Bulletin pharmacovigilance : Dossiers SOS JUSTICE

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16/12/2021

Stop au massacre ! Arrêtez les injections avec Pfizer ! Référé Suspension du 16/12/2021 thérapies géniques

Stop au massacre !

L'association Réaction19, Présidée par Me Carlo BRUSA, avait initié, le 6 octobre 2021, une procédure en Référé Suspension sur les 4 thérapies géniques par devant le Tribunal Judiciaire de Paris, dont l'audience a été reportée au 16 décembre 2021 à 10 h. 

Une note juridique a été mise en ligne sur le site de l'Association Réaction19 afin que les parents et tous ceux qui auront reçu cette injection puissent s'en servir à toute fin utile.

Référé Suspension des 4 thérapies Géniques : Covid-19 : Conseils Juridiques pour les Enfants, les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés

Pfizer n'a jamais été reconnu par une quelconque AMM européenne pour être une société Américaine !

Piquer les adultes et les enfants avec un «vaccin Pfizer» est un acte criminel ! Il n’existe pas de vaccin Pfizer reconnu par une quelconque AMM européenne ! Médecins, pharmaciens et autres arrêtez d’administrer un médicament illégalement commercialisé en France ! Stop au massacre !

Télécharger la Note Juridique Pfizer

 

Note Juridique Me Brusa du 15-12-2011.JPG 

 

 

20/09/2021

Inexistence des 4 thérapies géniques en France : Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

Ce nouvel épisode confirme bien ce qu'avance Me Carlo BRUSA, Président de l'association Réaction19, au sein de son assignation en référé suspension, mise en œuvre, depuis le 6 septembre 2021, pour une audience qui se tiendra le 21 octobre 2021 à 13 h 30 par devant le Tribunal Judiciaire de Paris et qui invoque l'inexistence en France, des 4 thérapies géniques, qui n'ont jamais reçues, une quelconque AMM ou Autorisation de Mise sur le Marché en France par l'ANSM et que par voie de conséquence, ces 4 thérapies géniques sont inconnues et illégales en France, nouveau décret ou pas ! 

Relire cet article : Covid-19 : Conseils Juridiques pour les Enfants, les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés 

Et l'on peut se demander pour quelle raison légitime faudrait-il accepter l'injection, dès lors que depuis 1 an, il n'y a plus aucune épidémie en France relative au COVID-19, comme l'on peut de le constater sur le dernier bulletin épidémiologique ci-dessous : 

Bulletin épidémiologique semaine 36, du 6 septembre au 12 septembre 2021  

Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre


 

par FranceSoir.

Les fabricants de vaccins covid-19 ont obtenu des autorisations de mise sur le marché conditionnelles (AMMC) auprès de l’EMA (Agence européenne du médicament). Ces autorisations nécessitent le respect d’un calendrier comprenant des points d’étapes, notamment pour ce qui s’agit des demandes de renouvellement, qui doivent s’effectuer tous les six mois. De plus, certains documents sur la composition des vaccins entres autres choses, devaient être versés au dossier par les fabricants.

Saisi par trois associations dont BonSens, la LNLV (Ligne nationale pour la Liberté des Vaccinations) et l’AIMSIB (Association internationale pour une Médecine scientifique indépendante et bienveillante), Me Teissedre avait d’abord envoyé un courrier à l’ANSM pour demander les informations. Devant l’absence de réponse, il a déposé un référé-liberté auprès du Conseil d’État pour enjoindre l’Agence nationale de sécurité du médicament à répondre à ses questions.

Questions importantes pour Me Teissedre, car les professionnels de santé sont soumis depuis hier à l’obligation vaccinale, sous peine de suspension de rémunération ou d’interdiction d’exercer. Une contrainte pour le moins importante, qui pose les questions de la discrimination, de la disproportion et du respect des droits fondamentaux, parmi lesquels le consentement libre et éclairé. Ce n’est pas la première fois que Me Teissedre interroge l’ANSM et remet en question son « obscure transparence ».

L’ANSM lui a répondu ce jour, avec un courrier en date du 7 septembre 2021 : elle ne sait pas si les obligations réglementaires ont été respectées par les fabricants. Il aura donc fallu neuf jours pour faire parvenir cette réponse, alors qu’un simple courriel aurait suffi. Cela n’a pas empêché le gouvernement de pousser la représentation nationale à voter la loi sur l’obligation vaccinale et la mise en place du passe sanitaire fin juillet 2021, ni la décision du Conseil constitutionnel du 5 août 2021

 

L'ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

https://rumble.com/vml7fv-lansm-ne-possde-pas-les-informa...

 

 

Me Teissedre ne cache pas sa surprise. En France, les associations ont un nouveau rôle : celui de vérificateur du respect des règles et des régulateurs. En effet, afin d’assurer la confiance, il est important que transparence soit faite sur ces points précis. Les associationnels ne comptent pas en rester là.

Copie du courrier de l’ANSM :

La directrice de l'ANSM ne sait rien sur la mise sur le marché des 4 thérapies géniques.jpg

A télécharger en PDF : ICI

Source : FRANCE SOIR 

 

Communiqué de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations

L’Agence de sécurité sanitaire fait-elle vraiment son travail ? 

Communiqué des associations.jpg

A télécharger en PDF : ICI  

 

 

18/09/2021

Référé Suspension des 4 thérapies Géniques : Covid-19 : Conseils Juridiques pour les Enfants, les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés

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Référé Suspension des 4 thérapies Géniques : Covid-19 : Conseils Juridiques pour les Enfants, les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés

Nous relayons ici, les Conseils Juridiques pour les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés, ainsi que pour que vous puissiez conserver vos enfants à la maison, en sécurité, en les faisant mettre en arrêt de maladie par votre médecin traitant habituel pendant que vous prenez RDV avec un pédopsychiatre qui pourra les suivre et prolonger l'arrêt de maladie, le temps que le Juge des Référés du Tribunal Judiciaire de Paris, ne rende en octobre 2021, sa décision de suspension des 4 thérapies biogéniques, leurs injections, et leur retrait de leur commercialisation en France, ainsi que le retrait du Passe Sanitaire.

Ces Conseils Juridiques sont prodigués par l'Association Réaction19, Présidée par Me Carlo BRUSA - Avocat au Barreau de Paris et nous mettons à votre disposition, en téléchargement, toutes les dernières mises en ligne des actes de procédures ou des exemples de lettres à utiliser ou des lettres de conseils à suivre afin de pouvoir mener vos actions personnelles ou collectives, en toute légalité et que vous puissiez valablement vous défendre.

L'association est domiciliée au : 

RÉACTION19
Association Loi 1901
Agrément N° : W751256495
68, Rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
Tél. : 01 88 31 11 77

Le lien du site de l'association Réaction19 qui compte déjà plus de 90 000 adhérents, dont des Magistrats, des Avocats et autres adhérents, et association à laquelle vous pourrez adhérer pour 10 € par an, afin de vous permettre de mener des actions judiciaires collectives :  https://reaction19.fr/

Le lien pour voir toutes les vidéos d'informations diverses de l'association Reaction19 WebTV qui sont animées par Me Carlo BRUSA : https://videos.reaction19.fr   

Ou encore la Chaine Vidéos sur Odyssée par ce lien :

https://odysee.com/@Reaction19_WebTV_Odysee:b

Tout en sachant qu'une procédure en référé suspension a été mise en œuvre, dès le 6 septembre 2021, par l'association Réaction19 et Me Carlo BRUSA auprès du Tribunal Judiciaire de PARIS, dont l’audience a été fixée, le 21 octobre 2021 à 13 h 30.

Rappelons au préalable que les 4 thérapies biogéniques contiennent de l'ARN Messager modifié volontairement, alors qu'il est le précurseur de notre ADN, qu'il code en permanence sur la base de 4 sortes de nucléotides (appelés aussi bases) symbolisés par les lettres A, C, G et T respectivement nommés Adénine, Cytosine, Guanine et Thymine. Un nucléotide est une structure chimique composée d'une base azotée, d'un phosphate et d'un sucre. 

Ce qui revient à dire que non seulement, il s'agit d'une attaque biologique dirigée à l'encontre de notre ADN et de notre génome et ce qui ne manque pas de générer nombre de morts et d'effets secondaires graves qui nous sont volontairement cachés, mais que de surcroît, ces 4 thérapies biogéniques qui contiennent en plus de tous les autres poisons et composants toxiques, de l'oxyde de graphène et des nanoparticules qui sont dangereuses pour la santé en plus d'être un outil de surveillance et que pour finir, elles sont illégales et inconnues, en France. 

En effet, quatre « vaccins contre la Covid-19 » ont fait l'objet d'Autorisations de Mise sur le Marché (ci-après : « A.M.M. ») conditionnelles par la Commission Européenne. En France, l'utilisation des médicaments pour lutter contre « la Covid-19 » a été fixée par le décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020, tel que modifié par le décret n°2021-384 du 2 avril 2021.

Or, ce décret vise d'autres produits médicamenteux que ceux visés par les A.M.M. conditionnelles. De plus, les produits autorisés par le décret ne figurent pas dans le dictionnaire du Vidal répertoriant les médicaments autorisés sur le marché français. Ainsi, en France, les produits médicamenteux injectés comme étant des «vaccins contre la Covid-19 » n'ont fait l'objet d'aucune autorisation légale ou réglementaire et sont donc inexistants.

Ce qui a encore été confirmé, le 7 septembre 2021, par la Directrice Générale de l'ANSM, l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé. le Dr Christelle RATIGNIER-CARBONNIEL.

Communiqué de presse de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations : L'ANSM fait-elle son travail ?

C'est pourquoi, l'injection de tous les produits médicamenteux désignés comme étant des « vaccins contre la Covid-19 » depuis le 27 décembre 2020, date de début de la « campagne de vaccination » en France, jusqu'à la suspension de l'utilisation desdits produits, est illégale. Par ailleurs, toutes les procédures et les mesures ainsi que tous les remboursements afférents à la « vaccination » par les produits visés par le décret, sont illégaux et toujours en phase de tests. 

Par conséquent, l'Association REACTION19 demande notamment la suspension immédiate de l'utilisation, du transfert et de la livraison desdits produits médicamenteux utilisés aux fins de « vaccination contre la Covid-19 ».

Ce, d'autant plus qu'il est connu et que cela a été prouvé scientifiquement y compris par des scientifiques israéliens que l'immunité naturelle des personnes en bonne santé, est 13 fois, plus puissante qu'une quelconque thérapie biogénique, appelée faussement "vaccin" ! 

Aussi, à ce jour, les personnes qui se font vacciner au moyen de produits médicamenteux inconnus, n’ayant fait l’objet d’aucune autorisation légale, sont illégaux et inconnus en France et tous ceux qui se font injecter ces 4 thérapies biogéniques qui sont toujours en phase de tests, ne servent que de "COBAYES" et qu'il se pourrait bien que le Passe Sanitaire ne soit que le BREVET prouvant que vous appartenez désormais à BIG PHARMA qui peut vous tracer comme il l'entend, et ce, tout en violant non seulement votre vie privée mais aussi le secret médical. 

Et ce, tout en sachant que les Laboratoires pharmaceutiques de BIG PHARMA ont obtenu l'autorisation des Etats et de la Commission Européenne, d'être relevés de toute responsabilité, en cas d'effets secondaires ou de décès et de toutes poursuites en réparation et de toutes poursuites pénales ou civiles et que les assurances privées ont déjà prévenues qu'elles ne prendraient pas en charge de quelconques effets secondaires ou de morts qui seraient dus à l'injection des 4 thérapies biogéniques. 

Bien évidemment tous les contrats signés entre, les non élus par les 27 Peuples européens, et qui siègent illégalement auprès de la Commission Européenne et les Laboratoires Pharmaceutiques de BIG PHARMA, sont tenus secrets ! 

Les 4 thérapies biogéniques dont l’existence est contestée qui sont inconnues et illégales en France depuis décembre 2020, car elles ne correspondent pas à celles commandées par la Commission Européenne, sont les suivantes :

1 - COMIRNATY DISPER DILUER P SOL INJ : du 4 août 2021

https://www.vidal.fr/medicaments/comirnaty-disper-diluer-...

Monographie VIDAL à Imprimer en PDF : COMIRNATY DISPER DILUER P SOL INJ du 4 août 2021

https://www.vidal.fr/imprimer/medicaments/comirnaty-dispe...

Substance : ARNm modifié codant la glycoprotéine spike (S) du SARS-CoV-2

Vaccin à ARNm** contre la COVID-19 (encapsulé dans des nanoparticules lipidiques)

Composition : ** L'ARN messager (ARNm) simple brin à coiffe en 5' est produit à l'aide d'une transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d'ADN correspondantes et codant pour la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.

Excipients : (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldécanoate), 2-[(polyéthylène glycol)-2000]-N, N-ditétradécylacétamide, 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine, cholestérol, potassium chlorure, phosphate monopotassique, sodium chlorure, phosphate disodique dihydrate, saccharose, eau ppi
 

2 - VAXZEVRIA SUSP INJ : du 23 juillet 2021

https://www.vidal.fr/medicaments/vaxzevria-susp-inj-22426...

 Monographie VIDAL à Imprimer en PDF : VAXZEVRIA SUSP INJ : du 23 juillet 2021

https://www.vidal.fr/imprimer/medicaments/vaxzevria-susp-...

Substance : adénovirus de chimpanzé codant pour la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2

Excipients : histidine, histidine chlorhydrate monohydrate, magnésium chlorure hexahydrate, polysorbate 80, saccharose, sodium chlorure, acide édétique sel disodique dihydrate, eau ppi

Excipients à effet notoire : EEN sans dose seuil :  éthanol

Composition : Adénovirus de chimpanzé codant pour la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 (ChAdOx1-S)

Produit sur des cellules rénales embryonnaires humaines (Human Embryonic Kidney, HEK) 293 génétiquement modifiées et par la technologie de l'ADN recombinant. Excipients : L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, chlorure de magnésium hexahydraté, polysorbate 80 (E433), éthanol, saccharose, chlorure de sodium, édétate disodique (dihydraté), eau pour préparations injectables. Excipient à effet notoire : chaque dose (0,5 ml) contient environ 2 mg d'éthanol. Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).

 

3 - SPIKEVAX DISPERS INJ : du 6 août 2021

https://www.vidal.fr/medicaments/spikevax-dispers-inj-227...

Monographie VIDAL à imprimer en PDF  : SPIKEVAX DISPERS INJ du 6 août 2021

https://www.vidal.fr/imprimer/medicaments/spikevax-disper...

Substance : ARNm modifié codant la glycoprotéine spike (S) du SARS-CoV-2

Composition : ARN messager simple brin, à coiffe en 5', produit par transcription sans cellule in vitro à partir des matrices d'ADN correspondantes, codant la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.

Excipients : lipide SM-102, cholestérol, 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine, 1,2-dimyristoyl-rac-glycéro-3-méthoxypolyéthylène glycol-2000, trométamol, trométamol chlorhydrate, acide acétique, sodium acétate trihydrate, saccharose, eau ppi 

4 - COVID-19 VACCINE JANSSEN SUSP INJ du 3 août 2021

https://www.vidal.fr/medicaments/covid-19-vaccine-janssen...

Monographie VIDAL à imprimer en PDF : COVID-19 VACCINE JANSSEN SUSP INJ du 3 août 2021

https://www.vidal.fr/imprimer/medicaments/covid-19-vaccin...

Substance : adénovirus type 26 codant pour la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2

Excipients : hydroxypropylbétadex, acide citrique monohydrate, acide chlorhydrique, polysorbate 80, sodium chlorure, sodium hydroxyde, sodium citrate dihydrate, eau ppi

Excipients à effet notoire : EEN sans dose seuil :  éthanol

Composition : Adénovirus type 26 codant pour la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2* (Ad26.COV2-S), non inférieur à 8,92 log10 unités infectieuses (U. Inf.).

* Produit sur la lignée cellulaire PER.C6 TetR et par la technologie de l'ADN recombinant.

Le produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).


Ont été assignés par voie d’Huissier de Justice les mis en cause au sein de la procédure de référé suspension, les entités suivantes :

1 - l’AGENCE NATIONALE DE SECURITE DU MEDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTE,

2 - le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MEDECINS,

3 - le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES PHARMACIENS,

4 - la société VIDAL FRANCE. 

Sur le consentement libre et éclairé du patient par son Médecin ou tout autre vaccinateur. 

Ces 4 thérapies géniques étant inconnues et illégales en France, les Médecins, les Pharmaciens et tous les personnels vaccinateurs n'ont pas été informés des contenus et des effets secondaires produits par lesdites thérapies biogéniques afin d'obtenir le consentement éclairé des patients et des enfants des parents, comme cela a été fait en Suisse par Réinfo Santé.

Téléchargez la fiche du consentement libre et éclairé en Suisse : Votre consentement éclairé pour le vaccin COVID-19. Merci de prendre connaissance des points suivants

Télécharger le fichier : Des effets indésirables des thérapies biogéniques 

24,526 Deaths 2,317,495 Injuries Following COVID Shots Reported in European Union’s Database of Adverse Drug Reactions 

24 526 décès, 2 317 495 blessures suite à des injections COVID signalées dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des médicaments

Téléchargez l'Assignation en référé suspension datée du 6 septembre 2021 et le communiqué de presse daté du, 7 septembre 2021, par les liens, ci-dessous : 

060921 – Assignation en référé TJ PARIS – ANSM – CNOM – CNOP et Vidal  

070921 – Communiqué de presse REACTION19 

Assignation en référé du 6-09-2021.JPG

Nouvelle image.jpg

Me Carlo BRUSA - Président de l'Association Réaction19, avait déjà prévenu de toutes ces infractions et irrégularités par le biais d'une vidéo diffusée  le 26 août 2021. 

ANNONCE IMPORTANTE DE REACTION19 ! 

https://rumble.com/vlq1iz-annonce-importante-de-reaction19-version-longue.html?mref=k897v&mc=catec  

Me Carlo BRUSA soutient que les produits injectés depuis décembre en France sont illégaux ! Le dossier part en Justice. L'implication est l'arrêt, séance tenante, de toute injection.

Liste des ingrédients composant les vaccins covid19

L'avocat Maître Carlo BRUSA dresse la liste des ingrédients composants les vaccins covid19.
Est-ce bien clair pour tout le monde désormais ?

140921 – Composition des pseudo-vaccins – Dr Robert YOUNG

https://rumble.com/vmn58f-liste-des-ingrdients-composant-les-vaccins-covid19.html?mref=k897v&mc=catec 

Vidéo du 6 septembre 2021, intitulée : 

Y-A-T'IL ENCORE UNE VACCINATION COVID EN FRANCE ?  

https://odysee.com/@Reaction19_WebTV_Odysee:b/y-a-t'il-en...

Comment faire pour défendre vos droits légalement et ne pas perdre votre emploi ?  

1 -  Vous écoutez d'abord la vidéo diffusée, le 14 septembre 2021, par Maître Carlo BRUSA qui vous donne tous les conseils et qui est intitulée : 

140921 – « Je préfère une flétrissure que l’aiguillon du pouvoir »    

https://odysee.com/@Reaction19_WebTV_Odysee:b?view=content&order=new       

 

Tous les documents que Me Carlo  BRUSA a décrits dans la vidéo du 14 septembre 2021, sont ici

2 - Téléchargez les documents qui sont en rapport avec votre situation professionnelle ou personnelle ainsi que les documents en annexes : 

150921 – Engagement personnel de disponibilité à une injection dite «vaccinale»

150921 – FEUILLE DE ROUTE SALARIES : Pour les salariés et agents ayant un lien de subordination privé ou public – Les militaires – Les gendarmes – Les pompiers  

150921 – FEUILLE DE ROUTE DES LIBERAUX : Pour les personnes exerçant dans le domaine de la santé sans un lien de subordination

150921 – Annexe I à l’engagement personnel de disponibilité à une injection dite vaccinale.docx 

150921 – Annexe 2 à l’engagement personnel de disponibilité à une injection dite vaccinale.docx 

150921 – Engagement personnel de disponibilité à une injection dite vaccinale.docx 

***************

L'Hécatombe en Europe avec la "VA$$INATION" 

 

Hécatombe en Europe 4-09-2021.jpg

Pour suivre les données épidémiologiques :

Le Réseau Sentinelle : https://www.sentiweb.fr/

Le Réseau de surveillance Européen :

EudraVigilance : https://www.adrreports.eu/en/index.html

*******************

AUTRES ARTICLES REACTION19 – Août et Septembre 2021, à Télécharger :   

220921 – Vinci dans l’illégalité avec « Tous vaccinés, tous protégés » sur les panneaux lumineux d’autoroute
22 septembre 2021

Bulletin vaccination covid19 EU au 18 Sept. 2021
22 septembre 2021
Bulletin épidémiologique_RS_ w36_6-12 sept_Publié le 18 sept. 2021
19 septembre 2021
150921 – Engagement personnel de disponibilité à une injection dite «vaccinale»
15 septembre 2021

150921 – Citation Direct – Tribunal correctionnel – Rectrice académie Nouvelle-Aquitaine et de Bordeaux
15 septembre 2021
150921 – Citation Direct – Tribunal correctionnel – Au Recteur de l’académie d’IDF et de Paris
15 septembre 2021
140921 – Modèle de contestation de contravention, pour le non-respect de la mesure de mise en quarantaine
14 septembre 2021
140921 – Comirnaty (Pfizer BioNTech) – Notice Information de l’utilisateur
14 septembre 2021
140921 – Composition des pseudo-vaccins – Dr Robert YOUNG
14 septembre 2021
140921 – Des conditions vaccinales non réunies, reconnues par un médecin
14 septembre 2021
130921 – Note juridique – Activités sportives des mineurs au 30 Sept. 2021 sans de PassSanitaire
13 septembre 2021
Bulletin épidémiologique RS w35 du 30 aout au 5 sept – publié le 8 Sept 21
10 septembre 2021
Bulletin vaccination covid19 EUROPE 4 Septembre 2021.pdf
10 septembre 2021

090921 – SUITE : Courrier au Ministre de l’Intérieur relatif à la situation des militaires et des gendarmes
9 septembre 2021
Responsables des 14 collectifs Reaction19
9 septembre 2021
080921 – Masques à l’école – Courrier au Ministre de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports
8 septembre 2021
080921 – Recensement des enfants « vaccinés » ou pas – Courrier à l’attention du Ministre de l’Education Nationale…
8 septembre 2021
080921 – Courrier adressé au Maire de Nice concernant le label personnel vacciné
8 septembre 2021
070921 – Courrier adressé à l’ARS Centre-Val de Loire et au Syndicat national des cardiologues
7 septembre 2021
070921 – Communiqué de presse REACTION19
7 septembre 2021
070921 – Sommation adressée au 1er ministre
7 septembre 2021
060921 – Assignation en référé TJ PARIS – ANSM – CNOM – CNOP et Vidal
6 septembre 2021
Lettre d’information n°4
6 septembre 2021
Bulletin épidémiologique_RS_ w34_23 aout-29aout_20210903
3 septembre 2021
Vidéos WebTV – Dernière vidéo YT 020921
2 septembre 2021
020921 – Non à la « vaccination » des mineurs par des produits légalement inexistants et non autorisés dans le Vaucluse !
2 septembre 2021
020821 – Réponse au courrier de l’ARS Pays de la Loire et du Rectorat de l’Académie de Nantes (7 pdf)
2 septembre 2021
Bulletin épidémiologique RS w33, du 16 aout au 22 août 2021
30 août 2021
270821 – Courrier adressé au Premier Ministre en date du 26 août 2021
27 août 2021
260821 – Courrier adresse au président du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques
26 août 2021
Bulletin vaccination covid19 europe_21 aout 2021
26 août 2021
240821 – Courrier adressé au Ministre de l’Intérieur relatif à la situation des militaires et des gendarmes
24 août 2021
Bulletin épidémiologique_RS_ w32_9 aout-15aout_publication_20210820
21 août 2021
200821 – Courrier adressé à la Ministre des Armées
20 août 2021
200821 – Courrier adressé à la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale
20 août 2021
200821 – Courrier adressé au Procureur de la République (Pôle Emploi)
20 août 2021
200821 – Courrier adressé à la Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion
20 août 2021
200821 – Courrier adressé à Monsieur Jean Bassères Directeur Général du Pôle Emploi
20 août 2021
180821 – Courrier à adresser à l’autre parent qui entend injecter par choix unilateral l’enfant
18 août 2021
180821- Note juridique sur l’illégalité du contrôle du passe sanitaire
18 août 2021
180821 – ATTESTATION SUR L’HONNEUR AUTOTEST
18 août 2021
170821 – Courrier au Maire de Pertuis
17 août 2021
160821 – Note juridique relative à la recevabilité des autotests sans supervision – Reaction19
16 août 2021
Bulletin épidémiologique_RS_ w31_2 aout-8 aout_publication_130821.pdf
15 août 2021
130821 – Courrier de notification sur le droit de retrait
13 août 2021
Bulletin vaccination covid19 EU au 7 aout 2021
11 août 2021
Tutoriel – Accès et élaboration excel des données Eudravigilance.
01 août 2021

 

17/02/2010

Dr Marc Girard : La santé et les experts de la pharmacovigilance française

Confieriez-vous la santé de votre enfant, de vos proches ou la vôtre aux « experts » de la pharmacovigilance française ?

A bon entendeur…

http://www.rolandsimion.org/spip.php?article124

 Dr Marc Girard.

La pharmacovigilance française à l’oeuvre

Le degré zéro de la recherche clinique

mercredi 17 février 2010 par Marc Girard

Prétendre évaluer la pharmacovigilance des vaccins contre la grippe "porcine", ce serait implicitement valider la crédibilité des responsables en charge de la gestion des accidents et incidents notifiés.

Or, les responsables de la pharmacovigilance française ne sont pas crédibles.

Démonstration...

Introduction

La pharmacovigilance (que je pratique depuis près de 30 ans) étant sans doute la moins contestable de mes compétences, plusieurs correspondants se sont étonnés que, à nouveau seul contre beaucoup, je me sois jusqu’à présent abstenu de proposer au public une analyse des données de tolérance relatives aux vaccins contre la grippe porcine depuis qu’ils ont été mis sur le marché, en septembre-octobre 2009.

C’est précisément que, bon connaisseur des systèmes de pharmacovigilance et de leurs déterminants, je sais qu’ils requièrent un minimum de procédures en matière d’information, de recueil, de vérification, de saisie, d’évaluation et de publication - bref : un minimum de sérieux - : prétendre "interpréter" la pharmacovigilance de tel ou tel médicament, c’est implicitement valider toutes ces procédures - partant la crédibilité de ceux qui en ont la charge.

La crédibilité de la pharmacovigilance française

Le précédent de la vaccination contre l’hépatite B

Or, je n’ai cessé de le documenter depuis maintenant des années, les responsables de la pharmacovigilance française ne sont pas crédibles :

  • lors de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, ils ont ignoré des mises en garde ("effet d’échelle") qui eussent dû s’imposer d’emblée à l’esprit du plus médiocre des professionnels (cf. Un précédent inquiétant, mais pas imprévisible...) ;
  • durant des années, ils ont défendu la bonne tolérance de la vaccination contre l’hépatite B sur la base d’une "enquête nationale" dont ils ne savaient même pas opérer les dénombrements élémentaires autrement qu’avec des bâtons et des croix, illustrant à cette occasion "l’âge de pierre informatique" qui règne dans l’administration sanitaire de notre pays [1] ;
  • ils ont été assez irresponsables pour valider placidement qu’une campagne de vaccination (dont les motivations étaient aussi indigentes que celles contre la grippe porcine [2]) allait permettre d’évaluer a posteriori "la sécurité d’emploi des vaccins anti-hépatite B chez les enfants et les nourrissons" (cf. Vaccination antigrippale : un second précédent inquiétant (1994-95)) - reconnaissant du même coup que les études normalement attendues pour recommander l’immunisation en pédiatrie et en néonatologie n’avaient simplement pas été faites ;
  • ils n’ont pas craint de falsifier carrément les données qui leur étaient transmises pour entretenir le mythe qu’aucune pathologie démyélinisante centrale n’avait été rapportée chez l’enfant de moins de 2 ans après vaccination contre l’hépatite B (cf. Pharmacovigilance vaccinale : la falsification à l’oeuvre.).

Le précédent de l’hormone de croissance

Mais les hauts faits de la pharmacovigilance française ne se limitent évidemment pas à ce terrible précédent de la vaccination contre l’hépatite B. Sans entrer dans le détail et pour s’en tenir à une autre affaire médiatisée, rappelons les principales contributions de la Commission nationale de pharmacovigilance au drame de l’hormone de croissance [3] :

  • en 1986, la Commission conclut doctement qu’il n’y avait pas lieu de modifier les règles d’emploi de l’hormone de croissance en France [4] ;
  • en 1988, elle s’alarme d’un risque iatrogène au cœur de toutes les inquiétudes contemporaines : celui de leucémies (sans avoir jamais pris en compte sérieusement celui du Creutzfeldt-Jacob !) : on n’entendra d’ailleurs plus parler de cette alerte pour rien ;
  • en juin 1991, elle démontre le sérieux de ses investigations en assurant que « aucun patient n’a reçu d’hormone de croissance d’origine extractive depuis 1985 » [5] ;
  • en décembre 1991, deux mois avant que n’éclate le scandale que l’on sait et alors que les observations alarmantes s’accumulaient, elle conclut que « un nouveau débat est inutile en l’absence d’éléments nouveaux ».

Une enquête nationale de 20 ans

Probablement pour la première fois, le lecteur trouvera en PJ l’intégralité des procès-verbaux des réunions que la Commission nationale de pharmacovigilance a consacrées aux problèmes de tolérance posés par les vaccins recombinants contre l’hépatite B depuis la première autorisation de mise sur le marché (1987) jusqu’à aujourd’hui. [6]

Une rhétorique pitoyable

Même au travers d’une lecture en diagonale, deux caractéristiques sautent aux yeux, dont la seconde découle de la première :

  • la parfaite similarité de la rhétorique utilisée lors de ce précédent historique [7] avec celle encore utilisée aujourd’hui à propos des vaccins anti-grippaux, avec le même recours aux mêmes poncifs (expertise des cas les plus alarmants toujours "en cours", surveillance toujours "en cours" [en comptant avec des bâtons et des croix...], promesse d’études à venir, dont la plupart ne verront même jamais le jour, rappel constant de "bénéfices" jamais évalués par la Commission mais dont l’évidence justifie n’importe quel risque, impossibilité de conclure, "signal" insuffisant...) et avec, à chaque fois, l’imparable estocade : "aucun élément nouveau" susceptible de modifier l’analyse précédente quand on chercherait en vain quelque précédent "d’analyse" digne de ce nom [8] ;
  • l’accablante indigence des "analyses" ainsi proposées, et des commentaires qu’elles inspirent :
    • en juillet 1997, le nombre de Français vaccinés étant à ce moment estimé aux alentours de 20 millions (le tiers de la population d’alors), la Commission s’avise soudain de "l’intérêt d’évaluer la sous-notification" (alors que n’ayant, jusqu’alors, fonctionné que sur des notifications - à l’exclusion de toute étude pharmaco-épidémiologique tant soit peu structurée - elle est confrontée au problème de sous-notification depuis le tout début de sa surveillance [soit 10 ans depuis la première AMM]) ;
    • l’aveu pitoyable que pour mettre en évidence un doublement du risque de sclérose en plaques (qui, dans une campagne alors présentée comme "universelle", impliquerait - excusez du peu - quelque 25 000 scléroses en plaques purement iatrogènes), il faudrait inclure pas moins de... 800 000 sujets [9] : "principe de précaution", quand tu nous tiens...
    • l’interrogation, en mai 2007 (soit 20 ans après la première AMM et alors qu’environ la moitié de la population française a été exposée à cette vaccination), de "l’état d’avancement de l’évaluation de faisabilité d’études expérimentales dans l’investigation d’un lien de causalité potentiel entre la vaccination contre le VHB et le risque de sclérose en plaques" !!!

Sans entrer, d’autre part, dans le détail technique, contentons-nous de citer cette perle (PV du 10/07/97) illustrant l’effarante incompétence de la Commission qui ne craint pas d’affirmer, à propos de la première étude cas/témoins réalisée en France, que "ces résultats non significatifs ne sont pas en faveur d’une association forte compte tenu de la puissance statistique de l’étude" : la puissance avouée de l’étude une fois publiée [10] étant de 0,30 pour mettre en évidence un doublement du risque (càd que même si le risque de complication neurologique était multiplié par deux - ce qui est considérable - l’étude avait deux chances sur trois de passer à côté...), c’est un B A BA méthodologique que la première cause de non significativité dans une étude c’est justement... le manque de puissance statistique - parfaitement avéré en l’espèce (on s’accorde à considérer comme "acceptable" une puissance statistique à partir de 0,80). Les "experts" de la Commission nationale de pharmacovigilance raisonnent tout simplement à l’envers...

Cette rhétorique lamentable de la Commission nationale de pharmacovigilance ne se retrouve pas seulement dans ses analyses actuelles des nouveaux vaccins contre la grippe porcine : j’abandonne à mes lecteurs le soin de faire un constat similaire dans d’autres dossiers, tel celui relatif à la surveillance des vaccins anti-HPV (Gardasil, Cervarix).

L’exemple des scléroses latérales amyotrophiques

On pourrait consacrer un livre entier aux insanités intellectuelles qui saturent l’ensemble des comptes rendus donnés ici en PJ. Concentrons-nous simplement sur le risque de scléroses latérales amyotrophiques (SLA) évoqué à partir du 21/05/2002 (soit... plus de dix ans après l’élargissement de la vaccination aux professionnels de santé, et 8 ans après le lancement de la campagne scolaire) : rappelons que cette maladie effroyable se solde généralement par un décès rapide (généralement en moins de 3 ans), au terme d’une épouvantable agonie impliquant notamment une paralysie progressive des muscles respiratoires. On pourrait croire que la gravité d’une telle complication (jointe, en l’espèce, à son alarmante atypie puisque les cas rapportés après vaccination se signalent par la jeunesse des sujets concernés - ce sont parfois même des enfants - pour une maladie qui, à l’état "naturel", frappe plutôt des personnes du troisième âge) justifierait un minimum de sérieux chez les responsables de la pharmacovigilance française : mais écoutez plutôt.

  • Alors donc que le nombre de SLA post-vaccinales rapportées au début de 2002 (soit 36 cas) apparaissait suffisamment alarmant pour justifier une « enquête officielle » de l’AFSSAPS (21/05/02), il faut comprendre un an plus tard (mise à jour du 15/05/03) que l’incidence annuelle maximale des notifications (…) reste toujours "inférieure" à l’incidence annuelle de la SLA estimée entre 2 et 4/100 000.
  • « Néanmoins, le CRPV de Strasbourg suggère l’analyse approfondie de la seule population de patients de moins de 40 ans sur la base de critères génétiques (…) à la recherche d’éventuels facteurs de risque ».
  • Moyennant quoi, le bilan suivant (27/09/05) se contente d’évaluer à 53 le nombre total de cas rapportés et de soutenir que rien ne permet « de conclure à l’existence d’un signal susceptible d’associer la vaccination contre l’hépatite B et la survenue de SLA ».

Sur la base de ces citations, on peut donc reconstituer les faits suivants :

  1. en mai 2002, la Commission nationale de pharmacovigilance a promis une « enquête officielle » sur le risque de SLA suivant une vaccination contre l’hépatite B ;
  2. bien qu’aucun compte rendu sérieux de cette « enquête officielle » n’ait jamais été diffusé, un projet d’étude « génétique » s’y est substitué, sans que l’on sache sur la base de quel raisonnement épidémiologique il a été décidé de la limiter aux sujets de moins de 40 ans ;
  3. moyennant quoi, aucune étude génétique n’a jamais été menée et la Commission nationale, qui considérait un total de 36 cas comme suffisamment intriguant pour justifier une « enquête officielle », cesse purement et simplement de s’intéresser au problème quand il apparaît, trois ans plus tard, que le nombre total de cas est passé à 53.

Il apparaît donc :

  • qu’aucune des études promises n’a été effectuée ;
  • que l’argument d’un signal « insuffisant » pour justifier cette inertie est d’autant plus indigent que :
  •  
    • la Commission se garde bien de spécifier le niveau à partir duquel ce signal serait "suffisant" ;
  •  
    • elle n’explique pas pourquoi, par rapport au niveau de 2002 (n = 36) jugé suffisant pour motiver une enquête officielle, une augmentation de +47% (n = 53) justifie soudain de ne plus s’intéresser au problème ;
  •  
    • elle ignore superbement le travail d’un de ses anciens vice-présidents et toujours principal responsable, à ce moment, des études épidémiologiques consacrées aux vaccins contre l’hépatite B qui évalue à un maximum trois cas (soit 18 fois moins qu’en l’espèce) le nombre de notifications à partir duquel, en pharmacovigilance, il n’est plus permis d’évoquer une simple coïncidence [11] ;
    • elle ignore également l’article non moins volontariste cosigné vers la même époque par la responsable de la pharmacovigilance de GenHevac chez Pasteur Mérieux et qui soutient textuellement : "Cependant, la certitude causale est l’exception. Lorsqu’un événement indésirable survient répétitivement sous une forme grave, il est hautement recommandable de ne pas perdre du temps dans des investigations sans intérêt ou sans fin. Il peut donc arriver qu’un médicament soit retiré sur la base d’une forte suspicion davantage que d’une certitude. Cependant, ce peut être la conduite la plus prudente en une telle occurrence" [12]

On aurait pu penser, sans doute, d’une part que 53 cas dépassent largement la limite « maximum » de 3 cas posée par l’ancien vice-président de la Commission nationale de pharmacovigilance et d’autre part que 53 cas d’une maladie aussi grave chez des sujets aussi inhabituellement jeunes correspondaient effectivement à la notion d’une survenue « répétitive sous une forme grave »…

Mais non, apparemment.

La prise en compte de la sous-notification

Globalement, l’indigence du motif répétitivement invoqué par la Commission pour ne pas tenir ses engagements d’investigation saute aux yeux du moins initié : compte tenu de la sous-notification, il est parfaitement attendu que le nombre de cas notifiés avec n’importe quelle complication médicamenteuse, si avérée soit-elle, soit nettement inférieur au nombre de cas spontanément « attendus ».

Sur ce regroupement de procès-verbaux tous consacrés au seul problème de la vaccination contre l’hépatite B, il est possible de reconstituer le "raisonnement" [13] des "experts" de la Commission à propos de la sous-notification - dont on répète qu’elle est là première et la plus incontournable des limites rencontrées dès lors qu’on prétend s’occuper de pharmacovigilance.

  • On l’a dit : la Commission nationale de pharmacovigilance met dix ans pour s’aviser de "l’intérêt d’évaluer la sous-notification" de spécialités vaccinales dont la première a reçu l’AMM depuis 1987 ;
  • Elle justifie ensuite sa placidité au motif que le nombre de cas notifiés ne dépasse pas le nombre de cas attendus, alors que - compte tenu d’une sous-notification d’autant plus massive que les complications considérées sont généralement tardives et que l’administration sanitaire fait tout pour ridiculiser les rares médecins qui auraient l’idée de rapporter des complications après vaccination -, même une fréquence de complications vaccinales élevée se solderait toujours par un nombre de notifications très inférieur au nombre de cas spontanément attendus ("bruit de fond") ;
  • A partir de février 2000, cependant, au travers d’une rhétorique filandreuse mais dont la signification va de soi pour n’importe quel spécialiste, elle admet à mots couverts que nonobstant tous les efforts des autorités sanitaires pour stimuler la sous-notification, le nombre de cas de sclérose en plaques notifiés est peu ou prou comparable à celui des cas attendus : compte tenu de ce qui vient d’être dit, semblable situation signe un drame de santé publique considérable et, à ma connaissance, sans précédent.
  • Elle s’abstient ensuite de reconnaître explicitement, dans ses procès verbaux ultérieurs, ce que ses experts vont néanmoins publier dans la presse internationale, à savoir que, cette fois, le nombre de cas notifiés a bel et bien dépassé le nombre de cas attendus [14] !
  • Nonobstant cette situation proprement cauchemardesque, la Commission s’abstient d’entreprendre les études épidémiologiques correctes dont l’inutilité a toujours été justifiée par le constat d’une situation exactement inverse (nombre de cas notifiés "inférieur" au nombre de cas "attendus") ; elle va même jusqu’à affirmer (21/05/2002) que toutes les conditions sont réunies pour clore l’essentiel de l’enquête de pharmacovigilance - qui ne correspond, normalement, qu’à une mesure provisoire d’évaluation en cas de simple alerte...

Pour finir, on relèvera la sidérante apathie des autorités sanitaires devant le répugnant cynisme des fabricants qui - 20 ans après l’introduction sur le marché de leur spécialité - refusent toujours de participer à toute investigation au motif que "les signaux d’alerte sont trop insuffisants (sic) pour justifier leur implication dans ces programmes de recherche", alors que :

  • ces vaccins, on l’a dit, ont causé "l’une des plus grandes séries d’effets indésirables recueillis par la pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974" [15] ;
  • le nombre de scléroses en plaques notifiées chez les gens vaccinés dépasse le nombre de cas normalement attendus : situation proprement vertigineuse compte tenu du fait que, surtout en France et encore plus sur ce type d’affaire, on considère généralement qu’en cas de complication iatrogène, la proportion de celles qui sont effectivement notifiées ne dépasse pas 1% de celles qui sont effectivement survenues (et qu’elle peut être bien moindre).

Sur la base de ce précédent, il revient aux fabricants concernés de préciser aux citoyens les signaux iatrogènes que, eux, considèreraient comme "assez suffisants" ( !) pour justifier qu’ils y consacrent un minimum d’attention.

Rappelons que c’est à ces fabricants aussi obsessionnellement scrupuleux que l’Agence européenne a confié le soin de collecter les données d’efficacité et de tolérance requises pour évaluer correctement le rapport bénéfice/risque de vaccins antigrippaux, lesquels qui ont bénéficié d’une AMM bâclée au motif des "circonstances exceptionnelles" représentées par une épidémie grippale qui a fait environ 30 fois moins de victimes qu’une grippe saisonnière dont personne n’aurait parlé (cf. Grippe porcine : je vaccine mes enfants ? et La grippe porcine en moins de 100 questions)...

Conclusion

A l’évidence, la compétence de ces gens est à tout le moins problématique.

Mais il n’y a pas que ce problème de compétence.

Car ils illustrent parfaitement le propos de mon livre (p. 82) :

Ainsi prise au piège de sa précipitation brouillonne, l’administration – puissamment secondée par ses « experts », à moins que ce ne soit l’inverse – s’enferre dans d’inextricables contradictions à chaque fois qu’elle tente de justifier l’injustifiable. « Docteur Girard, me disait fréquemment un juge d’instruction, rappelez-vous qu’il n’existe pas de sanction pénale pour la connerie humaine » : je n’ai pas compétence juridique pour en décider, mais ce que l’expérience m’a enseigné, c’est que quand « la connerie humaine » a frappé, elle est ensuite prête à toutes les mystifications et mensonges pour se tirer d’affaire – et je serais franchement étonné qu’il n’existe pas de sanction pénale pour ça…

 

 

04/12/2009

Pharmacovigilance : nouveau bulletin et réquisition des médecins

Bien sûr, comme la presse est muselée impossible de savoir la vérité !
Quel crédit accorder à ces chiffres lorsque l'on sait que les effets secondaires, les fausses couches et les décès ne sont pas reconnus comme étant liés à la vaccination ?

Cinquième bulletin de pharmacovigilance :
http://www.afssaps.fr/var/afssaps_site/storage/original/a...

"7 nouvelles observations graves* ont été signalées (total cumulé depuis le 21 octobre 2009 : 16 cas graves). 2 cas sont en cours d’évaluation (embolie pulmonaire, pneumopathie). Les 5 autres cas correspondent à :

• 2 réactions allergiques (oedème de Quincke, choc anaphylactique) d’évolution favorable après traitement symptomatique ;

• 2 cas de paresthésies (fourmillements au niveau des membres) sans autre anomalie neurologique et spontanément résolutives ;

• 1 cas de douleurs thoraciques, avec sensation de malaise et de gorge serrée et oedème des lèvres, immédiatement après l’injection, ayant nécessité une surveillance d’une nuit à l’hôpital.

Enfin, un cas de décès a été signalé chez un homme de 58 ans, dans la nuit suivant la vaccination. Il a été conclu à une mort naturelle."

Par ailleurs, 8000 médecins devront être réquisitionnés chaque jour pendant plusieurs mois (avec rotation ?). C'est pas le moment de tomber malade !  Plus 30 000 piqueurs et autant de secrétaires. Les élèves infirmières voient leurs stages en hôpital supprimés au profit d'un stage intensif et prolongé de tirs de fléchettes !!! Elles sont furieuses, d'autant plus qu'elles ne seront pas payées, c'est le stage...Elles vont être performantes plus tard pour soigner les malades !

La FOLIE !!! On n'a pas fini d'en parler !

Avec cela Roselyne espère vacciner 250 000 à 300 000 personnes par jour, soit 300 000x90=27 millions fin février. S'il y a des candidats. Quand on pense qu'en juin c'était 130 millions de doses soit 2 par Français, le tout bouclé entre le 15 octobre et le 31 janvier...Mais à quoi pensaient-ils au ministère ? Ou ils ne savent pas faire les opérations de l'école primaire ou c'était la vaccination à la hussarde comme autrefois avec la variole, dans la rue et les entreprises ?

 

04:13 Publié dans Bulletin pharmacovigilance | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook