Médias : Dossiers SOS JUSTICE

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05/05/2012

Un reportage sur Sarközy censuré en France. Son rapport avec les journalistes !!

Le dictateur préfère les médias aux ordres et soumis, et un peuple français complètement ignorant de ce qui se passe dans la réalité !

On n'appelle pas ça, la censure et museler la presse ?

Ensuite il aura le culot de venir nous parler de démocratie!

Ecoutez bien ce qu'il dit à 24 mn et 50 secondes !

"Quand on a pas de papiers on a pas vocation à rester dans notre pays !"

Il a raison qu'il dégage dans son pays d'origine, le "sans papiers" pour faire avancer les plans de ses amis !

Le Hongrois, Nicolas SARKOZY inconnu de l'état civil de toutes mairies de Paris, un "sans papiers" qui squatte l'Elysée et qui usurpe les titres de Président de la République et de Chef des Armées qui ose parler de la France comme étant son pays !

Il aime surtout la France pour la détruire et la ruiner, et la mettre entre les mains de ses copains Mondialistes : Les Illuminati, fervents adeptes du Nouvel Ordre Mondial !

Sans compter les journalistes qui sont agressés par les militants de l'UMP ! L'Union des Menteurs Professionnels qui ont le culot de s'identifier au Gaullisme !

 

Un reportage sur Sarközy censuré en France

http://www.bu2z.com/reportage-sarkozy-censure

 

 

 

15/07/2010

Les officines et les fascistes ne sont pas toujours là où l'on croit !

Faut surtout pas que les journalistes d'investigation existent, mais laisser les copains qui sont propriétaires de bon nombre de "merdias" aux ordres du pouvoir, museler l'information au profit des pouvoirs occultes et des plans des Illuminati-reptiliens !

Quand vous aurez compris cela vous aurez tout compris !

Les officines et les fascistes ne sont pas toujours là où on le croit !

Faut bien nous instaurer le Nouvel Ordre Mondial à tout prix en muselant l'information !

Cherchez qui sont les personnes qui sont à la tête des cartels de l'information !


Sarkozy, les journalistes et les "officines"

http://dai.ly/cVKh1g


Woerth : la liberté de la presse se resserre

http://www.dailymotion.com/video/xdz245_woerth-la-liberte...


Affaire Woerth/Bettencourt, une députée UMP souhaite encadrer le journalisme; en Italie, grève du silence contre un projet de loi limitant les écoutes téléphoniques et leur publication... Pour Jean-François Julliard, secrétaire général de Reporter sans Frontières, on assiste, depuis cinq ans, à une dégradation de la liberté de la presse.

Quand on voit qui ils sont et pour qui ils travaillent, dont l'OCDE, nous avons compris qu'ils bossent tous pour les USA !

Affaire Bettencourt : Une députée UMP souhaite encadrer le journalisme ! Ben voyons !

http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2010/07/11/une-deputee-ump-souhaite-encadrer-le-journalisme-ben-voyons.html

Woerth : Une députée UMP veut encadrer le journalisme

http://www.dailymotion.com/video/xdz09d_woerth-une-deputee-veut-encadrer-le_news

La députée UMP Muriel Marland-Militello a déclaré vouloir empêcher qu'une "certaine conception de la presse" devienne "la règle dans les médias français", après "la curée sur Eric Woerth", "orchestrée", selon elle, par le PS. Elle a annoncé le dépôt prochain d'une proposition de résolution "sur la liberté de la presse" et expliquait vendredi 9 juillet sa démarche au micro de Gilbert Chevalier sur France Info.

13/07/2010

Sarko Info - 12 juillet 2010

 

http://www.dailymotion.com/video/xe0ano_sarko-info-12-juillet_news



12/07/2010

Affaire Bettencourt : votre enveloppe estivale !

Votre enveloppe estivale

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Fatalement, dans un pays où le référent journalistique, sous la haute direction déontologique d’Arlette Chabot, s’appelle
David Pujadas, justement récompensé par une laisse d'or brillamment méritée, que des médiums indépendants, Médiapart ou le Canard Enchaîné, se mettent tout à coup à faire leur métier d’informer ne peut que casser l’ambiance.

Pensez donc, au pays même de Jean-Michel Aphatie, grand reporter de l’anecdote politicienne, que des journalistes se laissent aller à l’investigation, ne peut que confiner au « fascisme » (et encore le mot est faible, « nazisme » eut été mieux indiqué ).


Je conçois la stupeur du subtil et nuancé Xavier Bertrand. Quand on a pris l’habitude d’être servi à table par Laurence Ferrari, l’irruption soudaine  de questions  dérangeantes basées sur des recoupements factuels, ne peuvent que révéler une intention perfide et totalitaire assez déstabilisante.


Et ce n’est pas parce qu’à l’heure où je vous parle, de sympathiques collabos, tels que, Val, Hess, Olivennes, Askolovitch …redoutant d’être tondus à la libération, se commandent des perruques à la redoute, qu’il s’agit de céder toutefois à cette lâche déviance du journalisme :


l’information.


Car l’information pour les journalistes, c’est un peu comme l’intérêt général pour un homme politique : une honteuse dérive.


A ce rythme-là, ne manquerait plus que la justice, elle aussi, fasse son travail. Dieu soit loué, on n’en est pas encore là. Tant qu’un magistrat tel que Courroye peut rester juge et partie, être cité dans les écoutes téléphoniques de l’affaire Bettencourt et en charge du dossier (et de tous les dossiers des hauts de Seine) la justice reste dépendante et sous contrôle politique. Marque évidente d’une démocratie digne et équitable.


Et
quand on sait que,
dans le monde des affaires, des joyeuses collusions et autres prévarications politico/économico/patronales, les  condamnations peuvent représenter jusqu'à 0,002% des délits sanctionnés, il est sain et urgent effectivement d’envisager la suppression des juges d’instruction, véritables Khmers rouges du goulag pénal de l’oligarchie opprimée.

Et au-delà des calomnies, ragots, rumeurs qui courent sur internet, alors qu’il est si plaisant de s’adonner à l’intox officielle des grands médias de masse, s’il est une vérité première à rappeler au peuple français :" ce n’est pas de la pourriture dont se nourrit le populisme mais bien de sa dénonciation".


Encore fallait-il, que ce soit dit.


Bref, maintenant, si vous êtes un peu juste pour partir en vacances (et vu ce qui vous attend à la rentrée ce sont sans doute les dernières de votre vie ) je vous suggère d’être méchamment créatif.


Par exemple, allez voir tata Liliane, dites que vous êtes un ami de Nicolas ( celui du bouclier fiscal) vérifiez qu’il n’y a aucun dictaphone sous le sofa, parlez fort et distinctement et demandez lui une enveloppe (modèle craft de préférence) :


paraît qu’elle distribue.


tgb

http://rue-affre.20minutes-blogs.fr/archive/2010/07/07/vo...


11/07/2010

Bettencourt, l'Oréal, les Laboratoires pharmaceutiques : Sanofi-aventis et les pétroliers !

Cherchez l'erreur !

Comment les pétroliers acquièrent les laboratoires pharmaceutiques ?
Où est la recherche scientifique là-dedans ?

Les laboratoires pharmaceutiques sont-ils finalement des instruments de guerres biologiques des politiques pour réprimer, contenir et réduire les populations ? 

Bettencourt et les Laboratoires Sanofi-Aventis !

Faut bien financer les copains politiques pour qu'ils renvoient la balle en créant de toutes pièces des virus dans les laboratoires militaires pour enrichir en contrepartie les laboratoires pharmaceutiques, en leur promettant des milliards d'achat de vaccins payés au profit de l'EPRUS et au détriment de la Sécurité Sociale et du peuple français !

Les laboratoires pharmaceutiques ne seraient-ils pas finalement que des instruments de guerres biologiques et des pompes à fric intermédiaires pour alimenter la recherche du complexe industrialo-militaire, les armes  exotiques, les armes biologiques, les guerres génocidaires et eugénistes, les travaux sur le clonage, les biotechnologies, les nanotechnologies, les pratiques eugénistes et les manipulations génétiques sur l'ADN humain, animal et végétal par les OGM ?

Et vous croyez que l'on travaille toujours pour votre santé ?

Et devinez qui a travaillé ou travaille encore pour le Groupe Pharmaceutique Sanofi-Aventis de la famille Sarkozy  ? François SARKOZY - Pédiatre et frère de Nicolas SARKOZY

Pour les milieux financiers, pas de souci, on a aussi ce qu'il faut à partir des USA avec le Groupe Carlyle administré par un autre frère de Sarkozy : Olivier SARKOZY.

Il est donc urgent d'étouffer l'affaire BETTENCOURT avant que le peuple n'établisse tous les liens !

Et si on regardait la plainte déposée par le Dr. Leonard G. Horowitz, contre la vaccination criminelle du virus de la GrippeA/H1N1 pour voir quel réseau international il dénonçait ?

http://www.dossiers-sos-justice.com/media/01/01/882902538...

Sanofi Aventis

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sanofi_Aventis

Sanofi Aventis est un groupe pharmaceutique français qui a été créé en 2004 suite à l'acquisition par le groupe français Sanofi-Synthélabo du groupe franco-allemand Aventis.

Sanofi-Synthélabo est issue de la fusion de Sanofi et Synthélabo, respectivement filiales pharmaceutiques des groupes Elf (faisant partie aujourd'hui de Total) et L'Oréal. Aventis est le fruit de multiples fusions comprenant des groupes français (Rhône-Poulenc et Roussel Uclaf), allemands (Hoechst), américains (Rorer, Marion) et britanniques (Fisons).

C'est le numéro 1 en France, numéro 1 en Europe et le numéro 5 mondial de l'industrie pharmaceutique pour 2009 (chiffres d'affaires 2008 avec fusions de plusieurs laboratoires)[réf. souhaitée], après Pfizer-Wyeth, Merck & Co.- Schering-Plough, Roche-Genentech et Novartis. En 2009 après intégration du tchèque Zentiva, il est le numéro 11 mondial dans l'industrie pharmaceutique générique[3].

Ce groupe est concentré sur sept axes principaux : cardiovasculaire, thrombose, système nerveux central, oncologie, maladies métaboliques, médecine interne et vaccins. Il est présent sur les cinq continents.

Sommaire

Historique

En 1970, les laboratoires Dausse et Robert & Carrière fusionnent pour donner naissance à Synthélabo, racheté par L'Oréal en 1973. La même année, la Société nationale des pétroles d'Aquitaine crée une filiale dans le secteur de l'hygiène et de la santé qui prend le nom de Sanofi et grossit par l'absorption des laboratoires Labaz et Parcor, et d'entreprises de parfumerie, d'alimentation et de santé animale.

En 1980, Sanofi est introduite en bourse et acquiert le laboratoire Clin Midy, puis Sterling Winthrop à Eastman Kodak en 1994, qui lui ouvre le marché américain.

En 1999, Sanofi et Synthélabo s'unissent pour devenir Sanofi-Synthélabo. Le groupe se recentre sur la pharmaceutique, se délestant des activités luxe, beauté et cosmétiques de Sanofi (les parfums Yves Saint Laurent, Van Cleef and Arpels, Oscar de la Renta, Roger & Gallet, Nina Ricci, Yves Rocher...) et des participations dans diverses sociétés comme les fromages Entremont.

En 2004, Sanofi-Synthélabo acquiert pour 55 milliards d'euros Aventis, issu de la fusion de Rhône-Poulenc Rorer (RPR) et Hoechst-Marion-Roussel, devenant alors le troisième groupe mondial de la pharmacie.

Le 1er décembre 2008 voit l'arrivée de Chris Viehbacher en tant que nouveau directeur général du groupe en remplacement de Gérard Le Fur. Jean-François Dehecq reste président du conseil d'administration, fonction qu'il possède depuis 1988.

Partenariats

  • Accords de commercialisation

Sanofi-Aventis commercialise de nombreux produits en partenariats avec d'autres laboratoires concurrents, en fonction des marchés géographiques. Par exemple Plavix (clopidogrel) est commercialisé par Sanofi-Aventis en Europe (notamment), et par le laboratoire Bristol-Myers-Squibb aux Etats-Unis (notamment).

Sanofi-Aventis possède 50% des co-entreprises Mérial, spécialisé dans la santé animale, et Sanofi Pasteur - MSD, spécialisé dans les vaccins pour l'homme. Ces deux co-entreprises sont menées avec le laboratoire Merck & Co. (aussi appelé Merck Sharp and Dohme, MSD).

  • Filiales

Sanofi-Aventis possède plusieurs laboratoires commercialisant des médicaments sous leur propre nom de marque : Sanofi Pasteur pour les vaccins, ou Winthrop pour les médicaments génériques.

Conseil d'administration

Au 1er décembre 2008[4] :

Actionnariat

Au 31 janvier 2008[5]

Actions (en %) :

  • Public : 74,40 %
  • Total : 12,64 %
  • L'Oreal : 8,65 %
  • Auto-Contrôle : 3,07 %
  • Salariés : 1,24 %

Droits de vote (en %) :

  • Public : 63,75 %
  • Total : 19,55 %
  • L'Oreal : 14,72 %
  • Salariés : 1,98 %

Chiffres clé

Pour 2007[6] :

  • Chiffre d'affaires consolidé : 28 milliards d'euros (2007)
  • Budget de Recherche & Développement : 4,537 milliards d’euros (2007) (Dépenses R&D représentant 16,2 % du chiffre d’affaires)
  • Près de 100 000 collaborateurs

Pour 2008[7]

  • Chiffre d'affaire consolidé : 27,5 milliards d'euros (2008)

Controverses

Sanofi Aventis, ses rapports avec la presse et avec la santé

Dans son édition du mercredi 30 avril 2008, Le Canard enchaîné révélait que la direction du laboratoire, en mars 2008, diffusait au cours d'une réunion du comité d'entreprise de la filiale française un document mentionnant la nécessité de « neutraliser la grande presse »[8]. Le Canard mentionne le nombre de pages de publicité achetés par le groupe dans divers magazine comme moyen de pression et poursuit : « Pour venir à bout des plus récalcitrants, les labos connaissent d'autres remèdes de cheval : "voyages d'études", tous frais payés, au soleil, invitations multiples, cadeaux agréables et autres sévices du même tonneau. [...] les responsables de Sanofi-Aventis jurent, la main sur le coeur, qu'il s'agit là d'une époque révolue et que la destination des voyages de presse est "toujours liée à une activité scientifique". Qu'en termes galants ces choses-là sont dites... »[9]. Mise en cause, une pilule dénommée « Acomplia » censée soigner l'obésité et décriée par la presse. « L'an passé, poursuit le Canard, un comité d'experts de la toute puissante Food and Drug Administration américaine a émis un avis négatif sur la diffusion de ce médicament outre-Atlantique. Ces empêcheurs de prescrire en rond estimaient qu'Acomplia pouvait déclencher des dépressions graves, voire des tentatives de suicides chez certains malades. »[9]. Du coup, c'est un marché estimé à 3 milliards de dollars par an qui passe provisoirement sous le nez de Sanofi-Aventis.

En France, des journaux comme le Parisien, l'Express, ou le Figaro, relayent ces observations et sont accusés par Sanofi-Aventis de faire peur aux patients et aux payeurs (CNAM). « Plus grave, poursuit Hervé Liffran, le nombre de boites d'Acomplia vendues chaque semaine "stagne". La neutralisation des journalistes n'a donc jamais été aussi urgente.... ». Sanofi-Aventis est alors prêt à se mobiliser : « les visiteurs médicaux du labo sont priés de "prendre entre les yeux" (sic) les médecins les plus rétifs pour les persuader de la qualité du produit. » Le Canard poursuit que ce même document se fixait un autre objectif « surprenant » : « augmenter la durée du traitement » des patients. « Rien de tel que la lutte contre l'obésité, conclut le Canard, pour engraisser le chiffre d'affaires... ».

Divers

L'expérimentation animale:

Autre:

  • Acomplia® n'est plus d'actualité du fait de la suspension de commercialisation du produit et de l'arrêt du développement clinique.
  • Les brevets de plusieurs produits importants du groupe sont aujourd'hui contestés devant les tribunaux américains par des laboratoires génériques, en particulier l'Allegra® ou le Lovenox®.
  • Fin 2008, le portefeuille de Recherche et Développement du Groupe comptait 65 projets en développement clinique dont 27 en phase III ou soumis aux autorités de santé[12].
  • Sanofi Aventis répond aux exigences du standard financier MSI 20000.

Notes et références

  1. a et b Profil de la société [archive]
  2. [1] [archive]
  3. La tribune, 25/02/2009 [archive]
  4. Composition du conseil d’administration [archive] - Site de l'entreprise
  5. Sanofi-Aventis - Structure de l'actionnariat [archive]
  6. Sanofi-Aventis Document de référence 2007 - Page 115 [archive]
  7. "Résultats 2008 & Perspectives"document publié sur le site Sanofi-Aventis [archive]
  8. Hervé Liffran, Sanofi-Aventis, géant de la pharmacie, prescrit un remède contre la presse - Priorité du laboratoire : faire taire les journaux qui ont osé critiquer son nouveau médicament., Le Canard enchaîné, mercredi 30 avril 2008, p. 4.
  9. a et b Le Canard enchaîné, mercredi 30 avril 2008, p. 4.
  10. Notamment par Stop Huntingdon Animal Cruelty (voir un compte-rendu d'action en France [archive])
  11. http://www.lefigaro.fr/actualite/2007/09/24/01001-20070924ARTFIG90119-les_militants_antivivisection_sement_la_peur.php [archive]
  12. http://www.sanofi-aventis.com/binaries/Sanofi_RA_FR_tcm29-24842.pdf [archive]

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sanofi_Aventis

 


L'Oréal vend 1,8% de ses parts dans Sanofi

Le 15 novembre 2007 par Rédaction L'Usine Nouvelle
Le numéro un mondial des cosmétiques, L'Oréal, a annoncé son intention de céder 1,8% de ses titres dans le capital du laboratoire français Sanofi-Aventis. Il ramène ainsi sa participation de 10,5% à 8,7%.

La transaction, qui se fait par l'intermédiaire d'un placement privé accéléré auprès d'investisseurs institutionnels, va rapporter au groupe de cosmétiques environ 1,55 milliard d'euros.

« Cette opération s'inscrit dans la démarche de flexibilité de L'Oréal vis-à-vis de cette participation, afin de lui permettre d'optimiser les ressources financières dédiées au financement de son développement et de ses projets stratégiques », a commenté le groupe basé à Clichy (Hauts-de-Seine). Il pourrait céder une autre portion de son capital.

La compagnie pétrolière française Total
, autre actionnaire de référence de Sanofi-Aventis, détenant 13% du capital, a annoncé mercredi vouloir vendre la totalité de sa participation d'ici à 2012.

Des annonces qui font mal. Le champion français de la pharmacie traverse déjà depuis plusieurs mois une mauvaise passe : concurrence des génériques, dont les dépôts de brevets devraient être nombreux d'ici à 2012, rejet par les autorités sanitaires américaines de son médicament anti-obésité l'Acomplia
.

Des rumeurs évoquant le risque d'OPA de la part de fonds ou du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, sur Sanofi-Aventis ont également agité les marchés ces derniers mois.

Camille Harel

Les laboratoires SANOFI AVENTIS

1  - 9 mars 2009 Inauguration des Laboratoires Sanofi-Aventis au Mexique le 9 mars 2009 en présence de M. Nicolas SARKOZY
Ces laboratoires sont spécialisés dans la Grippe A, une heureuse coïncidence !

http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090309_mexico_fl...

2 - 2 avril 2009 - Sanofi-aventis acquiert Laboratorios Kendrick au Mexique
http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090402_kendrick_...

Les affaires fonctionnent bien pour SANOFI-AVENTIS grâce aux efforts soutenus de l'ONU et de l'OMS (Organisation Mortuaire de la Santé)

3 - Le 1er Septembre 2009 : Shantha Biotechnics remporte d’importants contrats de vaccins auprès d’une agence des Nations Unies
http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090901_shantha_f...

4 - Qui a payé les vacances de M. Sarkozy au Mexique ?
Nicolas Sarkozy s’est-il fait inviter par un milliardaire mexicain lors de sa visite au Mexique?
Un homme qui, de plus, traînerait un passé trouble lié au narcotrafic.
http://www.liberation.fr/politiques/0101554905-qui-a-paye...

5 - Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents
à la présidence de la République française

par Thierry Meyssan*

Fiscalité : un cadeau de 20 milliards aux entreprises sans aucune contrepartie
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2010/02/14/fiscalite-un-cadeau-de-20-milliards-aux-entreprises-sans-auc.html

Génocide financier de la France ! SARKOZY ET LES BANQUIERS.
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/14/genocide-financier-de-l.html

FRANCE • Les médias mettent la pression et tant mieux !

FRANCE Les médias mettent la pression

Jour après jour, la presse et les sites d'information ne relâchent pas la pression sur le président Nicolas Sarkozy et le ministre du Travail Eric Woerth. Au risque d'en faire trop ? Le quotidien suisse Le Temps a interviewé journalistes et spécialistes des médias pour décrypter ce "changement de ton des médias".

09.07.2010 |  Angélique Mounier-Kuhn | Le Temps


Dessin de Bertrams (Amsterdam) pour Courrier international.
France - Courrier international

Deux scènes. La première se déroule sous les lambris élyséens, le 8 janvier 2008. Nicolas Sarkozy présente ses vœux à 600 journalistes. Le président, élu huit mois auparavant, tacle les uns et les autres - "votre vie politique a commencé il y a huit mois, avec moi", à une journaliste de France 24 - et incendie Laurent Joffrin. Le directeur de Libération a osé lui demander s'il avait instauré "une forme de pouvoir personnel pour ne pas dire une monarchie élective". "Monsieur Joffrin, un homme comme vous ! Dire une aussi grosse bêtise!", riposte le président. Le parterre de journalistes éclate d'un rire complaisant. Et bien peu confraternel.

Juin 2010, Toronto, le G20 s'achève. Au centre de presse, Nicolas Sarkozy se félicite d'avoir fait valoir les positions françaises auprès de ses pairs. Un journaliste de France 2 pose l'une des premières questions: le chef de l'Etat accorde-t-il encore sa confiance à Eric Woerth, le ministre du Travail cerné par les révélations médiatiques? Hors sujet. Nicolas Sarkozy tempête, sermonne à nouveau la presse et ses méthodes de travail. Cette fois, les journalistes ne rigolent plus. Au contraire, ça persifle à voix basse dans les travées.

2008-2010. On a dit hier que Nicolas Sarkozy avait "la main sur les médias". On a lu qu'il avait "les patrons de presse dans sa poche" et "les journalistes à sa botte". On constate aujourd'hui pourtant que le pilonnage de scoops a déjà éjecté deux secrétaires d'Etat, Alain Joyandet et Christian Blanc, du gouvernement. Et que chaque jour, la République tremble un peu plus. D'après Libération [6 juillet], "Sarkozy perd les commandes". Lundi, il a nommé Rémy Pflimlim, "un profil consensuel" à la présidence de France Télévisions, plutôt que son favori Alexandre Bompard, le jeune patron d'Europe 1, un ancien directeur de cabinet du premier ministre François Fillon "étiqueté UMP". Dans le tohu-bohu actuel, il fallait coûte que coûte écarter tout nouveau "soupçon d'affairisme", affirme le quotidien. "On ne peut pas dire qu'entre Nicolas Sarkozy et les médias, le rapport de force s'est inversé", estime Claude Angeli, le rédacteur en chef du Canard enchaîné, qui revendique la publication de "sept affaires" ces dernières semaines. "Ce qui a changé, c'est le ton, dans les radios et les éditoriaux, poursuit-il. Les jugements sur le président sont plus sévères. On remarque même un certain manque de respect pour la fonction présidentielle. Le politiquement correct a reculé, et les journalistes se lâchent." Et s'ils se lâchent, avance Frédéric Gimello-Mesplomb, maître de conférence à Sciences Po et spécialiste des médias, c'est parce que "depuis deux ans, le pouvoir n'a cessé de soumettre les journalistes à sa communication. Après les excès, nous assistons à un retour de pendule." "Nicolas Sarkozy pensait pouvoir entretenir un rapport direct avec les Français en se servant des médias comme interface. Il a échoué", ajoute Frédéric Maillard, conseiller en communication. Preuve, poursuit le spécialiste, que contrairement à ce qu'ont affirmé ses contempteurs, le chef de l'Etat n'a jamais "verrouillé les médias". "Ou alors, s'il a tenté de le faire, l'effort a été sacrément contre-productif." Même s'il les a probablement fascinés un temps, les journalistes l'ont attaqué dès les premières heures de son élection, sur la fameuse soirée au Fouquet's par exemple.

http://www.courrierinternational.com/article/2010/07/09/l...

 


12/06/2010

Recapitalisation - Sarkozy met la pression sur le patron du Monde

La dictature est belle est bien installée en France grâce à Sarkozy ! C'est ce que l'on appelle le pays des droits de l'homme et de la libre expression ! Cette ingérance de Sarkozy dans tous les milieux est insupportable ! Faut-il que ses amis détiennent absolument tous les médias ?

Publié le 11/06/2010 à 14:28 - Modifié le 11/06/2010 à 20:32 Le Point.fr

INFLUENCE

RECAPITALISATION - Sarkozy met la pression sur le patron du Monde

Par Emmanuel Berretta

RECAPITALISATION - Sarkozy met la pression sur le patron du Monde

Nicolas Sarkozy et Éric Fottorino (à droite), le directeur du Monde © Montage lepoint.fr

Comme nous le révélions mardi, Éric Fottorino vit ces derniers jours, sous la pression de l'Élysée. Nicolas Sarkozy a non seulement téléphoné au directeur du Monde pour s'inquiéter de la reprise du journal par le trio Pigasse-Bergé-Niel, mais il a aussi convoqué Éric Fottorino, lundi dernier, à l'Élysée sur le même sujet. "Je confirme qu'on s'est parlé et qu'on s'est rencontrés", a déclaré Éric Fottorino à l'Agence France-Presse (AFP). Qu'il y ait un regard politique, cela a toujours été depuis 1944 (NDLR : création du Monde), il y a toujours eu un regard du pouvoir, et ça ne va pas changer", a-t-il reconnu.

Nous confirmons que le chef de l'État a bel et bien exercé une pression sur la direction du Monde concernant l'imprimerie, le point noir du dossier de reprise. S'il se confirmait que le trio Pigasse-Bergé-Niel était retenu, Le Monde ne pourrait pas compter sur les aides publiques. Auprès de l'AFP, le directeur du Monde a souhaité "ne pas alimenter une polémique. "Je ne veux pas entrer dans quelque chose en plus qui pourrait laisser penser que je veux favoriser telle ou telle candidature" à la recapitalisation du Monde, a-t-il conclu.

L'intervention de Sarkozy contre-productive

Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre pourquoi Nicolas Sarkozy redoute le trio composé de Matthieu Pigasse, Pierre Bergé et Xavier Niel. Le premier, banquier d'affaires, est un soutien affiché du PS. Le deuxième a toujours été un fidèle compagnon de route de la gauche. Quant à Xavier Niel, sa fortune (qui ne dépend d'aucune commande publique) et son tempérament libertaire le rendent incontrôlable. Par son intervention dans ce dossier, Nicolas Sarkozy pousse, en vérité, la société des rédacteurs du Monde (la seule vraie décisionnaire) à adopter cette candidature de préférence à toutes les autres.

Moins doté financièrement, Claude Perdriel (Nouvel Obs) - dont l'indépendance ne peut être soupçonnée - est en passe de signer un deal avec Orange afin de compléter son offre, lundi. Or, Stéphane Richard, le patron d'Orange - un proche du chef de l'État - a été actionné par l'Élysée... Ce qui discrédite beaucoup à la fois la candidature de Perdriel et le statut d'Orange (dont l'État possède encore 26,4 %). Stéphane Richard vise la pépite que représente Le Monde interactif (la filiale Internet du groupe). Problème : Arnaud Lagardère, qui en possède 34 %, n'a aucunement envie d'en être délogé ... Le groupe Lagardère prétend même faire échec à la montée en puissance du Nouvel Observateur dans le capital du Monde, en raison d'une clause d'agrément , dont lepoint.fr précisait, hier, les termes exacts.

La date limite des offres repoussée de 10 jours.

L'offre de l'Espagnol Prisa paraît, quant à elle, peu crédible. D'une part, le groupe est tombé entre les mains d'un fonds américain (Liberty Acquisition). On ne voit pas bien la rédaction du Monde voter pour un fonds provenant de la bannière étoilée... D'autre part, Prisa croule sous une dette de près de 5 milliards d'euros, de très loin supérieure à celle déjà écrasante du Monde.

Le Conseil de surveillance a accepté, néanmoins, de repousser le bouclage final de la recapitalisation de dix jours. Ce sera donc le 24 juin pour une mise en oeuvre effective au 28 juin, sachant que Le Monde, sans repreneur, serait déclaré en cessation de paiement le 10 juillet.

 

http://www.lepoint.fr/actualites-medias/2010-06-11/influe...

02/06/2010

Anonymat des blogueurs : le web se mobilise

Il faut bien nous réduire au silence, n'est-ce pas ?

Concrètement, ce texte aurait pour conséquence d'aligner les blogueurs non professionnels sur les éditeurs de sites professionnels. AFP
Concrètement, ce texte aurait pour conséquence d'aligner les blogueurs non professionnels sur les éditeurs de sites professionnels. AFP

Un appel a été lancé contre une proposition de loi visant à mettre fin à l'anonymat des blogueurs non professionnels.

Plusieurs acteurs de l'internet français ont publié, mercredi 26 mai, un appel accompagné d'une pétition contre une proposition de loi visant à mettre fin à la possibilité pour les blogueurs non professionnels de rester anonymes.

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"Il s'agirait de leur imposer la publication de leur nom, de leur adresse, de leur adresse mail et même de leur téléphone", dénoncent les signataires de l'appel, parmi lesquels figurent Tristant Nitot, président de Mozilla Europe, Philippe Pinault fondateur de la plateforme de blogs Blogspirit, Frédéric Montagnon d'Over-blog ou encore Philippe Aigrain de l'association d'internautes La Quadrature du Net et Jean-François Julliard, secrétaire-général de Reporters sans frontières.

Leur texte affirme qu'"une telle loi porterait atteinte à la liberté d'expression sur Internet". Selon les signataires, "les blogueurs qui choisissent l'anonymat le font pour des raisons liées à leur vie professionnelle ou personnelle. Sans cet anonymat, beaucoup arrêteraient de bloguer". Le texte appelle "les députés et sénateurs à refuser cette proposition de loi, qui contrairement à ce que prétendent ses auteurs, n'apporterait rien en ce qui concerne la protection contre la diffamation, déjà efficacement assurée par la loi actuelle".


Le dispositif prévu par la LCEN

Le texte de loi en question a été déposé par le sénateur Jean-Louis Masson dans le but de à "faciliter l'identification des éditeurs de sites de communication en ligne et en particuliers des 'blogueurs' professionnels et non professionnels". Concrètement, ce texte aurait pour conséquence d'aligner les blogueurs non professionnels sur les éditeurs de sites professionnels.

Actuellement, la responsabilité des blogueurs est régi par la loi sur la confiance en l'économie numérique (LCEN) qui prévoit, dans son article 6, le droit pour les "non professionnels" à protéger leur anonymat. En effet, sous le régime actuel, les "personnes éditant à titre non professionnel un service de communication au public en ligne peuvent ne tenir à la disposition du public, pour préserver leur anonymat, que le nom, la dénomination ou la raison sociale et l'adresse (de leur hébergeur) sous réserve de lui avoir communiqué les éléments d'identification personnelle".

Ce droit à l'anonymat est bien entendu limité en cas de contenu illicite et l'hébergeur a l'obligation de révéler l'identité du blogueur sur demande de la justice.

Un dispositif cependant insuffisant pour Jean-Louis Masson qui s'inquiète de la multiplication des "propos inexacts, mensongers ou diffamations qui sont, hélas, de plus en plus souvent colportés sur la toile". En obligeant les blogueurs non-professionnels à dévoiler leur identité et de donner leur adresse électronique, le sénateur espère ainsi "faciliter l'exercice concret du droit de réponse des personnes nommément mises en cause par des auteurs anonymes". Pourtant, actuellement, la loi prévoit pour les personnes souhaitant exercer un droit de réponse la possibilité de le faire dans les commentaires de l'article incriminé. Donc sans avoir besoin d'identifier l'auteur.

(Nouvelobs.com)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/vu-sur-le-web/20...

Anonymat des blogueurs : quand le sénateur cachait son identité

Jean-Louis Masson crée la polémique depuis plusieurs jours, pour avoir proposé une loi mettant fin à l'anonymat des blogueurs. Un anonymat qui lui a pourtant été très utile il y a quelques années.

Jean-Louis Masson (AFP)
Jean-Louis Masson (AFP)

Jean-Louis Masson, sénateur non-inscrit de Moselle, est devenu en quelques jours une véritable célébrité sur le web, s'attirant les foudres de la "toile". La raison ? Le sénateur  a déposé le 3 mai dernier une proposition de loi visant à mettre fin à la possibilité pour les blogueurs non professionnels de rester anonymes.

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Le sénateur s'inquiète, notamment, de la multiplication des "propos inexacts, mensongers ou diffamations qui sont, hélas, de plus en plus souvent colportés", selon lui, sur Internet.

Le web s'est depuis mobilisé contre la mesure, et plusieurs acteurs de l'Internet français ont publié, mercredi 26 mai, un appel accompagné d'une pétition contre la proposition.

Plus encore, le passé sulfureux du désormais "fameux" sénateur de Moselle refait surface. Car l'homme, souvent présenté comme procédurier, a un passé plutôt lourd concernant l'anonymat.


Un an d'inéligibilité

La première affaire le concernant remonte à 1983. Jean-Louis Masson est alors candidat aux élections municipales de Metz face au maire sortant de centre-droit, Jean-Marie Rausch. Durant la campagne, il se dit victime de tracts diffamatoires et anonymes. Or en réalité, comme le révèle en 2000 l'Express, ces attaques venaient… de lui-même. Jean-Louis Masson aurait tenté par cette manoeuvre de discréditer son adversaire, en lui faisant porter la responsabilité du tract. Découvert, il sera alors obligé de retirer sa liste.

Deuxième affaire, plus récente celle-ci. En décembre 1997, un arrêt du Conseil Constitutionnel destitue Jean-Louis Masson de ses fonctions et le condamne à un an d'inéligibilité alors qu'il vient d'être réélu comme député de la 3ème circonscription de la Moselle.

Sa faute ? Avoir financé la campagne d'un candidat, Gabriel Crippa, présenté pourtant contre lui. Il s'avérera que l'objectif réel de Gabriel Crippa était de pilonner la véritable adversaire de Jean-Louis Masson, Nathalie Griesbeck, soutenue par... Jean-Marie Rausch, encore maire de Metz.

Deux affaires qui viennent donner un tout autre éclairage à la polémique lancée par le sénateur de Moselle.


(Stéphanie Hancq, Nouvelobs.com)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/201005...

 

 

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21/05/2010

La presse raille Sarkozy

Quand Sarkozy taxe les pauvres pour donner aux riches.

Sommet social: la presse raille Sarkozy, «l'austère qui se cache»

Créé le 11.05.10 à 09h57
Nicolas Sarkozy, François Fillon, et Christine Lagarde, lors du sommet social à l'Elysée, le 10 mai 2010.
Nicolas Sarkozy, François Fillon, et Christine Lagarde, lors du sommet social à l'Elysée, le 10 mai 2010./CHISTOPHE ENA/AP/SIPA

REVUE DE PRESSE - Après le sommet social de lundi, la presse dénonce un plan de rigueur qui ne s'assume pas. Certains pointent même le maintien par le gouvernement de mesures coûteuses et peu efficaces pour relancer l'économie...

Ce mardi matin, après le sommet social de la veile, dans la grande majorité des éditoriaux en France, l'heure est à la moquerie. La presse raille ouvertement du double langage de Nicolas Sarkozy, qui refuse de parler de rigueur. Ainsi, dans Libération, François Sergent dénonce «la France et son gouvernement, qui jouent avec les mots», alors que l'agenda est à «la rigueur et à l'austérité pour tous» en Europe.

François Martin critique pour sa part dans Le Midi Libre un Nicolas Sarkozy qui «a sorti son habit de funambule. Glissant sur le fil tendu entre promesses et attentes».

Jeux avec les mots

Hervé Cannet, dans La Nouvelle République du Centre ouest, critique, note qu'«En France, il n'est pas question de prononcer le mot "rigueur". Tabou. Verboten.» Et rappelle, moqueur, que «la bonne formule est: "politique responsable"».

Dans Le Progrès, Francis Brochet dénonce en «Nicolas Sarkozy l'austère qui se cache». Un leurre pour l'éditorialiste: «C'est vrai, notre Président n'augmente pas les impôts: il se contente de supprimer des baisses d'impôts et des exonérations de charges. Cela n'a évidemment rien à voir - sauf peut-être pour le contribuable, peu en capacité d'apprécier ces subtilités d'inspecteur des Finances.» Et de railler: «Le seul souci, c'est que si notre Président se résout à prononcer un jour le mot "rigueur", il faudra alors vraiment craindre le pire.»

Les mesures conservées, coûteuses et peu efficaces

Pour Patrick Fluckiger, dans L'Alsace, l'incompréhensible ne se situe pas tant au niveau sémantique qu'au niveau politique. Dans un contexte de rigueur budgétaire pour tous les pays de la zone euro, «on comprend d'autant moins que le gouvernement s'accroche, envers et malgré tout, à des mesures dont l'abolition ferait la quasi-unanimité dans le monde syndical», écrit-il. Et de citer la défiscalisation des heures supplémentaires, qui coûte plus de 4 milliards par an à l'Etat ou la loi Tepa «qui n'a pas aidé le patient français à se relever, tout en lui coûtant très cher». «Voilà un médicament dont le malade pourrait se passer», conclut-il.

Dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Olivier Picard lui aussi appuie-là où ça fait mal: «La multiplication des ministères et secrétariats d'Etat, les déplacements en avions privés à 116.000 euros le voyage, les gaspillages des campagnes de vaccination mal préparées, il faudra oublier». Ne dit-on pas que charité bien ordonnée commence par soi-même?

B.D.

15:01 Publié dans Médias, Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

14/10/2009

GrippeA | H1N1 | Sos-Justice.com | Aidez-nous à Dévoiler la Vérité !

Communiqué de Sos Justice & Droits de l'Homme

GrippeA | H1N1 | Sos-Justice.com
Aidez-nous à Dévoiler la Vérité !

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