuser pour quoi que ce soit.
L’affaire Elf
L’affaire Elf impliquait des détournements de fonds de grande envergure commis par des responsables haut placés de la compagnie pétrolière Elf – aujourd’hui absorbée par la principale compagnie française, Total. Outre l’enrichissement de membres de la direction, ces fonds servaient à soudoyer des dirigeants africains soutenus par la France et à financer des guerres en Afrique subsaharienne, où les impérialismes français et américain se sont livrés à une série de guerres par Etats interposés dans les années 1990.
Elf fut créé en 1963 par le président de l’époque, Charles De Gaulle, sous la direction de Pierre Guillaumat. Guillaumat était l’ex-directeur du Commissariat à l’énergie atomique français, qui avait créé le programme d’armes nucléaires français sous sa direction, et un ex-responsable du renseignement des gaullistes durant la Seconde Guerre mondiale. Le PDG d’Elf, Loïk Le Floch-Prigent expliqua lors de son procès en 2003 : « En 1962, [Pierre Guillaumat] convainc [le général de Gaulle] de mettre en place une structure parallèle autour de vrais techniciens du pétrole. [En créant Elf à côté de Total] les gaullistes voulaient un véritable bras séculier d’État, en particulier en Afrique, [...] une sorte de ministère du pétrole inamovible, [...] une sorte d’officine de renseignement dans les pays pétroliers. »
L’affaire Elf avait éclaté en 1994, à l’occasion d’une enquête sur le financement illégal par Elf de l’entreprise textile Bidermann. La juge d’instruction Éva Joly avait découvert un réseau de financement illégal très étendu au sein d’Elf, lequel avait détourné au moins 305 millions d’Euros en fonctionnant sous le second mandat de François Mitterrand (1988-1995). Ces fonds étaient versés par le président gabonais Omar Bongo aux gouvernements de l’Angola, du Cameroun et du Congo-Brazzaville. L’argent d’Elf s’était également retrouvé chez le chancelier allemand de l’époque, Helmut Kohl et le premier ministre espagnol, Felipe Gonzalez.
Joly dut subir des tentatives d’intimidation de la part de l’Etat durant son enquête. Dans un livre publié en 2004, Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?, elle relate que son téléphone était sur écoute et sa maison surveillée. Elle reçut une protection policière 24 heures sur 24 après avoir reçu des menaces de mort clouées sur la porte de son bureau. Après s’être rendue compte que la protection policière était plus menaçante que rassurante, elle demanda à ce qu’elle lui soit retirée ; cependant, sa demande fut refusée et sa garde permanente de deux policiers fut doublée.
Le Floch-Prigent et les dirigeants d’Elf, Alfred Sirven et André Tarallo (dit « Monsieur Afrique ») comparurent finalement devant les juges. Le Floch-Prigent témoigna qu’Elf payait « au grand minimum » 5 millions d’euros à chaque grand parti politique français, et était en « contact journalier » avec l’Élysée au sujet des activités d’Elf. Cependant, aucun politicien n’a jamais été condamné pour un acte illégal dans l’affaire Elf.
Le Floch-Prigent, Sirven et Tarallo reçurent tous des condamnations légères. En particulier Tarallo qui ne purgea pas sa peine de prison de 4 ans ni ne paya l’amende de 2 millions d’euros : il sortit de prison après deux mois.
Un autre aspect de cette affaire tient au scandale touchant l’ex-ministre des Affaires étrangères socialiste Roland Dumas. En 1998, il fut révélé qu’au début des années 1990, Elf avait donné des sommes importantes pour un appartement et des produits de luxe à Christine Deviers-Joncour, une employée d’Elf qui était l’amante de Dumas et lui achetait des cadeaux. L’on soupçonne que l’un des principaux objectifs d’Elf dans ces relations avec Dumas était d’emporter son accord pour la vente des frégates à Taiwan.
Afin de lever des fonds pour sa défense lors du procès, Deviers-Joncour écrivit une autobiographie révélatrice, intitulée La putain de la République, qui confirme largement les soupçons sur le fait qu’Elf essayait d’acheter Dumas. Dumas fut reconnu coupable de fraude en 2001, mais relaxé en appel en 2003 — la cour admettant qu’il se pourrait qu’il n’ait pas su que le salaire de Deviers-Joncour versé par Elf était gonflé pour le soudoyer.
Le scandale des frégates de Taiwan
En 1988 l’entreprise d’armement française Thomson CSF (aujourd’hui Thalès) organisa la vente de six frégates de la classe Lafayette à Taiwan pour 2,8 milliards de dollars. Le prix fut gonflé pour payer des pots-de-vin à des responsables en France et en Asie. Sur l’insistance des juges au cours de son procès dans l’affaire Elf, Dumas reconnut que les pots-de-vin se montaient à 2,5 ou peut-être même 5 milliards de francs (500 millions à 1 milliard de dollars).
Cette vente buta initialement contre l’opposition de la Chine continentale [qui prétend toujours détenir Taiwan], et Dumas en tant que ministre des Affaires étrangères s’opposa à la vente. Thomson et Elf montèrent des réseaux d’influence en Chine, à Taiwan et en France pour vaincre cette opposition. Au moins 10 responsables liés à ce marché sont morts de causes suspectes. On compte parmi eux le capitaine de la marine taiwanaise Yin Chen-Feng, qui s’était opposé à cet achat, trouvé noyé dans le port de Taipei en 1993, avec des contusions à la nuque. Un agent de Thomson à Taiwan, Andrew Wang, fut obligé de fuir Taiwan pour se réfugier à Londres après avoir été accusé de fraude, blanchiment d’argent, corruption, et meurtre.
Un directeur de Thomson, Jacques Morisson et un responsable des services de renseignement français, Thierry Imbot, sont morts d’une chute depuis la fenêtre de leurs appartements à Paris. Les juridictions françaises conclurent que ces deux décès étaient des suicides. Le Général René Imbot, père de Thierry et précédent chef de la DGSE (direction générale de la sécurité extérieure – le service de renseignement étranger), a catégoriquement nié que la mort de son fils puisse être un suicide. Il a déclaré que son fils lui avait dit que l’affaire des frégates de Taiwan avait permis à certains individus de faire « fortune » et qu’il recevait des menaces de mort.
Les ministres des Finances successifs – Laurent Fabius, du Parti socialiste, en 2001, et Francis Mer, de l’UMP, en 2002 – se servirent du secret défense pour bloquer les enquêtes sur cette affaire. Le gouvernement taiwanais déposa une plainte en 2003 pour récupérer les pots-de-vin qu’il soupçonnait avoir payé. En 2004, Taiwan prouva grâce à des données provenant de banques suisses que le prix de vente final des frégates comprenait au moins 520 millions de dollars en pots-de-vin. En juin 2007, les tribunaux suisses reversèrent à Taiwan 34 millions de dollars provenant de ces fonds.
En France, en 2008, le procureur parisien Jean-Claude Marin a fait cesser toutes les enquêtes liées à cette affaire en raison de prétendues erreurs judiciaires.
Le scandale des délits d’initiés à EADS
L’implication de Jean-Louis Gergorin, directeur d’EADS et officier des services de renseignements français, dans l’affaire Clearstream était une conséquence de la crise qui fit trembler le géant franco-allemand des industries aérospatiales et de l’armement EADS, après la mort en 2003 du magnat des affaires Jean-Luc Lagardère. Un autre scandale y est lié : celui des délits d’initiés lors de la vente des parts que le Groupe Lagardère détenait dans EADS.
La mort de Jean-Luc Lagardère transféra la direction du groupe à son fils Arnaud – un homme généralement considéré comme un passionné de sport et de publicité, et non de l’industrie de la défense. De plus, l’avion de transport de grande capacité A380, principal nouveau produit d’Airbus (filiale d’EADS), a rapidement été victime de retards de production, attribués par la suite à des erreurs dans l’organisation du câblage interne de l’avion.
Des dirigeants et actionnaires de premier plan d’EADS – dont le PDG d’Airbus Noël Forgeard, le Groupe Lagardère, et la compagnie allemande Daimler-Chrysler – ont vendu leurs parts juste avant que cela n’entraîne un effondrement du cours des actions EADS au printemps 2006, après l’annonce de délais supplémentaires. Le Groupe Lagardère a vendu pour 2 milliards d’euros d’actions EADS, y compris une part à 600 millions au gouvernement français (à la Caisse des dépôts et consignations) dont la valeur a rapidement baissé d’au moins 125 millions – c’est-à-dire qu’il a réalisé un profit de ce montant au détriment des contribuables français.
Dans un entretien accordé au Monde, Arnaud Lagardère a déclaré : « J’ai le choix de passer pour quelqu’un de malhonnête ou d’incompétent, qui ne sait pas ce qui se passe dans ses usines, je choisis cette deuxième version. »
D’après une information de l’hebdomadaire satirique réputé Le Canard enchaîné, l’AMF (Autorité des marchés financiers) a trouvé des documents chez Lagardère qui démontrent qu’il avait connaissance des retards de l’A380 avant de vendre ses parts dans EADS, empochant au passage 890 millions d’Euros. Arnaud Lagardère n’a été mis en accusation pour aucune faute dans la vente de ces actions.
La preuve que les Bettencourt finançaient l'UMP dès 2006.
L'existence de ce document confirme les mensonges de Sarkozy et de Woerth. Continuez-vous à leur faire confiance ?
Vous vous étonnez encore que les paradis fiscaux n'aient pas encore été démantelés ? Il faut bien qu'ils existent pour pouvoir alimenter les partis et les politiques de tous bords, ainsi que les complexes pharmaceutiques et industrialo-militaires.
C'est au moins dès 2006 que le couple Bettencourt a voulu financer l'UMP et Nicolas Sarkozy. Rien que cette année là les dons atteindraient 30.000 euros.
Le document que nous publions ci-dessous éclaire d'un jour nouveau les dons faits par l'héritière de l'Oréal et son époux au parti présidentiel. Ce "mémo strictement personnel et confidentiel" a été adressé à André Bettencourt par Patrice de Maistre -le gestionnaire de fortune de la milliardaire- le 29 septembre 2006. Son "objet"? "Financement UMP, NS" Les dernières initiales désignant, de toute évidence, Nicolas Sarkozy. "Nous avons convenu, avec Monsieur Woerth, écrit Patrice de Maistre dans ce courrier, que vous pourriez faire déposer ces quatre chèques à son attention, à l'UMP 55 rue de la Boétie Paris 8eme".
Quatre chèques ? "Pour la campagne présidentielle, explique Maistre, chaque personne peut donner jusqu'à 4.500 euros [en réalité 4.600 euros, plafond prévu par la loi pour un candidat]. Nicolas Sarkozy n'étant pas encore candidat déclaré, cette contribution n'est pas à l'ordre du jour. Votre épouse et vous-même pouvez donc faire chacun un chèque de 7.500 euros [plafond prévu pour un parti], à ( ) l'Association Nationale de financement de l'UMP (ANFUMP) et à l'association de soutien à l'action de Nicolas Sarkozy". Selon le conseiller, Liliane et André ont donc la possibilité de signer en toute légalité deux chèques chacun, pour Nicolas Sarkozy et pour le parti qui doit l'amener jusqu'à l'Elysée. Au total, c'est donc 30.000 euros que le couple aurait versé dès 2006 (plus 7.500 euros "utilisé par Monsieur Renaud Donnedieu de Vabres" précise le memo). Ce document soulève trois questions.
1/Quel est le montant exact des dons faits par les Bettencourt au parti de Nicolas Sarkozy, ces dernières années ? "Je n'ai pas à le dire" s'est offusqué Eric Woerth le 27 juin dernier sur RTL. "Madame Bettencourt a beau être milliardaire, elle ne peut donner plus de 7.500 euros par an à un parti politique. Voilà de quoi on parle ! " avait-il assuré au JDD une semaine plus tôt.
2/ La loi a-t-elle été respectée? Sans parler des accusations de financements illégaux portées par l'ex comptable Claire Thibout, les chèques suggérés par Maistre pourraient illustrer un constat déjà fait par la Commission nationale des comptes de campagne et de financement politique dans son rapport de 2006. La "création de partis satellites" dit la Cnccfp "a pour conséquence de faciliter le détournement de la loi". Le Nouvel Observateur avait déjà révélé que Liliane Bettencourt avait signé trois chèques pour les régionales de 2010: un pour Valérie Pécresse (qui se présentait à l'élection), un pour l'Association de financement de UMP et un dernier pour le micro parti de l'ex ministre du budget, l'Association de soutien à Eric Woerth, qui lui n'était pas candidat.
3/ Quelles relations entretiennent Eric Woerth et Patrice de Maistre ? Le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt disait ne pas avoir eu de relation "en tête à tête" avec le trésorier de l'UMP avant 2007. Il a également expliqué aux policiers qu'il ne s'était "jamais occupé d'hommes politiques" et de financement de parti avant les régionales de 2010. Le mémo semble prouver le contraire. La fréquence des rencontres entre l'actuel ministre du travail et le conseiller financier est aussi attestée par les agendas de ce dernier (consultés par les enquêteurs). Ainsi que par le rapport de l'IGF qui mentionne, qu'à trois reprises -9 septembre, 9 novembre 2007 et 22 juin 2009- Patrice de Maistre a été reçu par la cellule fiscale de Bercy "à la demande du ministre".
Marie-France Etchegoin
Lire l'article complet de Marie-France Etchegoin dans le Nouvel Observateur en kiosque dès le jeudi 15 juillet.