17/05/2010
Comment rester en bonne santé ?
Plus vous resterez ignorants des règles élémentaires portant sur la santé naturelle et sur la nutrition et plus vous ferez la richesse des laboratoires pharmaceutiques et du système médical.
Quelques bases élémentaires à connaître pour vous et pour vos enfants.
Pour garantir le bon fonctionnement et la longévité de votre voiture, vous lui offrez régulièrement de l'essence et de l'huile de qualité, une bonne vidange ; ainsi qu'un passage chez le spécialiste de temps en temps, non ? Et bien, c'est pareil pour notre corps.
Outre l'importance de la qualité des aliments et de l'air que nous ingérons et l'activité musculaire, l'accumulation des déchets est en grande partie responsable de la nature profonde de toutes nos maladies et le drainage des toxines est donc un point essentiel à prendre en compte pour conserver une bonne santé longtemps ou la retrouver rapidement.
L'action d'une thérapeutique visant au drainage des toxines, permet un travail en profondeur de l'organisme. Une philosophie qui préfère agir sur la cause que sur les symptômes pour obtenir des résultats durables sur le long terme.
Mais attention, comme toute médecine naturelle, il faut mener des cures raisonnables et adaptées et NE PAS EXAGERER !!!!!
Mais pour mieux comprendre, regardons comment ça marche là dedans...
Nous pouvons comparer le corps à un transformateur énergétique à travers lequel circulent différentes sortes d'énergies, qui fonctionne en 3 étapes :
- Réception des énergies externes (aliments, air, soleil, ...)
- par voie digestive
- par voie respiratoire
- par voie cutanée
- Transformation de ces énergies de façon à les rendre utilisable pour l'organisme (principalement celle qui entre par la voie digestive)
- digestion
- les métabolismes
- Dépense des énergies transformées et élimination des déchets
- les 5 émonctoires
Pour que notre organisme fonctionne correctement, il faut donc :
- que l'apport énergétique soit adapté à ses capacités de transformation
- que cette transformation se fasse correctement
- que ces énergies transformées soient toutes dépensées ou éliminées
Sinon les énergies ne circulant pas convenablement, provoquent une accumulation de déchets dans notre organisme.
Tant que la quantité de déchets produits quotidiennement reste dans les limites de la capacité d'élimination de l'organisme, la circulation des énergies peut se faire correctement mais dès que la production de déchets dépasse la capacité d'élimination, il s'ensuit une accumulation de toxines dans l'organisme, avec, comme conséquence, un fonctionnement organique perturbé.
Les émonctoires sont les portes de sortie des toxines.
5 émonctoires principaux | 4 émonctoires secondaires (moins importants et plus difficile à drainer) |
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Le foie est le plus important, il neutralise les substances toxiques contenues dans le sang, filtre le sang de ses déchets et les élimine sous forme de bile dans les intestins.
Les reins pompent continuellement les déchets qui se trouvent dans le sang, les diluent dans du liquide et les éliminent sous forme d'urine. En cas de surcharge une partie des déchets s'accumulent dans le filtre et le reste pénètre dans le sang, lequel à défaut d'être épuré normalement, laisse les déchets s'accumuler dans les tissus organiques.
La peau est une double voie d'élimination puisqu'elle élimine la sueur par les glandes sudoripares et le sébum par les glandes sébacées. Ces éliminations sont en général discrète, mais permettent vu l'étendue de l'émonctoire cutané, de libérer l'organisme d'une masse importante de toxines. Si la transpiration ne peut s'effectuer ou se fait mal, l'organisme est contraint de conserver des déchets qui auraient pu s'effectuer par cette voie.
Les voies respiratoires, 5ème porte de sortie, éliminent principalement les déchets gazeux (gaz carbonique, ...) qui résultent des combustions organiques. Lorsqu'une personne est trop sédentaire et/ou ne prend pas assez l'air frais, le gaz carbonique n'est pas entièrement éliminé et l'organisme s'asphyxie lentement.
Chaque fois qu'un émonctoire ne travaille pas assez, des toxines s'accumulent dans l'organisme et empêchent celui-ci de travailler correctement.
Presque tous les déchets proviennent de l'extérieur du corps et pénètrent dans notre organisme :
- par les voies digestives
- suralimentation
- alimentation qualitativement inadaptée
- fermentations et putréfactions intestinales
- café, alcool, limonades, sucreries, ...
- excès de sel
- additifs alimentaires
- eau trop calcaire
- pollution des aliments par les insecticides, herbicides, engrais, ...
- médicaments donnés au bétail que l'on retrouve aussi dans les sous produits (oeufs, lait,...)
- médicaments chimiques, de synthèse, les vaccins, ...
- par les voies respiratoires
- pollution de l'air, fumée des usines, gaz d'échappement
- l'air dévitalisé dans les appartements mal aérés ou dans les locaux publics très fréquentés
- fumée du tabac
- par la voie cutanée
- produits cosmétiques, maquillage, d'entretien du corps,...
La source interne de production des déchets est provoquée par l'usure organique (débris de cellule, cadavres de globules rouges, déchets de protéines, des minéraux usés, ...)
Il existe 2 groupes de déchets :
- les cristaux
- les glaires
Les cristaux :
Ces déchets durs et blessants, sont solubles dans les liquides et évacués par les reins et les glandes sudoripares qui, avec l'urine et la sueur offrent un abondant support à leur dissolution.
Les cristaux sont des résidus (acide urique, ...) provenant de la digestion et de l'utilisation d'aliments riches en protéines (tels que viande, poisson, oeufs, produits laitiers, légumineuses et céréales), d'un excès d'aliments acides ou de mauvais glucides (sucre raffiné,...)
Lorsqu'ils s'accumulent dans l'organisme, ils causent des maladies généralement douloureuses et qui ne coulent pas comme les rhumatismes aigus et chroniques , les sciatiques, les calculs, les névrites, les eczémas secs, ...
La thérapeutique à appliquer sera la suivante :
- correction du régime alimentaire en diminuant ou supprimant les aliments à risque
- stimulation des éliminations au niveau des reins et des glandes
- consommation généreuse de liquide
Les colles :
Ces déchets sont des glaires (matière visqueuse) non solubles dans les liquides et s'élimine par le foie, les intestins et les glandes sébacées. La bile, les selles et le sébum sont donc des supports à l'élimination des colles. Si ces émonctoires n'éliminent pas suffisamment, ce sont les voies respiratoires et l'utérus qui prendront le relais.
Les colles proviennent d'une alimentation trop riche en glucides (céréales, pain, pâtes,...) et lipides (graisses).
Les maladies de colles ne sont en général pas douloureuses comme celles des cristaux. Par contre, elles coulent. Les catarrhes des voies respiratoires tels que l'asthme, les bronchites, les sinusites, ... Les catarrhes de la peau tels que l'eczémas coulants, l'acné, les catarrhes de l'utérus et des voies digestives.
La thérapeutique à appliquer sera la suivante :
- correction du régime alimentaire en diminuant ou supprimant les aliments à risque
- drainer les colles excédentaires par les émonctoires adéquats
- assécher l'organisme. Les colles étant non solubles, ont tendance à s'accumuler dans la lymphe et en buvant peu pendant quelque jour, on va obliger l'organisme à puiser du liquide dans la lymphe pour maintenir le volume sanguin normal, de ce fait les colles transportées par la lymphe pénètrent plus abondamment dans le courant sanguin que normalement..
A la base le travail spécifique de chaque émonctoire est soit d'éliminer les cristaux soit les colles. Mais à la longue, avec la fatigue et l'usure du filtre, les émonctoires perdent de leur spécificité et finalement les colles et les cristaux sont éliminées par n'importe lequel des émonctoires (mixité émonctorielle).
Déterminer le type de déchets à drainer et les émonctoires à faire travailler :
- les caractéristiques des troubles présents (maladies de colles ou cristaux ?)
- les caractéristiques les maladies antérieures
- l'analyse du régime alimentaire
- les faiblesses organiques connues
- faiblesse rénale = problèmes de cristaux
- faiblesse hépatique = problèmes de colles
Les toxines sont dites circulantes lorsqu'elles sont localisées dans des régions du corps où la circulation des énergies se fait à un rythme rapide. Elles sont situées dans des endroits facile à drainer (sang, émonctoires, ...)
Les toxines sont dites non circulante les toxines qui se trouvent dans les liquides du réseau lymphatique. Ces toxines sont plus difficiles à éliminer, car elles doivent d'abord quitter le milieu cellulaire, passer dans les courants lents du sérum extra cellulaire jusqu'au capillaire sanguin avant de s'acheminer vers un émonctoire par la circulation générale. Plus les émonctoires et le sang sont libres de toxines, plus il est facile aux toxines profondes de remonter.
Les crises curatives ou maladies
Il faut savoir :
- que l'organisme animé par la force vitale, cherche toujours à se débarrasser des substances qui lui sont nuisibles, en les expulsant par les émonctoires
- que les déchets non éliminés sont poussés dans les profondeurs tissulaires, car il est impératif pour la vie de l'organisme que le sang garde une composition stable
Cette auto-intoxication est provisoire et la force vitale attend la première occasion pour faire remonter ces toxines à la surface.
Le drainage adapté à chaque situation permet d'imiter les efforts curatifs de la force vitale, de maintenir la santé, de prévenir efficacement les maladies voire de participer activement à leur guérison.
Il existe divers moyens de nettoyage des émonctoires mais l'important est de le faire régulièrement au printemps et à l'automne dans un idéal.
12:03 Publié dans Mirella Carbonatto, Nutrition, Santé, Santé Naturelle | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
13/05/2010
Le fast-food modifie le cerveau
Sébastien Bohler
Les hamburgers, sodas ou barres chocolatées modifieraient nos connexions cérébrales. Une expérience a été réalisée sur des rats à l'Institut de recherche Scripps de Floride (un des États d'Amérique les plus touchés par l'obésité). Les neurobiologistes voulaient savoir si un régime de type fastfood modifiait l'expérience du plaisir chez ces rongeurs. Pour ce faire, ils ont procédé en deux temps. D'abord, en implantant une électrode dans un centre du plaisir (l'hypothalamus) et en apprenant aux rats à s'autostimuler en appuyant sur un levier. De cette façon, ils ont pu mesurer le seuil de stimulation électrique à partir duquel les rats ressentaient du plaisir. Puis les rats ont été soumis à un régime de type fast-food.
Au bout de deux semaines de ce régime, les neurobiologistes ont constaté que le seuil de stimulation produisant du plaisir avait augmenté : les rats avaient besoin de stimuler davantage leur hypothalamus pour obtenir le même plaisir. Le fastfood provoquerait donc une désensibilisation des circuits du plaisir, obligeant le mangeur à augmenter ses doses pour se sentir satisfait. Le cerveau serait en quelque sorte blasé, et aurait besoin de se surstimuler pour obtenir la même sensation de plaisir. Les neurobiologistes ont également constaté une diminution d'un type de récepteurs de la dopamine, la molécule du plaisir. Ces modifications, tant biochimiques que comportementales, sont identiques à celles produites par la cocaïne et l'héroïne. La spirale de l'obésité serait amorcée comme une toxicomanie.
Pour la Science - Actualité - Le fast-food modifie le cerveau
23:44 Publié dans Nutrition, Santé, Santé et Gouvernements, Tout pour nous tuer | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook