Crise financière : Dossiers SOS JUSTICE

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18/11/2010

Charles de Gaulle et sa vision sur la place de l’or dans le système monétaire mondial

A noter que c’est Charles de Gaulle qui a pour une certaine partie contribué à renflouer le stock d’or de la France en l’échangeant contre des dollars.

Ce président, dernier vrai patriote au pouvoir, pensait à l’avenir de son pays et était soucieux de l’avenir de ses enfants.

Pas comme les suivants, dont le dernier en date, qui vend une partie de ce stock pour assurer soi-disant les finances du quotidien, ruiner la France et les Pays Européens pour les mettre définitivement sous la tutelle de ses copains banquiers-reptiliens, promoteurs du Nouvel Ordre Mondial !

Il a en prime le suprême culot d'insulter la mémoire du Général de Gaulle, en revendiquant être son digne représentant !

Au fait qui a financé et organisé le complot contre le Général de Gaulle pour provoquer son retrait de la vie politique française ? Ceux qui ont savamment organisé mai 68 et ceux qui travaillaient pour la famille Rothshild ?

D'où sortait ce parfait inconnu "étudiant" qui a mené cette révolte, dénommé Daniel Cohn-Bendit, de Nationalité Allemande de surcroît, et par qui a été financé son mouvement contestaire de Mai 68 ?  Cherchez l'erreur ! On voit clairement que la CIA et la famille Rothschild étaient derrière ce complot !

Daniel Cohn-Bendit

http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Cohn-Bendit

Qui a pris le pouvoir à la suite du Général de Gaulle ? Son conseiller et VRP des frères Rothschild : Pompidou ! Il s'est vite empressé avec ses complices de nous imposer la   Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France.

Les rôles  de Pompidou, de Valery Giscard d'Estaing, de Mitterrand, de Chirac et de Sarkozy

Charles de Gaulle et sa vision sur la place de l’or dans le système monétaire mondial – 1/2

Conférence de Presse du Général de Gaulle, Palais de l’Elysée, 4 Février 1965

Question – M. le Président, en changeant en or une partie de ses avoirs en dollars, la France a provoqué certaines réactions qui ont fait apparaître les défauts du système monétaire actuel. Etes-vous partisan de réformer ce système, et, si oui, comment ?

Réponse (De Gaulle) – Je vais tâcher d’expliquer ma pensée sur ces points, A mesure que les États de l’Europe occidentale, décimés et ruinés par les guerres, recouvrent leur substance, la situation relative qui avait été la leur par suite de leur affaiblissement apparaît comme inadéquate, voire abusive et dangereuse. Rien, d’ailleurs, dans cette constatation n’implique de leur part et, notamment, de celle de la France quoi que ce soit d’inamical à l’égard d’autres pays, en particulier de l’Amérique. Car, le fait que ces États veuillent, chaque jour davantage, agir par eux-mêmes dans tout domaine des relations internationales procède simplement du mouvement naturel des choses. Il en est ainsi pour ce qui est des rapports monétaires pratiqués dans le monde depuis que les épreuves subies par l’Europe lui firent perdre l’équilibre. Je veux parler – qui ne le comprend? – du système apparu au lendemain de la Première Guerre et qui s’est établi à la suite de la Seconde.

On sait que ce système avait, à partir de la Conférence de Gênes, en 1922, attribué à deux monnaies, la livre et le dollar, le privilège d’être tenues automatiquement comme équivalentes à l’or pour tous paiements extérieurs, tandis que les autres ne l’étaient pas. Par la suite, la livre ayant été dévaluée en 1931 et le dollar en 1933, cet insigne avantage avait pu sembler compromis. Mais l’Amérique surmontait sa grande crise. Après quoi, la Deuxième Guerre mondiale ruinait les monnaies de l’Europe en y déchaînant l’inflation. Comme presque tontes les réserves d’or du monde se trouvaient alors détenues par les États-Unis, lesquels, en tant que fournisseurs de l’univers, avaient pu conserver sa valeur à leur propre monnaie, il pouvait paraître naturel que les autres Etats fissent entrer indistinctement des dollars ou de l’or dans leurs réserves de change et que les balances extérieures des paiements s’établissent par transferts de crédits ou de signes monétaires américains aussi bien que de métal précieux. D’autant plus que l’Amérique n’éprouvait aucun embarras à régler ses dettes en or si cela lui était demandé. Ce système monétaire international, ce « Gold Exchange Standard », a été par conséquent admis pratiquement depuis lors.

Cependant, il ne paraît plus aujourd’hui aussi conforme aux réalités et, du coup, présente des inconvénients qui vont en s’alourdissant. Comme le problème peut être considéré dans les conditions voulues de sérénité et d’objectivité – car la conjoncture actuelle ne comporte rien qui soit, ni très pressant, ni très alarmant – c’est le moment de le faire.

Les conditions qui ont pu, naguère, susciter le « Gold Exchange Standard » se sont modifiées, en effet. Les monnaies des Etats de l’Europe occidentale sont aujourd’hui restaurées, à tel point que le total des réserves d’or des Six équivaut aujourd’hui à celui des Américains. Il le dépasserait même si les Six décidaient de transformer en métal précieux tous les dollars qu’ils ont à leur compte. C’est dire que la convention qui attribue au dollar une valeur transcendante comme monnaie internationale ne repose plus sur sa base initiale, savoir la possession par l’Amérique de la plus grande partie de l’or du monde. Mais, en outre, le fait que de nombreux Etats acceptent, par principe, des dollars au même titre que de l’or pour compenser, le cas échéant, les déficits que présente, à leur profit, la balance américaine des paiement, amène les États-Unis à s’endetter gratuitement vis-à-vis de l’étranger. En effet, ce qu’ils lui doivent, ils le lui paient, tout au moins en partie, avec des dollars qu’il ne tient qu’à eux d’émettre, au lieu de les leur payer totalement avec de l’or, dont la valeur est réelle, qu’on ne possède que pour l’avoir gagné et qu’on ne peut transférer à d’autres sans risque et sans sacrifice.

Cette facilité unilatérale qui est attribuée à l’Amérique contribue à faire s’estomper l’idée que le dollar est un signe impartial et international des échanges, alors qu’il est un moyen de crédit approprié à un Etat.

Évidemment, il y a d’autres conséquences à cette situation.

Il y a en particulier le fait que les Etats-Unis, faute d’avoir à régler nécessairement en or, tout au moins totalement, leurs différences négatives de paiements suivant la règle d’autrefois qui contraignait les États à prendre, parfois avec rigueur, les mesures voulues pour remédier à leur déséquilibre, subissent, d’année en année, une balance déficitaire. Non point que le total de leurs échanges commerciaux soit en leur défaveur. Bien au contraire! Leurs exportations de matières dépassent toujours leurs importations. Mais c’est aussi le cas pour les dollars, dont les sorties l’emportent toujours sur les rentrées. Autrement dit, il se crée en Amérique, par le moyen de ce qu’il faut bien appeler l’inflation, des capitaux, qui, sous forme de prêts en dollars accordés à des Etats ou à des particuliers, sont exportés au dehors. Comme, aux États-Unis même, l’accroissement de la circulation fiduciaire qui en résulte par contre-coup rend moins rémunérateurs les placements à l’intérieur, il apparaît chez eux une propension croissante à investir à l’étranger. De là, pour certains pays, une sorte d’expropriation de telles ou telles de leurs entreprises.

Assurément, une telle pratique a grandement facilité et favorise encore, dans une certaine mesure, l’aide multiple et considérable que les États-Unis fournissent à de nombreux pays en vue de leur développement et dont, en d’autres temps, nous avons nous-mêmes largement bénéficie. Mais les circonstances sont telles aujourd’hui qu’on peut même se demander jusqu’ou irait le trouble si les États qui détiennent des dollars en venaient, tôt ou tard, à vouloir les convertir en or? Lors même, d’ailleurs, qu’un mouvement aussi général ne se produirait jamais, le fait est qu’il existe un déséquilibre en quelque sorte fondamental. Pour toutes ces raisons, la France préconise que le système soit changé. On sait qu’elle l’a fait, notamment, lors de la Conférence monétaire de Tokyo. Étant donné la secousse universelle qu’une crise survenant dans ce domaine entraînerait probablement, nous avons en effet toutes raisons de souhaiter que soient pris, à temps, les moyens de l’éviter. Nous tenons donc pour nécessaire que les échanges internationaux s’établissent, comme c’était le cas avant les grands malheurs du monde, sur une base monétaire indiscutable et qui ne porte la marque d’aucun pays en particulier.

Quelle base ? En vérité, on ne voit pas qu’à cet égard il puisse y avoir de critère, d’étalon, autres que l’or. Eh ! oui, l’or, qui ne change pas de nature, qui se met, indifféremment, en barres, en lingots ou en pièces, qui n’a pas de nationalité, qui est tenu, éternellement et universellement, comme la valeur inaltérable et fiduciaire par excellence. D’ailleurs, en dépit de tout ce qui a pu s’imaginer, se dire, s’ écrire, se faire, à mesure d’immenses événements, c’est un fait qu’encore aujourd’hui aucune monnaie ne compte, sinon par relation directe ou indirecte, réelle ou supposée, avec l’or. Sans doute, ne peut-on songer à imposer à chaque pays la manière dont il doit se conduire à l’intérieur de lui-même. Mais la loi suprême, la règle d’or – c’est bien le cas de le dire – qu’il faut remettre en vigueur et en honneur dans les relations économiques internationales, c’est l’obligation d’équilibrer, d’une zone monétaire à l’autre, par rentrées et sorties effectives de métal précieux, la balance des paiements résultant de leurs échanges.

Certes, la fin sans rudes secousses du « Gold Exchange Standard », la restauration de l’étalon -or, les mesures de complément et de transition qui pourraient être indispensables, notamment en ce qui concerne l’organisation du crédit international à partir de cette base nouvelle, devront être concertées posément entre les Etats, notamment ceux auxquels leur capacité économique et financière attribue une responsabilité particulière. D’ailleurs, les cadres existent déjà où de telles études et négociations seraient normalement menées. Le Fonds monétaire international, institué pour assurer, autant que faire se peut, la solidarité des monnaies, offrirait à tous les Etats un terrain de rencontre approprié, dès lors qu’il s’agirait, non plus de perpétuer le « Gold Exchange Standard », mais bien de le remplacer. Le « Comité des Dix », qui groupe, aux côtés des États-Unis et de l’ Angleterre, d’une part la France, l’ Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas et la Belgique, d’autre part le Japon, la Suède et le Canada, préparerait les propositions nécessaires. Enfin, il appartiendrait aux Six États qui paraissent en voie de réaliser une Communauté économique européenne d’élaborer entre eux et de faire valoir au-dehors le système solide que recommande le bon sens et qui répond à la puissance renaissante de notre Ancien Continent.

La France, pour sa part, est prête à participer activement à la vaste reforme qui s’impose désormais dans l’intérêt du monde entier.

 

Charles de Gaulle et sa vision sur la place de l’or dans le système monétaire mondial – 2/2

De Gaulle et les relations monétaires internationales

Dès que le rétablissement de la balance des paiements permet à la France de faire entendre sa voix, le général de Gaulle souligne les défauts du système monétaire international et s’efforce de le faire évoluer dans le sens d’une plus grande équité entre les nations.

I – Le rétablissement de la balance des paiements de la France

L’une des premières préoccupation du général de Gaulle lors de son retour au pouvoir en 1958 est de voir la France recouvrer son indépendance gravement compromise par le déficit de ses comptes extérieurs.

Dès que le plan de stabilisation de décembre 1958 commence à produire ses effets, à partir de l’été 1959, il poursuit simultanément la reconstitution des réserves en or et en devises, qui augmentent de 3 milliards de dollars de 1958 à 1964, et le remboursement de la dette extérieure. Ce remboursement porte à la fois sur les tirages récents de la France au Fonds monétaire international, et sur les dettes contractées pendant et au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale (dettes Prêt-Bail et emprunt Blum-Byrnes de 1946). Il est terminé en 1963.

Pour assurer la pleine maîtrise de la France sur ses propres réserves, le général de Gaulle, qui a gardé le souvenir du séquestre opéré pendant la guerre par les États-Unis sur les avoirs français en or et en devises, fait même procéder par la Marine nationale au rapatriement de la part de l’or de la Banque de France déposé à New York auprès de la Banque fédérale de réserve.

La stabilité retrouvée et la valeur du franc seront préservées pendant dix années, jusqu’à ce que les événements de mai 1968 provoquent dans l’économie française des déséquilibres majeurs.

La hausse massive des salaires, une grave crise de confiance entraînant des exportations de capitaux, conduisent inévitablement à une nouvelle définition de la parité du franc. Celle-ci est refusée en novembre 1968 par le général de Gaulle qui pense que, faute d’un plan de stabilisation suffisamment rigoureux, la dévaluation du franc sera un échec. Elle n’interviendra qu’après son départ, en août 1969.

II – La réforme du système monétaire international

Pendant les années du retour de la France à l’équilibre, la situation de la balance des paiements des États-Unis ne cesse de se dégrader, sous l’effet de diverses causes : aide à l’étranger, croissance des investissements américains dans le reste du monde et notamment en Europe (y compris en France), maîtrise insuffisante de l’inflation aux États-Unis et surtout coût de la guerre du Vietnam.

Mais, alors que les autres nations doivent régler leur déficit extérieur dans une devise étrangère autre que leur propre monnaie, les États-Unis peuvent le faire en remettant en paiement à leur créanciers des dollars que ceux-ci acceptent de conserver.

Ce privilège s’explique à la fois par le fait que, au moins depuis la guerre, les partenaires des États-Unis ont toujours craint de manquer de dollars (le « dollar gap »), et parce que le système monétaire international bâti à Bretton-Woods est ainsi fait que les diverses monnaies nationales sont rattachées à l’or par l’intermédiaire du dollar. Une baisse de la valeur du dollar par rapport aux autres monnaies ne pourrait donc s’opérer que par le relèvement du prix de l’or exprimé en dollars.

L’asymétrie de ce système a été relevée par plusieurs auteurs, notamment par Robert Triffin en 1959 et Jacques Rueff avait été depuis plusieurs années l’ardent protagoniste d’une réforme comportant notamment le relèvement du prix de l’or. Mais la dénonciation du système prend une dimension plus directement politique quand elle est exprimée par une personnalité aussi forte que le général de Gaulle, parlant au nom d’une France qui n’a plus de dettes envers les États-Unis.

Dans un premier temps, le général de Gaulle ne s’oppose pas à la recherche, suggérée par des experts français eux-mêmes, d’un instrument de paiement international, quelque peu analogue au mécanisme de règlement de l’Union européenne des Paiements (1950-1958), qui serait basé à la fois sur l’or et sur un « panier » de grandes monnaies et utilisé par les banques centrales dans leurs règlements réciproques (l’ « Unité de Réserve collective »).

Devant l’impossibilité de parvenir à un accord, et après avoir, pour maintenir la pression sur les États-Unis, fait procéder à plusieurs conversions de dollars en or, le général de Gaulle raidit sa position dans sa célèbre conférence de presse du 4 février 1965 et propose le retour aux principes de l’étalon or.

Si sa dénonciation des privilèges du dollar est très généralement approuvée, la nécessité de disposer, en complément de l’or, d’un ensemble de facilités de crédits – qui doivent être d’un usage quasi automatique, si elles veulent pouvoir concurrencer puis remplacer le dollar -, conduira à orienter la réforme du système monétaire international vers la création d’un instrument mis en œuvre dans le cadre du Fonds monétaire international, les Droits de tirage spéciaux (DTS).

La France y est peu favorable, mais sa position de négociation est considérablement affaiblie par les événements de mai 1968. Après le départ du général de Gaulle, elle se ralliera à la création des DTS, non sans exprimer sur leurs chances de succès un scepticisme qui se révèlera pleinement justifié.

 

Charles de Gaulle

Extrait de « Discours et Messages » – Charles de Gaulle – Plon, 1970 – pages 330 à 334

 

Source: http://www.charles-de-gaulle.org/article.php3?id_article=...

 

17/11/2010

"Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie et je me moque de qui fait les lois !".

J’entends ici et là resurgir l’article 35 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Comble de l’ironie, cet article fut énoncé six mois après l’exécution du roi Louis XVI. Ce roi qui a aboli la torture, aboli le servage, aboli le péage corporel des juifs d’Alsace, émis l’édit de tolérance des protestants. Bien avant la révolution, il fut le premier monarque à tenter d’instaurer un impôt direct égalitaire en remplacement de la taille inégalitaire. Il était ouvert à l’idée d’une monarchie parlementaire, opposé à la conscription de masse pour les conflits armés, opposé à l’usage d’armes de guerre trop destructrices sur les champs de bataille.

Rappelons qu’en 2010, l’usage de la torture est à nouveau légal dans le cadre de la « lutte anti-terroriste », le servage moderne sous différentes formes existe bel et bien, les impôts inégalitaires, illégaux et anticonstitutionnels foisonnent ici et là dans nos belles démocraties occidentales, pendant que des fonds publics sont accordés par copinage, à des puissants, eux-mêmes exonérés de taxes et impôts par des subtilités fiscales et autres fondations écrans.

Non, contrairement à toutes les sornettes dites sur la révolution française, ce qui fut et demeure révolutionnaire fut le cœur de la monarchie de cette période qui orientait le Royaume vers un régime respectueux du droit des citoyens. C’est sans doute là l’unique raison pour laquelle notre roi fut assassiné. La Rothschild a d’ailleurs toujours affirmé haut et fort que la révolution française était « sa révolution ». Ça a le mérite d’être clair !

La révolution nous fit perdre deux tiers des richesses du pays, mais il faut croire que ce ne fut pas assez. Napoléon rétablit l’esclavage et fit vaciller toutes les couronnes d’Europe. Or, l’or qui permit de lever des millions d’européens en arme finit dans les coffres de la Rothschild. La célèbre phrase de l’Empereur n’a rien d’anodin : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. » La Rothschild finança, en effet, aussi bien Wellington que Napoléon, mais les fonds accordés à ce dernier furent inférieurs à ceux accordés à la coalition. Ainsi, les banquiers purent jouer sur l’issue de la guerre et mettre un terme à l’Empire tout en s’en mettant plein les poches. Nous ne connaîtrons jamais exactement quelles furent les garanties offertes à ces banquiers. Mais une chose est certaine, que l’on soit victorieux ou non dans un conflit, ensuite il faut passer à la caisse et laisser les créanciers gérer les affaires fiscales et politiques du pays d’une manière ou d’une autre…

Waterloo, un véritable Jackpot Comme la plupart des banquiers, les Rothschild disposaient d’un réseau de renseignement. Dès que l’issue du combat à Waterloo fut certaine, un agent partit pour Londres via Ostende. Informé dès le 20 juin dans la matinée, Nathan Rothschild vendit ostensiblement ses titres à la Bourse, laissant croire que Napoléon avait gagné la bataille de Waterloo. Puis après avoir provoqué un krach, il racheta ces mêmes titres au dernier moment, alors que les cours s’étaient effondrés. Le rapport que Wellington rédigea après la bataille n’arriva dans la capitale britannique que le 21 dans la soirée. Une autre manière de s’en mettre plein les poches est d’avoir un service de renseignement bien plus efficace que tous les services de renseignements des états…

Alors que reste-t-il des richesses du Royaume de France après la révolution et l’Empire ? Une peau de chagrin qui mit la France à la merci des banquiers jusqu’à aujourd’hui. Nous n’eûmes pas beaucoup de répit, la guerre de 1870 nous asservit un peu plus. La première guerre mondiale mit à contribution chaque citoyen tenu de remettre son or à l’état pour l’effort de guerre. La seconde guerre mondiale n’arrangeant rien, il fallut attendre 1973 pour que notre souveraineté monétaire nous soit intégralement retirée. Nous devons cette infamie à Georges Pompidou, agent des Rothschild. Dans l’obligation d’emprunter l’argent mis en circulation à des banques privées, nous sommes depuis 1973 rentrés dans une spirale infernale de dette qu’il est, c’est le but, impossible de rembourser. Sur 2000 milliards d’euros de dette, plus de 90% sont les intérêts cumulés imposés par nos créanciers. En clair, que vous votiez ou non, quel que puisse être le parti politique au pouvoir en France, ce sera toujours l’oligarchie financière qui décidera de la politique du pays. Fiscalité, orientation industrielle ou technologique, culture médiatique, politique économique, retraite à 72 ans (programmée), salaire moyen, libertés citoyennes etc… ne dépendent en rien des vœux pieux des partis politiques qui paradent. Si vous avez des doléances sérieuses faites-les à la Rothschild !

Que reste-t-il de la France ? L’état que constituait la France a été dissous, il n’en reste qu’une vague idée, un évanescent souvenir. Il n’y a pas pire esclave que celui qui croit être libre. L’idée de la Révolution française dans l’inconscient collectif français fait de l’ouvrier français le plus performant au monde, le plus productif. Il est bon de savoir que les chaînes de montages usine les plus rapides au monde sont précisément les chaînes françaises. L’idée fantomatique de liberté a du bon pour le productivisme et l’asservissement. Cette liberté de pacotille a été insufflée par les assassins du roi afin que cet idéal fantomatique les servent toujours mieux jusqu’à aujourd’hui. Nous sommes un peuple asservi par l’oligarchie financière qui se croit libre, en référence aux articles constitutionnels d’une révolution conçue par cette même oligarchie. Quelle ironie du sort !

Sans faux semblants, il nous faut voir la réalité en face. Nous sommes des esclaves qui bénéficient de quelques libertés matérielles qui peuvent à tout moment nous être retirées. La paupérisation des peuples européens se fait par des subtilités à marche forcée. L’orientation est indéfectible, les richesses vont aux réseaux intégrés du Nouvel Ordre Mondial, tandis que les dettes sont supportées par l’ensemble des populations. La visée est claire, il s’agit de forger deux classes :

1°) une classe qui a le pouvoir mondial de création monétaire, qui ainsi pilote absolument tout, son idéal étant une monnaie exclusivement électronique qu’il est aisé de truquer à sa guise.

2°) une classe sans aucun pouvoir qui se contente de croire aux idéologies, aux lubies fantomatiques d’une économie s’auto régulant, aux délires de choix politiques possibles, aux illusions du pouvoir législatif, exécutif et judiciaire. « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » Mayer Amshel Rothschild

La nouvelle lutte des classes n’a plus rien à voir avec le marxisme, le communisme, ou l’anticapitalisme, idéologies d’ailleurs intégrées aux réseaux du Nouvel Ordre Mondial. Rappelons que la révolution bolchévique fut financée par le « banquier de la Révolution mondiale ». Il s’agit de Olof Aschberg, de la banque Nya Banken de Stockholm qui servait d’intermédiaire entre les élites de Wall Street, de la City d’un côté, et les dirigeants bolcheviques de l’autre. L’analyse marxiste est désuète et tronquée. La seule véritable lutte des classes existe entre ceux qui ont le pouvoir de créer de la monnaie ex-nihilo et ceux qui n’ont pas ce pouvoir. Or, parmi ceux qui n’en créent pas, il y a des chômeurs, des ouvriers, des cadres, des chefs d’entreprises, des fortunés et des infortunés. Tous sont exposés aux mêmes dangers, celui de perdre leurs biens s’ils en ont et de perdre toute liberté.

Le système est conçu pour vampiriser les revenus, détruire les services publics et faire flamber les impôts jusqu’à une incontournable implosion sociale. Sans doute en viendra-t-on à des prélèvements directement opérés par votre propre banque, destinés au déficit public. Le fisc finira par être privatisé, précisément racheté par les banques chargées de recouvrir la dette. A ce propos, dans une toute dernière interview sur TV5, le Président de la Cour des Comptes, Philippe Séguin, affirmait : « Quand vous payez vos impôts, ce n’est pas la peine de vous consoler en vous disant, ça va servir pour embaucher des gardiens de prison, pour embaucher des infirmières, faire des routes, des stades, que sais-je... Ça partira en priorité au remboursement de la dette ! » Nous faisons face à une dictature financière éclairée qui s’est octroyée le droit de créer de la monnaie ex-nihilo afin de se bâtir un Empire mondial sans partage. Puisque les gouvernements et les politiques de tout poil ont vendu notre souveraineté à des cohortes de banques privées sans vergognes, qui aujourd’hui, peut restituer cette souveraineté, sinon les peuples eux-mêmes ? Par ailleurs, la grande question de notre époque charnière consiste à savoir si nous pouvons raisonnablement laisser 0,2% de la population mondiale voler l’intégralité des richesses planétaires ?

Frédéric Morin juin 2010

Morphéus n°40
http://www.morpheus.fr/spip.php?article143


12/07/2010

Affaire BETTENCOURT/Nicolas Sarkozy va s'exprimer sur France 2 lundi soir

Publié le 09/07/2010 à 17:50 - Modifié le 09/07/2010 à 20:18 lepoint.fr

PRISE DE PAROLE

Nicolas Sarkozy va s'exprimer sur France 2 lundi soir

Par Emmanuel Berretta

A lire sur LE POINT
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http://www.lepoint.fr/html/lepoint/en_kiosque.jsp

15/03/2010

Les CAF « au bord de l'implosion »

Voilà comment on créé des guerres civiles et des émeutes, valables pour instaurer la Loi martiale, en participant à créer la guerre financière et économique ! Il faut bien pousser les gens vers la famine et le suicide, non ?

 

Créé le 12.03.10 à 04h49
Mis à jour le 12.03.10 à 04h49
Jean-Louis Deroussen (CFTC) lance une« ultime alarme » au gouvernement.
Jean-Louis Deroussen (CFTC) lance une« ultime alarme »
au gouvernement./ MEIGNEUX / SIPA

Guichets fermés, dossiers traités avec retard et personnels débordés : les caisses d'allocations familiales (CAF), sont « au bord de l'implosion », en raison notamment de la crise et de la gestion du revenu de solidarité active, selon le président de son conseil d'administration, Jean-Louis Deroussen (CFTC). Celui-ci a adressé fin février un courrier « d'ultime alarme », publié hier par Le Parisien, au ministre du Travail, Xavier Darcos.

« Pour les allocataires, c'est l'horreur », confirme Jean-Claude Chériki, syndicaliste FO et employé de la CAF de Seine-Saint-Denis. Il poursuit : « A l'antenne Saint-Denis Tour Pleyel, on a parfois 200 m de queue. L'autre jour, j'ai demandé à un allocataire à quelle heure il était arrivé, il m'a répondu 4 h 30 du matin ! Un autre m'a dit : «Moi je suis là depuis 5 h 30 et il y avait déjà dix personnes.» Forcément, il y a des gens qui deviennent agressifs, il faut comprendre : c'est de l'argent qu'on leur doit, certains n'ont que ça, mais le personnel est à bout. »

A Saint-Denis, 197 000 pièces administratives seraient en déshérence, faute de personnel. Seule solution trouvée jusqu'ici, « fermer un jour par semaine pour traiter les dossiers et faire des heures supplémentaires, obligatoires », soupire Jean-Claude Chériki, qui réclame la création de 100 postes dans le département. Au niveau national, il manque aujourd'hui « mille personnes sur six mois », selon Jean-Louis Deroussen, pour espérer résorber le retard dû à l'explosion du nombre d'allocataires. Une demande que le ministère « n'a pas entendue, malgré notre interpellation », déplore le président de la CAF. W

Bérénice Dubuc et Charlotte Mannevy

http://www.20minutes.fr/article/390518/Economie-Les-CAF-a...


 

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17/12/2009

Humour : Entrez dans la banque !


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