Informations vaccination : Dossiers SOS JUSTICE

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/08/2021

Le passe sanitaire est mort et illégal, dans les grandes surfaces.

 

 

Passe sanitaire dans les centres commerciaux : l’arrêté préfectoral suspendu dans les Yvelines

Le tribunal a considéré que l’absence d’aménagements permettant d’accéder sans passe aux commerces essentiels dans les galeries marchandes invalidait la décision du préfet.

 

Pass sanitaire dans les centres commerciaux : les avocats victorieux mettent en demeure tous les préfets d’Île-de-France 

Les deux avocats de Versailles qui ont obtenu la suspension du pass sanitaire dans les centres commerciaux des Yvelines ont mis en demeure tous les préfets d’Ile-de-France.

 

La décision rendue par la Juge des Référés de Versailles, le 24 

Après la suspension du passe sanitaire dans les Yvelines, obtenez la même chose près de chez vous ! 

Dans les Yvelines, le passe sanitaire ne sera plus d'application dans les centres commerciaux. Ainsi vient d'en décider le juge des référés du tribunal administratif de Versailles, à la demande d'un habitant du département, lui-même avocat. Cette importante décision fondée sur le principe selon lequel l'Etat ne peut empêcher les personnes d'accéder aux biens de première nécessité, même sous un motif sanitaire, est facilement transposable sur le reste du territoire national. Voici un mode d'emploi pour demander la même mesure au Préfet de votre département, avec l'aide de Maître X, notre conseillère secrète ! 

 

La décision rendue par la Juge des Référés de Versailles, le 24 août 2021 à télécharger en PDF : ICI  

suspension-du-passe-sanitaire-par-le-tribunal-administratif-de-versailles-1-638.jpg

26/06/2010

Bill Gates finance un programme de vaccins à nanoparticules

Et ça  continue ! Les Illuminati poursuivrent leurs plans machiavéliques contre l'humanité !

Bill Gates finance un programme de vaccins à nanoparticules et les chemtrails sont parfaits pour ça ! La puce ayant été réduite à l'état d'un grain de poudre !

mercredi 9 juin 2010 par NewsOfTomorrow

 

(Source : Natural News via Sott, trad. NewsOfTomorrow)

JPG - 6.9 ko
© NaturalNews

La Fondation Bill et Melinda Gates commence à se faire connaître pour le financement des technologies destinées à favoriser la stérilisation de masse et les programmes de vaccination dans le monde. L'un de ces programmes récemment financés par la fondation est un programme de stérilisation qui utiliserait de puissantes projections d'ultrasons sur le scrotum d'un homme pour le rendre stérile six mois. Cette technologie devrait plutôt s'appeler "castration temporaire". Plus d'informations ici.

 

Maintenant, la fondation finance un nouveau programme "de vaccin à libération provoquée par la sueur" se basant sur des nanoparticules traversant la peau humaine. Cette technologie est décrite comme une façon de "...fabriquer des nanoparticules pénétrant la peau par les follicules pileux et éclatant au contact de la sueur humaine pour libérer le vaccin."

 

La subvention de recherche est attribuée à Carlos Alberto Guzman, du Centre Helmholtz de Recherche sur les Infections en Allemagne et à Claus-Michael Lehr et Steffi Hansen de l'Institut Helmholtz pour la Recherche Pharmaceutique.

 

Ils participent tous deux au programme "Grand Challenges Explorations" que soutient la Fondation Gates, dont le but serait "d'accomplir des percées majeures en matière de santé mondiale."...des percées comme la stérilisation de masse et les vaccins à nanoparticules qui pourraient être secrètement administrés sans que vous en soyez informé, visiblement. Ces nanoparticules pourraient être utilisée sous forme de nuage de fines gouttelettes pulvérisées sur toute personne traversant un barrage de sécurité dans un aéroport, par exemple. Ou elles pourraient être diffusées dans les systèmes de ventilation d'un bâtiment de bureaux d'entreprise ou d'une école publique pour vacciner les masses. Vous ne sauriez même pas que vous êtes vacciné.

 

Cette technologie est potentiellement très dangereuse pour la liberté de votre santé. En l'utilisant, les gouvernements ou compagnies pharmaceutiques (c'est la même chose de nos jours) pourraient créer une crème-pour-la-peau/vaccin qui serait présentée sous forme de "crème solaire". Mais lorsque vous l'utiliseriez, vous vous vaccinerez vous-même avec des nanoparticules s'enfonçant sous la peau et éclatant en libérant un ADN étranger dans votre corps.

Histoire de la médication discrète des masses

Vous vous demandez pourquoi les gouvernements chercheraient à soigner les gens sans qu'ils le sachent ou sans leur consentement ? Ils le font déjà avec la fluoration de l'eau. Le fluor est un médicament, et les gouvernements régionaux et nationaux partout sur terre utilisent la distribution de l'eau potable pour donner du fluor à la population, qu'elle en ait besoin ou non et sans aucune prescription ou diagnostic médical.

 

Donc si les gouvernements donnent déjà des médicaments discrètement à la population comme le montre l'exemple du fluor dans la distribution de l'eau, ils ont préparé le terrain à une vaccination de masse par des voies similaires, comme la distribution d'air dans les immeubles. Et grâce à Bill Gates, la nanotechnologie nécessaire à cette fin est maintenant financée.

Est-ce vraiment une "percée majeure en matière de santé mondiale ?"

 

J'imagine que c'est à condition que vous soyez favorables à une médecine discrète fournissant au peuple les médicaments et vaccins derrière leur dos. La médecine occidentale est si outrageante pour les personnes rationnelles qu'elle ne peut même pas opérer au grand jour. C'est pourquoi elle recourt à une contamination discrète de la distribution en l'eau afin d'obliger le public à avaler ces médicaments.

Fluor et médecine discrète

Ah, et au passage, pour quiconque arguant que le fluor n'est pas un médicament, rappelez-vous ceci : Selon la FDA, toute substance chimique ayant un effet biologique sur le corps humain est, par définition, un médicament. De ce fait le fluor est aussi un médicament.

De plus, le fluor est promu avec la revendication extravagante de "prévention des caries", ce qui en fait un "médicament non-approuvé" selon la FDA. Alors comment se fait-il qu'un médicament non approuvé soit versé dans la distribution en eau et donné de force à des centaines de millions de personnes sans un seul diagnostic de carence en fluor ou même une seule ordonnance d'un docteur ?

La réponse est que la médecine occidentale est si rrogante qu'elle ne croit pas devoir suivre de règles, règlements ou lois quelconques. Il n'y a qu'un système de médecine "tyrannique" qui vous ferait avaler des médicaments de force, en les versant dans la distribution en eau, sans que vous ne le sachiez. Alors pourquoi penser que ce serait différent pour les vaccins ? Si la médecine mainstream peut trouver le moyen d'obliger tout le monde à recevoir des vaccins en secret, soyez sûr qu'ils chercheront à le faire !

 

Et de tels efforts recevront sans aucun doute le soutien financier de Bill Gates.

 

http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8334

 

 

 

 

17/02/2010

Dr Marc Girard : La santé et les experts de la pharmacovigilance française

Confieriez-vous la santé de votre enfant, de vos proches ou la vôtre aux « experts » de la pharmacovigilance française ?

A bon entendeur…

http://www.rolandsimion.org/spip.php?article124

 Dr Marc Girard.

La pharmacovigilance française à l’oeuvre

Le degré zéro de la recherche clinique

mercredi 17 février 2010 par Marc Girard

Prétendre évaluer la pharmacovigilance des vaccins contre la grippe "porcine", ce serait implicitement valider la crédibilité des responsables en charge de la gestion des accidents et incidents notifiés.

Or, les responsables de la pharmacovigilance française ne sont pas crédibles.

Démonstration...

Introduction

La pharmacovigilance (que je pratique depuis près de 30 ans) étant sans doute la moins contestable de mes compétences, plusieurs correspondants se sont étonnés que, à nouveau seul contre beaucoup, je me sois jusqu’à présent abstenu de proposer au public une analyse des données de tolérance relatives aux vaccins contre la grippe porcine depuis qu’ils ont été mis sur le marché, en septembre-octobre 2009.

C’est précisément que, bon connaisseur des systèmes de pharmacovigilance et de leurs déterminants, je sais qu’ils requièrent un minimum de procédures en matière d’information, de recueil, de vérification, de saisie, d’évaluation et de publication - bref : un minimum de sérieux - : prétendre "interpréter" la pharmacovigilance de tel ou tel médicament, c’est implicitement valider toutes ces procédures - partant la crédibilité de ceux qui en ont la charge.

La crédibilité de la pharmacovigilance française

Le précédent de la vaccination contre l’hépatite B

Or, je n’ai cessé de le documenter depuis maintenant des années, les responsables de la pharmacovigilance française ne sont pas crédibles :

  • lors de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, ils ont ignoré des mises en garde ("effet d’échelle") qui eussent dû s’imposer d’emblée à l’esprit du plus médiocre des professionnels (cf. Un précédent inquiétant, mais pas imprévisible...) ;
  • durant des années, ils ont défendu la bonne tolérance de la vaccination contre l’hépatite B sur la base d’une "enquête nationale" dont ils ne savaient même pas opérer les dénombrements élémentaires autrement qu’avec des bâtons et des croix, illustrant à cette occasion "l’âge de pierre informatique" qui règne dans l’administration sanitaire de notre pays [1] ;
  • ils ont été assez irresponsables pour valider placidement qu’une campagne de vaccination (dont les motivations étaient aussi indigentes que celles contre la grippe porcine [2]) allait permettre d’évaluer a posteriori "la sécurité d’emploi des vaccins anti-hépatite B chez les enfants et les nourrissons" (cf. Vaccination antigrippale : un second précédent inquiétant (1994-95)) - reconnaissant du même coup que les études normalement attendues pour recommander l’immunisation en pédiatrie et en néonatologie n’avaient simplement pas été faites ;
  • ils n’ont pas craint de falsifier carrément les données qui leur étaient transmises pour entretenir le mythe qu’aucune pathologie démyélinisante centrale n’avait été rapportée chez l’enfant de moins de 2 ans après vaccination contre l’hépatite B (cf. Pharmacovigilance vaccinale : la falsification à l’oeuvre.).

Le précédent de l’hormone de croissance

Mais les hauts faits de la pharmacovigilance française ne se limitent évidemment pas à ce terrible précédent de la vaccination contre l’hépatite B. Sans entrer dans le détail et pour s’en tenir à une autre affaire médiatisée, rappelons les principales contributions de la Commission nationale de pharmacovigilance au drame de l’hormone de croissance [3] :

  • en 1986, la Commission conclut doctement qu’il n’y avait pas lieu de modifier les règles d’emploi de l’hormone de croissance en France [4] ;
  • en 1988, elle s’alarme d’un risque iatrogène au cœur de toutes les inquiétudes contemporaines : celui de leucémies (sans avoir jamais pris en compte sérieusement celui du Creutzfeldt-Jacob !) : on n’entendra d’ailleurs plus parler de cette alerte pour rien ;
  • en juin 1991, elle démontre le sérieux de ses investigations en assurant que « aucun patient n’a reçu d’hormone de croissance d’origine extractive depuis 1985 » [5] ;
  • en décembre 1991, deux mois avant que n’éclate le scandale que l’on sait et alors que les observations alarmantes s’accumulaient, elle conclut que « un nouveau débat est inutile en l’absence d’éléments nouveaux ».

Une enquête nationale de 20 ans

Probablement pour la première fois, le lecteur trouvera en PJ l’intégralité des procès-verbaux des réunions que la Commission nationale de pharmacovigilance a consacrées aux problèmes de tolérance posés par les vaccins recombinants contre l’hépatite B depuis la première autorisation de mise sur le marché (1987) jusqu’à aujourd’hui. [6]

Une rhétorique pitoyable

Même au travers d’une lecture en diagonale, deux caractéristiques sautent aux yeux, dont la seconde découle de la première :

  • la parfaite similarité de la rhétorique utilisée lors de ce précédent historique [7] avec celle encore utilisée aujourd’hui à propos des vaccins anti-grippaux, avec le même recours aux mêmes poncifs (expertise des cas les plus alarmants toujours "en cours", surveillance toujours "en cours" [en comptant avec des bâtons et des croix...], promesse d’études à venir, dont la plupart ne verront même jamais le jour, rappel constant de "bénéfices" jamais évalués par la Commission mais dont l’évidence justifie n’importe quel risque, impossibilité de conclure, "signal" insuffisant...) et avec, à chaque fois, l’imparable estocade : "aucun élément nouveau" susceptible de modifier l’analyse précédente quand on chercherait en vain quelque précédent "d’analyse" digne de ce nom [8] ;
  • l’accablante indigence des "analyses" ainsi proposées, et des commentaires qu’elles inspirent :
    • en juillet 1997, le nombre de Français vaccinés étant à ce moment estimé aux alentours de 20 millions (le tiers de la population d’alors), la Commission s’avise soudain de "l’intérêt d’évaluer la sous-notification" (alors que n’ayant, jusqu’alors, fonctionné que sur des notifications - à l’exclusion de toute étude pharmaco-épidémiologique tant soit peu structurée - elle est confrontée au problème de sous-notification depuis le tout début de sa surveillance [soit 10 ans depuis la première AMM]) ;
    • l’aveu pitoyable que pour mettre en évidence un doublement du risque de sclérose en plaques (qui, dans une campagne alors présentée comme "universelle", impliquerait - excusez du peu - quelque 25 000 scléroses en plaques purement iatrogènes), il faudrait inclure pas moins de... 800 000 sujets [9] : "principe de précaution", quand tu nous tiens...
    • l’interrogation, en mai 2007 (soit 20 ans après la première AMM et alors qu’environ la moitié de la population française a été exposée à cette vaccination), de "l’état d’avancement de l’évaluation de faisabilité d’études expérimentales dans l’investigation d’un lien de causalité potentiel entre la vaccination contre le VHB et le risque de sclérose en plaques" !!!

Sans entrer, d’autre part, dans le détail technique, contentons-nous de citer cette perle (PV du 10/07/97) illustrant l’effarante incompétence de la Commission qui ne craint pas d’affirmer, à propos de la première étude cas/témoins réalisée en France, que "ces résultats non significatifs ne sont pas en faveur d’une association forte compte tenu de la puissance statistique de l’étude" : la puissance avouée de l’étude une fois publiée [10] étant de 0,30 pour mettre en évidence un doublement du risque (càd que même si le risque de complication neurologique était multiplié par deux - ce qui est considérable - l’étude avait deux chances sur trois de passer à côté...), c’est un B A BA méthodologique que la première cause de non significativité dans une étude c’est justement... le manque de puissance statistique - parfaitement avéré en l’espèce (on s’accorde à considérer comme "acceptable" une puissance statistique à partir de 0,80). Les "experts" de la Commission nationale de pharmacovigilance raisonnent tout simplement à l’envers...

Cette rhétorique lamentable de la Commission nationale de pharmacovigilance ne se retrouve pas seulement dans ses analyses actuelles des nouveaux vaccins contre la grippe porcine : j’abandonne à mes lecteurs le soin de faire un constat similaire dans d’autres dossiers, tel celui relatif à la surveillance des vaccins anti-HPV (Gardasil, Cervarix).

L’exemple des scléroses latérales amyotrophiques

On pourrait consacrer un livre entier aux insanités intellectuelles qui saturent l’ensemble des comptes rendus donnés ici en PJ. Concentrons-nous simplement sur le risque de scléroses latérales amyotrophiques (SLA) évoqué à partir du 21/05/2002 (soit... plus de dix ans après l’élargissement de la vaccination aux professionnels de santé, et 8 ans après le lancement de la campagne scolaire) : rappelons que cette maladie effroyable se solde généralement par un décès rapide (généralement en moins de 3 ans), au terme d’une épouvantable agonie impliquant notamment une paralysie progressive des muscles respiratoires. On pourrait croire que la gravité d’une telle complication (jointe, en l’espèce, à son alarmante atypie puisque les cas rapportés après vaccination se signalent par la jeunesse des sujets concernés - ce sont parfois même des enfants - pour une maladie qui, à l’état "naturel", frappe plutôt des personnes du troisième âge) justifierait un minimum de sérieux chez les responsables de la pharmacovigilance française : mais écoutez plutôt.

  • Alors donc que le nombre de SLA post-vaccinales rapportées au début de 2002 (soit 36 cas) apparaissait suffisamment alarmant pour justifier une « enquête officielle » de l’AFSSAPS (21/05/02), il faut comprendre un an plus tard (mise à jour du 15/05/03) que l’incidence annuelle maximale des notifications (…) reste toujours "inférieure" à l’incidence annuelle de la SLA estimée entre 2 et 4/100 000.
  • « Néanmoins, le CRPV de Strasbourg suggère l’analyse approfondie de la seule population de patients de moins de 40 ans sur la base de critères génétiques (…) à la recherche d’éventuels facteurs de risque ».
  • Moyennant quoi, le bilan suivant (27/09/05) se contente d’évaluer à 53 le nombre total de cas rapportés et de soutenir que rien ne permet « de conclure à l’existence d’un signal susceptible d’associer la vaccination contre l’hépatite B et la survenue de SLA ».

Sur la base de ces citations, on peut donc reconstituer les faits suivants :

  1. en mai 2002, la Commission nationale de pharmacovigilance a promis une « enquête officielle » sur le risque de SLA suivant une vaccination contre l’hépatite B ;
  2. bien qu’aucun compte rendu sérieux de cette « enquête officielle » n’ait jamais été diffusé, un projet d’étude « génétique » s’y est substitué, sans que l’on sache sur la base de quel raisonnement épidémiologique il a été décidé de la limiter aux sujets de moins de 40 ans ;
  3. moyennant quoi, aucune étude génétique n’a jamais été menée et la Commission nationale, qui considérait un total de 36 cas comme suffisamment intriguant pour justifier une « enquête officielle », cesse purement et simplement de s’intéresser au problème quand il apparaît, trois ans plus tard, que le nombre total de cas est passé à 53.

Il apparaît donc :

  • qu’aucune des études promises n’a été effectuée ;
  • que l’argument d’un signal « insuffisant » pour justifier cette inertie est d’autant plus indigent que :
  •  
    • la Commission se garde bien de spécifier le niveau à partir duquel ce signal serait "suffisant" ;
  •  
    • elle n’explique pas pourquoi, par rapport au niveau de 2002 (n = 36) jugé suffisant pour motiver une enquête officielle, une augmentation de +47% (n = 53) justifie soudain de ne plus s’intéresser au problème ;
  •  
    • elle ignore superbement le travail d’un de ses anciens vice-présidents et toujours principal responsable, à ce moment, des études épidémiologiques consacrées aux vaccins contre l’hépatite B qui évalue à un maximum trois cas (soit 18 fois moins qu’en l’espèce) le nombre de notifications à partir duquel, en pharmacovigilance, il n’est plus permis d’évoquer une simple coïncidence [11] ;
    • elle ignore également l’article non moins volontariste cosigné vers la même époque par la responsable de la pharmacovigilance de GenHevac chez Pasteur Mérieux et qui soutient textuellement : "Cependant, la certitude causale est l’exception. Lorsqu’un événement indésirable survient répétitivement sous une forme grave, il est hautement recommandable de ne pas perdre du temps dans des investigations sans intérêt ou sans fin. Il peut donc arriver qu’un médicament soit retiré sur la base d’une forte suspicion davantage que d’une certitude. Cependant, ce peut être la conduite la plus prudente en une telle occurrence" [12]

On aurait pu penser, sans doute, d’une part que 53 cas dépassent largement la limite « maximum » de 3 cas posée par l’ancien vice-président de la Commission nationale de pharmacovigilance et d’autre part que 53 cas d’une maladie aussi grave chez des sujets aussi inhabituellement jeunes correspondaient effectivement à la notion d’une survenue « répétitive sous une forme grave »…

Mais non, apparemment.

La prise en compte de la sous-notification

Globalement, l’indigence du motif répétitivement invoqué par la Commission pour ne pas tenir ses engagements d’investigation saute aux yeux du moins initié : compte tenu de la sous-notification, il est parfaitement attendu que le nombre de cas notifiés avec n’importe quelle complication médicamenteuse, si avérée soit-elle, soit nettement inférieur au nombre de cas spontanément « attendus ».

Sur ce regroupement de procès-verbaux tous consacrés au seul problème de la vaccination contre l’hépatite B, il est possible de reconstituer le "raisonnement" [13] des "experts" de la Commission à propos de la sous-notification - dont on répète qu’elle est là première et la plus incontournable des limites rencontrées dès lors qu’on prétend s’occuper de pharmacovigilance.

  • On l’a dit : la Commission nationale de pharmacovigilance met dix ans pour s’aviser de "l’intérêt d’évaluer la sous-notification" de spécialités vaccinales dont la première a reçu l’AMM depuis 1987 ;
  • Elle justifie ensuite sa placidité au motif que le nombre de cas notifiés ne dépasse pas le nombre de cas attendus, alors que - compte tenu d’une sous-notification d’autant plus massive que les complications considérées sont généralement tardives et que l’administration sanitaire fait tout pour ridiculiser les rares médecins qui auraient l’idée de rapporter des complications après vaccination -, même une fréquence de complications vaccinales élevée se solderait toujours par un nombre de notifications très inférieur au nombre de cas spontanément attendus ("bruit de fond") ;
  • A partir de février 2000, cependant, au travers d’une rhétorique filandreuse mais dont la signification va de soi pour n’importe quel spécialiste, elle admet à mots couverts que nonobstant tous les efforts des autorités sanitaires pour stimuler la sous-notification, le nombre de cas de sclérose en plaques notifiés est peu ou prou comparable à celui des cas attendus : compte tenu de ce qui vient d’être dit, semblable situation signe un drame de santé publique considérable et, à ma connaissance, sans précédent.
  • Elle s’abstient ensuite de reconnaître explicitement, dans ses procès verbaux ultérieurs, ce que ses experts vont néanmoins publier dans la presse internationale, à savoir que, cette fois, le nombre de cas notifiés a bel et bien dépassé le nombre de cas attendus [14] !
  • Nonobstant cette situation proprement cauchemardesque, la Commission s’abstient d’entreprendre les études épidémiologiques correctes dont l’inutilité a toujours été justifiée par le constat d’une situation exactement inverse (nombre de cas notifiés "inférieur" au nombre de cas "attendus") ; elle va même jusqu’à affirmer (21/05/2002) que toutes les conditions sont réunies pour clore l’essentiel de l’enquête de pharmacovigilance - qui ne correspond, normalement, qu’à une mesure provisoire d’évaluation en cas de simple alerte...

Pour finir, on relèvera la sidérante apathie des autorités sanitaires devant le répugnant cynisme des fabricants qui - 20 ans après l’introduction sur le marché de leur spécialité - refusent toujours de participer à toute investigation au motif que "les signaux d’alerte sont trop insuffisants (sic) pour justifier leur implication dans ces programmes de recherche", alors que :

  • ces vaccins, on l’a dit, ont causé "l’une des plus grandes séries d’effets indésirables recueillis par la pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974" [15] ;
  • le nombre de scléroses en plaques notifiées chez les gens vaccinés dépasse le nombre de cas normalement attendus : situation proprement vertigineuse compte tenu du fait que, surtout en France et encore plus sur ce type d’affaire, on considère généralement qu’en cas de complication iatrogène, la proportion de celles qui sont effectivement notifiées ne dépasse pas 1% de celles qui sont effectivement survenues (et qu’elle peut être bien moindre).

Sur la base de ce précédent, il revient aux fabricants concernés de préciser aux citoyens les signaux iatrogènes que, eux, considèreraient comme "assez suffisants" ( !) pour justifier qu’ils y consacrent un minimum d’attention.

Rappelons que c’est à ces fabricants aussi obsessionnellement scrupuleux que l’Agence européenne a confié le soin de collecter les données d’efficacité et de tolérance requises pour évaluer correctement le rapport bénéfice/risque de vaccins antigrippaux, lesquels qui ont bénéficié d’une AMM bâclée au motif des "circonstances exceptionnelles" représentées par une épidémie grippale qui a fait environ 30 fois moins de victimes qu’une grippe saisonnière dont personne n’aurait parlé (cf. Grippe porcine : je vaccine mes enfants ? et La grippe porcine en moins de 100 questions)...

Conclusion

A l’évidence, la compétence de ces gens est à tout le moins problématique.

Mais il n’y a pas que ce problème de compétence.

Car ils illustrent parfaitement le propos de mon livre (p. 82) :

Ainsi prise au piège de sa précipitation brouillonne, l’administration – puissamment secondée par ses « experts », à moins que ce ne soit l’inverse – s’enferre dans d’inextricables contradictions à chaque fois qu’elle tente de justifier l’injustifiable. « Docteur Girard, me disait fréquemment un juge d’instruction, rappelez-vous qu’il n’existe pas de sanction pénale pour la connerie humaine » : je n’ai pas compétence juridique pour en décider, mais ce que l’expérience m’a enseigné, c’est que quand « la connerie humaine » a frappé, elle est ensuite prête à toutes les mystifications et mensonges pour se tirer d’affaire – et je serais franchement étonné qu’il n’existe pas de sanction pénale pour ça…

 

 

18/01/2010

Communiqué de Sos Justice & Droits de l'Homme

Communiqué de Sos Justice & Droits de l'Homme


Nous tenions à vous informer que depuis deux jours notre mail a été piraté et que des mails en nombre ont été adressés à des personnes que nous ne connaissons pas et qui se sont plaintes auprès de nous de ces envois.

Le mail nous ayant été adressé en copie en provenance de l'adresse mail de M. Christian Cotten, nous l'avons interrogé pour savoir si c'était bien lui qui diffusait ce mail. Ce à quoi il nous a répondu par l'affirmative en invoquant une mauvaise manoeuvre de sa part. Or, une mauvaise manoeuvre n'explique pas le fait que nous ayons reçu ce mail  en copie en provenance de notre propre mail et que d'autres destinaires l'aient reçu en nombre à partir de notre adresse mail.

Depuis 2 jours s'est engagée une polémique autour de ces envois indûs et du piratage de notre adresse mail.

Nous souhaitions faire une mise au point en ce qui concerne l'envoi de ces mails en nombre à notre insu, à savoir :

1 - nous prions les personnes ayant reçu ce mail de bien vouloir nous excuser pour ce fâcheux incident qui ne relève pas de notre volonté notre adresse mail ayant bien été piratée et s'agissant d'un acte de malveillance dirigé à notre encontre,
2 - que nous n'avons jamais adressé ces mails en nombre aux personnes qui s'en sont plaintes,
3 - que nous n'avons rien à voir avec les procédures initées par M. Christian Cotten et M. Vercoutère, ni avec les actions menées par Jean-Jacques Crèvecoeur.

Bien que l'association Sos Justice & Droits de l'Homme ait été la première association  française à dénoncer la vaccination criminelle dès le 31 juillet 2009 et qu'elle a encouragé tous les français à engager des procédures en France. Nous n'endossons pas la responsabilité de la gestion de ces plaintes, ni ne sommes tenus de nous y constituer partie civile. Ce d'autant plus que les motifs que nous visons dans notre plainte relèvent des faits de "crimes de génocide", ce qui n'a rien à voir avec la "tentative d'empoisonnement" visée par M. Cotten et M. Vercoutère.

Du reste nous nous interrogeons depuis le début sur le choix de ce motif criminel, dans la mesure où à partir du moment où le vaccin poison a été injecté dans les veines des vaccinés, il ne s'agit plus d'une tentative d'empoisonnement, mais d'un réel empoisonnement et d'un crime de génocide. Ce que nous dénonçons depuis le début.

Nous n'allons donc pas nous ridiculiser en revenant sur nos motifs pour faire plaisir à certains,  ni nous discréditer auprès de Monsieur le Procureur de la République de Nice qui a été saisi, entre autres, de ces motifs.

Nous maintenons ceux-ci et nous vous confirmons que nous ne soutenons aucune plainte autre que la nôtre.

Nous vous remercions pour votre attention.

L'équipe de Sos Justice & Droits de l'Homme

PS : Concernant le piratage de notre adresse mail, nous avons conservé copie de tous les mails d'échéange avec M. Cotten et des personnes qui se sont étonnées ou plaintes de ces envois intempétifs et malveillants.





 

09/01/2010

Réveil au Québec (intox H1N1)

Le réveil brutal au Québec après la vaccination !

Apparemment personne n'a eu le courage de déposer plainte au Canada, malgré la bonne volonté de certains et les grandes gueules qui se targuent de venir nous initier en France et en Europe, et qui se sont contentées de faire des conférences, de vendre des CD et des livres, sans jamais déposer plainte !

Au cas où cela aurait pu entraver leurs affaires et qui se plaignent du manque à gagner durant le temps qu'ils ont perdu à s'occuper du scandale de la vaccination ! On se demande comment ils s'en sont occupé et quel a été leur réel investissement ?

Les bons courageux qui se planquent derrière leurs écrits ! Suivez mon regard !

Les Canadiens feraient mieux de rester chez eux pour aider les leurs, ils seront plus utiles qu'en France et en Europe.


On connaît bien ceux qui veulent prendre leur bâton de pélerin et venir jouer les bons samaritains chez nous.

Bref, voici le résultat de leurs éclatantes actions !

 

Réveil au Québec (intox H1N1)

http://www.dailymotion.com/video/xbrmcc_reveil-au-quebec-...


Réveil au Québec (intox H1N1)

envoyé par JaneBurgermeister. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

 


05/01/2010

Bachelot résilie la moitié des commandes de vaccins contre la grippe

Et vous l'avez vue où la pandémie ? Parce qu'autour de nous personne n'a eu la grippe cette année comme par hasard !

Il fallait même 2 ou 3 doses pour immuniser les personnes !
Ben voyons !

Comme quoi le virus n'existe pas mais c'est bien le vaccin qui a été fabriqué pour être une arme biologique de destruction massive dangereuse pour la santé !

Pour la dépopulation de la planète nous y repassera une autre fois, n'est-ce pas ?

Bien sûr, il faut continuer à vacciner jusqu'à septembre prochain, quand ils inventeront un nouveau virus fabriqué de toutes pièces. On se moque de qui ?


[ 04/01/10  - 22H17 - AFP  ]

En pleine polémique sur la campagne de vaccination contre le virus pandémique H1N1, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé avoir résilié les commandes de 50 millions de doses de vaccin, soit "une économie de plus de la moitié" du total engagé.

"Ces commandes n'avaient été ni livrées, ni payées, elles sont donc résiliées", a précisé la ministre, dans un entretien lundi sur TF1.

"Les vaccins représentaient 712 millions d'euros, cela fait une économie de plus de la moitié", a dit Mme Bachelot.

Ce chiffre diffère du montant de 869 millions d'euros précédemment annoncé par le ministère de la Santé pour les commandes de vaccin, du fait d'un changement de TVA (de 19,6% à 5,5%) lié à l'autorisation de mise sur le marché, explique-t-on au cabinet de Mme Bachelot.

L'entourage de la ministre n'a pu préciser lundi soir si des clauses de résiliation prévoyaient le versement d'indemnités aux laboratoires.

Dans la perspective d'une pandémie mondiale redoutée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la France avait commandé 94 millions de doses de vaccin auprès de GlaxoSmithKline (GSK, 50 millions de doses), Sanofi Pasteur (28 millions), Novartis (16 millions) et Baxter (50.000), pour un montant total de 869 millions d'euros, selon le ministère de la Santé.

GlaxoSmithKline France et Sanofi Pasteur se sont déclarés prêts à examiner une éventuelle demande de renégociation du contrat avec le gouvernement.

La ministre de la Santé a déclaré lundi à propos des doses commandées, "avoir négocié directement avec les laboratoires".

Les critiques à l'encontre du gouvernement, qui a confirmé dimanche avoir commencé à revendre des surplus de vaccins à des pays tiers, se sont multipliées lundi.

Premier à porter le fer, le socialiste Jean-Marie Le Guen a réclamé dimanche une "mission d'information parlementaire". A droite, le député UMP Bernard Debré a vilipendé le "principe absurde, poussé à l'extrême, de précaution".

Les laboratoires ont également été jugés "grands vainqueurs de cette affaire" par le porte-parole du PS Benoît Hamon.

Pour sa part, la ministre s'est défendue d'en faire "trop ou pas assez". "Je le dis clairement, il faut pratiquer le principe de précaution", a-t-elle martelé lundi soir, évoquant la crise sanitaire du sang contaminé.

"Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en trois jours, en particulier des personnes qui n'avaient aucun facteur de risque", a souligné Mme Bachelot.

Selon elle, la vente des vaccins aux autres pays sera "marginale" au regard de la résiliation des commandes annoncée ce lundi.

Sur le total de 94 millions de doses, en plus des 50 millions résiliés, 9,4 millions ont été promises à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et 2 à 3 millions seront vendues, selon le ministère. Quelque 25 millions de doses resteraient ainsi disponibles pour la vaccination en France, selon le ministère.

"Je serai attentif à ce qui va se passer", a déclaré M. Le Guen lundi soir à l'AFP après l'annonce de la résiliation de commandes. "J'ai tendance à penser que c'est un artifice", a-t-il ajouté.

Mme Bachelot a appelé à ne "pas relâcher la garde sur la vaccination", précisant que "la semaine prochaine les médecins généralistes volontaires pourront vacciner dans leur cabinet".

La vaccination va également se poursuivre dans les centres de vaccination et doit "continuer jusqu'à septembre prochain", a déclaré la ministre.

Mme Bachelot a souligné qu'avec 5 millions de vaccinés, la France avait "des chiffres parmi les meilleurs d'Europe".

http://www.lesechos.fr/depeches/medecine-sante/afp_002190...

 

 

Sos Justice & Droits de l'homme dans Wikipédia

Bon, nous vous annonçons que Sos Justice & Droits de l'Homme est entrée dans les annales de Wikipédia.
Et de vous à nous, ce n'est pas notre principale préoccupation, dans la mesure où ce fait nous a été signalé. Ce qui compte que nous ayons tous ensemble remporté une grande victoire en évitant la vaccination obligatoire pour tous les français et que nous ayons protégé nos enfants de cette vaccination criminelle.

Un grand merci à Jane et à vous toutes et tous.

1 - L'article complet : Vaccin contre la grippe A (H1N1) de 2009-2010
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccin_contre_la_grippe_A_(H...

2 - Voir l'extrait ci-dessous de l'article sur Wikipedia

Dépôts de plaintes dans le monde et en France

La possibilité alléguée d'une importante toxicité des vaccins de part leurs adjuvants ainsi que la concomitance d'autres incidents survenus en début et milieu d'année 2009 (contamination vaccinale mise en évidence par inoculation s'avérant létale chez les furets en République tchèque, avertissement du contre-espionnage sur celle à venir en Ukraine, décès des SDF vaccinés en Pologne en 2008 par les mêmes produits expérimentaux)[réf. nécessaire] concernant les vaccins Baxter de la grippe saisonnière et H1N1 a amené plusieurs personnes à porter plainte auprès de diverses autorités et dans plusieurs pays.

La première en France fut déposée à Nice[36] le 23 septembre 2009 auprès du procureur de la République Éric de Montgolfier par Mirella Carbonatto (association SOS Justice et Droits de l'Homme). Ceci faisait suite à deux plaintes déposées en avril 2009 auprès du FBI puis le 10 juin 2009 en Autriche et aux États-Unis par la journaliste Jane Burgermeister[37] qui craint une malveillance intentionnelle et avait mis en exergue la contamination d'un important lot de matériel vaccinal (souche H3N2) par le virus grippal H5N1 que dut retirer le laboratoire Baxter qui l'avait fabriqué en Autriche[38]. Une seconde plainte contre X pour « tentative d'empoisonnement de la population » a été déposée en Isère le 23 octobre à Grenoble[39]. Un collectif français des déposants de plaintes dans le cadre de la vaccination[40] de la grippe A H1N1 serait dès lors en création à travers le territoire selon le Nouvel Observateur et l'AFP qui en ont fait conjointement écho les premiers.

 

 

03/01/2010

H1N1: pétition contre le Tamiflu

AFP

23/12/2009 | Mise à jour : 13:22 |

Près de 800 professionnels de santé s'interrogent dans une pétition sur la recommandation de prescrire de manière "systématique" le Tamiflu en cas de grippe, qu'ils jugent "en contradiction" avec des "données scientifiques fiables", a indiqué aujourd'hui l'un de initiateurs de ce texte.

Vers 13h00 aujourd'hui , 791 professionnels de santé s'étaient associés à la lettre en ce sens du collectif pour une Formation et une Information médicale indépendante (Formindep) au ministère de la Santé, a déclaré le président du collectif Philippe Foucras.

Selon cette lettre, un courrier de la Direction de la Santé de ce ministère du 9 décembre "incite" les médecins "à prescrire systématiquement de l’oseltamivir (alias Tamiflu) en traitement curatif des syndromes grippaux". "Ces recommandations nous sont faites 'sur proposition des experts'. Or elles sont en contradiction avec les données scientifiques fiables actuellement portées à notre connaissance", écrit encore le Formindep.

La pétition demande au ministère "l’ensemble du texte de la recommandation, son argumentaire, et les éléments et niveaux de preuve sur lesquels elle se fonde", ainsi que des précisions sur les experts mentionnés, "leur identité et leurs déclarations publiques d’intérêts ainsi que l’exige la loi pour tout collaborateur de la Direction générale de la Santé".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/23/01011-200912...

 

 

Grippe A : cinq millions de vaccins et 2 600 effets indésirables


Les vaccins administrés sont essentiellement le Pandemrix (GSK, avec adjuvant, 3,7 millions de doses) et le Panenza (Sanofi-Pasteur, sans adjuvant, 1,4 million de doses), rappelle l'agence dans son suivi hebdomadaire de pharmacovigilance (PDF).

Le Focetria (Novartis, avec adjuvant) et le Celvapan (Baxter, produit par culture cellulaire et sans adjuvant) ont été administrés à quelques milliers de doses. Pour le Pandemrix, 2 390 effets indésirables (soit 6,4 pour 10 000) ont été signalés depuis le début de la campagne, dont 83 graves (27 au cours de la dernière semaine). De ces 27, douze cas graves sont en lien avec le vaccin : crise d'épilepsie chez un patient ayant des antécédents, problèmes respiratoires chez un patient obèse, malaise et crises convulsives chez un adolescent de 15 ans, deux cas de gêne respiratoire chez des enfants...

L'ANALYSE "NE REMET PAS EN CAUSE LA BALANCE BÉNÉFICE-RISQUE DES VACCINS"

Parmi les observations graves pour lesquelles un lien avec le vaccin n'a pas été retenu, deux décès sont intervenus chez des patients âgés souffrant l'un de "lourds antécédents cardiovasculaires" et l'autre d'antécédents neurologiques avec complications infectieuses.

Les autres effets secondaires étaient d'intensité bénigne à modérée : douleurs ou inflammations au site d'injection, fourmillements ou picotements, nausées, fièvre ou maux de tête... Pour le Panenza, 258 effets indésirables (1,8 pour 10 000) ont été notifiés depuis le début de la vaccination avec ce vaccin. 11 des 31 cas graves sont intervenus depuis la dernière semaine, notamment chez des femmes enceintes, avec 3 morts intra-utérines (8 tous vaccins confondus depuis le début de la campagne). Des investigations sont en cours.

Cinq cas de fausse couche spontanée ont aussi été signalés depuis le début de la campagne, dont un survenu 1 h 30 après vaccination avec le Focetria, suite à un choc anaphylactique. L'Afssaps rappelle la fréquence relative des morts intra-utérines et des fausses couches et estime qu'"aucune donnée ne permet de relier ces événements à la vaccination". Au total, pour l'Afssaps, l'analyse des signalements "ne remet pas en cause la balance bénéfice-risque des vaccins".

http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/12/31/grippe-a...

20/12/2009

Comité secret à l'OMS

Petit à petit, ce que nous avons dénoncé en juillet 2009 se dévoile. L'existence d'un comité secret à l'OMS ! La preuve de la complicité et de la corruption, de l'ONU et de l'OMS, en cheville avec les Laboratoires pharmaceutiques, dans les affaires de santé publique ! Pas étonnant que dans les accords passés entre la France et l'ONU en 1947 et révisés en 1999, ces organismes internationaux bénéficient de l'immunité.

clip_image002.jpg

LES ETATS MEMBRES DU CONSEIL DE L'EUROPE DECIDES A ENQUETER SUR LA CAMPAGNE DE VACCINATION ET SUR L'OMS EN JANVIER 2010

Les Etats membres du Conseil de l'Europe ont décidé de lancer une enquête en janvier 2010 sur l'influence qu'auraient pu avoir les compagnies pharmaceutiques sur la campagne globale de la grippe porcine, en se focalisant tout spécialement sur l'influence qu'aurait pu avoir l'industrie pharmaceutique sur l'OMS, s'il faut en croire les médias allemands.

http://www.zeit.de/politik/2009-12/schweinegrippe-europa
http://www.tagesspiegel.de/politik/international/Schweine...

 C'est le Dr Wolfgang Wodarg, ancien parlementaire SPD et président du comité européen de la Santé qui a lancé l'enquête. La motion a été adoptée à l'unanimité par ses collègues au comité du Parlement Européen à la Santé.

Le Dr Wodarg a critiqué les mesures qui ont été prises pour lutter contre la grippe porcine et les a considérées comme "un des plus grands scandales médicaux du siècle".

Le Dr Wodarg a précisé que l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les officiels gouvernementaux a eu pour conséquence que " des millions de gens en bonne santé ont été exposés inutilement aux risques d'un vaccin insuffisamment testé..." (...)

Le Dr Wodarg a également critiqué la manière dont les firmes pharmaceutiques ont réalisé des profits colossaux sur le dos des citoyens. Il a également accusé les fabricants de vaccins d'aller jusqu'à accepter d'infliger des dommages corporels dans leur poursuite de profits, faisant allusion au fait que les adjuvants du vaccin contre la grippe porcine ont à peine été testés. Il précise que les effets secondaires du vaccin y compris les paralysies n'ont pas été correctement rapportés.

Le Dr Wodarg a précisé que le rôle joué par l'OMS, de même que sa déclaration d'urgence pandémique en juin doivent faire l'objet d'un examen particulièrement attentif au cours de l'enquête parlementaire européenne.... (...)

En élevant la grippe porcine au niveau de pandémie, les pays se sont vus contraints d'exécuter les plans prévus pour une pandémie, ainsi que d'acheter des vaccins contre la grippe porcine. Comme l'OMS n'est sujette à aucun contrôle parlementaire, le Dr Wodarg a précisé qu'il était absolument nécessaire pour les gouvernements d'insister sur l'aspect "responsabilité".

Il ne devrait pas être permis à une organisation qui est clairement sous l'influence des compagnies pharmaceutiques et qui tirent profit de la vente des vaccins pour une telle pandémie, de définir elle-même en quoi consiste une pandémie. Beaucoup de décideurs de l'OMS ont travaillé pour l'industrie pharmaceutique et continuent de travailler pour cette industrie. L'enquête a aussi pour objectif d'étudier le rôle qu'ont joué les Instituts Paul-Ehrlich et Robert Koch en Allemagne.

http://www.theflucase.com/index.php?option=com_content&am...

LES PARLEMENTAIRES DANOIS OUTRES PAR RAPPORT AU COMITE SECRET DE L'OMS

Il est totalement inacceptable que l'OMS ait un comité secret qui prenne les décisions en ce qui concerne la grippe porcine. C'est ce que pensent les partis d'opposition, ainsi que le parti du peuple danois. Le Ministre danois de la santé a déclaré qu'il allait s'occuper de l'affaire.

"Complètement inacceptable", "délirant", "plus que douteux", "complètement grotesque", " très étrange". Telles sont les réactions des sociaux démocrates, du parti du peuple danois, de la liste des verts et du Ministre conservateur de la santé, Jakob Nielsen à la suite de la révélation de l'existence d'un comité secret au sein de l'OMS et qui conseille le Directeur Général sur les questions ayant trait à la grippe porcine...

Le comité secret joue un rôle central quant à l'origine de la décision de déclarer une pandémie de grippe porcine - décision qui a permis à l'industrie pharmaceutique d'engranger des sommes colossales du fait que de nombreux pays, dont le Danemark ont signé des contrats les contraignant à acheter des vaccins à l'industrie en cas de pandémie. C'est précisément pour cette raison, déclare Liselott Blixt porte parole de son parti, que la transparence sur les membres du comité est absolument indispensable.

" Nous somme partisans de la transparence. Il nous faut voir clair dans ce qui se passe entre l'industrie pharmaceutique et les décideurs. L'industrie fait des bénéfices incroyables avec cette grippe.

C'est la raison pour laquelle il est très inquiétant qu'en principe, ces membres pourraient être des gens davantage préoccupés de gagner de l'argent plutôt que de servir les intérêts du public", précise Liselott Blixt.

Le ministre de la Santé, Jakob Axel Nielsen, reconnaît que la situation est problématique.

" C'est un réel problème qu'il n'existe pas d'information au sujet des personnes qui font partie de ce comité. Je ne m'oppose pas à ce que ces personnes puissent parler aux gens de l'industrie. Mais nous devons être informés et pour le moment nous ne savons pas.

Per Clausen de la liste "Unité" souligne le pouvoir de ce comité. " C'est ce comité qui a joué un rôle actif dans la déclaration de pandémie et qui a entraîné une vente massive de vaccins et de tamiflu. Tout lien avec l'industrie pharmaceutique doit être exposé au grand jour." précise Per Clausen.

Jonas Dahl de la gauche "verte" pense que le manque de transparence a de quoi inquiéter le peuple danois.

"Nous devons pouvoir faire pleine confiance dans l'information qui nous vient de l'OMS. Il en résulte qu'il est inacceptable qu'il existe un comité secret; que le directeur Général puisse apparemment former son petit groupe privé pour formuler des recommandations." déclare Jonas Dahl.

La sociale démocrate Sophie Haestorp Andersen pense que ce comité viole tout simplement les règles démocratiques établies... Kristian Villesen,

 

Louise Voller