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18/11/2010

Massive manipulation du prix des métaux précieux

Est-ce que cela vous étonne encore ?

Encore faudrait-il aussi que l'or se trouve encore dans les réserves Fédérales aux USA à Fort Knox, et que Sarkozy n'ait pas ruiné la France en vendant son or !

Alors on fait quoi, maintenant ?
On vide nos comptes bancaires le 7 décembre 2010 ?

Le site pour une révolution de l'humanité contre les banques privées !

BANKRUN 2010

http://www.bankrun2010.com/

Le Groupe Facebook

http://www.facebook.com/event.php?eid=101996426533405&...

17 novembre 2010...00:00

Massive manipulation du prix des métaux précieux

Par François Marginean

Image Flickr par digitalmoneyworld, Uncle Kick-Kick et Heaven360

Ceci est une des plus grandes histoires de fraude économique de la décennie. Une autre de plus. Il y a eu Enron, l’affaire Bernard Madoff, la crise des saisies immobilières, l’assouplissement quantitatif et les autres, sans oublier le dollar US qui est manifestement mûr pour une dévaluation catastrophique.

Il s’agit de l’impressionnante fraude et la manipulation qui a lieu dans les marchés des métaux précieux, dont particulièrement l’or et l’argent, par des institutions financières majeures. Une histoire un peu complexe qui sera ici expliquée en termes simples et compréhensibles. C’est d’une importance capitale puisque cette fraude a le potentiel de causer un massif effondrement économique.

Depuis un bon moment déjà, plusieurs observateurs et experts aguerris avaient de sérieux doutes que les prix de l’or et de l’argent étaient vastement manipulés. Cependant, grâce à un témoignage d’un très courageux informateur, la manipulation éclatante des marchés mondiaux des métaux précieux est maintenant exposée publiquement. Elle révèle aux yeux de tous l’incroyable corruption du système financier mondial. La U.S. Commodity Futures Trading Commission (CFTC) est une agence indépendante du gouvernement américain qui est chargée de la régulation des bourses de commerce, où se traitent les matières premières et qui a pour mission de protéger les usagers des marchés ainsi que le public de la fraude, manipulation et pratique abusive.

Mais il se trouve que la Commodities Futures Trading Commission s’est assis sur de solides évidences que l’élite bancaire manipule grossièrement les cours du prix des métaux précieux depuis au moins quelques années. Bien qu’ils aient reçu des informations claires et sérieuses à ce propos, ils n’ont absolument rien fait avec celles-ci. En novembre 2009, Andrew Maguire, un ancien opérateur des marchés de l’argent métallique (trader) de Goldman Sachs, rattaché au bureau de Goldman Sachs à Londres, avait contacté la CFTC pour signaler une manipulation illégale du marché de l’argent par les opérateurs de marché de JPMorgan Chase.

Avant de poursuivre, il est important de comprendre comment le marché des métaux précieux fonctionne. Plus de 95% des transactions de métaux précieux sur les marchés mondiaux sont des échanges de titres en papier et non de métaux physiques en tant que tel. C’est-à-dire que moins de 5% des détenteurs d’or ou d’argent possèdent physiquement ces métaux, sous forme de barres, de pièces de monnaie ou autres, alors que les autres 95% ne détiennent que des titres, des documents attestant qu’ils possèdent une certaine quantité d’or ou d’argent dans les coffres-forts d’une banque quelconque à quelque part. Or, il a maintenant été révélé que la majorité de ces métaux précieux transigés ne sont pas appuyés par de véritables réserves physiques et tangibles. Depuis longtemps, la plupart des gens ont assumé que le London Bullion Market Association (LBMA), le plus vaste marché d’or au monde, possédait suffisamment de réserves réelles pour garantir les «dépôts d’or» pullulant les banques majeures de la LBMA.

Mais ce n’est pas le cas. En fait, les gens commencent à réaliser qu’il existe bien peu d’or réel dans le système de la LBMA. Lorsque les gens pensent qu’ils achètent de «l’or» ou de «l’argent», ils ne font qu’acheter des morceaux de papier attestant qu’ils possèdent ces métaux. Mais est-ce vraiment le cas? Il semble que non. Soutenant cela, Jeffrey Christian de CPM Group a confirmé lors d’audiences publiques de la CFTC que les banques de la LBMA ont effectivement émis cent fois plus de titres d’or qu’il n’existe réellement de lingots d’or physique.

Oups.

Qu’arriverait-il si tout le monde décidait de vendre ou de prendre possession de leur or? Cela pourrait s’avérer être une catastrophe. En même temps, cela pourrait aussi être une arme redoutable entre les mains de la population pour punir et envoyer un puissant message au cartel des banquiers privés qui sont les artisans et les profiteurs de cette crise économique mondiale. De véritables terroristes économiques. Mais on y reviendra plus tard.

Le fait est que, de nos jours, la plupart des transactions sur le London exchange ne sont que du papier contre du papier. Les petits et grands investisseurs le savent, les banques centrales qui sont les plus grands acheteurs nets ces derniers mois sont tout aussi conscients que ce papier ne vaut rien. Alors, on assiste présentement à une nouvelle ruée vers l’or et les autres métaux précieux qui enflamme la planète entière. Les gens achètent ces métaux parce qu’ils sont une vraie commodité, un lieu où traditionnellement les gens se réfugient lorsque l’économie s’effondre ou que le dollar américain chute en valeur. Plus la monnaie fiduciaire perd de sa valeur, plus les gens se précipitent vers ces valeurs sûres, entrainant un effet de domino dangereux. C’est la raison pour laquelle les prix des métaux précieux sont manipulés à la baisse: pour éviter cette course folle vers les portes de sortie et entrainer un effondrement catastrophique des monnaies fiduciaires, dont l’important dollar américain. Cette facette sera abordée plus en détails sous peu.

Pour l’instant, il serait nécessaire de souligner que ce n’est pas vraiment le prix des métaux précieux qui augmentent, mais bien la valeur de la monnaie fiduciaire qui chute. L’inflation est une taxe cachée, car elle est le résultat d’une dépréciation de la monnaie fiduciaire et de la contraction de la masse monétaire. Il faut donner davantage de ces billets de papiers pour acheter les mêmes produits.

Le constat est qu’il y a des milliers de clients autour du globe qui pensent détenir d’énormes dépôts en or et en argent métallique sur lesquels ils paient des frais d’entreposage et pourtant, ces dépôts ne sont qu’imaginaires – la seule chose qu’ils possèdent vraiment est une pile de documents en papier.

Andrew Maguire expliquait cette situation de cette façon: « sur 100 clients qui se présentent, il y en a seulement un qui pourra réellement mettre la main sur son or ou argent. En d’autres mots, il y en a aura 99 qui repartiront les mains vides; et sans de nouveaux fonds arrivant dans les marchés, le seul fait de demander possession de cet or ou argent va créer un défaut de paiement ». (Source)

Qu’est-ce qu’un défaut de paiement? Voici une définition assez claire:

Le défaut de paiement désigne le fait qu’une entreprise ou un pays (NDLA: ou une banque, institution financière) ne soit pas en mesure d’honorer une partie ou la totalité de ses engagements envers un tiers.

Le défaut de paiement de la part d’une entreprise peut entrainer la faillite de celle-ci.

Conséquemment, il est simplement impossible pour la LBMA de remettre tout cet or et argent qu’ils doivent aux propriétaires de ces contrats. Sans doute, cela représente un gigantesque problème. Le pire est que ce type de situation n’est pas sans précédent. Par exemple, Morgan Stanley a dû verser plusieurs millions de dollars en 2007 pour régler les poursuites judiciaires qui les accusaient d’avoir prélevé des frais de stockage auprès de 22 000 clients propriétaires de lingots d’argent qui n’existait pas.

Adrian Douglas, est l’éditeur de MarketForceAnalysis.com et membre du conseil d’administration du Gold Anti-Trust Action Committee (GATA). Il estime qu’il y a jusqu’à 50 000 tonnes d’or inexistant qui aurait été vendu. Ceci, explique-t-il, « est l’équivalent de toutes les réserves minières d’or à travers la planète qui reste à exploiter, ou encore, l’équivalent de 25 ans de production minière d’or». Le système fractionnaire bancaire est donc aussi à l’oeuvre dans les marchés des métaux précieux et cette fraude pourrait totaliser 5 trillions de dollars ($5000 milliards). Soudainement, la fraude de $50 milliards de Madoff parait minuscule.

Adrian Douglas analysait dans cet article les données de la LBMA provenant de leur propre site Internet et il a calculé qu’environ 20 millions d’onces d’or sont échangés à chaque jour. Il cite Paul Mylchreest qui a fait une analyse détaillée de ces données sur les échanges quotidiens d’or sur les marchés de Londres et il en est venu à la conclusion que 2134 tonnes d’or transigeaient par jour. Ce chiffre est énorme puisqu’il c’est 346 fois plus d’or qui est extrait quotidiennement dans le monde.

Et cela, c’est sans parler des faux lingots d’or découvert par des fonctionnaires à Fort Knox, aux États-Unis, qui est censé être l’or du Trésor américain. Des millions de lingots d’or se sont avéré être des faux! Ils contenaient des noyaux de tungstène avec seulement un revêtement externe d’or véritable. Ce phénomène de lingots d’or avec un coeur de tungstène ont fait leur apparition en Allemagne, tel que rapporté par les médias allemands et américains, mais aussi en Chine et en Angleterre. Et que dire de cet or qui rouille en Russie?

Est-ce que quelqu’un essaie de faire peur aux petits investisseurs dans le but de les tenir loin de l’or pour les pousser vers les marchés boursiers, maintenant que nous nous dirigeons vers une autre vague de cette crise économique mondiale?

Manipulation du prix des métaux précieux

William Murphy, le président du Gold Anti-Trust Action Committee (GATA), a été invité à témoigner. GATA a compilé des données sur la manipulation des marchés de l’or et de l’argent pendant un bon moment déjà.

Quand on lui a demandé une preuve solide de la manipulation, Murphy a publié une bombe bien gardée par un informateur qui avait envoyé des courriels à la CFTC en expliquant comment les traders de JPMorgan ont truqué le marché de l’or pour ensuite s’en vanter. Le dénonciateur, un commerçant de Londres de métaux précieux nommé Andrew Maguire, avait des preuves assez accablantes contre le cartel, mais le panel du CFTC était visiblement réticent à en apprendre plus et ne demandait rien d’autre à ce sujet.

Maguire a expliqué à la CFTC la manière dont s’y prenaient les commerçants d’argent chez JPMorgan Chase et leur a révélé qu’ils se vantaient ouvertement de leurs exploits – y compris la façon dont ils envoient un signal à l’avance au marché afin que d’autres négociants puissent réaliser un profit au cours des épisodes de compression des prix.

Les traders sauraient reconnaître ces signaux et faire de l’argent en misant sur la baisse du cours des métaux précieux, aux côtés de JPMorgan Chase. Maguire a expliqué à la CFTC qu’il existe des manipulations systématiques du marché au moment des expirations des contrats, ainsi que lors d’autres moments stratégiques.

Le 3 février dernier, Maguire a envoyé un avertissement deux jours à l’avance par courrier électronique à Eliud Ramirez, qui est le chercheur principal pour la CFTC, à propos d’un événement de manipulation des marchés qui était pour se produire.

Maguire a averti Ramirez que le prix des métaux précieux serait supprimés lors de la publication des données de paie non agricoles, le 5 février. Comme la manipulation des marchés des métaux précieux se déroulerait le 5 février, Maguire envoyé des courriels supplémentaires à Ramirez, lui expliquant exactement la nature de ce qui se passait.

Ce n’était pas seulement le fait que Maguire avait prédit que le prix de l’argent serait forcé à diminuer qui surprend le plus, c’est surtout le niveau de précision qu’il a été en mesure de communiquer à la CFTC qui a été le plus spectaculaire. Il avait averti la CFTC que le prix de l’argent, peu importe l’état du nombre d’emplois, se retrouverait en dessous de $15 l’once. Au cours des deux prochains jours, le prix de l’argent a chuté, partant de $16,17 l’once jusqu’à un creux de $14,62 l’once.

Grâce à l’alerte de Maguire, la CFTC a pu observer un crime se dérouler en temps réel, directement sous leurs yeux.

Alors qu’est-ce que la CFTC a fait à ce sujet?

Rien.

Absolument rien.

Les marchés ont été supprimées par les grandes institutions financières depuis des années, ce qui a créé un « étranglement » potentiel sur les marchés des métaux précieux qui pourrait envoyer le prix de l’or et l’argent dans la stratosphère.

La réalité est qu’il n’y aurait plus d’or dans le monde entier si tous les fonds indiciels cotés (Exchange Traded Funds – ETF) demandaient la livraison physique de leurs avoirs.

En fait, Maguire affirme que l’arnaque des ventes à découvert par les grandes institutions financières se chiffre en milliers de milliards de dollars, ce qui en fait une des plus grandes fraudes financières de l’histoire.

Maguire nomme cela du  « terrorisme financier  » et il accuse les institutions financières impliquées dans cette fraude de «trahison», mettant ainsi la sécurité nationale en péril.

La sécurité nationale est menacée.

Parce que si la véritable ampleur de cette fraude venait qu’à se savoir, elle pourrait provoquer l’effondrement du système financier dans son ensemble.

(Source, traduction par l’auteur)

Voici une entrevue avec Andrew Maguire. Il est aussi possible de consulter ces différentes sources pour complément d’information:

- Andrew Maguire finally exposes systemic fraud by CFTC & JPMorgan

- A London trader walks the CFTC through a silver manipulation in advance

- Media Blackout – Wall Street Journal Hiding Andrew Maguire Revelation Of JP Morgan Chase Gold/Silver Manipulation

- Bill Murphy of GATA Reveals Whistle-Blower in Gold Price Suppression


Une arme redoutable entre les mains de la population

Depuis trop longtemps, les banquiers privés ont fait la loi et sont demeurés insensibles aux aléas économiques de la population. Les financiers et banquiers privés sont maintenant coupables de crimes et de fraudes financières extrêmement graves et finalement, de terrorisme économique. Pourtant, rien ne semble pouvoir les empêcher de continuer et d’éviter la prison à vie.

Il ne reste qu’une guerre à mener – celle qui va opposer l’humanité aux banquiers privés. Beaucoup d’individus commencent à comprendre que le système fractionnaire bancaire est le coeur de leur système frauduleux, mais qu’il est aussi leur talon d’Achille. Cette arme pour s’enrichir sur le dos de la population devenue esclave économique pourrait bien se retourner contre eux, avec des effets dévastateurs. Et cette arme se retrouve maintenant dans les mains de la population mondiale.

Déjà, les Français parlent de retirer massivement leur argent des banques le 7 décembre 2010 et invite le reste du monde à y participer:

StopBanque c’est l’appel au retrait massif d’argent en banque et a la fermeture des comptes secondaires (épargnes) le 7 décembre 2010.
StopBanque c’est 14 000 participants, 61 000 personnes en attentes, première initiative citoyenne spontanée pour se défendre de la corruption médiatique et politique, et de l’esclavage de plus en plus précis que nous impose le grand capital…
StopBanque c’est aussi un écho mondial !!!

Notre démarche est Légale, Pacifique, laïque, non politisée et non syndicalisée.

Parce que visiblement, aujourd’hui, manifester ne sert plus à rien pour se faire entendre de nos élites et que le vrai pouvoir est aux mains des banques internationales,
ALLONS TOUS COMME UN SEUL HOMME RETIRER NOTRE ARGENT DES BANQUES LE 7 DÉCEMBRE 2010 !!!

« Ils sont grands car nous sommes à genoux ! » (Source et voir aussi cette page)

À voir absolument, cette vidéo de Éric Cantona qui propose clairement cette solution pour faire la révolution:

La Révolution se fera en s’attaquant au coeur même du système:
Lors d’une interview pour le Quotidien « PressOcéan » , en marge d’un tournage d’un film à Nante le 8 octobre 2010, le célèbre footballeur Eric Cantona explique clairement une méthode de faire la révolution en s’attaquant directement au moteur du système qui sont les banques.
Ce sera une Révolution sans arme dit-il…

D’après lui, le fait de manifester dans la rue en masse n’est pas assez efficace pour faire bouger les choses… Il nous dévoile sa méthode, écoutez:

Eric Cantona parle de la Révolution selon lui.

«La révolution est très simple à faire. Le système, c’est quoi? Le système tourne autour des banques. Le système est bâti sur le pouvoir des banques. Donc, il peut être détruit par les banques! Au lieu qu’il y ait 3 millions de personnes qui aillent dans la rue, il suffit qu’il y ait 3 millions de gens qui aillent retirer leur argent des banques et les banques s’écroulent, 3 millions, 10 millions de gens… Et là, il y a une vraie menace, une vraie révolution! Pas d’armes, pas de sang, une révolution à la Spaggiari. C’est pas compliqué». Eric Cantona, 44 ans (Source)

Eric Cantona parle de la Révolution

http://www.youtube.com/watch?v=o5pfHZd6NfE&feature=pl...


Max Keiser, a proposé une autre façon d’envoyer un message clair aux banquiers privés en faisant s’écrouler JP Morgan en se procurant tous et chacun une once d’argent métallique ou de prendre physiquement possession de ses avoirs en métaux précieux. Cela est facile, puisque JP Morgan et les autres ont vendu 100 fois plus d’or et d’argent qu’il n’en existe réellement, alors ce ne serait pas long avant qu’ils soient obligés de déclarer faillite. Au prix actuel de l’argent, il n’en couterait qu’environ $26 US pour déclarer la guerre! Ensuite, il n’y aura qu’à regarder les prix des métaux précieux monter en flèche, dont l’or qui pourrait facilement atteindre la barre des $3000, $5000 et peut-être même jusqu’à $8000 l’once d’ici 2015, en plus de voir les banquiers paniquer et faire faillite!

La balle est dans notre camp. À nous de jouer!


La zone euro acte le principe d'une aide à l'Irlande

Et allez, encore un petit coup de perfusion à l'Irlande pour enrichir les Reptiliens (les banquiers privés et les multinationales) et ruiner les peuples européens !

Pourquoi ? Endetter et ruiner tous les pays pour favoriser l'instauration du Nouvel Ordre Mondial à tout prix en faveur des reptiliens et leurs Grands Dieux Annunakis !

C'est bien comme cela que l'on s'accapare la Terre et ses richesses, après avoir détruit les 2/3 de la population mondiale, non ?

La zone euro acte le principe d'une aide à l'Irlande

17/11/10 07:50 par Julien Toyer

BRUXELLES (Reuters) - Le principe d'une aide à l'Irlande afin de venir à bout de ses problèmes budgétaires et financiers a été acté mardi par les ministres des Finances de la zone euro, même si le déclenchement en a été remis à plus tard.

Dublin se refuse toujours à demander formellement le soutien de ses pairs de l'Eurogroupe mais les autorités irlandaises ont accepté de recevoir dès jeudi matin une mission conjointe de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international afin d'étudier un soutien au pays.

La remise des conclusions de cette mission est "une question de jours", a précisé la ministre française de l'Economie, Christine Lagarde, qui a dit que le plan irait au-delà d'une simple aide aux banques irlandaises en détresse.

"Nous nous félicitons de la détermination du gouvernement irlandais à engager une discussion courte et ciblée avec la Commission européenne, la BCE et le FMI afin de déterminer le meilleur moyen d'apporter tout le soutien nécessaire pour faire face aux risques de marché, en particulier concernant le secteur bancaire", a déclaré à la presse le Président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker.

"Nous confirmons que nous agirons qu'en tant qu'Eurogroupe et en tant que 17 membres de l'Eurogroupe sans exception pour préserver la stabilité financière de la zone euro si nécessaire et que nous avons les moyens à disposition pour le faire", a-t-il poursuivi.

Le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, a précisé que la mission conjointe concentrerait ses efforts sur la restructuration du secteur bancaire irlandais, durement touché par la crise et qui a passé les derniers mois sous perfusion de la BCE.

CALENDRIER

Le calendrier d'activation de cette aide, qui reposera sur le Fonds de soutien à la zone euro de 500 milliards d'euros décidé en mai (1), reste cependant incertain.

Si l'Etat irlandais est financé jusqu'à mi-2011 et n'a pas un besoin immédiat de recourir aux marchés financiers, la BCE et un nombre croissant d'Etats membres se sont prononcés au cours des derniers jours pour une anticipation de l'aide afin d'endiguer toute contagion de la défiance à la zone euro.

Mardi soir, c'est le secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, qui s'est joint à ces appels et a dit espérer que les choses aillent le plus vite possible. "Il faut faire en sorte de bouger très, très vite et d'avoir une combinaison de réformes politiques qui aident à résoudre les problèmes de fond avec un soutien financier temporaire pour aider les pays à traverser ces problèmes", a-t-il déclaré.

Christine Lagarde a certes déclaré qu'il s'agirait d'une "affaire de jours plutôt que de six mois" mais le gouvernement irlandais reste contraint par son agenda national.

Le Premier ministre Brian Cowen a prévu de communiquer la semaine prochaine le détail du plan d'économies sur quatre ans qui doit lui permettre de résorber un déficit qui a bondi à 32% cette année sous le poids de l'aide au secteur bancaire, avant de présenter son budget pour 2011 le 7 décembre.

Il doit aussi affronter une élection législative partielle le 25 novembre qui, en cas de défaite, pourrait affaiblir encore sa position au Parlement.

Il pourrait vouloir attendre jusqu'à cette date au moins pour solliciter une aide car celle-ci s'accompagnera immanquablement d'un nouveau plan de réformes structurelles qui pourrait être lui être politiquement coûteux.

HABILLAGE

Dublin redoute notamment que ses partenaires européens lui réclament une hausse de l'impôt sur les sociétés - de 12,5% actuellement et l'un des plus bas en Europe - qui est à la base du miracle irlandais et que les Irlandais eux-mêmes sont prêts à défendre bec et ongles.

Le gouvernement de Brian Cowen souhaite donc présenter le soutien européen comme une aide strictement limitée à son secteur bancaire ne remettant pas en cause la souveraineté du pays pour décider de sa politique fiscale et budgétaire.

A l'issue de la réunion, le ministre irlandais des Finances, Brian Lenihan, s'est d'ailleurs dit prêt à recevoir une aide afin de résoudre les problèmes de son secteur bancaire mais a indiqué qu'une aide financière à son pays "n'était pas inévitable".

Cette interprétation restrictive risque toutefois de faire long feu.

"Il ne faut pas présenter cela comme un plan de soutien aux banques", a déclaré Christine Lagarde. Et plusieurs diplomates de haut rang ont ensuite confirmé qu'il s'agirait d'un plan "beaucoup plus large que le seul secteur bancaire".

Il n'est pas exclu que la Grande-Bretagne, qui ne participe pas au Fonds européen de stabilité financière (FESF) de 440 milliards d'euros mais dont les banques sont fortement exposées à la dette irlandaise, décide d'y participer via des prêts bilatéraux, ont précisé d'autres sources.

L'écart de rendement entre les obligations à dix ans irlandais et le papier équivalent allemand, c'est-à-dire la différence des primes réclamées à l'Irlande et à l'Allemagne pour financer leurs dettes, s'est creusé de 23 points de base, à 585 pdb, sur la journée de mardi, également marquée par une chute de plus de 2% des principales Bourses européennes en raison des inquiétudes concernant l'Irlande et les autres pays dits "périphériques".

(1) Ces 500 milliards d'euros sont constitués du Mécanisme européen de stabilité financière (MESF), qui peut prêter jusqu'à 60 mds, et du Fonds européen de stabilité financière (FESF), doté de l'équivalent de 440 mds en garanties des différents Etats européens.

Julien Toyer, édité par Benoît Van Overstraeten et Henri-Pierre André

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/2010111...

17/11/2010

"Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie et je me moque de qui fait les lois !".

J’entends ici et là resurgir l’article 35 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Comble de l’ironie, cet article fut énoncé six mois après l’exécution du roi Louis XVI. Ce roi qui a aboli la torture, aboli le servage, aboli le péage corporel des juifs d’Alsace, émis l’édit de tolérance des protestants. Bien avant la révolution, il fut le premier monarque à tenter d’instaurer un impôt direct égalitaire en remplacement de la taille inégalitaire. Il était ouvert à l’idée d’une monarchie parlementaire, opposé à la conscription de masse pour les conflits armés, opposé à l’usage d’armes de guerre trop destructrices sur les champs de bataille.

Rappelons qu’en 2010, l’usage de la torture est à nouveau légal dans le cadre de la « lutte anti-terroriste », le servage moderne sous différentes formes existe bel et bien, les impôts inégalitaires, illégaux et anticonstitutionnels foisonnent ici et là dans nos belles démocraties occidentales, pendant que des fonds publics sont accordés par copinage, à des puissants, eux-mêmes exonérés de taxes et impôts par des subtilités fiscales et autres fondations écrans.

Non, contrairement à toutes les sornettes dites sur la révolution française, ce qui fut et demeure révolutionnaire fut le cœur de la monarchie de cette période qui orientait le Royaume vers un régime respectueux du droit des citoyens. C’est sans doute là l’unique raison pour laquelle notre roi fut assassiné. La Rothschild a d’ailleurs toujours affirmé haut et fort que la révolution française était « sa révolution ». Ça a le mérite d’être clair !

La révolution nous fit perdre deux tiers des richesses du pays, mais il faut croire que ce ne fut pas assez. Napoléon rétablit l’esclavage et fit vaciller toutes les couronnes d’Europe. Or, l’or qui permit de lever des millions d’européens en arme finit dans les coffres de la Rothschild. La célèbre phrase de l’Empereur n’a rien d’anodin : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. » La Rothschild finança, en effet, aussi bien Wellington que Napoléon, mais les fonds accordés à ce dernier furent inférieurs à ceux accordés à la coalition. Ainsi, les banquiers purent jouer sur l’issue de la guerre et mettre un terme à l’Empire tout en s’en mettant plein les poches. Nous ne connaîtrons jamais exactement quelles furent les garanties offertes à ces banquiers. Mais une chose est certaine, que l’on soit victorieux ou non dans un conflit, ensuite il faut passer à la caisse et laisser les créanciers gérer les affaires fiscales et politiques du pays d’une manière ou d’une autre…

Waterloo, un véritable Jackpot Comme la plupart des banquiers, les Rothschild disposaient d’un réseau de renseignement. Dès que l’issue du combat à Waterloo fut certaine, un agent partit pour Londres via Ostende. Informé dès le 20 juin dans la matinée, Nathan Rothschild vendit ostensiblement ses titres à la Bourse, laissant croire que Napoléon avait gagné la bataille de Waterloo. Puis après avoir provoqué un krach, il racheta ces mêmes titres au dernier moment, alors que les cours s’étaient effondrés. Le rapport que Wellington rédigea après la bataille n’arriva dans la capitale britannique que le 21 dans la soirée. Une autre manière de s’en mettre plein les poches est d’avoir un service de renseignement bien plus efficace que tous les services de renseignements des états…

Alors que reste-t-il des richesses du Royaume de France après la révolution et l’Empire ? Une peau de chagrin qui mit la France à la merci des banquiers jusqu’à aujourd’hui. Nous n’eûmes pas beaucoup de répit, la guerre de 1870 nous asservit un peu plus. La première guerre mondiale mit à contribution chaque citoyen tenu de remettre son or à l’état pour l’effort de guerre. La seconde guerre mondiale n’arrangeant rien, il fallut attendre 1973 pour que notre souveraineté monétaire nous soit intégralement retirée. Nous devons cette infamie à Georges Pompidou, agent des Rothschild. Dans l’obligation d’emprunter l’argent mis en circulation à des banques privées, nous sommes depuis 1973 rentrés dans une spirale infernale de dette qu’il est, c’est le but, impossible de rembourser. Sur 2000 milliards d’euros de dette, plus de 90% sont les intérêts cumulés imposés par nos créanciers. En clair, que vous votiez ou non, quel que puisse être le parti politique au pouvoir en France, ce sera toujours l’oligarchie financière qui décidera de la politique du pays. Fiscalité, orientation industrielle ou technologique, culture médiatique, politique économique, retraite à 72 ans (programmée), salaire moyen, libertés citoyennes etc… ne dépendent en rien des vœux pieux des partis politiques qui paradent. Si vous avez des doléances sérieuses faites-les à la Rothschild !

Que reste-t-il de la France ? L’état que constituait la France a été dissous, il n’en reste qu’une vague idée, un évanescent souvenir. Il n’y a pas pire esclave que celui qui croit être libre. L’idée de la Révolution française dans l’inconscient collectif français fait de l’ouvrier français le plus performant au monde, le plus productif. Il est bon de savoir que les chaînes de montages usine les plus rapides au monde sont précisément les chaînes françaises. L’idée fantomatique de liberté a du bon pour le productivisme et l’asservissement. Cette liberté de pacotille a été insufflée par les assassins du roi afin que cet idéal fantomatique les servent toujours mieux jusqu’à aujourd’hui. Nous sommes un peuple asservi par l’oligarchie financière qui se croit libre, en référence aux articles constitutionnels d’une révolution conçue par cette même oligarchie. Quelle ironie du sort !

Sans faux semblants, il nous faut voir la réalité en face. Nous sommes des esclaves qui bénéficient de quelques libertés matérielles qui peuvent à tout moment nous être retirées. La paupérisation des peuples européens se fait par des subtilités à marche forcée. L’orientation est indéfectible, les richesses vont aux réseaux intégrés du Nouvel Ordre Mondial, tandis que les dettes sont supportées par l’ensemble des populations. La visée est claire, il s’agit de forger deux classes :

1°) une classe qui a le pouvoir mondial de création monétaire, qui ainsi pilote absolument tout, son idéal étant une monnaie exclusivement électronique qu’il est aisé de truquer à sa guise.

2°) une classe sans aucun pouvoir qui se contente de croire aux idéologies, aux lubies fantomatiques d’une économie s’auto régulant, aux délires de choix politiques possibles, aux illusions du pouvoir législatif, exécutif et judiciaire. « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » Mayer Amshel Rothschild

La nouvelle lutte des classes n’a plus rien à voir avec le marxisme, le communisme, ou l’anticapitalisme, idéologies d’ailleurs intégrées aux réseaux du Nouvel Ordre Mondial. Rappelons que la révolution bolchévique fut financée par le « banquier de la Révolution mondiale ». Il s’agit de Olof Aschberg, de la banque Nya Banken de Stockholm qui servait d’intermédiaire entre les élites de Wall Street, de la City d’un côté, et les dirigeants bolcheviques de l’autre. L’analyse marxiste est désuète et tronquée. La seule véritable lutte des classes existe entre ceux qui ont le pouvoir de créer de la monnaie ex-nihilo et ceux qui n’ont pas ce pouvoir. Or, parmi ceux qui n’en créent pas, il y a des chômeurs, des ouvriers, des cadres, des chefs d’entreprises, des fortunés et des infortunés. Tous sont exposés aux mêmes dangers, celui de perdre leurs biens s’ils en ont et de perdre toute liberté.

Le système est conçu pour vampiriser les revenus, détruire les services publics et faire flamber les impôts jusqu’à une incontournable implosion sociale. Sans doute en viendra-t-on à des prélèvements directement opérés par votre propre banque, destinés au déficit public. Le fisc finira par être privatisé, précisément racheté par les banques chargées de recouvrir la dette. A ce propos, dans une toute dernière interview sur TV5, le Président de la Cour des Comptes, Philippe Séguin, affirmait : « Quand vous payez vos impôts, ce n’est pas la peine de vous consoler en vous disant, ça va servir pour embaucher des gardiens de prison, pour embaucher des infirmières, faire des routes, des stades, que sais-je... Ça partira en priorité au remboursement de la dette ! » Nous faisons face à une dictature financière éclairée qui s’est octroyée le droit de créer de la monnaie ex-nihilo afin de se bâtir un Empire mondial sans partage. Puisque les gouvernements et les politiques de tout poil ont vendu notre souveraineté à des cohortes de banques privées sans vergognes, qui aujourd’hui, peut restituer cette souveraineté, sinon les peuples eux-mêmes ? Par ailleurs, la grande question de notre époque charnière consiste à savoir si nous pouvons raisonnablement laisser 0,2% de la population mondiale voler l’intégralité des richesses planétaires ?

Frédéric Morin juin 2010

Morphéus n°40
http://www.morpheus.fr/spip.php?article143


La dette publique, une affaire rentable pour les Rothschild et leurs serviteurs !

A qui profite le système ? 

Voir le précédent article : Le Génocide Financier de la France ou la Loi Pompidou, Rothschild, Giscard, Chirac, Mitterrand, Sarkozy !

http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/14/ge...

Un interview d’André-Jacques Holbecq par Yves Michel.

« Il faut réduire la dette! ». On crie à la faillite! Tel un père qui demande instamment à ses enfants d’aller ranger leur chambre, notre gouvernement nous dit : « Assez de cette gabegie ! Il est temps de devenir sérieux, remettez vos prétentions sociales au tiroir, l’heure est au travail et aux économies ».

Ce qu’on ne nous dit pas, c’est qu’il y a une quarantaine d’années, l’État français n’était pas endetté, à l’instar de la plupart des autres nations, d’ailleurs. En moins de quarante ans nous avons accumulé une dette colossale qui avoisine les 1200 milliards d’euros ! Pourquoi ? S’est-il produit quelque chose qui a fait que l’on ait soudain besoin de recourir à l’emprunt, alors qu’auparavant on se suffisait à nous-mêmes? Et si tel est le cas, qui en bénéficie vraiment ? Qui émet la monnaie ?

La dette publique, une affaire rentable

http://www.dailymotion.com/video/x6vy8m_la-dette-publique...



14/07/2010

Eric Woerth aurait "bradé" l'hippodrome de Compiègne

Voici comment ils détournent le patrimoine national français au profit de leurs sociétés et de leur amis  ai soi-disant bénéfice de l'Etat Français !

Français réjouissez-vous, nous n'avons affaire qu'à des corrompus !

Petit rappel sur la Société Hippique détenue par la Dame Woerth

Le haras qui rit de Florence Woerth
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2010/07/11/le-haras-qui-rit-de-florence-woerth.html

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Bénéficiaire : une société amie, selon Le Canard enchaîné. Bercy dément.

Des cavaliers dans la forêt de Compiègne AFP
Des cavaliers dans la forêt de Compiègne AFP

Eric Woerth "a bradé" à une société amie l'hippodrome de Compiègne lorsqu'il était au Budget, affirme Le Canard enchaîné du mercredi 14 juillet. Le ministère du Budget a cependant démenti cette information, assurant que la cession "s'est déroulée de manière tout à fait légale et dans l'intérêt de l'Etat".

Selon Le Canard enchaîné, Eric Woerth, six jours avant de quitter le ministère du Budget, "a bradé une parcelle de la forêt de Compiègne avec son hippodrome et son golf à une association amie", la Société des Courses de Compiègne (Oise), jusqu'alors locataire des lieux, pour 2,5 millions d'euros.

Pas d'appel d'offre

"Cette transaction a été conclue de gré à gré sans enchère, ni appel d'offres", ajoute Le Canard enchaîné, qui assure que le président de la Société des Courses de Compiègne, Antoine Gilibert, est un "familier de Chantilly, de son hippodrome et de son maire Eric Woerth".

Eric Woerth, actuellement ministre du Travail, est maire de Chantilly, dans l'Oise, où son épouse a monté une petite écurie de galopeurs.

Interrogé par l'AFP, Bercy a assuré que "la cession de l'hippodrome de Compiègne s'est déroulée de manière tout à fait légale et dans l'intérêt de l'Etat".

D'après le ministère, "le droit forestier et domanial permettent la vente d'une partie d'un domaine public forestier à trois conditions", réunies dans cette transaction : une parcelle de moins 150 hectares, l'absence d'impact écologique et qu'il ne s'agisse pas d'une exploitation forestière.

"Dans le strict respect du droit"

Le quotidien satirique affirme aussi que le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire "s'était battu contre cette vente qu'il jugeait illégale", l'hippodrome appartenant à la forêt de Compiègne.

Sollicité par l'AFP, le ministère de l'Agriculture a expliqué qu'"il y avait bien eu" des échanges entre les ministres Woerth et Le Maire pour la cession de l'hippodrome, et que "ces opérations ont été réalisées dans le strict respect du droit".

Cette vente a été aussi évoquée mardi sur le site de l'hebdomadaire Marianne qui écrit : "Quelques jours avant son transfert au ministère du Travail, en mars 2010, le ministre du Budget organisait la vente de l'hippodrome de Compiègne à des amis d'amis, au prix d'une acrobatie juridique".

(Nouvelobs.com avec AFP)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/201007...

14/02/2010

Fiscalité : un cadeau de 20 milliards aux entreprises sans aucune contrepartie

par Didier Migaud

L’exonération fiscale des plus values sur les cessions de participations, introduite en 2004 sous l’égide de François Copé et de Nicolas Sarkozy, alors respectivement ministre du Budget et de l’Economie, s’est traduite par une perte de revenu de plus de 20 milliards sur les trois dernières années. Le député Didier Migaud, Président de la Commission des finances de l’Assemblée Nationale, a demandé à Bercy quelles étaient les justifications de ce cadeau gigantesque en des temps difficiles. Dans leur réponse conjointe, Eric Woerth et Christine Lagarde conviennent que leurs services n’ont pas été en mesure de mesurer des résultats tangibles, ni en terme d’emploi ni en terme d’installation d’entreprises en France. « Je continue de penser que l’évaluation produite par le Gouvernement ne justifie pas le maintien d’un tel niveau d’exonération, qui s’apparente plutôt à du dumping fiscal, » conclut Didier Migaud. Sans commentaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Didier Migaud, Député Socialiste, Président de la Commission des finances de l’Assemblée Nationale, 8 février 2010

Le projet de loi de finances pour 2010 avait fait apparaître l’explosion du coût de l’exonération des plus-values de cession de titres de participation des entreprises entrée en vigueur en 2007.

Alors qu’il devait initialement être contenu à 1 milliard d’euros, l’impact budgétaire de cette exonération est passé de 3,4 milliards en 2007 à 12,5 milliards en 2008 puis encore 6,1 milliards en 2009, soit un total de 22 milliards de pertes de recettes fiscales en trois ans ! Devant un coût aussi élevé et l’absence d’explication, j’ai sollicité à deux reprises le gouvernement pour obtenir des informations.

Dans un second courrier daté du 5 février et accompagné d’une annexe, les ministres Lagarde et Woerth veulent minimiser l’impact budgétaire et justifier la mesure.

Bercy cherche d’abord à minorer l’impact budgétaire de la mesure en expliquant que le coût est calculé à partir de l’imposition théorique au taux normal. Mais cette objection méthodologique vaut pour toutes les dépenses fiscales, qui sont toutes calculées de la même manière, en référence au taux normal d’imposition. La retenir reviendrait donc à s’interdire tout débat sur la dépense fiscale !

Deuxièmement, Bercy estime que de nombreuses opérations n’auraient pas été réalisées sans cette mesure. On peut en douter d’une part au regard de la conjoncture, qui a été, Bercy le souligne d’ailleurs, favorable à ce type d’opérations ; d’autre part quand on constate que parmi les principales opérations bénéficiaires, figurent des opérations de LBO menées par des fonds d’investissement. Ces opérations, qui impliquent précisément une revente à court terme des parts de sociétés acquises par endettement, auraient de toute façon été soldées. Bercy n’explique d’ailleurs pas pourquoi de très nombreuses opérations de « hedge funds » (fonds d’investissements) ont bénéficié d’une mesure qui ne leur était pas apparemment destinée.

S’agissant de l’évaluation de l’efficacité de la mesure, la réponse reste très lacunaire.

En expliquant qu’il est impossible d’identifier une « délocalisation » ou une « relocalisation », Bercy admet en effet l’impossibilité d’attribuer à cette mesure l’augmentation constatée du nombre de holdings suivies par la Direction des grandes Entreprises (DGE), passé de 1112 en 2007 à 1276 en 2009.

Enfin, Bercy reconnaît qu’il ne lui est pas possible d’apprécier l’impact sur l’emploi de la mesure.

Finalement, je suis tenté de renvoyer au site internet de l’AFII, l’Agence française chargée d’attirer des investisseurs étrangers en France. Cette agence, qui qualifie la France de « véritable paradis fiscal » pour la recherche et l’innovation, vante en effet sans fioritures les mérites de cette exonération de plus-values en parlant de fiscalité attractive.

Je reste convaincu qu’une niche fiscale de cette ampleur aurait dû être votée avec une meilleure information du Parlement quant à son impact budgétaire. Je continue de penser que l’évaluation produite par le Gouvernement ne justifie pas le maintien d’un tel niveau d’exonération, qui s’apparente plutôt à du dumping fiscal.

Je continuerai à soutenir les amendements visant à réduire la portée et l’impact budgétaire de cette mesure.

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2978

18:06 Publié dans Endettement, France, Génocide financier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Nicolas sarkozy réhabilite la chasse présidentielle

Etes-vous contents que votre Président de la République prenne du bon temps sur nos deniers tout en organisant de nouveaux réseaux d'influence ?

Lundi 8 février 2010

Dans votre édito ce matin : les chasses présidentielles.

Oui, les chasses présidentielles. On avait oublié que ça existait. Ou plutôt on pensait que ça ne pouvait plus exister, qu’un président du XXI ème siècle qui avait, je cite…ou plutôt je re-re-recite, faut bien faire le boulot…donc qui avait dit « je veux changer la pratique de la république : plus de simplicité plus de proximité, plus d’authenticité »… on pouvait donc se dire qu’il ne réactiverait pas cette institution caricaturale de notre république aux accents monarchiques qu’est la chasse présidentielle. Elle avait partiellement disparu sous Jacques Chirac qui, sous l’influence moderniste de sa fille Claude, avait supprimé les chasses de Marly et Rambouillet. Restait Chambord, son château, ses 160 hectares de forêts encloses, parfaites pour ce type d’activité couteuse, obscure et anachronique. Vendredi dernier, se tenait à Chambord une chasse présidentielle organisée par le conseiller et ami du président, l’inénarrable Pierre Charon qui vient d’être nommé par Nicolas Sarkozy responsable de la chose avec pour mission d’en faire un objet d’influence et d’entretien de réseaux. Donc vendredi, ça a commencé, comme le veut la tradition, par un petit déjeuner pour les 30 invités et leurs épouses (ou leur maris) et ça s’est terminé (après la partie de chasse) par un diner dans le château. Juste avant ce repas il y aura eu la cérémonie dite « du tableau de chasse ». Pierre Charon a réintroduit le faste qui avait disparu depuis longtemps, c'est-à-dire la présentation du tableau de chasse avec garde républicain en grande tenue et flambeau à la main. Tout le décorum le plus éculé, le plus clinquant le plus monarchique, le plus impérial, le plus déplacé pour ne pas dire le plus obscène est réhabilité. Tout ça bien sûr, dans la confidentialité et l’opacité la plus totale. On ne sait pas combien ça coute. Le contribuable n’a pas le droit de savoir qui est invité. Pas de listes, pas de photos. C’est clinquant, pompeux et dépensier et c’est secret comme une réunion de secte.

Pourquoi ne prenez-vous pas ça pour du folklore, Thomas ? Qu’y a-t-il de si scandaleux ?

Rien de fondamentalement scandaleux, c’est vrai mais simplement révélateur ! Généralement le ridicule ne tue pas, là il dégomme du gibier. Mais si c’était du folklore ce serait public comme c’était d’ailleurs le cas sous les président Auriol et Coty. Ce qui est plus désolant c’est que Pierre Charon assume tout à fait (il le dit dans l’Express de cette semaine) d’en faire un instrument de réseau, de rencontre entre grands du pays. Sont invités des préfets, des ministres, des patrons du Cac 40, des diplomates et des grands flics aussi. On dit que Martin Bouygues, Serge Dassault, l’ancien procureur Yves Bot, le sans doute futur membre du conseil constitutionnel Michel Charasse y ont tirés quelques gibiers récemment. On s’y promet des rosettes, des pistons, des prébendes, des marchés…On y fomente des trahisons, des alliances…après avoir descendu un vieux faisan qui n’avait sans doute jamais volé avant d’être lâché fort opportunément devant les calibres de cette nouvelle noblesse bling-bling. Le but avoué est de créer des « obligés de l’Elysée ». Vous-vous souvenez de vos cours d’histoire ? La nuit du 4 aout, c’était pour abolir le privilège de la chasse réservée aux nobles. Les chasses présidentielles réhabilitées, avec le retour de ce protocole à plumeau, sécurisés par des gendarmes réquisitionnés pour l’occasion, c’est un peu plus qu’anecdotique parce que cela traduit une façon de faire de la politique. La politique des réseaux, des amitiés hauts placées, des mélanges public/privé, grosses fortunes, grosses responsabilités d’Etat. Les chasses présidentielles sont aux antipodes de ce que suggérait la campagne du candidat Sarkozy et tout simplement aux antipodes de notre époque.

http://sites.radiofrance.fr/franceinter/chro/edito/index....

Les chasses présidentielles font jaser
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/les-chasses-pr...

Les chasses présidentielles « ne coûtent rien », selon Charon
http://www.rue89.com/2010/02/09/les-chasses-presidentiell...

11/02/2010

Les chasses présidentielles reprennent du fusil

SCANDALEUX !

Ben voyons ! Faut bien leur payer quelques loisirs sur nos deniers à ces pauvres chéris qui se donnent tant de mal pour nous ruiner et nous imposer leur dictature !

On se croirait revenus au Moyen Age et à la Cour du Roi Pétaud !

Allons-nous les laisser se payer de notre tête encore longtemps ?

 

INFLUENCE

NOUVELOBS.COM | 08.02.2010 | 17:55

Tapisserie du château de Chambord

Tapisserie du château de Chambord AFP

Sur invitation du président, une trentaine de privilégiés sont régulièrement conviés aux "battues de l'Etat", tombées en désuétude sous Chirac.



Un château, des invités triés sur le volet, des armes et du gibier… On se croirait tout droit sorti d'un film en costume. Et pourtant. Vendredi 5 février, c'est le spectacle que l'on pouvait "admirer" dans les jardins du Domaine de Chambord.
Pierre Charon, ami et conseiller du président de la République fraîchement nommé –le 16 décembre dernier- "Président de l'Établissement de Chambord", chargé des chasses présidentielles, remet au goût du jour la tradition monarchique des " battues d'Etat".
Jacques Chirac les avait délaissées, craignant que le faste ne soit montré du doigt et que la chasse provoque un tollé des écologistes.


Cérémonial


Au programme officiel, petit déjeuner, cérémonie du tableau de chasse en grandes pompes entourée de la Garde républicaine et luxueux diner dans la grande salle du Château, pour les 30 invités du président. Officieusement ces rencontres discrètes sont le lieu de tractations, d'accords, de stratégies entre les "VIP de la République". Grands patrons du CAC 40, parlementaires, préfets, ministres, chefs d'Etat étrangers, arpentent les 160 hectares de forets.

Selon un article du Monde, daté du 18 décembre dernier, Martin Bouygues et Albert Frère, l'ancien procureur général près la cour d'appel de Paris Yves Bot, le directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard, et le socialiste Michel Charasse y aurait été vus.


Discrétion et confidences


Pierre Charon explique dans l'Express qu'il "rapporte à Nicolas Sarkozy ce qu'il picore à Chambord". "Les hutus et les tutsi sont là" s'amuse encore le conseiller.

Preuve de l'attrait que génèrent les battues, "des gens qui ne m'adressaient plus la parole me reparlent" confie l'ami du président, lui-même chasseur depuis l'âge de 25 ans.

La consigne est donnée : aucun nom, aucune photo, un cadre idéal pour mettre en confiance les invités.
Rendez-vous est fixé, le 12 février prochain, fusil à la main. Chaque année, une quinzaine de journées de chasse sont offertes au nom du Président de la République à ses invités, pour un budget resté silencieux.

Nouvelobs.com a tenté de joindre Pierre Charon ainsi que la communication du château de Chambord mais nos demandes sont restées sans réponses.

Estelle Gross (nouvelobs.com )

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20100...

 

 

14/11/2009

Génocide financier de la France !

Croyez-vous que Sarkozy qui a préparé le génocide financier de la France et de l'Europe, réviserait les Lois pour permettre au moins à la France de sortir de l'endettement dans lequel il a participé à la plonger ?

Ben non, il vaut mieux nous livrer entre les mains de Rothschild et Rockefeller, et permettre aux Illuminati-reptiliens d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial !

Ensuite il aura encore le culot de nous parler de l'identité nationale !

 

Comment prépare-t-on le génocide financier de la France et de l'Europe ?
Par l'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme et le Nouvel Ordre Mondial

La FED (Fédérale Banque aux USA est une banque privée) constituée de plusieurs cartels bancaires qui appartiennent à Rothschild, Rockefeller, JP Morgan, etc...
Qu'en est-il de la Banque de France chez nous ?
Comment les présidents de la République française qui se sont succédés au Gouvernement ont préparé le génocide financier de la France et de l'Europe au profit des Banquiers Illuminati en préparation de  l'instauration du Nouvel Ordre Mondial ?


Les origines de l'endettement de la France.
Les agents du Nouvel Ordre Mondial en France
Les rôles de Pompidou, de Valery Giscard d'Estaing, de Mitterrand, de Chirac et de Sarkozy
Georges Pompidou et l'endettement de la France

Bilbiographie de Georges Pompidou - Association Georges Pompidou

Georges Pompidou et la Banque Rothschild
En 1953, il quitte la fonction publique pour entrer à la banque Rothschild, dont il devient directeur général en 1956.
1953 : Il entre à la banque de Rothschild
1954 : Il est administrateur de nombreuses sociétés du groupe Rothschild (sauf interruption du 1er juin 1958 au 7 janvier 1959), notamment :
- Société anonyme de gérance et d'armement, 1954-1962,
- Compagnie du chemin de fer du Nord, 1955-1962,
- Société Rateau, 1957-1962,
- Compagnie franco-africaine de recherches pétrolières françaises.
1956-1962 : Directeur général chez Messieurs de Rothschild frères
Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France - Article 25 de la Loi
Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=0...
L'Etat devient un simple citoyen qui s'endette auprès des banques.
Les Étapes de l'évolution de La Monnaie ou les étapes historiques de notre esclavage

 

15 août 1971 : dématérialisation totale de la monnaie. Le président américain Richard Nixon, conseillé par George Shultz (qui sera plus tard le mentor des administrations Bush père et fils), supprime la libre-convertibilité du dollar en or. Ce découplage sera suivi de mesures de dérégulation des marchés permettant des spéculations de plus en plus énormes.

3 janvier 1973 : loi Pompidou-Giscard d'Estaing par laquelle la Banque de France abandonne son rôle de service public. Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à leescompte de la Banque de France. » Dès lors, sous prétexte de lutte anti-inflationniste, le recours au crédit productif public est interdit.

Mars 1973 : régime des changes internationaux flottants. Il n'y a plus de contrepartie métallique à la monnaie émise, seulement de la dette. Les spéculateurs peuvent s'en donner à coeur joie avec des produits financiers dérivés, en particulier sur les taux de change entre monnaies (on parie plusieurs fois sa mise, avec un effet de levier, moyennant des informations obtenues sur les pressions politiques exercées sur telle ou telle devise deEtat).

1987 : Alan Greenspan combat l'effondrement des bourses mondiales par l'émission pratiquement illimitée de monnaie-crédit en faveur des marchés.

1992 : Traité de Maastricht. Prélude à un euro découplé de l'autorité des Etats. Abdication de fait des souverainetés nationales par privation des moyens de les exercer. Son article 104, § 1, « interdit en effet à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, si après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres ; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE, ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »

4 août 1993 : loi Mitterrand-Balladur donnant son indépendance à la Banque de France. Son article 3 lui interdit d'autoriser des découverts ou d'accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publique, de même que l'acquisition de titres de leur dette.

Juin 1997 : Jacques Cheminade et Christophe Lavernhe rédigent Un plan de relance par le crédit productif, ou la nécessaire transformation de la monnaie en capital, expliquant comment les monnaies nationales sont prises en otage par les intérêts financiers depuis le renoncement de 1973 en France et le Traité de Maastricht à l'échelle européenne. Rejet de la proposition d'avances par la banque de France au Trésor public pour un plan de relance économique, faite par un groupe parlementaire français, jugée contraire au Traité de Maastricht et au choix effectué en 1973.

12 mai 1998
: loi Chirac-Jospin, intégrant la Banque de France au Système européen de banques centrales (SEBC) et à la BCE. Le Traité de Maastricht prévoyant déjà que « l'objectif principal du SEBC est de maintenir la stabilité des prix ».

1999 : vote aux Etats-Unis du Gramm-Leach-Bliley Act, qui annule le Glass-Steagall Act voté sous la présidence Roosevelt. Désormais, il n'y a plus de séparation aux Etats-Unis entre banques de dépôt et banques d'affaires, et les banques sont autorisées à fusionner avec des sociétés d'assurance. Chute de la « muraille de feu » prudentielle. L'Europe, elle aussi, déréglemente.

Mai 2005 : rejet par le peuple français du Traité constitutionnel européen qui, dans son article III-181, aurait « constitutionnalisé » l'article 104, § 1 du Traité de Maastricht.

2007-2008 : le Traité de Lisbonne reprend (article 123 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) l'article 104, §1 du Traité de Maastricht. L'objectif est bel et bien d'abandonner la création monétaire aux banques privées, dans un contexte de mondialisation financière sans limites.
L'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme et le Nouvel Ordre Mondial
En complément :
Réforme des statuts de la Banque de France : Les réponses de Valéry Giscard d'Estaing ! Membre de la Trilatérale commission
Les Illuminati, le Nouvel Ordre Mondial et le Conseil des 13 : Comment est constitué le Conseil Général de la Banque de France ?
Le conseil général comprend le gouverneur (1), les sous-gouverneurs (2) et dix conseillers, (10) tous de nationalité française. Un censeur et son suppléant assistent aux séances du conseil général ; ils sont nommés par le ministre de l'économie et des finances.

13 personnes constituent le Conseil Général de la Banque de France. Ce qui correspond au Conseil des 13 druides et au Tribunal de Rothschild.

http://www.scribd.com/doc/19828356/Le-Conseil-Des-13-Et-L...

Pour vérification de la constitution de ce conseil :

Loi n°93-980 du 4 août 1993 relative au statut de la Banque de France et à l'activité et au contrôle des établissements de crédit
Section II : Conseil général de la Banque.
Article 13 (abrogé au 1 janvier 1994) En savoir plus sur cet article...

Le conseil général comprend le gouverneur (1), les sous-gouverneurs (2) et dix conseillers, (10) tous de nationalité française. Un censeur et son suppléant assistent aux séances du conseil général ; ils sont nommés par le ministre de l'économie et des finances.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsess...

Parution au JO
Organigramme de la banque de France

 

Sarkozy veut imposer le Nouvel Ordre Mondial

http://www.dailymotion.com/video/x86i7k_sarkozy-veut-impo...

 





Transcription de la vidéo :

 

2009 peut être l'année de naissance d'un nouveau capitalisme, d'un Nouvel Ordre Mondial. Et j'en appelle à tous les gouvernements : aucun d'entre nous n'en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que font les autres.

 

On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer. Car, à travers le monde, les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes.

 

- Cette crise marquera sans doute pour l'histoire, le commencement véritable du 21ème siècle.

Le moment où tout le monde aura compris qu'il était temps de changer, temps de donner un nouveau visage à la mondialisation, temps de construire un Nouvel Ordre Mondial politique, économique, social assis sur de nouveaux principes et de nouvelles règles.

 

Le sommet mondial pour refonder le capitalisme, c'est l'Europe qui l'a proposé. Le Nouvel Ordre Mondial c'est autour des propositions de l'Europe qu'il se construira. Plus que jamais, l'Europe prend conscience qu'elle a besoin d'un véritable gouvernement économique dont elle vient d'expérimenter ce qu'il pourrait être et l'utilité qu'il pourrait avoir.

 

Ce gouvernement économique, c'est tout naturellement l'Euro-groupe qui doit en être le cadre.

 

Peut ( ? ) arrive ce qui sera l'antidote à la dangereuse tentation du protectionnisme, de l'anticapitalisme, du dirigisme bureaucratique que les désordres actuels vont immanquablement mûrir et le doute grandira si les français ont le sentiment qu'on leur cache quelque chose.

 

- C'est la 1ère fois que je m'exprime au nom de la France à cette tribune.

 

Il s'agit pour moi d'un instant solennel, d'un instant émouvant. C'est un véritable new deal à l'échelle planétaire qui est nécessaire, un new deal écologique et économique. Au nom de la France, j'en appelle à tous les Etats à se réunir pour fonder le Nouvel Ordre Mondial du 21ème siècle sur cette idée forte que les biens communs de l'Humanité doivent être placés sous la responsabilité de l'Humanité toute entière. (C'est-à-dire que les biens communs de l'humanité doivent remis entre les mains de ses grands copains les Banquiers Illuminati : Rothschild, Rockefeller, JP Morgan, La couronne d'Angleterre, etc.…)

 

- Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer.

 

Nicolas Sarkozy