Fraude fiscale : Dossiers SOS JUSTICE

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03/02/2019

Conseils aux Gilets Jaunes par François Asselineau de l'UPR

François Asselineau et l’UPR appellent les « gilets jaunes » à demander à chaque député de lancer la destitution du président de la République, selon la procédure prévue par l’article 68 de la Constitution.

 

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE

Vendredi 23 novembre 2018

François Asselineau et l’UPR appellent les « gilets jaunes » à « aller chercher » Macron en demandant à chaque député de lancer la destitution de Macron, en application de l’article 68 de la Constitution.

En vertu de cet article, les parlementaires peuvent en effet se constituer en Haute-Cour et voter la destitution de Macron « en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Comme une grande majorité de Français, l’UPR constate que les manquements de Macron à ses devoirs sont foisonnants, évidents, graves et concordants, et qu’ils mettent désormais en jeu la paix civile en France, comme en témoignent le mouvement des « gilets jaunes » ainsi que le profond soutien qu’il reçoit dans la population.

Macron n’a en effet pas cessé, depuis le début de son mandat, de se soumettre aux puissants tout en s’en prenant aux faibles, de brader les intérêts de la France, d’affaiblir l’unité nationale et la démocratie, et de piétiner le droit international.

François Asselineau a d’ailleurs déjà enjoint deux fois les députés de mettre en œuvre l’article 68 de la Constitution :

  • la première fois à l’occasion des frappes illégales au regard du droit international décidées unilatéralement par Macron contre la Syrie en avril 2018,
  • la deuxième fois à l’occasion de l’affaire « Benalla » dans laquelle Macron avait demandé qu’on vienne le « chercher » en juillet 2018.

Dans un récent communiqué, l’UPR a eu l’occasion de dresser la liste déjà longue des méfaits, des inconduites scandaleuses et des manquements graves à ses devoirs que Macron a commis en seulement 18 mois de mandat. L’UPR invite les « gilets jaunes » à reprendre à leur compte cette longue liste des manquements de Macron, et à s’appuyer dessus pour aller voir chaque député dans chaque circonscription de France, afin d’obtenir de chacun l’engagement public de lancer la procédure de l’article 68.

Nous invitons les « gilets jaunes » à aller ainsi réclamer la destitution de Macron : 
– aux députés de la majorité, dont un nombre croissant en a assez d’être pris pour des larbins sans cervelle par un exécutif méprisant, et qui sont de plus en plus las de ne servir qu’à défendre les intérêts de l’oligarchie qui a catapulté Macron à l’Élysée en 2017, à l’issue d’une propagande jamais vue dans aucune autre démocratie occidentale, 

– aux députés dits d’opposition – notamment les députés LR, communistes, « Insoumis », Ex-FN ou encore « Non-inscrits » comme MM. Dupont-Aignan et Lassalle – qui critiquent tous vertement Macron, mais qui se sont refusés jusque-là à lancer la procédure de destitution.

L’UPR n’ignore pas que, compte tenu de la composition de l’Assemblée nationale et du Sénat, cette procédure a peu de chances de parvenir à la destitution réelle de Macron puisque celle-ci ne pourrait intervenir qu’avec le vote positif de deux tiers des membres de chacune des deux assemblées, puis de la Haute Cour.

L’UPR insiste cependant auprès des « gilets jaunes » sur l’impact énorme qu’aurait le lancement d’une telle démarche, même si elle n’aboutit pas : 
– d’une part, ce serait la toute première fois dans l’histoire qu’une procédure de destitution serait lancée par des députés à l’encontre d’un président de la République en exercice. Il s’agirait d’une gifle symbolique qui affaiblirait politiquement Macron d’une façon irrémédiable, et qui ternirait définitivement son mandat et l’image détestable qu’il laissera dans l’histoire de France.

– d’autre part, ce serait le moyen de forcer individuellement chaque député à prendre ses responsabilités devant l’opinion publique. Seule la publication par les « gilets jaunes » de la liste exhaustive des réponses de chaque député permettra aux Français de savoir quel député préfère soutenir Macron et quel député préfère soutenir le peuple. Cette démarche permettra en particulier de faire la différence, parmi les députés qui affirment soutenir le mouvement des « gilets jaunes », entre ceux qui le font devant une caméra par simple opportunisme, et ceux qui sont prêts à engager la seule action juridique réelle permettant d’empêcher Macron de continuer à nuire.  

En outre, de nombreux militants de l’UPR – qui sont des citoyens eux aussi – distribueront en marge de la manifestation sur le Champs de Mars, ce samedi, un tract aux « gilets jaunes » leur expliquant l’origine des principaux problèmes de la France : notre appartenance à l’Union européenne et à l’euro, qui ruine notre niveau de vie et vide le pays de ses emplois.

La France est malade de ne pas nommer l’origine de ses problèmes ; l’UPR lui apporte la solution.

Pour sa part, François Asselineau, respectera le souhait – maintes fois exprimé par les « gilets jaunes » de rester un mouvement apolitique – en ne participant pas à la manifestation de ce samedi, au Champs de Mars. Il sera d’ailleurs ce jour-là à Champigny-sur-Marne pour prononcer une conférence – prévue et organisée depuis longtemps – sur le thème de l' »euro-corruption ». Cette conférence dévoilera au public les raisons pour lesquelles les institutions européennes, étrangères dès l’origine à tout contrôle démocratique, présentent des caractéristiques mafieuses et attirent des escrocs de tout acabit.

Contact médias :
presse@upr.fr
06 72 02 57 34

 

09/01/2019

Pièces à conviction - Président à tout prix : Enquête sur les millions de la campagne

Une petite idée sur ce que les français paient pour élire un président et pour entretenir les partis politiques, auxquels l'État verse des subventions qui ont le droit de réclamer des dons durant la campagne présidentielle, de faire des crédits auprès des Banques auxquelles ils doivent ensuite des comptes. Ensuite nous payons pour les Députés et les Sénateurs, leurs salaires, leurs frais de divers déplacements, leurs salariés, leur sécurité, leurs retraites, leur enterrement, quand il ne s'agit pas encore de financer les anciens Présidents qui passent automatiquement au Conseil Constitutionnel et auxquels, il faut aussi assurer, leurs salaires, leurs déplacements, leurs salariés, leur sécurité et leurs retraites à vie. Sans compter que certains députés bénéficient de plusieurs postes auprès de la France mais aussi auprès de la Commission Européenne et nous payons aussi pour les dirigeants de l'UE que les peuples n'ont jamais élus, leurs structures, leurs déplacements, leurs frais, leur sécurité, puis nous payons aussi pour l'OTAN et se sont des débours sans fin qui nous endettent pour quelques dizaines d'années ! 

Compte tenu du fait que SARKOZY nous a fait adhérer par la force à l'UE, que la France tout comme tous les pays de la communauté européenne ont perdu leur souveraineté nationale, il l s'avère donc que le Président de la République ainsi que les Députés et Sénateurs, ne sont mis en place et entretenus dans leurs fonctions par les français ou par les peuples européens que pour simplement modifier la Constitution et les lois pour les faire s'adapter aux GOPES et satisfaire aux exigences de la Commission Européenne et de la BCE, et n'ont pas pour travailler en faveur des citoyens de la communauté européenne !

Ils ne sont donc payés et entretenus dans leurs fonctions que pour trahir les peuples européens. Il serait temps de dégraisser le Mammouth qui ne sert à rien, à part à nous endetter à enrichir les banquiers et les multinationales tout en nous trahissant !

 

Pièces à conviction - Président à tout prix : Enquête sur les millions de la campagne

Trois jours après l’élection du nouveau président de la République, "Pièces à conviction" lève le voile sur les secrets du financement de la campagne présidentielle de 2017. Six mois d’une enquête délicate dans les coulisses des QG de campagne et des meetings. Comment les deux finalistes, Emmanuel Macron ou Marine Le Pen, ont-ils financé leur campagne ? Et les autres candidats qui n’ont pas dépassé le premier tour ? D'où vient l'argent ? Qui a fait des dons, sachant que les candidats s’appuient sur un financement privé, provenant en majorité des partis, mais aussi de personnes privées ? Qui a signé les chèques et négocié les dépenses ? Depuis 1988, plusieurs lois ont été votées pour encadrer le financement des campagnes électorales (plafonnement des dépenses, encadrement des ressources, contribution de l’Etat aux dépenses…), le tout étant vérifié par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). L’argent, un sujet crucial, mais tabou ? Mais en ces temps de soi-disant transparence, les questions d'argent continuent de déranger, surtout chez les deux finalistes : le camp Macron s'est montré plutôt réservé, l'équipe Le Pen carrément réticente. Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon ont plus volontiers ouvert leurs portes… L’enquête de "Pièces à conviction" révèle aussi comment l'argent a été crucial dans le maintien de la candidature de François Fillon. Une enquête de Stéphane Girard. Le reportage est suivi d'un débat animé par Virna Sacchi, qui reçoit Jérôme Lavrilleux, député européen, directeur adjoint de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, et Eva Joly, députée européenne, candidate à l'élection présidentielle de 2012.

 

 

Gros salaires, privilèges et gaspillages : enquête sur les milliards de l’Europe

Chaque année, la France verse 20 milliards d’euros à l’Union européenne. A l’heure où l’Europe traverse une passe difficile à cause du Brexit, "Pièces à conviction" a enquêté dans les coulisses, et a suivi des députés, des fonctionnaires, et même l’un de ses plus hauts dirigeants pour savoir comment ces milliards sont dépensés. Comment fonctionne le Parlement européen ? La machine est gourmande, et les dépenses parfois ubuesques. Une fois par mois, et pour trois jours seulement, les 750 parlementaires et leurs assistants déménagent de Bruxelles à Strasbourg : cela coûte 110 millions d’euros, une dépense inutile juge la Cour des comptes européenne… Quant aux députés européens, ils sont parmi les mieux rémunérés au monde, avec 11 000 euros net par mois. Mais malgré ces conditions privilégiées, certains arrondissent leurs fins de mois en travaillant pour le secteur privé, parfois en toute illégalité. D’autres ne brillent pas par leur assiduité, et parmi eux beaucoup de députés français… Avec de tels moyens financiers, que vaut le vote de ces parlementaires qui représentent 600 millions d’Européens ? L’enquête de "Pièces à conviction" révèle comment des multinationales parviennent à influencer Bruxelles et imposer leur choix, parfois contre l’avis du Parlement, démocratiquement élu. "Gros salaires, privilèges et gaspillages : enquête sur les milliards de l’Europe", un document de Stéphane Girard diffusé le 21 février 2018.

 

 

 

Les jobs en or de la République !

La République fourmille de postes très privilégiés. Comment et par qui sont-ils attribués? Qui sont ces hommes et ces femmes que l’Etat gratifie généreusement ? Combien coûtent-ils à l’Etat ? Ces jobs en or, la plupart les doivent à leurs compétences et à leur travail : préfets, conseillers d’Etat, inspecteurs généraux, inspecteurs des finances. Ils influencent les lois et les choix budgétaires, ils dirigent la grande machine de l’Etat, ils contrôlent l’administration des départements et des régions. Leurs salaires et leurs avantages sont à la hauteur de leurs responsabilités. Mais l’enquête révèle que des centaines de hauts fonctionnaires obtiennent leur poste pour des raisons plus opaques. Chaque année, le président de la République et ses ministres nomment ou mutent des centaines de hauts fonctionnaires pas seulement pour leur mérite. Un moyen de remercier certains pour service rendu, de s’assurer de la loyauté ou du silence d’un opposant, d’offrir un avenir à un ami en disgrâce ou en fin de carrière. Résultat, la haute fonction publique abrite une bonne part de préfets sans affectation, de conseillers d’états peu productifs, d’inspecteurs généraux parfois incompétents, Alors mérite ou piston : qui profite des meilleurs postes de la République ? Une enquête de Stéphane Girard, produite par Cat & Cie. Elle sera suivie d'un débat animé par Virna Sacchi qui recevra Charles De Courson, député de la Marne, magistrat à la Cour des comptes Camille Mialot, avocat et enseignant à Sciences Po.  


 

Nos très chers sénateurs !

Le Sénat ? Une institution qui échappe au contrôle de l'État. Du détail de son budget aux inquiétudes des sénateurs sur sa survie en passant par les scandales qui la secouent, Pièces à conviction fait le tour de cette vénérable maison − affaiblie par les retraits d'argent en liquide, utilisations frauduleuses des moyens alloués à la haute assemblée et détournements de la réserve parlementaire. Le palais de 35 000 m2 où siège le Sénat se trouve au cœur du jardin du Luxembourg. Mais le cachet de leur lieu de travail n'est pas le seul avantage des sénateurs : outre leur salaire de 5 000 euros mensuels, ils disposent aussi d'une enveloppe de 6 000 euros pour leurs frais. Dans les couloirs gravitent également 1 200 fonctionnaires recrutés sur concours. Jardiniers et agents d'entretien commencent leur carrière à 2 200 euros net par mois quand les chauffeurs et dactylos débutent, eux, à 5 000 euros mensuels. Quant aux administrateurs, ils finissent leur carrière à 10 000 euros. Alors que le poids du Sénat diminue dans l'élaboration des lois et que certains politiques voudraient le faire supprimer, l'équipe de Pièces à conviction est allée à la rencontre de sénateurs nouvellement arrivés et lève le voile sur les coulisses d'une institution aujourd'hui décriée.

 

 

L'ENTRETIEN EUROPÉEN - LE MÉDIA REÇOIT FRANÇOIS ASSELINEAU

L'ENTRETIEN EUROPÉEN - LE MÉDIA REÇOIT FRANÇOIS ASSELINEAU

Diffusé en direct le 28 mars 2018


 

 

UE : Qu’est-ce que les Grandes Orientations de Politique Économique (GOPÉ) ? Ou l'escroquerie des peuples Européens !

Quand les élections présidentielles ne sont que pures escroqueries dirigées contre tous les peuples Européens !

En effet, lorsque nous élisons un Président, il accepte et ne devient qu'un pion placé par les banskters internationaux grands promoteurs de leur Mondialisation ou de leur Nouvel Ordre Mondial, et le Président élu n'est qu'un caniche asservi et soumis à ses Maîtres de la Commission Européenne et à la BCE. Tant il est vrai qu'il est tenu de se conformer tous les ans, aux nouvelles « grandes orientations des politiques économiques » qui lui sont communiquées par la Commission Européenne et auxquelles, il doit se plier et se conformer sous peines de sanctions financières économiques de la part de la BCE. 

Or, le travail du Président élu ne consiste qu'à modifier la Constitution et les lois afin qu'elles collent parfaitement, aux « grandes orientations des politiques économiques » qui lui sont dictées par la Commission Européenne et non pas pour améliorer le sort des citoyens des 27 pays qui ont adhéré à l'UE, à l'OTAN qui est sous commandement du Pentagone en Europe, et à l'Euro. 

Or, lorsque les Gilets Jaunes formulent leurs revendications, Macron refuse d'y répondre pour privilégier les banskters et s'il y répond, ce sont encore les français qui seront endettés et qui devront encore payer les sanctions économiques qui seront imposées à la France par la BCE. 

Un exemple ici :  "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens" et la loi Macron sur le Travail

Qui s'enrichit dans l'affaire ? Toujours les Banksters mondialistes ! 

D'où la nécessité de sortir de toute urgence de l'UE, de l'OTAN et de l'Euro ! 

Qu’est ce c’est que les GOPÉ ?

 

 

Les « grandes orientations des politiques économiques » (GOPÉ) sont des « recommandations » de politique économique et sociale émises par la Commission européenne — non élue — à chacun des États membres, en vertu de l’article 121 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE).

C’est en fait la véritable feuille de route de la politique économique et sociale du gouvernement français, quel qu’il soit, qui est contraint de s’y plier dès lors que nous restons dans l’UE. Ces « recommandations » sont de facto des obligations, notamment depuis le pacte de stabilité et de croissance (PSC) de 2011, et avec le « six-pack », la Commission peut sanctionner financièrement les pays en cas de manquement ou de retard dans l’application des mesures préconisées. En cas d’« écarts importants », la Commission adresse à l’État membre un avertissement, et sa situation est suivie tout au long de l’année. Si elle n’est pas redressée, la Commission peut proposer la constitution d’un dépôt correspondant à 0,2 % du PIB. Pour la France, il s’agirait donc d’un dépôt de 4,4 milliards d’euros.

Découvrez quelles sont ces fameuses GOPÉ pour 2018-2019.

Retrouvez également les anciennes GOPÉ

GOPÉ pour 2017-2018
GOPÉ pour 2016-2017
GOPÉ pour 2015-2016
GOPÉ pour 2014-2015
GOPÉ pour 2013-2014
GOPÉ pour 2012-2013
GOPÉ pour 2011-2012

En savoir plus sur les GOPÉ

La feuille de route économique et sociale d’« Emmanuel Macron » est mise à jour : les grandes orientations des politiques économiques (GOPÉ) 2018-2019

Le programme d’Emmanuel Macron mis à jour : La Commission européenne vient de publier les « GOPÉ » pour 2017-2018

Les GOPÉ, ou comment nos gouvernements sont subordonnés à la Commission européenne (suite) La preuve par l’histoire

Quelle sera la politique économique et sociale de la France en 2017 si François Asselineau n’est pas élu président de la République ? Les GOPÉ 2016-2017

Les GOPÉ, ou comment nos gouvernements sont subordonnés à la Commission européenne

Les GOPE (Grandes Orientations de Politique Économique) ou la feuille de route économique de Matignon

Le projet de « loi El Khomri » est la conséquence directe de notre appartenance à l’Union européenne – par Charles-Henri Gallois

 

Macron son programme, c'est l'application des GOPÉS !

Asselineau avait raison

Le programme d’Emmanuel Macron ? Pendant la campagne présidentielle, c’est encore Asselineau qui en parlait le mieux. Toutes les #réformes des #GOPÉ annoncées par François #Asselineau et l’#UPR sont mises ou en train d’être mises en œuvre sous une forme ou sous une autre. Le seul moyen d’éviter la destruction de la #France et de nos acquis sociaux, c’est le #Frexit par l’#article50 du TUE. 


 

Conséquence de l'application des GOPES : 

Réforme de l'assurance chômage 2019 - Le projet Macron

Le gouvernement veut réformer l'assurance chômage. Indemnités en cas de démission, chômage des indépendants, nouvelles sanctions, bonus-malus... Voici les principales mesures sur le chômage actuellement envisagées. 

La suite de l'article : ICI 

 

 

"Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens" et la loi Macron sur le Travail

La loi Macron sur le Travail a bien été dictée par la commission Européenne et la BCE par le biais des GOPEs (les Grandes Orientations Politique et économique) qui sont imposées chaque année aux 27 pays européens qui doivent les respecter sous peine de sanctions financières de la BCE si elles ne sont pas respectées, et Macron  s'est vite empressé de satisfaire ses Maîtres banksters pour modifier entre autres la loi sur le Travail et qui s'apprête à modifier la Constitution pour lui permettre de coller aux demandes formulées par JUNCKER !

 

Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités de l'UE.JPG

Jean-Claude Juncker : «Pas question de supprimer la dette grecque»

 

EXCLUSIF - Le président de l'exécutif européen assure que « les membres de la zone euro n'accepteront pas » cette demande d'Athènes. Il presse aussi la France de faire des réformes structurelles, notamment du marché du travail.

Extrait de l'article : «La France sait ce qu'elle a à entreprendre. Elle doit soigneusement examiner les faiblesses de son droit du travail»

Évoquant la loi Macron actuellement en discussion à l'Assemblée nationale, le président de la Commission dit avoir «l'impression que le pays est en train de bouger.» Mais il ajoute: «Nous voudrions voir la France renforcer ses réformes, en nombre comme en intensité. (Elle) souffre d'un manque de réformes structurelles, de réformes qui portent sur l'essentiel. La France sait ce qu'elle a à entreprendre. Elle doit soigneusement examiner les faiblesses de son droit du travail.»

Il n'exclut pas des sanctions contre Paris si le programme de réduction du déficit budgétaire n'est pas respecté: «Il n'y a pas d'autre remèdes que de la consolidation budgétaire. Les sanctions font partie de l'arsenal. Ce n'est pas la peine d'en agiter la menace en permanence. (…) Mais au bout du compte, un pays ne peut pas échapper aux sanctions s'il ne respecte pas les règles.»

 

Source : ICI 

 

 

Démocratie : UE citation de Jean-Claude JUNCKER : "Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens » .

Vous aurez compris qu'il ne peut y avoir que les Dictatures Européenne et Nationale et que les élections présidentielles ne sont qu'une escroquerie dirigée à l'encontre des peuples européens. Ne s'agissant ici que de placer un pion des banksters, de la Commission Européenne et de la BCE qui imposent leurs règles tous les ans, soit les GOPES aux 27 pays de la Communauté Européenne qui doivent s'y tenir sous peine de sanctions économiques et d'endettement des peuples européens et de leur ruine.

Macron a été mis en place par le système financier uniquement pour modifier la Constitution et les lois afin qu'elles puissent s'adapter aux GOPES, et que les besoins des peuples souverains ne sont aucunement leur priorité !   

 

De la démocratie européenne et des démocraties nationales

 

Il ne peut pas y avoir de démocratie nationale.JPG 

« Dire qu’un monde nouveau a vu le jour après le scrutin (législatif du 25 janvier, NDLR) n’est pas vrai. Nous respectons le suffrage universel en Grèce, mais la Grèce doit aussi respecter les autres, les opinions publiques et les parlementaires du reste de l’Europe. Des arrangements sont possibles, mais ils n’altéreront pas fondamentalement ce qui est en place » , car « il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens » . Les propos de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne (1) ont choqué : n’est-ce pas la preuve que l’Union non seulement n’est pas une démocratie, mais qu’elle s’oppose frontalement aux démocraties nationales ? Certains, à l’extrême-droite et à l’extrême-gauche, toujours friand de slogans simplificateurs, n’ont pas manqué de dénoncer cette « UERSS », oubliant un peu vite ce qu’était l’horreur du régime impérial soviétique, pour ses citoyens et pour les pays occupés.

Ce que rappelle Jean-Claude Juncker est pourtant une évidence : les États de l’Union sont engagés par les traités qu’ils ont signés (pacta sunt servanda, dit-on en latin) et une nouvelle majorité politique ne peut ni s’en affranchir ni les modifier unilatéralement. C’est une évidence du point de vue du droit international, du droit européen et des droits nationaux. En clair, un État reste lié par ce qu’il a signé, quelle que soit la majorité politique en place. Son action ne peut que s’inscrire dans les limites ainsi tracées. Mais c’est aussi le cas à l’intérieur de nos États : une région française ou un Land allemand ne peut violer la Constitution et les lois de la République. L’action politique est toujours contrainte par le cadre dans lequel elle s’inscrit.

On ne peut même pas dire que les traités européens, notre « constitution » commune, sont plus contraignants que nos ordres juridiques nationaux. Certes, les traités vont très loin dans le détail des compétences partagées, bien plus loin qu’aucune de nos constitutions nationales, tout simplement parce que les États l’ont voulu ainsi afin de se prémunir contre toute « mauvaise » surprise dans l’exercice en commun de compétences souveraines (par exemple, ce degré de précision empêche qu’on vide de son contenu la politique agricole commune). Surtout, la Constitution est loin d’être le seul texte contraignant l’action d’un gouvernement dans l’ordre juridique interne : le corpus législatif et réglementaire ainsi que les juges sont là pour limiter la marge de manœuvre des majorités successives. La gauche l’a appris à ses dépens en 1982, lorsque le Conseil constitutionnel lui a imposé d’indemniser correctement les actionnaires des entreprises nationalisées en se fondant sur des textes datant de 1789 et 1946 (la jurisprudence est exactement au niveau européen). Dans nos démocraties nationales, toute action politique est juridiquement contrainte, tout comme elle est, c’est une évidence, économiquement contrainte. Découvrir aujourd’hui la contrainte européenne est juste une preuve de mauvaise foi.

ON NE SORT PAS DE L’EURO SANS SORTIR DE L’UNION

Si les États modernes ne sont en général pas prêts à accepter qu’une de leur composante prenne son indépendance, cela n’est pas le cas dans l’Union. Chaque État peut parfaitement demander à la quitter et personne ne s’y opposera (depuis le traité de Lisbonne, une procédure est même explicitement prévue). Mais attention, il n’y a pas de moyen terme : soit un pays respecte l’ensemble des traités qu’il a signés, soit il s’en va. C’est notamment le cas des pays qui ont adopté l’euro, comme l’a rappelé Jean-Claude Juncker : « on ne peut pas sortir de l’euro sans sortir de l’Union » . Cela peut se faire très rapidement et, à ce moment-là, le pays dégagé de ses engagements européens pourra mener librement la politique qu’il entend. À ses risques et périls, puisque l’on peut plus difficilement s’exonérer des « lois » de l’économie…

Un pays qui choisirait cette option s’engagerait dans une aventure sans précédent qui comporterait des gros risques. Même l’Allemagne en souffrirait, en dépit de sa bonne santé économique : non seulement sa monnaie serait brutalement surévaluée (le précédent suisse devrait servir de leçon), mais ses relations diplomatiques avec ses voisins se tendraient brutalement, ceux-ci l’accusant d’avoir sabordé le projet européen. Quant à la Grèce, il vaut mieux ne pas y penser vu l’état de son économie (en dehors du tourisme et de l’agriculture, elle ne produit pas grand-chose), vu qu’elle est exclue des marchés et vu sa dépendance totale vis-à-vis de l’Union (notamment, elle reçoit presque 3 % de son PIB en aides régionales chaque année).

Sans aller jusque-là, un État peut demander un changement des traités afin qu’ils soient plus conformes à ses attentes. Mais c’est une procédure longue qui passe par un accord unanime des vingt-huit gouvernements et parlements nationaux (plus des référendums dans plusieurs pays). Il peut aussi essayer de convaincre ses partenaires de changer de politique dans tel ou tel domaine : le vote se faisant à la majorité qualifiée, c’est infiniment plus simple. Cela nécessite donc un lent travail de conviction, comme dans une démocratie interne, mais dans un environnement multiculturel qui impose de connaître les limites de chacun : tous les pays sont légitimes démocratiquement et ils ont des contraintes de politique intérieure. Encore une fois, rien de choquant : c’est la même chose sur le plan intérieur, comme le montre la difficulté à réformer des majorités successives qui gouvernent la France. A chaque niveau de compétence et de pouvoir, ses contraintes juridiques, politiques et économiques.

GREXIT OU COMPROMIS

C’est tout cela que Syriza, le parti de gauche radicale qui a gagné les élections en Grèce, a découvert. Si « le jour a succédé à la nuit », comme le proclamait Jack Lang en 1981, ça n’est vrai qu’en Grèce et, comme Alexis Tsipras, le premier ministre, a renoncé à l’option nucléaire d’un Grexit, il lui a fallu en passer par un compromis douloureux, loin de ses promesses initiales. Il n’a pas eu six mois pour apprendre les subtilités des rouages européens, mais trois semaines, la pression qui pesait et continue à peser sur Athènes étant infiniment plus forte que celle qui pèse sur ses partenaires, puisqu’elle dépend d’eux pour sa survie.

L’affaire grecque permettra peut-être à l’ensemble des responsables politiques de comprendre, avant d’arriver aux affaires, que, dans le domaine des compétences partagées au niveau européen, on ne peut plus promettre autre chose que de s’engager à essayer de convaincre ses partenaires. C’est pourquoi le Front National, qui rejette l’idée même de compromis au niveau européen (l’Europe sera française ou ne sera pas), veut quitter l’Union s’il arrive au pouvoir: les Français devraient donc s’intéresser aux conséquences qu’un tel départ aurait pour leur portefeuille.

(1) entretien publié par le Figaro du 28 janvier

N.B.: article original publié dans L’Hémicycle du mois de février

 

 

08/05/2012

Des nouvelles d'Etoile Marquet qui a été agressée par M. Michel DEGRANDE lors de sa contestion contre la candidature de Nicolas SARKOZY, le 6 mai 2012

 
Nous nous avions informé nos correspondants, dans un précédent mail datant du 6 mai 2012, que Mme Etoile Marquet - Présidente de l'association, Défense des Droits de l'Enfant, de la Famille et du Respect Humain, avait été agressée par Monsieur Michel DEGRANGE pour avoir voulu contester pour la seconde fois, le 6 mai 2012, la candidature de l'imposteur Nicolas SARKOZY.
 
Monsieur Michel DEGRANGE avait refusé sa précédente contestation du 22 avril 2012 ce qui avait amené Etoile Marquet à déposer plainte auprès du Procureur de  la République d'Aix-en-Provence, le 25 avril 2012 et à informer le Préfet des Bouches du Rhône par courriers RAR du 25 avril 2012.
 
Le 6 mai 2012, avant de se rendre au bureau de vote, Mme Etoile Marquet s'était rendue au Commissariat d'Aix-en-Provence, afin de demander à être assistée par la Police et par l'huissier de justice de permanence du TGI d'Aix-en-Provence, lors de sa contestation. Cette assistance lui a été refusée.

Madame Etoile Marquet s'est donc rendue seule au Bureau de vote N° 57 afin de voter et de contester la candidature de Nicolas SARKOZY.

Pour ce faire, elle avait pris au préalable, un bulletin de vote du candidat Nicolas DUPONT AIGNAN qui s'était présenté au 1er tour des élections présidentielles afin de porter sa contestation manuscrite sur ce bulletin.

La face verso du bulletin de vote qui porte ses mentions manuscrites

Bulletin de constestation Etoile.jpg

 

 

La face verso du bulletin de vote qui comporte ses mentions manuscrites.

Bulletin de constestation Etoile 2.jpg

Puis elle s'est rendue au : 17, rue Venelles à Aix-en-Provence  au bureau des élections afin de porter sa contestation.

C'est là, qu'elle a été reçue pour la seconde fois, en 15 jours, par Monsieur Michel DEGRANGE qui s'est mis à hurler et qui était complètement hystérique de la revoir dans son bureau.

Il a exercé des tentatives d'intimidation à son encontre, en la menaçant d'appeler la Police ce qu'elle a souhaité qu'il fasse et ce dont il s'est abstenu.

Puis il a continué à l'insulter avant de la prendre violemment par le bras pour l'expulser par la force et sans ménagement du bureau.

Ce, sans lui laisser le temps de prendre sa veste et son sac à mains. Elle a dû insister à plusieurs reprises pour pouvoir les récupérer.

Suite à cette agression Mme Etoile Marquet a été hospitalisée le 6 mai 2012 pour faire pratiquer des examens médicaux. Voir le certificat médical ici :

Certificat médical - Hôpital d'aix-en-provence du 6 mai 2012.pdf

 

Le 7 mai 2012, elle s'est rendue au Commissariat d'Aix-en-Provence afin de déposer plainte contre X pour violences. Voir le récépissé de la plainte et la plainte en PDF ci-dessous :

 

Etoile Marquet doit désormais passer d'autres examens médicaux qui lui ont été demandés cette fois-ci sur réquisition judiciaire à la suite de la plainte qu'elle a déposée auprès du Commissariat le 7 mai 2012. Voir la réquisition judiciaire du 7 mai 2012 en PDF, ci-dessous : 

Réquisition judiciaire - examens médicaux du 7 mai 2012.pdf

Bien entendu, cette affaire n'en restera pas là, et Etoile Marquet a déposé une nouvelle plainte pour récidive et violences auprès du Parquet d'Aix-en-Provence, le 9 mai 2012, à télécharger ci-dessous :



Cette affaire inacceptable ne doit pas rester impunie et Etoile Marquet bénéficiera de notre assistance pour l'aider à gérer ce dossier pénal.

Nous vous rappelons qu'Etoile Marquet avait témoigné avec Frédéric Berger sur les refus de contestation qui leur avait été opposés le 22 avril 2012, sur la Radio la Voix d'Afrique.

Voir le précédent article par ce lien  :

Contestations contre la candidature de Nicolas Sarkozy par des citoyens français le 22 avril 2012
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2012/05/03/contes...


 

 

06/05/2012

Bilan de la législature 2007/2012. Le nouveau pouvoir judiciaire : Les heures sombres ! Par l'Union Syndicale des Magistrats

Après la lettre ouverte adressée à Naboléon par Monsieur Matthieu Bonduelle - Président du Syndicat de la Magistrature pour se plaindre sur l’état de la justice après Nicolas Sarkozy.

 
Encore des magistrats de l'Union Syndicale des Magistrats qui se plaignent de ne pas avoir d'indépendance judiciaire et que la séparation des pouvoirs de l'état n'existe pas, dans un livre intitulé :

Bilan de la législature 2007/2012 : Le nouveau pouvoir judiciaire : Les heures sombres, dont les chapitres sont à télécharger en PDF.

Tout est dans le titre !

Nous sommes sous occupation maçonnique depuis 1789 et les agents des Illuminati font avancer les plans pour finir de ruiner et de détruire la France et l'Europe pour nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

Une autre confirmation que nous n'avons aucune Constitution Républicaine maçonnique et que le Conseil Constitutionnel est une belle escroquerie inventée par la secte maçonnique qui a organisé le complot contre le Roi Louis XVI et contre le Peuple français pour détruire l'identité de la France, détruire le pouvoir Monarchique pour le remplacer par le Pouvoir Oligarchique Maçonnique et pour nous imposer la dictature de leur République maçonnique.
 
Du reste ce n'est pas un hasard s'ils ont appelé leur création: La République = L'Arrêt Public et qu'ils ont donné à leurs structures mafieuses les noms de : Gouverne-MENT et de Parle-MENT !
 
C'est ce qu'ils appellent leur révolution française !
 
Et si vous doutiez encore que la République est le siège de la Franc-maçonnerie, regardez un peu la couverture de la Constitution Maçonnique dite française et vous n'aurez plus aucun doute sur les élites mafieuses qui dirigent la France depuis la révolution maçonnique de 1789.
 
 
 

Bilan de la législature 2007/2012

Le NPJ n°398

L’USM poursuit son action dans le cadre de la campagne présidentielle pour que la Justice (notamment les questions institutionnelles, organisationnelles et budgétaires) soit enfin au cœur des débats.

Après avoir rencontré les équipes de campagne des principaux candidats, contribué à faire venir François BAYROU au TGI de Beauvais, adressé un
questionnaire sur les questions institutionnelles et le respect des standards européens d’une Justice indépendante aux candidats, travaillé pendant un an avec 12 associations et syndicats pour présenter 90 propositions pour « penser autrement la sécurité et la Justice », l’USM dresse aujourd’hui le bilan de la législature.

« 2007-2012 : les heures sombres ». Ce bilan s’articule autour de 7 chapitres  :

- Chapitre 1 : Une magistrature sous pression

  • Un CSM repris en main
  • Un parquet caporalisé
  • Une discipline instrumentalisée


- Chapitre 2 : Des lois générales visant à restreindre le pouvoir d’appréciation du Juge

  • La loi « secret-défense », la Justice aveuglée
  • La loi « protection des sources des journalistes, le secret piétiné
  • La loi « citoyens assesseurs », une défiance assumée

- Chapitre 3 : Des lois pénales mal ficelées, sans cesse amendées ou modifiées (publication le 16 avril 2012)

  • « Incarcérer plus … » : la loi sur les peines planchers
  • « … pour libérer plus ! » ! : la loi pénitentiaire
  • Réforme de la Procédure pénale : collégialité ou suppression de l’instruction ?
  • Justice des mineurs : des réformes incessantes


- Chapitre 4 : Des lois civiles sans cohérence (publication le 17 avril 2012)

  • La réforme des affaires familiales
  • Une réforme des tutelles incompréhensible


- Chapitre 5 : La mauvaise gestion des figures imposées (publication le 18 avril 2012)

  • La réforme des soins sans consentement, une réforme incontournable précipitée et sans moyens
  • La réforme de la garde à vue, une réforme nécessaire non anticipée et inachevée


- Chapitre 6 : De bonnes idées mal appliquées (publication le 19 avril 2012)

  • La réforme de la carte judiciaire, une opportunité gâchée
  • Le développement des nouvelles technologies et le « bug Cassiopée »


- Chapitre 7 : Une gestion des ressources humaines désastreuses (publication le 20 avril 2012)

  • Les errements de la lutte contre la souffrance au travail
  • La réforme de l’évaluation
  • LEAN : un mirage ?

 


L'ensemble de ce bilan sera publié intégralement sur notre site. Accédez chaque jour à un nouveau chapitre en cliquant ici.


La revue NPJ du mois de mars 2012

Le NPJ n°398

L’édito du Président, Christophe REGNARD


Chapitre 1 : Une magistrature sous pression


Chapitre 2 : Des lois générales visant à restreindre le pouvoir d'appréciation du Juge


Chapitre 3 : Des lois pénales mal ficelées, sans cesse amendées ou modifiées


Chapitre 4 : Des lois civiles sans cohérence


Chapitre 5 : La mauvaise gestion des figures imposées


Chapitre 6 : De "bonnes idées" mal appliquées


Chapitre 7 : Une gestion des ressources humaines désastreuse

 

La vie de l'UR de VERSAILLES, entretien avec Marie-Helene POINSEAUX, Déléguée regionale VERSAILLES

 

Le livre "au coeur de la Justice" publié par l'USM aux éditions Prospéro

http://www.union-syndicale-magistrats.org/web/p410_la-revue-npj-du-mois-de-mars-2012.html



Tentative d'atteinte aux droits des associations citoyennes en pleine campagne présidentielle par Anticor

La dernière loi liberticide que tente de nous imposer Nabotléon durant la campagne présidentielle !

Bien entendu les associations n'auraient plus de droit de se constituer Partie Civile pour dénoncer les criminels et corrompus que nous avons au Pouvoir !

Comme Nicolas SARKOZY est inconnu de l'état Civil de toutes les mairies des arrondissements de Paris et que sa signature n'a aucune valeur juridique, doivent être invalidés toutes les lois, décrets, arrêts, et autres lois liberticides dont le traité de Lisbonne, etc... qui ont été publiés durant son règne despotique, afin qu'ils ne soient pas appliqués.

 

Par ailleurs, l'Article 1er du Code Civil Royal, nous indique que seul le Roi peut promulguer et publier les lois dans tout le Royaume de France.

 

Nous leur demanderons dorénavant quel est le Roi qui a modifié l'Article 1er du Code Civil Royal et quand ?

Ainsi que de nous dire qui a promulgué et publié leurs constitutions maçonniques, leurs lois et tous leurs faux en écritures en publiques, depuis 209 ans, et que nous voulons être jugés par des Procureurs du Roi ou par le Roi lui-même.

 

A eux de nous prouver que la France n'est plus une Monarchie et qu'ils avaient le pouvoir d'abroger les constitutions et chartes monarchiques que seul un Roi peut modifier ou abolir.


Ce n'est pas demain la veille qu'ils vont pouvoir nous en rapporter les preuves, ces imposteurs.

Voir les originaux de l'Article 1er du Code Civil Royal


Code Civil Royal - Article 1er du Code Civil du 5 mars 1803 promulgué le 15 mars 1803

http://www.dossiers-sos-justice.com/media/01/00/350241434...

Article 1er du Code Civil Royal - Version originale annotée
http://www.dossiers-sos-justice.com/media/01/00/399418932...


Tentative d'’atteinte aux droits des associations citoyennes en pleine campagne présidentielle

30 avril, 2012

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En toute discrétion, à l’heure où les médias sont focalisés sur la campagne présidentielle, la Présidence de l’Assemblée nationale a enregistré le 24 avril, deux jours après le premier tour, une proposition de loi du député UMP des Yvelines Jacques Myard, « visant à limiter les procédures pénales abusives menées par certaines associations ».

Cette loi, qui vise à rendre impossible dans les faits la constitution de partie civile pour les associations anticorruption comme la nôtre dans les affaires politico-financières, attaquerait également frontalement les droits des associations contre le racisme et les victimes de discrimination, contre les violences faites aux femmes et la maltraitance des enfants, des associations de défense des victimes des accidents du travail, de la délinquance routière, de défense de l’environnement, des consommateurs, des contribuables… (articles 2-1 à 2-21 du Code de Procédure Pénale)

Dans le détail, cette proposition de loi prévoit que lorsqu’une plainte simple adressée au Procureur de la République, magistrat dépendant du gouvernement, est classée sans suite par celui-ci, une association n’aurait plus le droit de se porter partie civile si elle le souhaite. Elle devrait demander au même Procureur, qui vient de lui refuser d’ouvrir une information judiciaire, l’autorisation de se constituer partie civile afin qu’une information judiciaire soit ouverte par un Juge d’instruction indépendant… Autant demander à un arbitre qui vient de sortir un carton rouge, dans la minute qui suit, l’autorisation de faire revenir sur le terrain le joueur qu’il a expulsé pour qu’il finisse la partie !

Bien sûr, si l’autorisation d’ouvrir une information judiciaire était ainsi refusée à l’association par celui qui vient de refuser cette ouverture, elle pourrait faire appel auprès d’un magistrat dépendant lui aussi du gouvernement, le Procureur général. Face à un nouveau refus, en dernier recours, l’association pourra s’adresser à la Chambre de l’Instruction. Bref un parcours dissuasif des plus dilatoires et coûteux, avec une chance de succès des plus improbables pour toute affaire mettant en cause le pouvoir.

Quel pays, quelle démocratie nous prépare-t-on si, face aux pouvoirs et aux lobbies en place, les associations de défense des droits des citoyens sont ainsi désarmées pour demander Justice ?

De quoi ce député cherche-t-il à se protéger, lui et ses collègues UMP et au-delà ? Au delà, parce que malheureusement, ce sport national qu’est l’autoprotection corporatiste des élus entre eux peut rencontrer des majorités transversales, qui traversent la frontière des différents bords politiques. Prenons l’exemple de la suppression du cumul des mandats qui rencontre de très fortes réticences, malgré les annonces, de la part des cumulards de droite comme de gauche. C’est pourquoi, quelle que soit la composition de la prochaine Assemblée, cette proposition de loi cherchant à entraver la liberté d’agir des associations de défense des droits des citoyens est extrêmement dangereuse. Dans la période électorale troublée que nous connaissons, que des législateurs puissent ainsi froidement envisager de s’attaquer à la liberté des associations en dit long sur la démocratie que certains voudraient en toute discrétion nous préparer.

Et ensuite,  après s’être attaqué aux droits légitimes des associations citoyennes ? Pourquoi ne pas s’attaquer à la liberté de la presse ? Pourquoi ne pas censurer la liberté d’expression sur internet ?… Un pouvoir sans contrepouvoirs, le rêve d’une démocratie bâillonnée pour certains élus en place !

Avec une telle loi, aucune contradiction citoyenne, comme nous l’avons portée seuls, n’aurait été présente lors du procès Chirac pour équilibrer les débats. Quid de nos actions citoyennes en Justice dans l’affaire des sondages de l’Elysée, dans l’affaire Karachi, dans l’affaire des irrégularités de dépenses de communication du gouvernement révélées par la Cour des Comptes ? Quid des informations judiciaires uniquement déclenchées par des constitutions de partie civile de militants d’Anticor pour nombre d’affaires locales que des Procureurs avaient classées sans suite ? Impossibilité également de nous porter partie civile dans le volet financement de parti politique de l’affaire Woerth-Bettencourt si, d’aventure, on assistait à une tentative d’étouffement de cette affaire.

Soulignons que, dans l’exposé des motifs de sa proposition de loi, ce député UMP des Yvelines regrette ouvertement que les plaintes avec constitution de partie civile pour fraude électorale et pour délits de presse n’aient même pas à passer par le filtre du Procureur. Il y stigmatise également les associations « plus ou moins politisées » qui, selon lui, instrumentalisent et détournent l’institution judiciaire, dont le but est de protéger les citoyens, privatisant ainsi purement et simplement l’action publique…

Notons enfin que cette proposition de loi est enregistrée par la Présidence de l’Assemblée nationale dans la semaine qui suit la proposition commune, adressée aux candidats à la Présidentielle (et bientôt proposée pour les législatives), d’Anticor, Transparence International et Sherpa, d’un nouvel article de loi qui autoriserait les associations anticorruption à se porter partie civile dans toute affaire de corruption, ce qui n’est pas le cas actuellement.

En réponse à cette proposition de loi liberticide, « visant à limiter les procédures pénales abusives menées par certaines associations », Anticor se doit d’envisager une proposition de loi « visant à limiter les propositions de loi abusives menées contre certaines associations » !

http://anticor.org/2012/04/30/tentative-datteinte-aux-dro...




Mediapart 2012 - Sarkozy-Kadhafi : le grand soupçon libyen. Et de deux ! Vidéo intégrale !

Reliez les points entre :

1 - l'affaire de financement de la campagne présidentielle de l'imposteur Nicolas SARKOZY par Kadhafi, en 2007,
2 - l'affaire de KARACHI avec Ziad TAKKIEDDINE 
qui a été classée secret défense(c'est bien pratique pour cacher son vrai nom de famille et pour empêcher les magistrats d'aller fouiller dans le dossier et se soustraire à la Justice et au Fisc, ), 
3 - l'affaire Clearstream, et
4 - l'affaire Bettencourt, etc..

Le point commun entre toutes ces affaires est celui qu'il est toujours question d'avoir viré de l'argent sur des comptes à l'étranger, notamment en Suisse ou au Panama ou encore au Luxembourg dans l'affaire Clearstream.

 
Vous comprendrez que pour détourner de l'argent et pour arroser les copains, il était très utile pour Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA de se présenter aux élections présidentielles sous le PSEUDO de Nicolas SARKOZY pour se soustraire à la Justice, aux enquêtes judiciaires, au Fisc, en fraudant de surcroît le Barreau de Paris depuis 1981, et pour cacher le plus longtemps possible, son vrai nom de famille au Peuple Français et aux magistrats, pour pouvoir tranquillement ouvrir des comptes en banque à l'étranger, cette fois-ci sous son vrai nom de famille. Ce qui lui permettra par la suite de récupérer cet argent tranquillement sans être inquiété et sans éveiller les soupçons des magistrats.
 
En effet, quel est le magistrat qui ira chercher des comptes en banque ouverts au nom de Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA, en France et à l'étranger, si les magistrats ignorent son vrai nom de famille ?

Dans l'affaire Clearstream, Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA apparaissait sous les deux noms de Nicolas SARKOZY et de Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA, ce qu'avait soulevé Dominique Villepin et les acteurs du procès qui se tenait auprès du Tribunal Correctionnel de Paris sous la houlette de l'ex-procureur de Paris : Jean-Claude MARIN, le collabo qui a autorisé Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA à se marier dans la clandestinité à l'Elysée pour lui éviter d'avoir à publier les bans du mariage et qui l'a couvert dans l'affaire Clearstream en ne le dénonçant pas comme il aurait dû le faire.

Jean-Claude Marin a obtenu 3 promotions, dont l'attribution de la légion d'honneursa mutation-promotion en qualité de Procureur Général près la Cour de Cassation et de président du Conseil d'administration de l'établissement Public du palais de Justice de Paris pour services rendus au criminel Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA.

En cadeau le fichier : la croisade politique de Jean-Claude MARIN.

Depuis une semaine l'affaire du financement de la campagne présidentielle de 2007, de l'imposteur Nicolas SARKOZY par Mouammar KADHAFI est en train de ressurgir sur le plan judiciaire à la suite de nouvelles révélations qui ont été faites par les journalistes de Médiapart.

Nicolas SARKOZY  a saisi le Procureur de Paris (encore un copain) pour enquête, suite aux révélations faites par Médiapart qui rapporte des preuves du financement par KADHAFI.

Sarkozy-Kadhafi : la preuve du financement

Libye : Nicolas Sarkozy va porter plainte contre le site Mediapart

Sarkozy contre Mediapart: notre communiqué

50 millions pour Sarkozy: l'ancien premier ministre libyen confirme

Sarkozy-Kadhafi : l'’Elysée piégé par ses témoins

Mediapart porte plainte contre Sarkozy pour dénonciation calomnieuse

La plainte de Médiapart qui cite malheureusement Nicolas SARKOZY et non pas Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA

Sarkozy-Kadhafi: les avocats de Mediapart écrivent au procureur de Paris

Les suites de cette affaire nous intéressent au plus haut point car dans notre plainte du 9 février 2012, nous visons les motifs de : Faux en écritures publiques - Usage de faux en écritures publiques et complicités - Escroqueries dirigées contre le Peuple Français - Crimes commis contre la Nation  - Crimes commis contre l'’Humanité - Génocide financier de la France, et nous avons dénoncé au sein de notre mémoire de pièces du 15 mars 2012, le financement de la campagne présidentielle de Nicolas SARKOZY de 2007 par Mouammar KADHAFI.


Déjà plusieurs motifs de complicité de crimes commis contre la Nation et de crimes commis contre l'Humanité sont validés depuis le dépôt de notre plainte et de nos mémoires de pièces des 16 février et 15 mars 2012.



L'affaire relative au financement de la campagne de Nicolas SARKOZY par Mouammar KADHAFI a été évoquée dans notre mémoire de pièces du 15 mars 2012, à partir de la page N° 99.


Complément au mémoire du 16 février 2012 - du 15 mars 2012.pdf

Les récidives du Conseil Constitutionnel de maintenir la candidature de Nicolas SARKOZY aux élections présidentielles commises le 20 mars 2012 et celles commises dans leurs déclaration mensongère du 25 avril 2012


Lettre RAR du 20 mars 2012 - Complicité et récidive du Conseil Constitutionnel.pdf


A présent posez-vous la question de savoir, si Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA n'avait pas intérêt à inventer une révolution arabe en Libye pour faire éliminer physiquement KADHAFI qui détenait les preuves des virements faits sur des comptes en banque étrangers, en Suisse et au Panama ?

Si des virements ont été effectués par KADHAFI sur des comptes ouverts à l'étranger au nom de Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA et autres complices, Mouammar KADHAFI détenait la preuve du nom de famille réél de Nicolas SARKOZY et il a pu exercer un chantage sur lui, en le menaçant de le balancer publiquement.


KADHAFI avait donc les moyens de faire éclater cette affaire sur le plan international, ce qui aurait alerté tous les dirigeants du monde qui ignorent à ce jour, quel est le véritable nom de famille de Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA. Comme par hasard toutes les communications ont été interrompues en Libye pendant que l'OTAN opérait son carnage sur la population libyenne.


Une bonne raison pour faire éliminer physiquement KADHAFI par les services secrets de la CIA et du MOSSAD pour le faire taire définitivement en nous inventant au préalable une révolution du peuple Libyen.


Financement de Sarkozy en 2007 : le fils Kadhafi pourra-t-il dire ce qu'il sait ?

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/01/1342843-financ...


INTERVIEW EXCLUSIVE
Saïf Al-Islam Kadhafi accuse Nicolas Sarkozy

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...



Au fait, c'est qui le dictateur entre les deux ?
KADHAFI ou Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA ?


VIREZ-LE AVEC NOUS, CAR SA PLACE EST EN PRISON ET NON PLUS A LA TETE DE LA FANCE !
 
Une autre remarque sur laquelle vous devriez vous interroger et réfléchir.

Le 20 mars 2012, nous avons publié sur notre site, la plainte déposée le 9 février 2012 auprès du Parquet de Nice, contre Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA et ses complices.

Les avez-vous vus nous attaquer pour dénonciation calomnieuse depuis ?

Pourtant le site est très surveillé depuis que nous avons mené la procédure contre la vaccination criminelle durant les années 2009 et 2010, et les députés et les sénateurs ont reçu copie de notre communiqué par mail le 20 mars 2012. Ils ne sont donc pas censés ignorer l'existence de cette plainte.

Et bien pour l'heure nous n'avons encore rien vu venir !

Nous attendons avec impatience que Naboléon le fasse, il sera bien reçu !

A moins que sa clique de mafieux ne décident d'utiliser des moyens plus expéditifs.

Au cas où, sachez que je ne suis pas suicidaire et que je ne rêve qu'avec votre concours de voir croupir Naboléon en prison !

Mais un accident est si vite arrivé, n'est-ce pas ?


Mediapart 2012 - Sarkozy-Kadhafi : le grand soupçon libyen - L'intégrale

| Par La rédaction de Mediapart
 
De 20h30 à 23 h, Mediapart a diffusé son sixième épisode de Mediapart 2012. Pendant deux heures et demie, nos invités ont discuté avec la rédaction du secret libyen de Sarkozy. Ci-dessus, l'émission dans son intégralité. Ci-dessous, les chapitres avec la liste des participants. L'émission a été animée par Frédéric Bonnaud, journaliste à la radio publique Le Mouv', avec trois débats :

1. Notre enquête au long cours
Avec Fabrice Arfi, journaliste à Mediapart, Karl Laske, journaliste à Mediapart, Thomas Cantaloube, journaliste à Mediapart et Jomode Elie Getty, cofondateur du Conseil national Toubou

2. Le séisme des révolutions arabes
Avec Pierre Puchot, journaliste à Mediapart, Patrick Haimzadeh, ancien diplomate, auteur de Au cœur de la Libye de Kadhafi (Lattès), Hélène Bravin, journaliste, auteur de Kadhafi, vie et mort d'un dictateur (François Bourin) et Héla Yousfi, sociologue à l'université Paris Dauphine

3. L'utilité d'une presse indépendante

Mediapart 2012 : Sarkozy et le grand soupçon libyen, l'intégrale
http://www.dailymotion.com/video/xqlm07_mediapart-2012-sarkozy-et-le-grand-soupcon-libyen-l-integrale_news#from=embed


Mediapart 2012 : Sarkozy et le grand soupçon... par Mediapart


Avec François Bonnet, directeur éditorial de Mediapart, Sophie Dufau, journaliste à Mediapart, coordinatrice de nos livres N'oubliez pas ! et Finissons-en ! (Don Quichotte), Marine Turchi, journaliste à Mediapart et Martine Orange, journaliste à Mediapart