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C'est facile de proposer des Lois en France et ensuite de se décharger de ses responsabilités Civiles et Pénales vers l'Union Européenne qui a géré la Plandémie de manière catastrophique pour les intérêts d'une certaine Caste mafieuse, et ce, tout en écartant nos Professeurs en Infectiologie, en interdisant à nos Médecins de prescrire des traitements médicaux qui existaient pour certains en vente libre en pharmacie pour quelques Euros, depuis 70 ans, et ce, pour nous imposer leur Dictature et leur Tyrannie !
Il va falloir sortir de cette colonisation étrangère de manière urgente par le FREXIT!
Personne n'en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne "renforcée" dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l'an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !
Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France.
Une résolution contre la souveraineté sanitaire
Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée.
On retiendra du texte qu’il appelle :
à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”
Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…
Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible
On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques.
On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.
Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe.
La base de données de l’Union européenne sur les rapports de réactions médicamenteuses suspectées est EudraVigilance, et ils signalent désormais 24 526 décès et 2 317 495 blessures, suite aux injections COVID-19.
Un abonné de Health Impact News d’Europe nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays d’Europe qui font partie de l’Union européenne (UE), qui comprend 27 pays.
Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, au nombre d’environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays faisant techniquement partie de l’Europe.)
Aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel en Europe de morts ou de blessés suite à des injections COVID-19 serait beaucoup plus élevé que ce que nous rapportons ici.
La base de données EudraVigilance rapporte qu’au 11 septembre 2021, 24 526 décès et 2 317 495 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre vaccins COVID-19 expérimentaux:
VACCIN COVID-19 à ARNm MODERNA (CX-024414)
VACCIN COVID-19 à ARNm PFIZER-BIONTECH
VACCIN COVID-19 ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
VACCIN COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S)
Sur le total des blessures enregistrées, près de la moitié d’entre elles (1 126 869) sont des blessures graves.
« La gravité renseigne sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme «grave» s’il correspond à un événement médical entraînant la mort, mettant la vie en danger, nécessitant une hospitalisation, entraînant une autre affection médicalement importante, ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraînant une invalidité ou une incapacité persistante ou importante, ou est une anomalie congénitale/malformation congénitale.
Un abonné de Health Impact News en Europe a publié les rapports pour chacun des quatre vaccins COVID-19 que nous incluons ici. C’est beaucoup de travail de totaliser chaque réaction avec les blessures et les décès, car il n’y a pas de place dans le système EudraVigilance que nous avons trouvé qui comptabilise tous les résultats.
Depuis que nous avons commencé à publier ceci, d’autres européens ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux.*
Voici les données récapitulatives jusqu’au 11 septembre 2021.
Total des réactions pour le vaccin à ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/Pfizer – 11 711 décès et 980 474 blessures au 11/09/2021
26 634 Troubles du système sanguin et lymphatique incl. 156 décès
26 940 Troubles cardiaques incl. 1 745 décès
253 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques incl. 21 décès
13 005 Troubles de l’oreille et du labyrinthe incl. 9 décès
Ce nouvel épisode confirme bien ce qu'avance Me Carlo BRUSA, Président de l'association Réaction19, au sein de son assignation en référé suspension, mise en œuvre, depuis le 6 septembre 2021, pour une audience qui se tiendra le 21 octobre 2021 à 13 h 30 par devant le Tribunal Judiciaire de Paris et qui invoque l'inexistence en France, des 4 thérapies géniques, qui n'ont jamais reçues, une quelconque AMM ou Autorisation de Mise sur le Marché en France par l'ANSM et que par voie de conséquence, ces 4 thérapies géniques sont inconnues et illégales en France, nouveau décret ou pas !
Et l'on peut se demander pour quelle raison légitime faudrait-il accepter l'injection, dès lors que depuis 1 an, il n'y a plus aucune épidémie en France relative au COVID-19, comme l'on peut de le constater sur le dernier bulletin épidémiologique ci-dessous :
Les fabricants de vaccins covid-19 ont obtenu des autorisations de mise sur le marché conditionnelles (AMMC) auprès de l’EMA (Agence européenne du médicament). Ces autorisations nécessitent le respect d’un calendrier comprenant des points d’étapes, notamment pour ce qui s’agit des demandes de renouvellement, qui doivent s’effectuer tous les six mois. De plus, certains documents sur la composition des vaccins entres autres choses, devaient être versés au dossier par les fabricants.
Saisi par trois associations dont BonSens, la LNLV (Ligne nationale pour la Liberté des Vaccinations) et l’AIMSIB (Association internationale pour une Médecine scientifique indépendante et bienveillante), Me Teissedre avait d’abord envoyé un courrier à l’ANSM pour demander les informations. Devant l’absence de réponse, il a déposé un référé-liberté auprès du Conseil d’État pour enjoindre l’Agence nationale de sécurité du médicament à répondre à ses questions.
Questions importantes pour Me Teissedre, car les professionnels de santé sont soumis depuis hier à l’obligation vaccinale, sous peine de suspension de rémunération ou d’interdiction d’exercer. Une contrainte pour le moins importante, qui pose les questions de la discrimination, de la disproportion et du respect des droits fondamentaux, parmi lesquels le consentement libre et éclairé. Ce n’est pas la première fois que Me Teissedre interroge l’ANSM et remet en question son « obscure transparence ».
L’ANSM lui a répondu ce jour, avec un courrier en date du 7 septembre 2021 : elle ne sait pas si les obligations réglementaires ont été respectées par les fabricants. Il aura donc fallu neuf jours pour faire parvenir cette réponse, alors qu’un simple courriel aurait suffi. Cela n’a pas empêché le gouvernement de pousser la représentation nationale à voterla loi sur l’obligation vaccinale et la mise en place du passe sanitaire fin juillet 2021, ni la décision duConseil constitutionnel du 5 août 2021.
L'ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre
Me Teissedre ne cache pas sa surprise. En France, les associations ont un nouveau rôle : celui de vérificateur du respect des règles et des régulateurs. En effet, afin d’assurer la confiance, il est important que transparence soit faite sur ces points précis. Les associationnels ne comptent pas en rester là.
➢ Le taux d'incidence : 7 malades covid-19 pour 100.000 habitants ! ➢ Il n’y a aucune prétendue crise sanitaire due à la covid-19 ➢ Taux d’alerte épidémique : 170 malades pour 100.000 habitants
Le passe sanitaire n’a pour objectif que de forcer une « vaccination » inutile, aux vues des données épidémiques dérisoires, qui sont disponibles.
L’incitation forcée à la « vaccination » – thérapie génique continue mais elle n’a toujours pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19. Les courbes ci-dessous démontrent que l'épidémie de la covid-19 était sous le seuil d’alerte déjà en 2020 bien avant que ne débute la campagne de vaccination (thérapie génique – OGM – expérimentale) !
Nous relayons ici, les Conseils Juridiques pour les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés, ainsi que pour que vous puissiez conserver vos enfants à la maison, en sécurité, en les faisant mettre en arrêt de maladie par votre médecin traitant habituel pendant que vous prenez RDV avec un pédopsychiatre qui pourra les suivre et prolonger l'arrêt de maladie, le temps que le Juge des Référés du Tribunal Judiciaire de Paris, ne rende en octobre 2021, sa décision de suspension des 4 thérapies biogéniques, leurs injections, et leur retrait de leur commercialisation en France, ainsi que le retrait du Passe Sanitaire.
Ces Conseils Juridiques sont prodigués par l'Association Réaction19, Présidée par Me Carlo BRUSA - Avocat au Barreau de Paris et nous mettons à votre disposition, en téléchargement, toutes les dernières mises en ligne des actes de procédures ou des exemples de lettres à utiliser ou des lettres de conseils à suivre afin de pouvoir mener vos actions personnelles ou collectives, en toute légalité et que vous puissiez valablement vous défendre.
L'association est domiciliée au :
RÉACTION19 Association Loi 1901 Agrément N° : W751256495 68, Rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Tél. : 01 88 31 11 77
Le lien du site de l'association Réaction19 qui compte déjà plus de 90 000 adhérents, dont des Magistrats, des Avocats et autres adhérents, et association à laquelle vous pourrez adhérer pour 10 € par an, afin de vous permettre de mener des actions judiciaires collectives : https://reaction19.fr/
Le lien pour voir toutes les vidéos d'informations diverses de l'association Reaction19 WebTV qui sont animées par Me Carlo BRUSA : https://videos.reaction19.fr
Ou encore la Chaine Vidéos sur Odyssée par ce lien :
En effet, quatre « vaccins contre la Covid-19 » ont fait l'objet d'Autorisations de Mise sur le Marché (ci-après : « A.M.M. ») conditionnelles par la Commission Européenne. En France, l'utilisation des médicaments pour lutter contre « la Covid-19 » a été fixée par le décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020, tel que modifié par le décret n°2021-384 du 2 avril 2021.
Or, ce décret vise d'autres produits médicamenteux que ceux visés par les A.M.M. conditionnelles. De plus, les produits autorisés par le décret ne figurent pas dans le dictionnaire du Vidal répertoriant les médicaments autorisés sur le marché français. Ainsi, en France, les produits médicamenteux injectés comme étant des «vaccins contre la Covid-19 » n'ont fait l'objet d'aucune autorisation légale ou réglementaire et sont donc inexistants.
C'est pourquoi, l'injection de tous les produits médicamenteux désignés comme étant des « vaccins contre la Covid-19 » depuis le 27 décembre 2020, date de début de la « campagne de vaccination » en France, jusqu'à la suspension de l'utilisation desdits produits, est illégale. Par ailleurs, toutes les procédures et les mesures ainsi que tous les remboursements afférents à la « vaccination » par les produits visés par le décret, sont illégaux et toujours en phase de tests.
Par conséquent, l'Association REACTION19 demande notamment la suspension immédiate de l'utilisation, du transfert et de la livraison desdits produits médicamenteux utilisés aux fins de « vaccination contre la Covid-19 ».
Aussi, à ce jour, les personnes qui se font vacciner au moyen de produits médicamenteux inconnus, n’ayant fait l’objet d’aucune autorisation légale, sont illégaux et inconnus en France et tous ceux qui se font injecter ces 4 thérapies biogéniques qui sont toujours en phase de tests, ne servent que de "COBAYES" et qu'il se pourrait bien que le Passe Sanitaire ne soit que le BREVETprouvant que vous appartenez désormais à BIG PHARMA qui peut vous tracer comme il l'entend, et ce, tout en violant non seulement votre vie privée mais aussi le secret médical.
Et ce, tout en sachant que les Laboratoires pharmaceutiques de BIG PHARMA ont obtenu l'autorisation des Etats et de la Commission Européenne, d'être relevés de toute responsabilité, en cas d'effets secondaires ou de décès et de toutes poursuites en réparation et de toutes poursuites pénales ou civiles et que les assurances privées ont déjà prévenues qu'elles ne prendraient pas en charge de quelconques effets secondaires ou de morts qui seraient dus à l'injection des 4 thérapies biogéniques.
Bien évidemment tous les contrats signés entre, les non élus par les 27 Peuples européens, et qui siègent illégalement auprès de la Commission Européenne et les Laboratoires Pharmaceutiques de BIG PHARMA, sont tenus secrets !
Les 4 thérapies biogéniques dont l’existence est contestée qui sont inconnues et illégales en France depuis décembre 2020, car elles ne correspondent pas à celles commandées par la Commission Européenne, sont les suivantes :
1 - COMIRNATYDISPER DILUER P SOL INJ : du 4 août 2021
Substance : ARNm modifié codant la glycoprotéine spike (S) du SARS-CoV-2
Vaccin à ARNm** contre la COVID-19 (encapsulé dans des nanoparticules lipidiques)
Composition : ** L'ARN messager (ARNm) simple brin à coiffe en 5' est produit à l'aide d'une transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d'ADN correspondantes et codant pour la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.
Excipients à effet notoire : EEN sans dose seuil : éthanol
Composition: Adénovirus de chimpanzé codant pour la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 (ChAdOx1-S)
Produit sur des cellules rénales embryonnaires humaines (Human Embryonic Kidney, HEK) 293 génétiquement modifiées et par la technologie de l'ADN recombinant. Excipients : L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, chlorure de magnésium hexahydraté, polysorbate 80 (E433), éthanol, saccharose, chlorure de sodium, édétate disodique (dihydraté), eau pour préparations injectables. Excipient à effet notoire : chaque dose (0,5 ml) contient environ 2 mg d'éthanol. Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Substance : ARNm modifié codant la glycoprotéine spike (S) du SARS-CoV-2
Composition : ARN messager simple brin, à coiffe en 5', produit par transcription sans cellule in vitro à partir des matrices d'ADN correspondantes, codant la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.
Excipients à effet notoire: EEN sans dose seuil : éthanol
Composition: Adénovirus type 26 codant pour la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2* (Ad26.COV2-S), non inférieur à 8,92 log10 unités infectieuses (U. Inf.).
* Produit sur la lignée cellulaire PER.C6 TetR et par la technologie de l'ADN recombinant.
Le produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Ont été assignés par voie d’Huissier de Justice les mis en cause au sein de la procédure de référé suspension, les entités suivantes :
1 - l’AGENCE NATIONALE DE SECURITE DU MEDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTE,
2 - le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MEDECINS,
3 - le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES PHARMACIENS,
4 - la société VIDAL FRANCE.
Sur le consentement libre et éclairé du patient par son Médecin ou tout autre vaccinateur.
Ces 4 thérapies géniques étant inconnues et illégales en France, les Médecins, les Pharmaciens et tous les personnels vaccinateurs n'ont pas été informés des contenus et des effets secondaires produits par lesdites thérapies biogéniques afin d'obtenir le consentement éclairé des patients et des enfants des parents, comme cela a été fait en Suisse par Réinfo Santé.
Téléchargez l'Assignation en référé suspension datée du 6 septembre 2021 et le communiqué de presse daté du, 7 septembre 2021, par les liens, ci-dessous :
Me Carlo BRUSA - Président de l'Association Réaction19, avait déjà prévenu de toutes ces infractions et irrégularités par le biais d'une vidéo diffusée le 26 août 2021.
Me Carlo BRUSA soutient que les produits injectés depuis décembre en France sont illégaux ! Le dossier part en Justice. L'implication est l'arrêt, séance tenante, de toute injection.
Liste des ingrédients composant les vaccins covid19
L'avocat Maître Carlo BRUSA dresse la liste des ingrédients composants les vaccins covid19. Est-ce bien clair pour tout le monde désormais ?
Tout est bien orchestré par avance et ce dans la mesure où Macron attend que le Sénat ne statue le 13 octobre 2021 pour rendre la vaccination obligatoire pour tous, avant d'examiner devant le Sénat, la prolongation du Passe Sanitaire après la mi-octobre 2021.
Emmanuel Macron « n’exclut pas » la prolongation du passe sanitaire, instauré jusqu’au 15 novembre. Un projet de loi sera nécessaire. Il prolongera aussi le régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire, qui se termine le 31 décembre. La question se pose pour le gouvernement de le proroger pour deux mois, ou au-delà de la présidentielle… Le débat s’annonce sensible.
On imaginait mal le passe sanitaire s’arrêter le 15 novembre, comme le prévoit la loi votée cet été. Sa prolongation semble bien se confirmer. Après le ministre de la Santé, Olivier Véran, c’est Emmanuel Macron qui ne l’exclut pas.
« Il est trop tôt pour le dire. Il est vraisemblable que les situations épidémiques, en particulier en Outre-mer, restent quand même très tendues après la mi-novembre. C’est un débat qui se nouera au sein du gouvernement et au Parlement. Il ne faut pas exclure qu’il y ait besoin, pour les territoires qui sont encore sous forte pression de l’épidémie, de cet instrument, qui est un instrument provisoire, qui évite de fermer les structures », a affirmé Emmanuel Macron, lors d’un point de presse, dans le cadre de son déplacement à Marseille. « Donc si l’épidémie est encore présente dans les semaines qui viennent, il faudra se laisser cette possibilité pour les territoires qui sont les plus touchés », a insisté le chef de l’Etat.
Le ministre de la Santé avait déjà avancé cette éventualité le 26 août. « Ce passe ne peut être prolongé au-delà du 15 novembre, sans quoi il nous faudrait un nouveau texte de loi, qui serait à nouveau débattu au Parlement », a souligné Olivier Véran, avant d’ajouter : « Je ne dis pas que ça ne peut pas arriver, ça pourrait arriver si le Covid ne disparaissait pas de nos vies dans les trois prochains mois ». Autrement dit, on voit mal aujourd’hui comment on pourrait éviter de prolonger le passe sanitaire. Le sujet ne fait guère plus de doute.
« Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire »
Ce projet de loi devra forcément être adopté avant la date de fin prévue pour le passe. De source gouvernementale, on soutient qu’il devrait être examiné par les députés « dans la deuxième quinzaine d’octobre ». Il devra ensuite passer par le Sénat. « Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire », nous confie un ministre. On imagine mal en être autrement, après les tensions de l’été et les manifestations des anti-passe.
Ce projet de loi ne concernera pas le seul passe sanitaire. Se posera aussi la question du régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire. Pour lutter contre l’épidémie de covid-19, il permet au premier ministre de prendre de nombreuses mesures privatives de libertés – celles d’aller et venir, de commerce, de rassemblement, fermeture de lieux recevant du public, etc – à l’exception du confinement généralisé, qui nécessite la proclamation de l’état d’urgence sanitaire. Mis en place le 2 juin, ce régime transitoire avait été prolongé jusqu’au 30 septembre, puis jusqu’au 31 décembre.
« On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… » (un ministre)
La question de la nouvelle date de prolongation du régime de sortie de l’état d’urgence n’est pas tranchée. D’autant que le sujet est épineux. Deux possibilités pourraient s’offrir au gouvernement. Soit prolonger le régime jusqu’à la fin de la session parlementaire, qui se termine le 28 février 2022, pour cause de campagne présidentielle. Mais la situation épidémique risque d’être encore difficile et la prolongation serait un peu courte. Soit prolonger jusqu’au 30 juin 2022.
Certains pensent que prolonger le régime au-delà de la présidentielle et des législatives, c’est s’aventurer en terrain glissant. Dans le contexte électrique des derniers mois, les anti-passe, et plus globalement les oppositions à Macron, n’hésiteront pas à s’en saisir. C’est du moins la crainte d’un ministre : « On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… Si on peut s’éviter cette polémique en pleine année présidentielle… »
Reste une autre option, toujours possible : celle de prolonger jusqu’au 28 février, et « s’il faut, reconvoquer le Parlement » pour adopter une nouvelle prolongation, face à la situation sanitaire. Quelle que soit la solution, le même ministre euphémiste : « Ça promet des petits débats… » Une chose est sûre, la présidentielle se fera sous covid. Au gouvernement, on espère que l’épidémie restera, comme aujourd’hui, sous relatif contrôle.
Publié le : 02/09/2021 à 17:17 - Mis à jour le : 02/09/2021 à 17:24
Un petit rappel des modalités d'application de la campagne de vaccination. Mme Bachelot est bien sûr obligée de faire passer ces modalités au JO avec à la clé, l'intervention des Préfets qui réquisitionnent les personnels vaccinateurs, les pédiatres et les médecins sont exclus de la vaccination, ce qui représente une première, une injection vaccinale qui se fait sans sécurité avec des AMM qui n'ont jamais été délivrées et l'obligation du traçage des vaccinés. Les vaccinés servant de cobayes aux laboratoires pharmaceutiques.
Est-ce que ce sont des pratiques qui relèvent d'un pays dit des Droits de l'Homme ?
NOUVELOBS.COM | 07.11.2009 | 11:14
La campagne de vaccination contre la grippe A démarre jeudi prochain en France. 6 millions de personnes sont concernées par la première vague.
Roselyne Bachelot assiste à la vaccination d'un membre du personnel de santé contre la grippe A. (AFP)
Le cadre légal de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 qui démarre jeudi prochain pour le grand public est défini par un arrêté du ministère de la Santé publié vendredi 6 novembre au Journal officiel. "Une campagne de vaccination est conduite sur l'ensemble du territoire national pour permettre aux personnes qui le souhaitent de se faire immuniser contre le virus de la grippe A (H1N1) 2009", indique l'arrêté. "La vaccination est proposée prioritairement aux personnes les plus exposées ou les plus à risque", ajoute-t-il.
Première vague
Le processus de vaccination commencera pour le grand public le jeudi 12 novembre. Quelque 6 millions de personnes seront invitées à se faire vacciner lors de la première vague : personnels de santé, personnes les plus fragiles de moins de 65 ans (avec facteurs de risque) et entourage des nourrissons de moins de six mois.
"L'organisation de la campagne est assurée par le représentant de l'Etat territorialement compétent. Elle repose, à partir du 12 novembre 2009, sur des centres spécifiques ainsi que sur des équipes mobiles de vaccination notamment appelées à intervenir dans les lieux de vie collective ou fermés", indique l'arrêté. "Pour les besoins de la campagne le représentant de l'Etat procède à toute réquisition nécessaire dans le cadre prévu à l'article L. 3131-8 du code de la santé publique", précise-t-il.
Quelques éléments d'information pour vous aider à faire votre choix en conscience sur l'acceptation ou le refus de la vaccination criminelle :
Peut-on connaître le contenu exact du vaccin ? NON !
- dans la mesure où le laboratoire pharmaceutique Baxter qui distibue ses souches virales auprès de tous les laboratoires pharmaceutiques est privé, et qu'il a déposé des brevets. Nous ne pourrons jamais connaître le contenu exact du vaccin. Baxter commercialise ses souches et il n'éventera jamais les secrets de ses formulations contrairement à ce que l'on vous fait croire.
- curieusement le Gouvernement français a acheté des vaccins auprès de laboratoires pharmaceutiques étrangers alors que la France est l'un des premiers pays producteurs au monde de vaccins. Curieux n'est-ce pas ?
- les contrats des vaccins ont tout de suite été classés secret défense, puis diffusés mais tronqués de l'essentiel par Mme Bachelot.
Pourrez-vous vous défendre en justice en cas de maladie ou de décès dus à la vaccination ? NON !
- l'immunité juridique a été accordée à tous les labortoires pharmaceutiques par le Gouvernement. Ce qui veut dire en clair, que vous ne pourrez pas vous tourner vers la justice pour réclamer un quelconque dédommagement, en cas de problème grave de santé connu suite à la vaccination.
Le vaccin est-il fiable et a-t-il été testé ? NON !
- aucune AMM n'a été accordée au vaccin contre la grippeA/H1N1 contrairement aux mensonges proférés par Mme Bachelot.
L'état se sert actuellement de l'AMM accordée en 2005 au vaccin contre la grippe aviaire, le H5N1.
Ce qui revient à dire que les vaccins sont testés sur vos enfants et sur vous-mêmes et que vous servirez de cobaye aux laboratoires pharmaceutiques.
Quels sont les moyens de nous empêcher de connaître le contenu du vaccin et quel est le circuit de distribution emprunté par les vaccins pour assurer l'opacité complète sur le contenu du vaccin ?
- ce n'est pas la sécurité sociale qui a payé directement les vaccins aux laboratoires pharmaceutiques, mais L'Eprus qui est tenu par Mr Coudert un ami de de Sarkozy,
- où sont stockés les vaccins ? Auprès des laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes et en zone défense c'est-à-dire protégés par l'armée.
Curieusement des antidotes existent mais nous ne savons pas à qui ils sont destinées.
Les vaccins sont donc amenés par l'armée dans les hôpitaux puisqu'ils sont stockés en zone défense, et les préfets doivent pouvoir y avoir accès pour les distribuer aux unités mobiles de vaccination qui se rendront dans les écoles et les centres de vaccination.
Qui peut vacciner ?
Les médecins bénévoles, les personnes réquisitionnées par les Préfets ou les personnes recrutées par l'Eprus dans le cadre des équipes faisant partie de la réserve sanitaire pour effectuer la vaccination dans les écoles et les centres de vaccination.
On veut vous assassiner et vous priver des personnes qui pourraient vous protéger et vous conseiller utilement, à savoir que :
Les médecins, les pédiatres et les pharmaciens sont exclus du circuit de la vaccination.
Ce qui veut dire en clair que très exceptionnellement, le circuit de distribution pharmaceutique traditionnel est écarté de la distribution du vaccin.
Vous ne pouvez donc pas acheter votre vaccin directement ou librement en pharmacie pour vous faire vacciner par votre médecin.
Le plan est diabolique pourquoi ?
On demande aux médecins, aux personnels de santé, à l'armée, à la gendarmerie de se faire vacciner en priorité.
On veut donc vous priver de soins et de protection en cas de décès de votre médecin et du personnel de l'armée et des forces de l'ordre.
Si on voulait vous isoler complètement de vos prédateurs dictateurs, l'on ne s'y prendrait pas autrement !
Pour quelle raison le choix de la double dose de vaccination a-t-il été fait ?
La première vaccination a pour effet de vous innoculer le virus vivant, de faire chuter votre immunité et de faire muter le virus.
Le vaccin s'éliminant par les voies naturelles de l'air et de l'eau, vous serez devenu dangereux pour votre entourage car vous deviendrez le vecteur privilégié de l'expansion de la pandémie mondiale. Ainsi seront touchés par le virus y compris les personnes qui n'auront pas été vaccinées.
Se pose ainsi la question cruciale de savoir si vous allez scolariser vos enfants, ce dans la mesure où même s'ils n'ont pas été vaccinés, ils risquent d'attraper le virus par le biais des enfants qui l'auront été, et la vaccination doit durer de surcroît durant 4 mois.
Réfléchissez dès maintenant aux solutions que vous pourriez trouver pour ne pas scolariser vos enfants durant cette période.
De toute manière et si les prévisions sont exactes, des évènements d'ordre cataclysmique devraient se produire prochainement qui vous empêcheront de scolariser vos enfants.
Autant prendre la décision dès maintenant de les mettre à l'abri.
L'organisation de cette pandémie artificielle et criminelle dont vous pourriez être les victimes est faite pour détourner votre attention de ce qui se passe actuellement dans le ciel et dans le cosmos.
On vous a menti sur les réelles causes du réchauffement planétaire et tous les gouvernements du monde craignent après vous avoir menti que les peuples ne se révoltent et ne se retournent contre eux.
Il faut donc vous éliminer avant toute révolte dirigée contre eux.
Lorsque la pandémie se sera étendue, ensuite on vous dira que tout le monde doit être vacciné à cause du niveau de contamination qui aura été volontairement atteint.
Un bon prétexte pour nous instaurer l'obligation vaccinale à l'appui de l'instauration de la loi martiale ou d'exception.
La seconde injection vaccinale est faite pour vous achever.
Conclusion : le crime vaccinal a été organisé de telle sorte qu'à aucun moment de la campagne de vaccination, que ce soit à partir de la fabrication du vaccin jusqu'à son injection finale, personne ne peut avoir accès à un échantillon du vaccin pour le faire analyser. Raison pour laquelle les réseaux de la pharmacie et des médecins ont été exclus de la vaccination.
Nous avons ainsi la confirmation que ce vaccin doit être mortel et participer à l'éradication de la population mondiale.
Tel que le circuit a été organisé, même pas un juge ne peut avoir accès au vaccin, sauf réquisition et ouverture d'une procédure criminelle.
Et le gag, c'est que c'est la Sécu qui paie les vaccins pour nous empoisonner avec nos propres deniers.
Allez-vous vous faire vacciner vous et vos enfants dans ces conditions, sans connaître le contenu exact du vaccin mortel ?
Soyez conscients dès maintenant que le Gouvernement vous a déclaré une guerre biologique en temps de paix.
Ne vous reposez pas sur le fait que nous soyons dans le pays des Droits de l'Homme ! C'est un mythe auquel il va falloir définitivement renoncer.
Nous avons affaire à des criminels et à des dictateurs, ça c'est sûr, qui souhaitent prendre le contrôle sur la population mondiale afin d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial.
La campagne de vaccination est une partie de leurs plans, d'autres plans sont actuellement en cours d'exécution parallèlement.
Vaccination, des nouvelles de France et du Monde :
De nombreux enfants et personnes sont déjà décédés de la vaccination cdans le monde, d'autres présentent des maladies neurologiques dont le syndrome de Guillain Barré et nombre de femmes enceintes vaccinées ont fait des fausses couches notamment aux USA.