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A noter que c’est Charles de Gaulle qui a pour une certaine partie contribué à renflouer le stock d’or de la France en l’échangeant contre des dollars.
Ce président, dernier vrai patriote au pouvoir, pensait à l’avenir de son pays et était soucieux de l’avenir de ses enfants.
Il a en prime le suprême culot d'insulter la mémoire du Général de Gaulle, en revendiquant être son digne représentant !
Au fait qui a financé et organisé le complot contre le Général de Gaulle pour provoquer son retrait de la vie politique française ? Ceux qui ont savamment organisé mai 68 et ceux qui travaillaient pour la famille Rothshild ?
D'où sortait ce parfait inconnu "étudiant" qui a mené cette révolte, dénommé Daniel Cohn-Bendit, de Nationalité Allemande de surcroît, et par qui a été financé son mouvement contestaire de Mai 68 ? Cherchez l'erreur !On voit clairement que la CIA et la famille Rothschild étaient derrière ce complot !
Qui a pris le pouvoir à la suite du Général de Gaulle ? Son conseiller et VRP des frères Rothschild : Pompidou ! Il s'est vite empressé avec ses complices de nous imposer la Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France.
Charles de Gaulle et sa vision sur la place de l’or dans le système monétaire mondial – 1/2
Conférence de Presse du Général de Gaulle, Palais de l’Elysée, 4 Février 1965
Question – M. le Président, en changeant en or une partie de ses avoirs en dollars, la France a provoqué certaines réactions qui ont fait apparaître les défauts du système monétaire actuel. Etes-vous partisan de réformer ce système, et, si oui, comment ?
Réponse (De Gaulle) – Je vais tâcher d’expliquer ma pensée sur ces points, A mesure que les États de l’Europe occidentale, décimés et ruinés par les guerres, recouvrent leur substance, la situation relative qui avait été la leur par suite de leur affaiblissement apparaît comme inadéquate, voire abusive et dangereuse. Rien, d’ailleurs, dans cette constatation n’implique de leur part et, notamment, de celle de la France quoi que ce soit d’inamical à l’égard d’autres pays, en particulier de l’Amérique. Car, le fait que ces États veuillent, chaque jour davantage, agir par eux-mêmes dans tout domaine des relations internationales procède simplement du mouvement naturel des choses. Il en est ainsi pour ce qui est des rapports monétaires pratiqués dans le monde depuis que les épreuves subies par l’Europe lui firent perdre l’équilibre. Je veux parler – qui ne le comprend? – du système apparu au lendemain de la Première Guerre et qui s’est établi à la suite de la Seconde.
On sait que ce système avait, à partir de la Conférence de Gênes, en 1922, attribué à deux monnaies, la livre et le dollar, le privilège d’être tenues automatiquement comme équivalentes à l’or pour tous paiements extérieurs, tandis que les autres ne l’étaient pas. Par la suite, la livre ayant été dévaluée en 1931 et le dollar en 1933, cet insigne avantage avait pu sembler compromis. Mais l’Amérique surmontait sa grande crise. Après quoi, la Deuxième Guerre mondiale ruinait les monnaies de l’Europe en y déchaînant l’inflation. Comme presque tontes les réserves d’or du monde se trouvaient alors détenues par les États-Unis, lesquels, en tant que fournisseurs de l’univers, avaient pu conserver sa valeur à leur propre monnaie, il pouvait paraître naturel que les autres Etats fissent entrer indistinctement des dollars ou de l’or dans leurs réserves de change et que les balances extérieures des paiements s’établissent par transferts de crédits ou de signes monétaires américains aussi bien que de métal précieux. D’autant plus que l’Amérique n’éprouvait aucun embarras à régler ses dettes en or si cela lui était demandé. Ce système monétaire international, ce « Gold Exchange Standard », a été par conséquent admis pratiquement depuis lors.
Cependant, il ne paraît plus aujourd’hui aussi conforme aux réalités et, du coup, présente des inconvénients qui vont en s’alourdissant. Comme le problème peut être considéré dans les conditions voulues de sérénité et d’objectivité – car la conjoncture actuelle ne comporte rien qui soit, ni très pressant, ni très alarmant – c’est le moment de le faire.
Les conditions qui ont pu, naguère, susciter le « Gold Exchange Standard » se sont modifiées, en effet. Les monnaies des Etats de l’Europe occidentale sont aujourd’hui restaurées, à tel point que le total des réserves d’or des Six équivaut aujourd’hui à celui des Américains. Il le dépasserait même si les Six décidaient de transformer en métal précieux tous les dollars qu’ils ont à leur compte. C’est dire que la convention qui attribue au dollar une valeur transcendante comme monnaie internationale ne repose plus sur sa base initiale, savoir la possession par l’Amérique de la plus grande partie de l’or du monde. Mais, en outre, le fait que de nombreux Etats acceptent, par principe, des dollars au même titre que de l’or pour compenser, le cas échéant, les déficits que présente, à leur profit, la balance américaine des paiement, amène les États-Unis à s’endetter gratuitement vis-à-vis de l’étranger. En effet, ce qu’ils lui doivent, ils le lui paient, tout au moins en partie, avec des dollars qu’il ne tient qu’à eux d’émettre, au lieu de les leur payer totalement avec de l’or, dont la valeur est réelle, qu’on ne possède que pour l’avoir gagné et qu’on ne peut transférer à d’autres sans risque et sans sacrifice.
Cette facilité unilatérale qui est attribuée à l’Amérique contribue à faire s’estomper l’idée que le dollar est un signe impartial et international des échanges, alors qu’il est un moyen de crédit approprié à un Etat.
Évidemment, il y a d’autres conséquences à cette situation.
Il y a en particulier le fait que les Etats-Unis, faute d’avoir à régler nécessairement en or, tout au moins totalement, leurs différences négatives de paiements suivant la règle d’autrefois qui contraignait les États à prendre, parfois avec rigueur, les mesures voulues pour remédier à leur déséquilibre, subissent, d’année en année, une balance déficitaire. Non point que le total de leurs échanges commerciaux soit en leur défaveur. Bien au contraire! Leurs exportations de matières dépassent toujours leurs importations. Mais c’est aussi le cas pour les dollars, dont les sorties l’emportent toujours sur les rentrées. Autrement dit, il se crée en Amérique, par le moyen de ce qu’il faut bien appeler l’inflation, des capitaux, qui, sous forme de prêts en dollars accordés à des Etats ou à des particuliers, sont exportés au dehors. Comme, aux États-Unis même, l’accroissement de la circulation fiduciaire qui en résulte par contre-coup rend moins rémunérateurs les placements à l’intérieur, il apparaît chez eux une propension croissante à investir à l’étranger. De là, pour certains pays, une sorte d’expropriation de telles ou telles de leurs entreprises.
Assurément, une telle pratique a grandement facilité et favorise encore, dans une certaine mesure, l’aide multiple et considérable que les États-Unis fournissent à de nombreux pays en vue de leur développement et dont, en d’autres temps, nous avons nous-mêmes largement bénéficie. Mais les circonstances sont telles aujourd’hui qu’on peut même se demander jusqu’ou irait le trouble si les États qui détiennent des dollars en venaient, tôt ou tard, à vouloir les convertir en or? Lors même, d’ailleurs, qu’un mouvement aussi général ne se produirait jamais, le fait est qu’il existe un déséquilibre en quelque sorte fondamental. Pour toutes ces raisons, la France préconise que le système soit changé. On sait qu’elle l’a fait, notamment, lors de la Conférence monétaire de Tokyo. Étant donné la secousse universelle qu’une crise survenant dans ce domaine entraînerait probablement, nous avons en effet toutes raisons de souhaiter que soient pris, à temps, les moyens de l’éviter. Nous tenons donc pour nécessaire que les échanges internationaux s’établissent, comme c’était le cas avant les grands malheurs du monde, sur une base monétaire indiscutable et qui ne porte la marque d’aucun pays en particulier.
Quelle base ? En vérité, on ne voit pas qu’à cet égard il puisse y avoir de critère, d’étalon, autres que l’or. Eh ! oui, l’or, qui ne change pas de nature, qui se met, indifféremment, en barres, en lingots ou en pièces, qui n’a pas de nationalité, qui est tenu, éternellement et universellement, comme la valeur inaltérable et fiduciaire par excellence. D’ailleurs, en dépit de tout ce qui a pu s’imaginer, se dire, s’ écrire, se faire, à mesure d’immenses événements, c’est un fait qu’encore aujourd’hui aucune monnaie ne compte, sinon par relation directe ou indirecte, réelle ou supposée, avec l’or. Sans doute, ne peut-on songer à imposer à chaque pays la manière dont il doit se conduire à l’intérieur de lui-même. Mais la loi suprême, la règle d’or – c’est bien le cas de le dire – qu’il faut remettre en vigueur et en honneur dans les relations économiques internationales, c’est l’obligation d’équilibrer, d’une zone monétaire à l’autre, par rentrées et sorties effectives de métal précieux, la balance des paiements résultant de leurs échanges.
Certes, la fin sans rudes secousses du « Gold Exchange Standard », la restauration de l’étalon -or, les mesures de complément et de transition qui pourraient être indispensables, notamment en ce qui concerne l’organisation du crédit international à partir de cette base nouvelle, devront être concertées posément entre les Etats, notamment ceux auxquels leur capacité économique et financière attribue une responsabilité particulière. D’ailleurs, les cadres existent déjà où de telles études et négociations seraient normalement menées. Le Fonds monétaire international, institué pour assurer, autant que faire se peut, la solidarité des monnaies, offrirait à tous les Etats un terrain de rencontre approprié, dès lors qu’il s’agirait, non plus de perpétuer le « Gold Exchange Standard », mais bien de le remplacer. Le « Comité des Dix », qui groupe, aux côtés des États-Unis et de l’ Angleterre, d’une part la France, l’ Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas et la Belgique, d’autre part le Japon, la Suède et le Canada, préparerait les propositions nécessaires. Enfin, il appartiendrait aux Six États qui paraissent en voie de réaliser une Communauté économique européenne d’élaborer entre eux et de faire valoir au-dehors le système solide que recommande le bon sens et qui répond à la puissance renaissante de notre Ancien Continent.
La France, pour sa part, est prête à participer activement à la vaste reforme qui s’impose désormais dans l’intérêt du monde entier.
Charles de Gaulle et sa vision sur la place de l’or dans le système monétaire mondial – 2/2
De Gaulle et les relations monétaires internationales
Dès que le rétablissement de la balance des paiements permet à la France de faire entendre sa voix, le général de Gaulle souligne les défauts du système monétaire international et s’efforce de le faire évoluer dans le sens d’une plus grande équité entre les nations.
I – Le rétablissement de la balance des paiements de la France
L’une des premières préoccupation du général de Gaulle lors de son retour au pouvoir en 1958 est de voir la France recouvrer son indépendance gravement compromise par le déficit de ses comptes extérieurs.
Dès que le plan de stabilisation de décembre 1958 commence à produire ses effets, à partir de l’été 1959, il poursuit simultanément la reconstitution des réserves en or et en devises, qui augmentent de 3 milliards de dollars de 1958 à 1964, et le remboursement de la dette extérieure. Ce remboursement porte à la fois sur les tirages récents de la France au Fonds monétaire international, et sur les dettes contractées pendant et au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale (dettes Prêt-Bail et emprunt Blum-Byrnes de 1946). Il est terminé en 1963.
Pour assurer la pleine maîtrise de la France sur ses propres réserves, le général de Gaulle, qui a gardé le souvenir du séquestre opéré pendant la guerre par les États-Unis sur les avoirs français en or et en devises, fait même procéder par la Marine nationale au rapatriement de la part de l’or de la Banque de France déposé à New York auprès de la Banque fédérale de réserve.
La stabilité retrouvée et la valeur du franc seront préservées pendant dix années, jusqu’à ce que les événements de mai 1968 provoquent dans l’économie française des déséquilibres majeurs.
La hausse massive des salaires, une grave crise de confiance entraînant des exportations de capitaux, conduisent inévitablement à une nouvelle définition de la parité du franc. Celle-ci est refusée en novembre 1968 par le général de Gaulle qui pense que, faute d’un plan de stabilisation suffisamment rigoureux, la dévaluation du franc sera un échec. Elle n’interviendra qu’après son départ, en août 1969. II – La réforme du système monétaire international
Pendant les années du retour de la France à l’équilibre, la situation de la balance des paiements des États-Unis ne cesse de se dégrader, sous l’effet de diverses causes : aide à l’étranger, croissance des investissements américains dans le reste du monde et notamment en Europe (y compris en France), maîtrise insuffisante de l’inflation aux États-Unis et surtout coût de la guerre du Vietnam.
Mais, alors que les autres nations doivent régler leur déficit extérieur dans une devise étrangère autre que leur propre monnaie, les États-Unis peuvent le faire en remettant en paiement à leur créanciers des dollars que ceux-ci acceptent de conserver.
Ce privilège s’explique à la fois par le fait que, au moins depuis la guerre, les partenaires des États-Unis ont toujours craint de manquer de dollars (le « dollar gap »), et parce que le système monétaire international bâti à Bretton-Woods est ainsi fait que les diverses monnaies nationales sont rattachées à l’or par l’intermédiaire du dollar. Une baisse de la valeur du dollar par rapport aux autres monnaies ne pourrait donc s’opérer que par le relèvement du prix de l’or exprimé en dollars.
L’asymétrie de ce système a été relevée par plusieurs auteurs, notamment par Robert Triffin en 1959 et Jacques Rueff avait été depuis plusieurs années l’ardent protagoniste d’une réforme comportant notamment le relèvement du prix de l’or. Mais la dénonciation du système prend une dimension plus directement politique quand elle est exprimée par une personnalité aussi forte que le général de Gaulle, parlant au nom d’une France qui n’a plus de dettes envers les États-Unis.
Dans un premier temps, le général de Gaulle ne s’oppose pas à la recherche, suggérée par des experts français eux-mêmes, d’un instrument de paiement international, quelque peu analogue au mécanisme de règlement de l’Union européenne des Paiements (1950-1958), qui serait basé à la fois sur l’or et sur un « panier » de grandes monnaies et utilisé par les banques centrales dans leurs règlements réciproques (l’ « Unité de Réserve collective »).
Devant l’impossibilité de parvenir à un accord, et après avoir, pour maintenir la pression sur les États-Unis, fait procéder à plusieurs conversions de dollars en or, le général de Gaulle raidit sa position dans sa célèbre conférence de presse du 4 février 1965 et propose le retour aux principes de l’étalon or.
Si sa dénonciation des privilèges du dollar est très généralement approuvée, la nécessité de disposer, en complément de l’or, d’un ensemble de facilités de crédits – qui doivent être d’un usage quasi automatique, si elles veulent pouvoir concurrencer puis remplacer le dollar -, conduira à orienter la réforme du système monétaire international vers la création d’un instrument mis en œuvre dans le cadre du Fonds monétaire international, les Droits de tirage spéciaux (DTS).
La France y est peu favorable, mais sa position de négociation est considérablement affaiblie par les événements de mai 1968. Après le départ du général de Gaulle, elle se ralliera à la création des DTS, non sans exprimer sur leurs chances de succès un scepticisme qui se révèlera pleinement justifié.
Charles de Gaulle
Extrait de « Discours et Messages » – Charles de Gaulle – Plon, 1970 – pages 330 à 334
Il s’agit de l’impressionnante fraude et la manipulation qui a lieu dans les marchés des métaux précieux, dont particulièrement l’or et l’argent, par des institutions financières majeures. Une histoire un peu complexe qui sera ici expliquée en termes simples et compréhensibles. C’est d’une importance capitale puisque cette fraude a le potentiel de causer un massif effondrement économique.
Depuis un bon moment déjà, plusieurs observateurs et experts aguerris avaient de sérieux doutes que les prix de l’or et de l’argent étaient vastement manipulés. Cependant, grâce à un témoignage d’un très courageux informateur, la manipulation éclatante des marchés mondiaux des métaux précieux est maintenant exposée publiquement. Elle révèle aux yeux de tous l’incroyable corruption du système financier mondial. La U.S. Commodity Futures Trading Commission (CFTC) est une agence indépendante du gouvernement américain qui est chargée de la régulation des bourses de commerce, où se traitent les matières premières et qui a pour mission de protéger les usagers des marchés ainsi que le public de la fraude, manipulation et pratique abusive.
Mais il se trouve que la Commodities Futures Trading Commission s’est assis sur de solides évidences que l’élite bancaire manipule grossièrement les cours du prix des métaux précieux depuis au moins quelques années. Bien qu’ils aient reçu des informations claires et sérieuses à ce propos, ils n’ont absolument rien fait avec celles-ci. En novembre 2009, Andrew Maguire, un ancien opérateur des marchés de l’argent métallique (trader) de Goldman Sachs, rattaché au bureau de Goldman Sachs à Londres, avait contacté la CFTC pour signaler une manipulation illégale du marché de l’argent par les opérateurs de marché de JPMorgan Chase.
Avant de poursuivre, il est important de comprendre comment le marché des métaux précieux fonctionne. Plus de 95% des transactions de métaux précieux sur les marchés mondiaux sont des échanges de titres en papier et non de métaux physiques en tant que tel. C’est-à-dire que moins de 5% des détenteurs d’or ou d’argent possèdent physiquement ces métaux, sous forme de barres, de pièces de monnaie ou autres, alors que les autres 95% ne détiennent que des titres, des documents attestant qu’ils possèdent une certaine quantité d’or ou d’argent dans les coffres-forts d’une banque quelconque à quelque part. Or, il a maintenant été révélé que la majorité de ces métaux précieux transigés ne sont pas appuyés par de véritables réserves physiques et tangibles. Depuis longtemps, la plupart des gens ont assumé que le London Bullion Market Association (LBMA), le plus vaste marché d’or au monde, possédait suffisamment de réserves réelles pour garantir les «dépôts d’or» pullulant les banques majeures de la LBMA.
Mais ce n’est pas le cas. En fait, les gens commencent à réaliser qu’il existe bien peu d’or réel dans le système de la LBMA. Lorsque les gens pensent qu’ils achètent de «l’or» ou de «l’argent», ils ne font qu’acheter des morceaux de papier attestant qu’ils possèdent ces métaux. Mais est-ce vraiment le cas? Il semble que non. Soutenant cela, Jeffrey Christian de CPM Group a confirmé lors d’audiences publiques de la CFTC que les banques de la LBMA ont effectivement émis cent fois plus de titres d’or qu’il n’existe réellement de lingots d’or physique.
Oups.
Qu’arriverait-il si tout le monde décidait de vendre ou de prendre possession de leur or? Cela pourrait s’avérer être une catastrophe. En même temps, cela pourrait aussi être une arme redoutable entre les mains de la population pour punir et envoyer un puissant message au cartel des banquiers privés qui sont les artisans et les profiteurs de cette crise économique mondiale. De véritables terroristes économiques. Mais on y reviendra plus tard.
Le fait est que, de nos jours, la plupart des transactions sur le London exchange ne sont que du papier contre du papier. Les petits et grands investisseurs le savent, les banques centrales qui sont les plus grands acheteurs nets ces derniers mois sont tout aussi conscients que ce papier ne vaut rien. Alors, on assiste présentement à une nouvelle ruée vers l’or et les autres métaux précieux qui enflamme la planète entière. Les gens achètent ces métaux parce qu’ils sont une vraie commodité, un lieu où traditionnellement les gens se réfugient lorsque l’économie s’effondre ou que le dollar américain chute en valeur. Plus la monnaie fiduciaire perd de sa valeur, plus les gens se précipitent vers ces valeurs sûres, entrainant un effet de domino dangereux. C’est la raison pour laquelle les prix des métaux précieux sont manipulés à la baisse: pour éviter cette course folle vers les portes de sortie et entrainer un effondrement catastrophique des monnaies fiduciaires, dont l’important dollar américain. Cette facette sera abordée plus en détails sous peu.
Pour l’instant, il serait nécessaire de souligner que ce n’est pas vraiment le prix des métaux précieux qui augmentent, mais bien la valeur de la monnaie fiduciaire qui chute. L’inflation est une taxe cachée, car elle est le résultat d’une dépréciation de la monnaie fiduciaire et de la contraction de la masse monétaire. Il faut donner davantage de ces billets de papiers pour acheter les mêmes produits.
Le constat est qu’il y a des milliers de clients autour du globe qui pensent détenir d’énormes dépôts en or et en argent métallique sur lesquels ils paient des frais d’entreposage et pourtant, ces dépôts ne sont qu’imaginaires – la seule chose qu’ils possèdent vraiment est une pile de documents en papier.
Andrew Maguire expliquait cette situation de cette façon: « sur 100 clients qui se présentent, il y en a seulement un qui pourra réellement mettre la main sur son or ou argent. En d’autres mots, il y en a aura 99 qui repartiront les mains vides; et sans de nouveaux fonds arrivant dans les marchés, le seul fait de demander possession de cet or ou argent va créer un défaut de paiement ». (Source)
Qu’est-ce qu’un défaut de paiement? Voici une définition assez claire:
Le défaut de paiement désigne le fait qu’une entreprise ou un pays (NDLA: ou une banque, institution financière) ne soit pas en mesure d’honorer une partie ou la totalité de ses engagements envers un tiers.
Le défaut de paiement de la part d’une entreprise peut entrainer la faillite de celle-ci.
Conséquemment, il est simplement impossible pour la LBMA de remettre tout cet or et argent qu’ils doivent aux propriétaires de ces contrats. Sans doute, cela représente un gigantesque problème. Le pire est que ce type de situation n’est pas sans précédent. Par exemple, Morgan Stanley a dû verser plusieurs millions de dollars en 2007 pour régler les poursuites judiciaires qui les accusaient d’avoir prélevé des frais de stockage auprès de 22 000 clients propriétaires de lingots d’argent qui n’existait pas.
Adrian Douglas, est l’éditeur de MarketForceAnalysis.com et membre du conseil d’administration du Gold Anti-Trust Action Committee (GATA). Il estime qu’il y a jusqu’à 50 000 tonnes d’or inexistant qui aurait été vendu. Ceci, explique-t-il, « est l’équivalent de toutes les réserves minières d’or à travers la planète qui reste à exploiter, ou encore, l’équivalent de 25 ans de production minière d’or». Le système fractionnaire bancaire est donc aussi à l’oeuvre dans les marchés des métaux précieux et cette fraude pourrait totaliser 5 trillions de dollars ($5000 milliards). Soudainement, la fraude de $50 milliards de Madoff parait minuscule.
Adrian Douglas analysait dans cet article les données de la LBMA provenant de leur propre site Internet et il a calculé qu’environ 20 millions d’onces d’or sont échangés à chaque jour. Il cite Paul Mylchreest qui a fait une analyse détaillée de ces données sur les échanges quotidiens d’or sur les marchés de Londres et il en est venu à la conclusion que 2134 tonnes d’or transigeaient par jour. Ce chiffre est énorme puisqu’il c’est 346 fois plus d’or qui est extrait quotidiennement dans le monde.
Et cela, c’est sans parler des faux lingots d’or découvert par des fonctionnaires à Fort Knox, aux États-Unis, qui est censé être l’or du Trésor américain. Des millions de lingots d’or se sont avéré être des faux! Ils contenaient des noyaux de tungstène avec seulement un revêtement externe d’or véritable. Ce phénomène de lingots d’or avec un coeur de tungstène ont fait leur apparition en Allemagne, tel que rapporté par les médias allemands et américains, mais aussi en Chine et en Angleterre. Et que dire de cet or qui rouille en Russie?
Est-ce que quelqu’un essaie de faire peur aux petits investisseurs dans le but de les tenir loin de l’or pour les pousser vers les marchés boursiers, maintenant que nous nous dirigeons vers une autre vague de cette crise économique mondiale?
Manipulation du prix des métaux précieux
William Murphy, le président du Gold Anti-Trust Action Committee (GATA), a été invité à témoigner. GATA a compilé des données sur la manipulation des marchés de l’or et de l’argent pendant un bon moment déjà.
Quand on lui a demandé une preuve solide de la manipulation, Murphy a publié une bombe bien gardée par un informateur qui avait envoyé des courriels à la CFTC en expliquant comment les traders de JPMorgan ont truqué le marché de l’or pour ensuite s’en vanter. Le dénonciateur, un commerçant de Londres de métaux précieux nommé Andrew Maguire, avait des preuves assez accablantes contre le cartel, mais le panel du CFTC était visiblement réticent à en apprendre plus et ne demandait rien d’autre à ce sujet.
Maguire a expliqué à la CFTC la manière dont s’y prenaient les commerçants d’argent chez JPMorgan Chase et leur a révélé qu’ils se vantaient ouvertement de leurs exploits – y compris la façon dont ils envoient un signal à l’avance au marché afin que d’autres négociants puissent réaliser un profit au cours des épisodes de compression des prix.
Les traders sauraient reconnaître ces signaux et faire de l’argent en misant sur la baisse du cours des métaux précieux, aux côtés de JPMorgan Chase. Maguire a expliqué à la CFTC qu’il existe des manipulations systématiques du marché au moment des expirations des contrats, ainsi que lors d’autres moments stratégiques.
Le 3 février dernier, Maguire a envoyé un avertissement deux jours à l’avance par courrier électronique à Eliud Ramirez, qui est le chercheur principal pour la CFTC, à propos d’un événement de manipulation des marchés qui était pour se produire.
Maguire a averti Ramirez que le prix des métaux précieux serait supprimés lors de la publication des données de paie non agricoles, le 5 février. Comme la manipulation des marchés des métaux précieux se déroulerait le 5 février, Maguire envoyé des courriels supplémentaires à Ramirez, lui expliquant exactement la nature de ce qui se passait.
Ce n’était pas seulement le fait que Maguire avait prédit que le prix de l’argent serait forcé à diminuer qui surprend le plus, c’est surtout le niveau de précision qu’il a été en mesure de communiquer à la CFTC qui a été le plus spectaculaire. Il avait averti la CFTC que le prix de l’argent, peu importe l’état du nombre d’emplois, se retrouverait en dessous de $15 l’once. Au cours des deux prochains jours, le prix de l’argent a chuté, partant de $16,17 l’once jusqu’à un creux de $14,62 l’once.
Grâce à l’alerte de Maguire, la CFTC a pu observer un crime se dérouler en temps réel, directement sous leurs yeux.
Alors qu’est-ce que la CFTC a fait à ce sujet?
Rien.
Absolument rien.
Les marchés ont été supprimées par les grandes institutions financières depuis des années, ce qui a créé un « étranglement » potentiel sur les marchés des métaux précieux qui pourrait envoyer le prix de l’or et l’argent dans la stratosphère.
La réalité est qu’il n’y aurait plus d’or dans le monde entier si tous les fonds indiciels cotés (Exchange Traded Funds – ETF) demandaient la livraison physique de leurs avoirs.
En fait, Maguire affirme que l’arnaque des ventes à découvert par les grandes institutions financières se chiffre en milliers de milliards de dollars, ce qui en fait une des plus grandes fraudes financières de l’histoire.
Maguire nomme cela du « terrorisme financier » et il accuse les institutions financières impliquées dans cette fraude de «trahison», mettant ainsi la sécurité nationale en péril.
La sécurité nationale est menacée.
Parce que si la véritable ampleur de cette fraude venait qu’à se savoir, elle pourrait provoquer l’effondrement du système financier dans son ensemble.
Une arme redoutable entre les mains de la population
Depuis trop longtemps, les banquiers privés ont fait la loi et sont demeurés insensibles aux aléas économiques de la population. Les financiers et banquiers privés sont maintenant coupables de crimes et de fraudes financières extrêmement graves et finalement, de terrorisme économique. Pourtant, rien ne semble pouvoir les empêcher de continuer et d’éviter la prison à vie.
Il ne reste qu’une guerre à mener – celle qui va opposer l’humanité aux banquiers privés. Beaucoup d’individus commencent à comprendre que le système fractionnaire bancaire est le coeur de leur système frauduleux, mais qu’il est aussi leur talon d’Achille. Cette arme pour s’enrichir sur le dos de la population devenue esclave économique pourrait bien se retourner contre eux, avec des effets dévastateurs. Et cette arme se retrouve maintenant dans les mains de la population mondiale.
Déjà, les Français parlent de retirer massivement leur argent des banques le 7 décembre 2010 et invite le reste du monde à y participer:
StopBanque c’est l’appel au retrait massif d’argent en banque et a la fermeture des comptes secondaires (épargnes) le 7 décembre 2010. StopBanque c’est 14 000 participants, 61 000 personnes en attentes, première initiative citoyenne spontanée pour se défendre de la corruption médiatique et politique, et de l’esclavage de plus en plus précis que nous impose le grand capital… StopBanque c’est aussi un écho mondial !!!
Notre démarche est Légale, Pacifique, laïque, non politisée et non syndicalisée.
Parce que visiblement, aujourd’hui, manifester ne sert plus à rien pour se faire entendre de nos élites et que le vrai pouvoir est aux mains des banques internationales, ALLONS TOUS COMME UN SEUL HOMME RETIRER NOTRE ARGENT DES BANQUES LE 7 DÉCEMBRE 2010 !!!
À voir absolument, cette vidéo de Éric Cantona qui propose clairement cette solution pour faire la révolution:
La Révolution se fera en s’attaquant au coeur même du système: Lors d’une interview pour le Quotidien « PressOcéan » , en marge d’un tournage d’un film à Nante le 8 octobre 2010, le célèbre footballeur Eric Cantona explique clairement une méthode de faire la révolution en s’attaquant directement au moteur du système qui sont les banques. Ce sera une Révolution sans arme dit-il…
D’après lui, le fait de manifester dans la rue en masse n’est pas assez efficace pour faire bouger les choses… Il nous dévoile sa méthode, écoutez:
Eric Cantona parle de la Révolution selon lui.
«La révolution est très simple à faire. Le système, c’est quoi? Le système tourne autour des banques. Le système est bâti sur le pouvoir des banques. Donc, il peut être détruit par les banques! Au lieu qu’il y ait 3 millions de personnes qui aillent dans la rue, il suffit qu’il y ait 3 millions de gens qui aillent retirer leur argent des banques et les banques s’écroulent, 3 millions, 10 millions de gens… Et là, il y a une vraie menace, une vraie révolution! Pas d’armes, pas de sang, une révolution à la Spaggiari. C’est pas compliqué». Eric Cantona, 44 ans (Source)
J’entends ici et là resurgir l’article 35 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
Comble de l’ironie, cet article fut énoncé six mois après l’exécution du roi Louis XVI. Ce roi qui a aboli la torture, aboli le servage, aboli le péage corporel des juifs d’Alsace, émis l’édit de tolérance des protestants. Bien avant la révolution, il fut le premier monarque à tenter d’instaurer un impôt direct égalitaire en remplacement de la taille inégalitaire. Il était ouvert à l’idée d’une monarchie parlementaire, opposé à la conscription de masse pour les conflits armés, opposé à l’usage d’armes de guerre trop destructrices sur les champs de bataille.
Rappelons qu’en 2010, l’usage de la torture est à nouveau légal dans le cadre de la « lutte anti-terroriste », le servage moderne sous différentes formes existe bel et bien, les impôts inégalitaires, illégaux et anticonstitutionnels foisonnent ici et là dans nos belles démocraties occidentales, pendant que des fonds publics sont accordés par copinage, à des puissants, eux-mêmes exonérés de taxes et impôts par des subtilités fiscales et autres fondations écrans.
Non, contrairement à toutes les sornettes dites sur la révolution française, ce qui fut et demeure révolutionnaire fut le cœur de la monarchie de cette période qui orientait le Royaume vers un régime respectueux du droit des citoyens. C’est sans doute là l’unique raison pour laquelle notre roi fut assassiné. La Rothschild a d’ailleurs toujours affirmé haut et fort que la révolution française était « sa révolution ». Ça a le mérite d’être clair !
La révolution nous fit perdre deux tiers des richesses du pays, mais il faut croire que ce ne fut pas assez. Napoléon rétablit l’esclavage et fit vaciller toutes les couronnes d’Europe. Or, l’or qui permit de lever des millions d’européens en arme finit dans les coffres de la Rothschild. La célèbre phrase de l’Empereur n’a rien d’anodin : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. » La Rothschild finança, en effet, aussi bien Wellington que Napoléon, mais les fonds accordés à ce dernier furent inférieurs à ceux accordés à la coalition. Ainsi, les banquiers purent jouer sur l’issue de la guerre et mettre un terme à l’Empire tout en s’en mettant plein les poches. Nous ne connaîtrons jamais exactement quelles furent les garanties offertes à ces banquiers. Mais une chose est certaine, que l’on soit victorieux ou non dans un conflit, ensuite il faut passer à la caisse et laisser les créanciers gérer les affaires fiscales et politiques du pays d’une manière ou d’une autre…
Waterloo, un véritable Jackpot Comme la plupart des banquiers, les Rothschild disposaient d’un réseau de renseignement. Dès que l’issue du combat à Waterloo fut certaine, un agent partit pour Londres via Ostende. Informé dès le 20 juin dans la matinée, Nathan Rothschild vendit ostensiblement ses titres à la Bourse, laissant croire que Napoléon avait gagné la bataille de Waterloo. Puis après avoir provoqué un krach, il racheta ces mêmes titres au dernier moment, alors que les cours s’étaient effondrés. Le rapport que Wellington rédigea après la bataille n’arriva dans la capitale britannique que le 21 dans la soirée. Une autre manière de s’en mettre plein les poches est d’avoir un service de renseignement bien plus efficace que tous les services de renseignements des états…
Alors que reste-t-il des richesses du Royaume de France après la révolution et l’Empire ? Une peau de chagrin qui mit la France à la merci des banquiers jusqu’à aujourd’hui. Nous n’eûmes pas beaucoup de répit, la guerre de 1870 nous asservit un peu plus. La première guerre mondiale mit à contribution chaque citoyen tenu de remettre son or à l’état pour l’effort de guerre. La seconde guerre mondiale n’arrangeant rien, il fallut attendre 1973 pour que notre souveraineté monétaire nous soit intégralement retirée. Nous devons cette infamie à Georges Pompidou, agent des Rothschild. Dans l’obligation d’emprunter l’argent mis en circulation à des banques privées, nous sommes depuis 1973 rentrés dans une spirale infernale de dette qu’il est, c’est le but, impossible de rembourser. Sur 2000 milliards d’euros de dette, plus de 90% sont les intérêts cumulés imposés par nos créanciers. En clair, que vous votiez ou non, quel que puisse être le parti politique au pouvoir en France, ce sera toujours l’oligarchie financière qui décidera de la politique du pays. Fiscalité, orientation industrielle ou technologique, culture médiatique, politique économique, retraite à 72 ans (programmée), salaire moyen, libertés citoyennes etc… ne dépendent en rien des vœux pieux des partis politiques qui paradent. Si vous avez des doléances sérieuses faites-les à la Rothschild !
Que reste-t-il de la France ? L’état que constituait la France a été dissous, il n’en reste qu’une vague idée, un évanescent souvenir. Il n’y a pas pire esclave que celui qui croit être libre. L’idée de la Révolution française dans l’inconscient collectif français fait de l’ouvrier français le plus performant au monde, le plus productif. Il est bon de savoir que les chaînes de montages usine les plus rapides au monde sont précisément les chaînes françaises. L’idée fantomatique de liberté a du bon pour le productivisme et l’asservissement. Cette liberté de pacotille a été insufflée par les assassins du roi afin que cet idéal fantomatique les servent toujours mieux jusqu’à aujourd’hui. Nous sommes un peuple asservi par l’oligarchie financière qui se croit libre, en référence aux articles constitutionnels d’une révolution conçue par cette même oligarchie. Quelle ironie du sort !
Sans faux semblants, il nous faut voir la réalité en face. Nous sommes des esclaves qui bénéficient de quelques libertés matérielles qui peuvent à tout moment nous être retirées. La paupérisation des peuples européens se fait par des subtilités à marche forcée. L’orientation est indéfectible, les richesses vont aux réseaux intégrés du Nouvel Ordre Mondial, tandis que les dettes sont supportées par l’ensemble des populations. La visée est claire, il s’agit de forger deux classes :
1°) une classe qui a le pouvoir mondial de création monétaire, qui ainsi pilote absolument tout, son idéal étant une monnaie exclusivement électronique qu’il est aisé de truquer à sa guise.
2°) une classe sans aucun pouvoir qui se contente de croire aux idéologies, aux lubies fantomatiques d’une économie s’auto régulant, aux délires de choix politiques possibles, aux illusions du pouvoir législatif, exécutif et judiciaire. « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » Mayer Amshel Rothschild
La nouvelle lutte des classes n’a plus rien à voir avec le marxisme, le communisme, ou l’anticapitalisme, idéologies d’ailleurs intégrées aux réseaux du Nouvel Ordre Mondial. Rappelons que la révolution bolchévique fut financée par le « banquier de la Révolution mondiale ». Il s’agit de Olof Aschberg, de la banque Nya Banken de Stockholm qui servait d’intermédiaire entre les élites de Wall Street, de la City d’un côté, et les dirigeants bolcheviques de l’autre. L’analyse marxiste est désuète et tronquée. La seule véritable lutte des classes existe entre ceux qui ont le pouvoir de créer de la monnaie ex-nihilo et ceux qui n’ont pas ce pouvoir. Or, parmi ceux qui n’en créent pas, il y a des chômeurs, des ouvriers, des cadres, des chefs d’entreprises, des fortunés et des infortunés. Tous sont exposés aux mêmes dangers, celui de perdre leurs biens s’ils en ont et de perdre toute liberté.
Le système est conçu pour vampiriser les revenus, détruire les services publics et faire flamber les impôts jusqu’à une incontournable implosion sociale. Sans doute en viendra-t-on à des prélèvements directement opérés par votre propre banque, destinés au déficit public. Le fisc finira par être privatisé, précisément racheté par les banques chargées de recouvrir la dette. A ce propos, dans une toute dernière interview sur TV5, le Président de la Cour des Comptes, Philippe Séguin, affirmait : « Quand vous payez vos impôts, ce n’est pas la peine de vous consoler en vous disant, ça va servir pour embaucher des gardiens de prison, pour embaucher des infirmières, faire des routes, des stades, que sais-je... Ça partira en priorité au remboursement de la dette ! » Nous faisons face à une dictature financière éclairée qui s’est octroyée le droit de créer de la monnaie ex-nihilo afin de se bâtir un Empire mondial sans partage.Puisque les gouvernements et les politiques de tout poil ont vendu notre souveraineté à des cohortes de banques privées sans vergognes, qui aujourd’hui, peut restituer cette souveraineté, sinon les peuples eux-mêmes ? Par ailleurs, la grande question de notre époque charnière consiste à savoir si nous pouvons raisonnablement laisser 0,2% de la population mondiale voler l’intégralité des richesses planétaires ?
Un interview d’André-Jacques Holbecq par Yves Michel.
« Il faut réduire la dette! ». On crie à la faillite! Tel un père qui demande instamment à ses enfants d’aller ranger leur chambre, notre gouvernement nous dit : « Assez de cette gabegie ! Il est temps de devenir sérieux, remettez vos prétentions sociales au tiroir, l’heure est au travail et aux économies ».
Ce qu’on ne nous dit pas, c’est qu’il y a une quarantaine d’années, l’État français n’était pas endetté, à l’instar de la plupart des autres nations, d’ailleurs. En moins de quarante ans nous avons accumulé une dette colossale qui avoisine les 1200 milliards d’euros ! Pourquoi ? S’est-il produit quelque chose qui a fait que l’on ait soudain besoin de recourir à l’emprunt, alors qu’auparavant on se suffisait à nous-mêmes? Et si tel est le cas, qui en bénéficie vraiment ? Qui émet la monnaie ?
Croyez-vous que Sarkozy qui a préparé le génocide financier de la France et de l'Europe, réviserait les Lois pour permettre au moins à la France de sortir de l'endettement dans lequel il a participé à la plonger ?
Ben non, il vaut mieux nous livrer entre les mains de Rothschild et Rockefeller, et permettre aux Illuminati-reptiliens d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial !
Ensuite il aura encore le culot de nous parler de l'identité nationale !
Comment prépare-t-on le génocide financier de la France et de l'Europe ? Par l'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme et le Nouvel Ordre Mondial
La FED (Fédérale Banque aux USA est une banque privée) constituée de plusieurs cartels bancaires qui appartiennent à Rothschild, Rockefeller, JP Morgan, etc...
Qu'en est-il de la Banque de France chez nous ?
Comment les présidents de la République française qui se sont succédés au Gouvernement ont préparé le génocide financier de la France et de l'Europe au profit des Banquiers Illuminati en préparation de l'instauration du Nouvel Ordre Mondial ?
Les origines de l'endettement de la France.
Les agents du Nouvel Ordre Mondial en France
Les rôles de Pompidou, de Valery Giscard d'Estaing, de Mitterrand, de Chirac et de Sarkozy
En 1953, il quitte la fonction publique pour entrer à la banque Rothschild, dont il devient directeur général en 1956.
1953 : Il entre à la banque de Rothschild
1954 : Il est administrateur de nombreuses sociétés du groupe Rothschild (sauf interruption du 1er juin 1958 au 7 janvier 1959), notamment : - Société anonyme de gérance et d'armement, 1954-1962, - Compagnie du chemin de fer du Nord, 1955-1962, - Société Rateau, 1957-1962, - Compagnie franco-africaine de recherches pétrolières françaises.
1956-1962 : Directeur général chez Messieurs de Rothschild frères
Les Étapes de l'évolution de La Monnaie ou les étapes historiques de notre esclavage
15 août 1971 : dématérialisation totale de la monnaie. Le président américain Richard Nixon, conseillé par George Shultz (qui sera plus tard le mentor des administrations Bush père et fils), supprime la libre-convertibilité du dollar en or. Ce découplage sera suivi de mesures de dérégulation des marchés permettant des spéculations de plus en plus énormes.
3 janvier 1973 :loi Pompidou-Giscard d'Estaing par laquelle la Banque de France abandonne son rôle de service public. Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à leescompte de la Banque de France. » Dès lors, sous prétexte de lutte anti-inflationniste, le recours au crédit productif public est interdit.
Mars 1973 : régime des changes internationaux flottants. Il n'y a plus de contrepartie métallique à la monnaie émise, seulement de la dette. Les spéculateurs peuvent s'en donner à coeur joie avec des produits financiers dérivés, en particulier sur les taux de change entre monnaies (on parie plusieurs fois sa mise, avec un effet de levier, moyennant des informations obtenues sur les pressions politiques exercées sur telle ou telle devise deEtat).
1987 : Alan Greenspan combat l'effondrement des bourses mondiales par l'émission pratiquement illimitée de monnaie-crédit en faveur des marchés.
1992 : Traité de Maastricht. Prélude à un euro découplé de l'autorité des Etats. Abdication de fait des souverainetés nationales par privation des moyens de les exercer.Son article 104, § 1, « interdit en effet à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, si après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres ; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE, ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »
4 août 1993 : loi Mitterrand-Balladur donnant son indépendance à la Banque de France.Son article 3 lui interdit d'autoriser des découverts ou d'accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publique, de même que l'acquisition de titres de leur dette.
Juin 1997 : Jacques Cheminade et Christophe Lavernhe rédigent Un plan de relance par le crédit productif, ou la nécessaire transformation de la monnaie en capital, expliquant comment les monnaies nationales sont prises en otage par les intérêts financiers depuis le renoncement de 1973 en France et le Traité de Maastricht à l'échelle européenne. Rejet de la proposition d'avances par la banque de France au Trésor public pour un plan de relance économique, faite par un groupe parlementaire français, jugée contraire au Traité de Maastricht et au choix effectué en 1973. 12 mai 1998 : loi Chirac-Jospin, intégrant la Banque de France au Système européen de banques centrales (SEBC) et à la BCE. Le Traité de Maastricht prévoyant déjà que « l'objectif principal du SEBC est de maintenir la stabilité des prix ».
1999 : vote aux Etats-Unis du Gramm-Leach-Bliley Act, qui annule le Glass-Steagall Act voté sous la présidence Roosevelt. Désormais, il n'y a plus de séparation aux Etats-Unis entre banques de dépôt et banques d'affaires, et les banques sont autorisées à fusionner avec des sociétés d'assurance. Chute de la « muraille de feu » prudentielle. L'Europe, elle aussi, déréglemente.
Mai 2005 : rejet par le peuple français du Traité constitutionnel européen qui, dans son article III-181, aurait « constitutionnalisé » l'article 104, § 1 du Traité de Maastricht.
2007-2008 : le Traité de Lisbonne reprend (article 123 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) l'article 104, §1 du Traité de Maastricht. L'objectif est bel et bien d'abandonner la création monétaire aux banques privées, dans un contexte de mondialisation financière sans limites.
Les Illuminati, le Nouvel Ordre Mondial et le Conseil des 13 : Comment est constitué le Conseil Général de la Banque de France ?
Le conseil général comprend le gouverneur (1), les sous-gouverneurs (2) et dix conseillers, (10) tous de nationalité française. Un censeur et son suppléant assistent aux séances du conseil général ; ils sont nommés par le ministre de l'économie et des finances.
13 personnes constituent le Conseil Général de la Banque de France. Ce qui correspond au Conseil des 13 druides et au Tribunal de Rothschild.
Le conseil général comprend le gouverneur (1), les sous-gouverneurs (2) et dix conseillers, (10) tous de nationalité française. Un censeur et son suppléant assistent aux séances du conseil général ; ils sont nommés par le ministre de l'économie et des finances.
2009 peut être l'année de naissance d'unnouveau capitalisme,d'un Nouvel Ordre Mondial. Et j'en appelle à tous les gouvernements : aucun d'entre nous n'en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que font les autres.
On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer. Car, à travers le monde, les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes.
- Cette crise marquera sans doute pour l'histoire, le commencement véritable du 21ème siècle.
Le moment où tout le monde aura compris qu'il était temps de changer, temps de donner un nouveau visage à la mondialisation, temps de construire un Nouvel Ordre Mondial politique, économique, social assis sur de nouveaux principes et de nouvelles règles.
Le sommet mondial pour refonder le capitalisme,c'estl'Europe qui l'a proposé. Le Nouvel Ordre Mondial c'est autour des propositions de l'Europe qu'il se construira. Plus que jamais, l'Europe prend conscience qu'elle a besoin d'un véritable gouvernement économique dont elle vient d'expérimenter ce qu'il pourrait être et l'utilité qu'il pourrait avoir.
Ce gouvernement économique, c'est tout naturellement l'Euro-groupe qui doit en être le cadre.
Peut ( ? ) arrive ce qui sera l'antidote à la dangereuse tentation du protectionnisme, de l'anticapitalisme, du dirigisme bureaucratique que les désordres actuels vont immanquablement mûrir et le doute grandira si les français ont le sentiment qu'on leur cache quelque chose.
- C'est la 1ère fois que je m'exprime au nom de la France à cette tribune.
Il s'agit pour moi d'un instant solennel, d'un instant émouvant. C'est un véritable new deal à l'échelle planétaire qui est nécessaire, un new deal écologique et économique. Au nom de la France, j'en appelle à tous les Etats à se réunir pour fonder le Nouvel Ordre Mondial du 21ème siècle sur cette idée forte que les biens communs de l'Humanité doivent être placés sous la responsabilité de l'Humanité toute entière.(C'est-à-dire que les biens communs de l'humanité doivent remis entre les mains de ses grands copains les Banquiers Illuminati : Rothschild, Rockefeller, JP Morgan, La couronne d'Angleterre, etc. )
- Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer.