16/12/2021
Stop au massacre ! Arrêtez les injections avec Pfizer ! Référé Suspension du 16/12/2021 thérapies géniques
Stop au massacre !
L'association Réaction19, Présidée par Me Carlo BRUSA, avait initié, le 6 octobre 2021, une procédure en Référé Suspension sur les 4 thérapies géniques par devant le Tribunal Judiciaire de Paris, dont l'audience a été reportée au 16 décembre 2021 à 10 h.
Une note juridique a été mise en ligne sur le site de l'Association Réaction19 afin que les parents et tous ceux qui auront reçu cette injection puissent s'en servir à toute fin utile.
Référé Suspension des 4 thérapies Géniques : Covid-19 : Conseils Juridiques pour les Enfants, les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés
Pfizer n'a jamais été reconnu par une quelconque AMM européenne pour être une société Américaine !
Piquer les adultes et les enfants avec un «vaccin Pfizer» est un acte criminel ! Il n’existe pas de vaccin Pfizer reconnu par une quelconque AMM européenne ! Médecins, pharmaciens et autres arrêtez d’administrer un médicament illégalement commercialisé en France ! Stop au massacre !
Piquer les adultes et les enfants avec un «vaccin Pfizer» est un acte criminel! Il n’existe pas de vaccin Pfizer reconnu par une quelconque AMM européenne! Médecins, pharmaciens et autres arrêtez d’administrer un médicament illégalement commercialisé en France! Stop au massacre ! pic.twitter.com/lsTeEbiZoM
— Brusa Carlo Alberto (@cab2626) December 16, 2021
Télécharger la Note Juridique Pfizer
18:33 Publié dans Arnaques, Mensonges, Banques mondiales, Bilderberg Groupe, Bioterrorisme, Brevets vaccins, Bulletin épidémiologique, Bulletin pharmacovigilance, Conflits d'intérêts, Consentement éclairé du patient, Corruptions vaccins, Passe Sanitaire, Covid-19, Génocide Mondial, Covid19, Association, Réaction19, Crime contre l'humanité, Dépopulation, Surpopulation, Franc-maçonnerie, France, François Asselineau, Frexit, RIP, RIC, Gouvernance Mondiale, Laboratoires pharmaceutiques, Le droit à l'intégrité physique, Nanotechnologie, Oxyde de Graphène, Nouvel Ordre Mondial, Mondialisation, Obligation vaccinale, Puce RFID, Nonopuces, Référé suspension des 4 thérapies géniques, Thérapies Géniques, ARNm, Traité liberticide de Lisbonne, UE, Commission Européenne, Dictature, UPR, Frexit UE, GOPE, Réforme Territoriale, Vaccin ou arme biologique, Victimes de la vaccination | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
02/09/2021
Retrait de l'autorité parentale aux deux parents : Amendement N°CL449 déposé à l'Assemblée Nationale le mardi 20 juillet 2021 qui a été adopté, le 21 juillet 2021
Observez bien comment les manœuvres sont organisées par le Gouvernement et Blanquer pour tromper les parents d'élèves :
1 - « en procédant tout d'abord au retrait de l'autorité parentale aux deux parents.»
2 - « Blanquer en roue libre, il a créé un nouveau fichier clandestin pour l’école pour faire croire aux parents qu'ils sont encore en mesure d'exercer leur autorité parentale pour donner leur accord pour faire vacciner leurs enfants.
Retrait de l'autorité parentale aux deux parents : Amendement N°CL449 déposé à l'Assemblée Nationale le mardi 20 juillet 2021 qui a été adopté, le 21 juillet 2021.
Les médecins auraient reçu des documents de l'état leur faisant interdiction d'établir des certificats de contre-indication vaccinale, aux enfants, ce qui rend "la vaccination obligatoire", tout comme cela était prévu par l’amendement N°CL449 déposé à l'Assemblée Nationale, le mardi 20 juillet 2021 et qui a été adopté, le 21 juillet 2021 et qui stipule :
"Le présent amendement vise à faciliter l'accès au dépistage et à la vaccination aux personnes mineures de 12 ans et plus. Il s'agit d'autoriser ces actes de dépistage ou d'injection du vaccin contre le SARS-CoV-2 sans le recueil préalable du consentement des deux titulaires de l'autorité parentale".
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/438...
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/438...
Témoignages COVID : Sauvez les enfants !
par Qactus
BLANQUER EST EN ROUE LIBRE.
Il a créé un nouveau fichier clandestin pour l'école
Le docteur de Chazournes entendu par les policiers à LA RÉUNION île BOURBON.
05:24 Publié dans Alertes/Dangers, Assemblée Nationale, Bioterrorisme, Boycott vaccination, Brevets vaccins, Conseil constitutionnel maçonnique, Contrôle mondial, Corruptions vaccins, Passe Sanitaire, Covid19, Association, Réaction19, Dépopulation, Surpopulation, Dictature, Enfants et vaccination, Eugénisme, Franc-maçonnerie, Gouvernance Mondiale, Laboratoires pharmaceutiques, Médecins et vaccination, Mobilisation mondiale, Nouvel Ordre Mondial, Mondialisation, OGM, OMS, OMS Escroquerie, Persécutions, Santé et Gouvernements, Tout pour nous tuer, Traçabilité, Traité liberticide de Lisbonne, Vaccin à l'international, Vaccin ou arme biologique, Vaccins, Vos Droits, Vous Défendre | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
09/01/2019
29 mai 2015 : il y a 10 ans, 55% des électeurs votaient non au référendum sur la Constitution européenne
Petit rappel de la trahison dirigée à l'encontre du peuple Français par SARKOZY et HOLLANDE !
IL Y A 10 ANS, 55% DES FRANÇAIS REJETAIENT LA « CONSTITUTION EUROPÉENNE »
Il y a 10 ans jour pour jour, le 29 mai 2005, 55% des électeurs français (54,87% exactement) votaient non au référendum sur le projet de traité dit « de Constitution européenne ».
En ce 10ème anniversaire, il est intéressant – et poignant – de revoir l’annonce faite à la télévision française de cette victoire sans appel du Non et les scènes de liesse qui s’ensuivirent chez les partisans du Non :
Résultats Référendum Constitution Européenne mai 2005
LA MASCARADE DU « TRAITÉ DE LISBONNE »
Comme on le sait, ce Non massif fut ensuite considéré comme nul et non avenu par les dictateurs de la prétendue « construction européenne ».
Nicolas Sarkozy, en pleine connivence avec François Hollande et les principaux dirigeants du PS, du MODEM et de EELV, décidèrent de soutenir et de signer le traité de Lisbonne qui reprend la quasi-intégralité du projet de « Constitution européenne » rejeté par le peuple souverain.
Dans un article du journal Le Monde intitulé « La boîte à outils du traité de Lisbonne » et daté du 26 octobre 2007, Valéry Giscard d’Estaing résuma en effet le traité de Lisbonne en ces termes :
« Les juristes n’ont pas proposé d’innovations. Ils sont partis du texte du traité constitutionnel, dont ils ont fait éclater les éléments, un par un, en les renvoyant, par voie d’amendements aux deux traités existants de Rome (1957) et de Maastricht (1992). Le traité de Lisbonne se présente ainsi comme un catalogue d’amendements aux traités antérieurs. Il est illisible pour les citoyens, qui doivent constamment se reporter aux textes des traités de Rome et de Maastricht, auxquels s’appliquent ces amendements. Voilà pour la forme.
Si l’on en vient maintenant au contenu, le résultat est que les propositions institutionnelles du traité constitutionnel — les seules qui comptaient pour les conventionnels — se retrouvent intégralement dans le traité de Lisbonne, mais dans un ordre différent, et insérés dans les traités antérieurs.(…)
La conclusion vient d’elle-même à l’esprit. Dans le traité de Lisbonne, rédigé exclusivement à partir du projet de traité constitutionnel, les outils sont exactement les mêmes. Seul l’ordre a été changé dans la boîte à outils. La boîte, elle-même, a été redécorée, en utilisant un modèle ancien, qui comporte trois casiers dans lesquels il faut fouiller pour trouver ce que l’on cherche. »
Valéry Giscard d’Estaing – 26 octobre 2007
Cette mascarade ayant été conçue et approuvée par Nicolas Sarkozy et les principaux dirigeants de l’UMP, François Hollande et les principaux dirigeants du PS, du MODEM et de EELV, ceux-ci firent ainsi ratifier ce traité de Lisbonne dans le dos des Français.
La révision de la Constitution française, rendue nécessaire par la ratification de ce traité, fut effectuée par la voie du Congrès, réuni à Versailles, le 4 février 2008.
La ratification du traité lui-même fut ensuite adoptée par la voie parlementaire le 8 février 2008.
Signature du nouveau traité à Lisbonne le 13 décembre 2007 entre les vingt-sept États membres de l’Union européenne.
UNE PROCÉDURE CONSTITUTIONNELLEMENT LICITE, MAIS UNE FORFAITURE POLITIQUE
La procédure utilisée par l’UMP, le PS, le MODEM et EELV pour faire ratifier un traité que le peuple français avait rejeté à 55% n’a pas formellement violé la Constitution française puisque notre Loi fondamentale n’interdit pas, hélas, qu’un texte rejeté par référendum puisse ensuite être adopté par les parlementaires.
Cependant, si la procédure utilisée ne fut pas juridiquement et constitutionnellement illégale, elle constitua une véritable forfaiture d’un point de vue politique et moral.
Depuis le 8 février 2008, les européistes français ont jeté le masque et sont apparus en pleine lumière pour ce qu’ils sont : des collabos de l’empire euro-atlantiste, des apprentis dictateurs qui conduisent la France à la ruine et à la soumission à l’étranger, et cela contre la volonté profonde du peuple français.
Du reste, ils ont décidé de ne plus modifier les traités, sauf contrainte réellement insurmontable, et de tout faire pour ne plus organiser de référendums sur la question européenne.
Depuis le 8 février 2008, la prétendue « construction européenne » a ainsi perdu toute légitimité. Depuis ce jour, la France est devenue un bateau ivre, dirigé par des dictateurs qui osent se présenter comme des démocrates, mais qui violent continûment la volonté populaire, et qui nous conduisent collectivement au désastre.
CONCLUSION : LES EURODICTATEURS SERONT BALAYÉS PAR L’HISTOIRE
Mais, comme le dit la sagesse populaire, ceux qui commettent le Mal « ne l’emportent pas au Paradis ». Il y a une justice immanente.
L’Histoire nous enseigne que les forfaitures politiques et le viol du souhait profond des peuples ne résistent jamais à l’épreuve du temps.
En considérant le vote de 55% des Français comme nul et non avenu, les européistes ont cru triompher…
Ils ont en fait signé l’arrêt de mort inéluctable de la prétendue « construction européenne ».
Car le divorce entre les européistes et le peuple français est désormais irrémédiable et consommé.
Que ce soit dans 1 an, 5 ans ou 20 ans, le projet de « construction européenne » s’effondrera car les peuples ont compris qu’il n’était qu’une tyrannie.
C’est à coup sûr ce qu’enseigneront les historiens d’ici un siècle ou deux, lorsque le tumulte des événements et la fureur des passions auront été dissipés par le flot implacable et majestueux de l’Histoire.
François Asselineau
Démocratie : UE citation de Jean-Claude JUNCKER : "Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens » .
Vous aurez compris qu'il ne peut y avoir que les Dictatures Européenne et Nationale et que les élections présidentielles ne sont qu'une escroquerie dirigée à l'encontre des peuples européens. Ne s'agissant ici que de placer un pion des banksters, de la Commission Européenne et de la BCE qui imposent leurs règles tous les ans, soit les GOPES aux 27 pays de la Communauté Européenne qui doivent s'y tenir sous peine de sanctions économiques et d'endettement des peuples européens et de leur ruine.
Macron a été mis en place par le système financier uniquement pour modifier la Constitution et les lois afin qu'elles puissent s'adapter aux GOPES, et que les besoins des peuples souverains ne sont aucunement leur priorité !
De la démocratie européenne et des démocraties nationales
« Dire qu’un monde nouveau a vu le jour après le scrutin (législatif du 25 janvier, NDLR) n’est pas vrai. Nous respectons le suffrage universel en Grèce, mais la Grèce doit aussi respecter les autres, les opinions publiques et les parlementaires du reste de l’Europe. Des arrangements sont possibles, mais ils n’altéreront pas fondamentalement ce qui est en place » , car « il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens » . Les propos de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne (1) ont choqué : n’est-ce pas la preuve que l’Union non seulement n’est pas une démocratie, mais qu’elle s’oppose frontalement aux démocraties nationales ? Certains, à l’extrême-droite et à l’extrême-gauche, toujours friand de slogans simplificateurs, n’ont pas manqué de dénoncer cette « UERSS », oubliant un peu vite ce qu’était l’horreur du régime impérial soviétique, pour ses citoyens et pour les pays occupés.
Ce que rappelle Jean-Claude Juncker est pourtant une évidence : les États de l’Union sont engagés par les traités qu’ils ont signés (pacta sunt servanda, dit-on en latin) et une nouvelle majorité politique ne peut ni s’en affranchir ni les modifier unilatéralement. C’est une évidence du point de vue du droit international, du droit européen et des droits nationaux. En clair, un État reste lié par ce qu’il a signé, quelle que soit la majorité politique en place. Son action ne peut que s’inscrire dans les limites ainsi tracées. Mais c’est aussi le cas à l’intérieur de nos États : une région française ou un Land allemand ne peut violer la Constitution et les lois de la République. L’action politique est toujours contrainte par le cadre dans lequel elle s’inscrit.
On ne peut même pas dire que les traités européens, notre « constitution » commune, sont plus contraignants que nos ordres juridiques nationaux. Certes, les traités vont très loin dans le détail des compétences partagées, bien plus loin qu’aucune de nos constitutions nationales, tout simplement parce que les États l’ont voulu ainsi afin de se prémunir contre toute « mauvaise » surprise dans l’exercice en commun de compétences souveraines (par exemple, ce degré de précision empêche qu’on vide de son contenu la politique agricole commune). Surtout, la Constitution est loin d’être le seul texte contraignant l’action d’un gouvernement dans l’ordre juridique interne : le corpus législatif et réglementaire ainsi que les juges sont là pour limiter la marge de manœuvre des majorités successives. La gauche l’a appris à ses dépens en 1982, lorsque le Conseil constitutionnel lui a imposé d’indemniser correctement les actionnaires des entreprises nationalisées en se fondant sur des textes datant de 1789 et 1946 (la jurisprudence est exactement au niveau européen). Dans nos démocraties nationales, toute action politique est juridiquement contrainte, tout comme elle est, c’est une évidence, économiquement contrainte. Découvrir aujourd’hui la contrainte européenne est juste une preuve de mauvaise foi.
ON NE SORT PAS DE L’EURO SANS SORTIR DE L’UNION
Si les États modernes ne sont en général pas prêts à accepter qu’une de leur composante prenne son indépendance, cela n’est pas le cas dans l’Union. Chaque État peut parfaitement demander à la quitter et personne ne s’y opposera (depuis le traité de Lisbonne, une procédure est même explicitement prévue). Mais attention, il n’y a pas de moyen terme : soit un pays respecte l’ensemble des traités qu’il a signés, soit il s’en va. C’est notamment le cas des pays qui ont adopté l’euro, comme l’a rappelé Jean-Claude Juncker : « on ne peut pas sortir de l’euro sans sortir de l’Union » . Cela peut se faire très rapidement et, à ce moment-là, le pays dégagé de ses engagements européens pourra mener librement la politique qu’il entend. À ses risques et périls, puisque l’on peut plus difficilement s’exonérer des « lois » de l’économie…
Un pays qui choisirait cette option s’engagerait dans une aventure sans précédent qui comporterait des gros risques. Même l’Allemagne en souffrirait, en dépit de sa bonne santé économique : non seulement sa monnaie serait brutalement surévaluée (le précédent suisse devrait servir de leçon), mais ses relations diplomatiques avec ses voisins se tendraient brutalement, ceux-ci l’accusant d’avoir sabordé le projet européen. Quant à la Grèce, il vaut mieux ne pas y penser vu l’état de son économie (en dehors du tourisme et de l’agriculture, elle ne produit pas grand-chose), vu qu’elle est exclue des marchés et vu sa dépendance totale vis-à-vis de l’Union (notamment, elle reçoit presque 3 % de son PIB en aides régionales chaque année).
Sans aller jusque-là, un État peut demander un changement des traités afin qu’ils soient plus conformes à ses attentes. Mais c’est une procédure longue qui passe par un accord unanime des vingt-huit gouvernements et parlements nationaux (plus des référendums dans plusieurs pays). Il peut aussi essayer de convaincre ses partenaires de changer de politique dans tel ou tel domaine : le vote se faisant à la majorité qualifiée, c’est infiniment plus simple. Cela nécessite donc un lent travail de conviction, comme dans une démocratie interne, mais dans un environnement multiculturel qui impose de connaître les limites de chacun : tous les pays sont légitimes démocratiquement et ils ont des contraintes de politique intérieure. Encore une fois, rien de choquant : c’est la même chose sur le plan intérieur, comme le montre la difficulté à réformer des majorités successives qui gouvernent la France. A chaque niveau de compétence et de pouvoir, ses contraintes juridiques, politiques et économiques.
GREXIT OU COMPROMIS
C’est tout cela que Syriza, le parti de gauche radicale qui a gagné les élections en Grèce, a découvert. Si « le jour a succédé à la nuit », comme le proclamait Jack Lang en 1981, ça n’est vrai qu’en Grèce et, comme Alexis Tsipras, le premier ministre, a renoncé à l’option nucléaire d’un Grexit, il lui a fallu en passer par un compromis douloureux, loin de ses promesses initiales. Il n’a pas eu six mois pour apprendre les subtilités des rouages européens, mais trois semaines, la pression qui pesait et continue à peser sur Athènes étant infiniment plus forte que celle qui pèse sur ses partenaires, puisqu’elle dépend d’eux pour sa survie.
L’affaire grecque permettra peut-être à l’ensemble des responsables politiques de comprendre, avant d’arriver aux affaires, que, dans le domaine des compétences partagées au niveau européen, on ne peut plus promettre autre chose que de s’engager à essayer de convaincre ses partenaires. C’est pourquoi le Front National, qui rejette l’idée même de compromis au niveau européen (l’Europe sera française ou ne sera pas), veut quitter l’Union s’il arrive au pouvoir: les Français devraient donc s’intéresser aux conséquences qu’un tel départ aurait pour leur portefeuille.
(1) entretien publié par le Figaro du 28 janvier
N.B.: article original publié dans L’Hémicycle du mois de février
15:27 Publié dans Actualité politique et géopolitique, Arnaques, Mensonges, Droits de l'Homme, Escroquerie des Français, France, Fraude électorale, Fraude fiscale, Fraudes aux sondages, Traité liberticide de Lisbonne, UPR, Frexit UE, GOPE, Réforme Territoriale | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
25/10/2009
GrippeA/H1N1 : d'autres victimes du vaccin en Europe !
Les deux articles qui suivent sont en traduction Google. Les liens originaux dans le corps de l'article.
Encore une victime du vaccin de chez GSK, en Suède. Un homme d'une cinquantaine d'année est mort d'une crise cardiaque, 12 heures après avoir été vacciné. Une autre femme de 65 ans, retrouvée morte chez elle, deux jours après avoir reçu le vaccin. Et les autorités ont reçu 190 plaintes de personnes qui souffraient d'effets secondaire tels que : douleurs, migraines, fièvre, fatigue, maux d'estomac, mal dans le bras
Décès de porcs Vaccin contre la grippe signalée en Europe
Vaccin contre la grippe mai-être trop forte
Mature, gravement malades peuvent être dissuadés de la vaccination
Deux personnes gravement malades sont mortes après avoir reçu le vaccin contre la grippe porcine.
MPA examine actuellement s'il mai exigent de nouvelles recommandations en garde contre les personnes âgées et les malades à se vacciner.
Deux personnes gravement malades sont mortes après avoir reçu le vaccin contre la grippe. L'un d'eux est un homme de Västernorrland, qui a eu une crise cardiaque. MPA peut pas dire si sa mort est une réaction au vaccin. Une autopsie sera fait pour élucider la cause de la crise cardiaque.
"Il est très difficile à évaluer. Quelqu'un mai considérer qu'il ya une connexion. C'est une chose personnelle comment évaluer », explique Lennart Walden Lind, des médecins à l'AMP.
Une femme poitrinaire sévère à l'âge de 65 ans de la région de Stockholm, a été retrouvé mort deux jours après qu'elle eut reçu la vaccination. L'affaire sera instruite par la MPA.
Devrait personnes gravement malades de ne pas se vacciner?
"Il ya une question légitime, et nous travaillons sur quelque chose d'enquêter. Dans les études cliniques réalisées avant la vaccination, il n'est souvent pas tant de ces rares patients sont représentés. L'expérience de la façon dont ils réagissent viendra plus tard. Nous travaillons en ce moment avec les avertissements de prudence ", a déclaré Lennart Walden Lind.
Le vaccin contre la grippe porcine diffère de la grippe ordinaire par la plupart des soi-disant adjuvants sont plus élevés. Il est l'élément qui déclenche le système immunitaire de la personne qui le reçoit.
"Cela peut expliquer que l'on peut voir les réactions un peu plus fort que sur un vaccin conventionnel. Si vous avez des nombreux facteurs de risque qui permet de se sentir mal par la fièvre résultant comme elle mai être que vous devriez vous abstenir. Il semble d'ailleurs, comme les personnes âgées tombent souvent malades à la grippe. C'est quelque chose que nous étudions et il n'y a pas de calendrier sur le moment où nous connaissons la réponse ", explique Lennart Walden Lind.
.Also Je recommande à cocher Tout le monde dehors
E. site Griffins (l'homme en vedette à l'automne de la République) qui est déjà bien en avance et c'est l'organisation de personnes dans le monde pour contrer le site NWO.The est FREEDOMFORCEINTERNATIONAL.COM great site!
A Budapest, une femme de 64 ans est morte deux jours après avoir reçu le vaccin contre la grippe AH1N1.
Les vaccins ne sont pas adaptés aux enfants et aux femmes enceintes
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Écrit par Robert Hodgson |
Mardi, 20 Octobre 2009 |
A 64-year-old woman décédé la semaine dernière deux jours seulement après avoir reçu une vaccination contre le nouveau A (H1N1) du virus de la grippe surnommé la grippe porcine. Le service d'état médical ÁNTSZ ordonné une autopsie pour déterminer s'il y avait un lien entre le vaccin et le décès de la patiente, qui souffrait d'chronique, mais doux, les maladies cardiaques.
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10:38 Publié dans Baxter : danger vaccination, Communiqués, Dossiers Victimes, Traité liberticide de Lisbonne, Vaccin ou arme biologique, Vaccins, Victimes de la vaccination | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
07/10/2009
Pétition en ligne : Soutenir le Président Tchèque pour bloquer le traité de Lisbonne
Mardi 6 octobre 2009
Vous pouvez apporter votre modeste contribution, au Président Vaclav Klaus en lui faisant savoir que vous le soutenez dans son ultime tentative de bloquer lapplication du traité de Lisbonne en 2010.
Dites une dernière fois : NON au traité de Lisbonne.
Signez la pétition : http://www.petitiononline.com/sptklaus/petition.html
Plus d'explications dans notre article, du 03 octobre 2009 sur les mascarades "ouiouistes"
Référendum irlandais : La mascarade "ouiouiste" continue
http://www.r-p-f.org/IMG/article_PDF/Referendum-Irlandais-La-mascarade-continue.pdf
Source : http://www.r-p-f.org/Referendum-Irlandais-La-mascarade-continue.html
22:28 Publié dans Pétitions, Traité liberticide de Lisbonne | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook