Baxter : danger vaccination : Dossiers SOS JUSTICE

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02/06/2011

H1N1: une escroquerie intellectuelle selon le Pr B. Debré

Un témoignage de poids qui justifie tout le combat mené par Sos Justice contre la vaccination criminelle pour un virus imaginaire de la GrippeA/H1N1.
 
H1N1: une escroquerie intellectuelle selon le Pr B. Debré
Pour le Pr Bernard Debré, professeur de médecine, l'affaire du H1N1 était "un leurre, un piège, une escroquerie intellectuelle"....(in "La civilisation de la peur", C'est dans l'air du 22 avril 2010 sur France 5)


 H1N1: une escroquerie intellectuelle selon le Pr B. Debré

29/12/2010

Les vaccins menace de la mafia médicale ou arme biologique de destruction massive !

 
A voir toutes affaires cessantes, magistral !

Surtout, ne ratez pas la seconde partie ! 

A diffuser d'urgence et sans modération !

  

Il faut absolument éradiquer cette pratique criminelle qu'est la vaccination (empoisonnement), en vérité, une arme biologique et chimique de destruction massive !

 
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Les vaccins menace de la mafia médicale - 1/2

 "Traduit par ThePlot911"

17/05/2010

Le vaccin contre la grippe provoque des convulsions chez les enfants

Heureusement que les vaccins tueurs sont faits pour protéger nos enfants de virus et de maladies imaginaires.
La grippe n'a jamais été une maladie mais un moyen intelligent mis en oeuvre par l'organisme pour protéger son intégrité et favoriser l'élimination des toxines résiduelles par le moyen des émonctoires ou organes d'élimination.

C'est devenu une mode depuis plus d'un siècle grâce à l'escroc de Pasteur de faire passer pour des maladies, les éliminations naturelles de l'organisme ou les mécanismes permettant aux humains de construire leur immunité, Ce qui ne manque pas de faire la richesse des laboratoires pharmaceutiques et du système médical, grâce à l'entretien dans l'ignorance du plus grand nombre des principes élémentaires de santé.

Tout malade est un bien portant qui s'ignore !

Revoir la théorie d'Hippocrate portant sur la qualité des humeurs.

Hippocrate Père de la Médecine et la théorie des humeurs

La théorie des humeurs fut l’une des bases de la médecine antique. Hippocrate, en particulier en formula les principes. Ainsi, selon cette théorie, la santé (celle de l’esprit comme celle du corps) est fonction de l’équilibre des quatre humeurs dans le corps : le sang, le phlegme [lymphe], la bile jaune et la bile noire [atrabile]. Ces humeurs correspondent elles-mêmes aux quatre éléments : le feu, l’air, la terre et l’eau. Ces quatre éléments se voient à leur tour attribués une qualité propre : chaud, sec, froid et humide - qui détermineront alors, selon leur prédominance, les quatre tempéraments fondamentaux : le bilieux (chaud et sec), l’atrabilaire (froid et sec), le flegmatique (froid et humide) et le sanguin (chaud et humide). Quand déséquilibre il y a, parce qu’une humeur l’emporte sur tous les autres, ou que l’influence d’un élément est excessive, apparaissent alors les maladies physiques, mais aussi les troubles psychiques.

La nutrition correcte permet d'influencer la qualité des humeurs, de modifier le métabolisme de base, de rétablir l'équilibre et de provoquer l'autoguérison.



12 mai 2010 Par PetrusLombard

Natural News, Mike Adams, 12 mai 2010

Selon le journal australien The Age, la vaccination saisonnière antigrippale a plongé 57 enfants dans un état convulsif dangereux pour leur vie. Cette vaccination antigrippale a été pratiquée sur des enfants de moins de cinq ans pour les « protéger » de la grippe saisonnière. Seulement, après avoir été piqués, les enfants ont commencé à avoir des convulsions.

L’enquête de contrôle de qualité n’a révélé aucun problème particulier dans le lot de vaccins. Ils ont tous passé le contrôle de qualité. En d’autres termes, les convulsions sont dues en fait à ce qui est mis intentionnellement dans les vaccins, et non pas à certains contaminants chimiques se trouvant là par erreur.

Cela a laissé évidemment perplexe les médecins orthodoxes qui débitent tous que les vaccins sont parfaitement sains et ne pourraient jamais nuire à quelqu’un. Comme ça, au lieu de faire une pause pour étudier quel composant des vaccins pourrait plonger les enfants en état convulsif, ils vont de l’avant en recommandant que toujours plus de gens se fassent vacciner.

Selon le journal The Age, Alan Hampson, le président du Influenza Specialist Group (groupe de spécialistes sur la grippe) d’Australie, « …a conseillé aux jeunes gens en bonne santé, qui s’inquiétaient de la vaccination contre la grippe, d’envisager de se faire vacciner contre la grippe porcine. » Comme vous le voyez, aucune somme de preuves objectives n’est capable de briser l’emprise fantasmagorique de la vaccination sur l’esprit de la médecine moderne. Même après que les enfants commencent à tomber au sol en état convulsif juste devant eux, ils continueront à préconiser d’en vacciner toujours plus.


L’illusion de l’efficacité des vaccins

La vaccination est étayée par un mythe aux consonances scientifiques, auquel adhèrent largement les médecins crédules et les scientifiques qui croient tout bonnement ce qu’on leur raconte plutôt que la réalité.

Ce mythe repose sur la conviction selon laquelle l’injection de germes étrangers affaiblis dans le corps humain fera que le système immunitaire s’adaptera à eux en créant des anticorps qui empêcheront les infections à venir. Seulement, cette justification est pure affabulation. Dans la réalité, le système immunitaire ne peut que mettre en œuvre une réponse adaptative, quand il est bien pourvu en vitamine D.Et, si le patient est bien pourvu en vitamine D, il n’a pas besoin de se faire vacciner contre la grippe, car, avant tout, la vitamine D protège contre la grippe saisonnière.

De cette manière, les vaccins « marchent » seulement chez ceux qui n’en ont pas besoin. Les gens qui ont le moins de protection contre la grippe à cause de leur carence en vitamine, ont aussi la plus faible réponse immunitaire aux vaccins. En d’autres termes, les vaccins ne marchent pas sur eux.

Les enfants affectés d’une faiblesse neurologique [*] particulière sont très sensibles aux dommages neurologiques des vaccins. Ces dommages peuvent prendre la forme de coma, convulsions, autisme ou de paralysie partielle. Certains enfants vaccinés se retrouvent bientôt en fauteuil roulant, incapable de marcher, même s’ils étaient des vedettes de l’athlétisme avant la vaccination.

Si vous êtes parent, n’exposez pas vos enfants à la piqûre des vaccins !Pour en savoir plus sur les dangers vaccinaux (en anglais) :

Virginia, une athlète adolescente, en fauteuil roulant après la piqûre du vaccin :
www.naturalnews.com/027473_Guillain-Barre_Syndrome_swine_...

Vaccin contre la grippe porcine lié à la paralysie :
www.naturalnews.com/026866_swine_flu_flu_vaccine_swine_fl...

Une fillette à l’hôpital après s’être faite vacciner :
www.naturalnews.com/027395_swine_flu_hospital_vaccine.html

Troubles neurologiques liés au vaccin :
www.naturalnews.com/022642_vaccinations_survey_vaccinatio...

Dix questions sur les vaccins auxquelles les médecins refusent de répondre :
www.naturalnews.com/027258_vaccines_flu_vaccine.html


Original : www.naturalnews.com/028773_vaccines_convulsions.html
Traduction copyleft de Pétrus Lombard

Notes du traducteur

* La faiblesse neurologique dont il est question ici n’est rien d’autre qu’une contamination de l’organisme aux métaux lourds, par du mercure en particulier. Les enfants héritent de la charge de métaux lourds de leur mère. La vaccination ne fait que rajouter la goutte de mercure qui fait déborder le vase. Tout ça a été démontré par environ 140 études mondiales et a fait l’objet d’un livre très important pour le simple quidam, Vérité sur les maladies émergentes. J’en avais déjà parlé ici :
www.alterinfo.net/Verites-sur-les-maladies-emergentes_a17...

On peut affirmer que TOUTES les maladies émergentes ou étranges, telles que la sensibilité aux rayonnements électromagnétiques, sont dues à la présence de métaux lourds au sein des cellules. Le mercure, en particulier, a la faculté de supplanter les métaux catalyseur du métabolisme, avec pour résultat les divers degrés de dysfonctionnement constatés dans les fameuses maladies émergentes.

Il est bien évident que la médecine orthodoxe, dont l’objet est de faire du profit en exploitant la souffrance humaine, ne reconnaîtra jamais ce fait puisque cela tarirait la source d’éclopés qui alimentent son commerce.

Par ailleurs, le concept de vaccination, lui-même, est une énormité sortie du même tonneau que l’idée de la lutte entre espèces pour leur propre survie. Sur son site, le Dr Jean-Jacques Crèvecœur fait un exposé en vidéo sur l’action du monde bactérien, symbiotique, et non pas agressive, dans les organismes vivants tels que l’homme :
www.jean-jacques-crevecoeur.com/

Ce qu’explique le Dr Jean-Jacques Crèvecœur sort en droite ligne des découvertes faites à l’origine par Antoine Béchamp et refaites périodiquement par d’autres chercheurs. Pour ceux que ça intéresse, il est question de cette réalité dans les notes à la suite de Le peuple microbien, le faux ennemi.

http://comprendrelemonde.fr/sante/1550-le-vaccin-contre-l...

30/03/2010

ONU/OMS : Projet de stratégie mondiale de vaccination

Encore un petit vaccin pour la route, jusqu'en 2015 ?

Vous en reprendrez bien un, non ?

Et tout cela prévu bien évidemment depuis le 28 avril 2005.

Comme ils sont prévoyants pour notre enterrement prématuré !

Ils se moquent de qui ?

Source : http://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA58/A58_12-fr.pdf


 

A58_12-fr.pdf

ONU-OMS : Projet de stratégie mondiale de vaccination

12/01/2010

GrippeA/H1N1 : la vaccination continue en France

Ils se moquent de qui avec leur enquête à l'Europe puisque la vaccination continue en France ?

Pour quelles raisons légitimes les mesures de précaution ne sont-elles pas appliquées et la vaccination suspendue en attendant la fin de l'enquête ?

Et si le vaccin est dangereux pour quelles raisons est-il vendu ou proposé aux pays défavorisés ?

S'il est dangereux pour nous, il l'est pour les autres aussi que nous sachions ?

Donc les réquisitions continuent dans les centres de vaccination et maintenant les médecins généralistes et les pédiatres s'y mettent aussi !

Il faut continuer à tuer, repérer les résistants et les calmer, c'est ça ?

La France n'est pas assez endettée pour continuer à financer ce scandale ?

Quand vont-ils cesser de nous prendre pour des imbéciles et pour des vaches à lait pour enrichir leurs amis banquiers et ceux des laboratoires pharmaceutiques ?

Les médecins Antibois pourront-ils aujourd'hui vacciner en cabinet ?

Paru aujourd'hui, mardi 12 janvier 2010 à 08:55
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Photo : Frantz Bouton
Dans les centres de vaccination contre la grippe A, ce n'est pas la foule. À peine cinquante personnes par jour environ.

C'est officiel, Roselyne Bachelot, la ministre de la Santé, a intégré les médecins (généralistes et pédiatres) dans le dispositif de vaccination contre la grippe AH1N1. Logiquement, à partir d'aujourd'hui, il sera possible de demander à son médecin traitant, de se faire vacciner. Logiquement, car dans la pratique, ce sera sans doute plus compliqué. « On sait que le feu vert pour vacciner en cabinet, est pour aujourd'hui. Mais quand les patients vont venir, on leur dira qu'on n'est pas encore informé. Parce que nous n'avons rien reçu », souligne-t-on au « Séminaris », structure regroupant cinq médecins.

La plupart des praticiens contactés, hier, nous ont dit la même chose. C'est le cas du Dr Bruno Lavagne : « Honnêtement, nous n'avons pas reçu de consignes. Et puis, pour moi, il n'y a aucune indication médicale à vacciner des gens en bonne santé. Cette vaccination aurait dû être réservée à des gens ciblés, des personnes à risque. Pour ma part, je pense que l'épidémie est finie. Qu'il n'y aura pas de deuxième vague ».

Les centres fournissent les médecins

La campagne de vaccination continue à soulever les débats, jusque dans les centres d'Antibes, à La Croix-Rouge comme à la Maison des Associations. Martine Leonetti, qui a fait le point, hier, en préfecture, avec l'ensemble des centres de vaccination, s'est vu confirmer l'entrée des médecins généralistes dans le protocole de vaccination. « Ils devront venir prendre chez nous leur dose de vaccin. Théoriquement, les gens iront se faire vacciner avec leur bon, s'il le souhaite, chez leur médecin traitant. Mais, à mon sens, il y aura des obligations administratives très compliquées à respecter », dit-elle. Pour l'instant, le patient ne pourra pas aller chercher une dose dans un centre ou en pharmacie afin de se la faire administrer par son docteur. C'est au médecin de faire cette démarche pour le patient.

En revanche, dans les centres, la vaccination va se poursuivre dans les mêmes conditions ou presque... Ainsi, à Antibes, les structures seront désormais fermées le dimanche. Les dernières piqûres dominicales n'ont concerné que 24 personnes. Trop peu, au regard du personnel mobilisé en temps de pandémie : un médecin, un interne, un externe, un élève infirmier, une infirmière et du personnel administratif pour gérer les files d'attente. Sauf que pour se faire vacciner à Antibes, on n'attend plus ! C'est quasi immédiat... «Nous vaccinons, désormais, une cinquantaine de personnes par centre et par jour, dont 75 % pour un rappel. C'est vraiment peu », témoigne Christian Delacroix, responsable du centre Croix-Rouge. D'autant que la population concernée est celle d'Antibes, Vallauris, Golfe-Juan, Valbonne et Villeneuve-Loubet. Depuis le 12 décembre, seulement 5 531 personnes ont été vaccinées à la Maison des associations, et 6 000 à La Croix Rouge. À peine 7 % des populations concernées.

ryvon@nicematin.fr

Robert Yvon


Europe : Grippe A: Supercherie dénoncée par Dr Wolfgang Wodarg

Et nous ne sommes pas là dans le crime du génocide mondial prémédité ?
Bravo à la Pologne qui s'est opposée à l'achat des vaccins !!!!
Et on fait quoi en France de tous ces criminels ?

Démission de Sarkozy et de son Gouvernement !

Lundi 11 janvier 2010 1 11 /01 /2010 20:22
FRANCE

Tremblez labos et gouvernants, voici le chevalier blanc !
"Implacable réquisitoire" publié par L’Humanité

Grippe A : le docteur et eurodéputé Wolfgang Wodarg a obtenu une Commission d’enquête du Conseil de l’Europe

Le médecin et épidémiologiste Wolfgang Wodarg, ex membre du parti social-démocrate allemand et actuel eurodéputé et président de la subcommission pour la Santé du Conseil de l’Europe, part en guerre contre les manipulateurs qui ont orchestré l’hystérie pro-vaccinatoire. Il a obtenu la création d’une Commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les Etats. A en juger par l’explosif entretien qu’il a accordé à L’Humanité, les responsables peuvent trembler : les accusations portées sont graves et l’homme semble bien décidé à aller jusqu’au bout. Extraits.

une

Un tripatouillage de l’OMS

"J’ai eu tout de suite des soupçons : les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type « grippal ». 
En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. (...) Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ça n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque année, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, « complétant » les vaccins servant à la grippe saisonnière. 
On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinaux brevetés que les grands laboratoires avaient élaborés et fabriqués pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées."


Le marketing peut nuire gravement à la santé

"Pour aller vite dans la mise à disposition des produits, on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit : on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela. Uniquement des raisons de marketing. (...) Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis (Optaflu, NdA) a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui. Normalement on utilise des œufs de poules sur lesquels les virus sont cultivés. (...) Une autre technique au potentiel remarquable consiste à cultiver les virus sur des cellules vivantes dans des bio-réacteurs. Pour cela il faut des cellules qui croissent et se divisent très vite. (...) dans ce contexte la cellule a été tellement bouleversée dans son environnement et sa croissance qu’elle croît comme une cellule cancéreuse.
Et c’est sur ces cellules au rendement très élevé que l’on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin, il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que, durant le processus de fabrication du vaccin, des restes de cellule cancéreuse demeurent dans la préparation. Comme cela se produit dans la fabrication classique avec les œufs. On sait ainsi que dans le cas d’une vaccination de la grippe classique des effets secondaires peuvent apparaître chez les personnes qui sont allergiques à l’ovalbumine que l’on trouve dans le blanc d’œuf. Il ne peut donc pas être exclu que des protéïnes, restes d’une cellule cancéreuse présents dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, n’engendrent une tumeur sur la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution il faudrait donc, avant qu’un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus.

L’OMS infiltrée par l’industrie pharmaceutique

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"c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie. Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique. Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre possible cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. (...) les instituions publiques nationales et internationales (...) sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuels risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.

Des gouvernants sous influence

Question du journaliste de L’Huma : "La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants ?


" Réponse de Wodarg : "Dans les ministères cela me paraît évident. (Roselyne*, pourquoi tu tousses ? NdA) Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes, des gens très intelligents, qui connaissent par coeur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire. Sans aller jusqu’à la corruption directe, qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions.

ks

J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr, qui était le chef du département épidémiologique de l’
OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter (etc.) et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est-à-dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables."


Abandonner les brevets sur les vaccins

"Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent ? Ou bien la production de vaccins n’est-elle pas quelque chose du domaine par excellence que les Etats doivent contrôler et mettre en œuvre eux-mêmes ? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins. C’est-à-dire la possibilité d’une monopolisation de la production de vaccin par un grand groupe. Car cette possibilité suppose que l’on sacrifie des milliers de vies humaines, simplement au nom du respect de ces droits monopolistiques." Supprimer les brevets, chiche ?

* Après avoir interrompu ses études de pharmacie, Roselyne Bachelot-Narquin a occupé, avant d’entrer dans la politique au début des années 1980, le poste de déléguée à l’information médicale au sein du laboratoire ICI Pharma de 1969 à 1976, puis elle fut chargée des relations publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989 (Wikipedia).

http://www.alterinfo.net/Tremblez-labos-et-gouvernants,-v...

 

 

Europe : Grippe A. L'implacable réquisitoire du député Wodarg

Nous avions raison sur tous les points et encore il en manque !

En prime, les vaccins ont été élaborés sur la base de cellules cancéreuses !
Ne vous faites pas vacciner !
Que fait l'état français criminel et que font les 100 000 médecins qui s'apprêtent à vacciner dans leurs cabinets ?
Qui va arrêter ce crime commis contre l'humanité ?
Nous demandons à être remboursés de toutes ces escroqueries !


le 7 janvier 2010

Evénement

Grippe A. L’implacable réquisitoire du député Wodarg

Président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus.

Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commisionn santé du Conseil de l’Europe une commision d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..

Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?

Wolfgang Wodarg. Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie. J’ai eu tout de suite des soupçons : les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type « grippal ». 
En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.
Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ça n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. Il y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, « complétant » les vaccins servant à la grippe saisonnière.
On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinales brevetés que les grands laboratoires avaient élaborées et fabriqué pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées

Quel danger ?

Wolfgang Wodarg. Pour aller vite dans la mise à disposition des produits on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit : on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela.Uniquement des raisons de marketing.

Comment a-t-on pu justifier de cela ?

Wolfgang Wodarg. Pour comprendre il faut en revenir à l’épisode de la grippe aviaire de 2005 - 2006. C’est à cette occasion là qu’ont été définis les nouveaux plans internationaux destinés à faire face à une alarme pandémique. Ces plans ont été élaborés officiellement pour garantir une fabrication rapide de vaccins en cas d’alerte. Cela a donné lieu à une négociation entre les firmes pharmaceutiques et les Etats. D’un côté les labos s’engageaient à se ternir prêts à élaborer les préparations, de l’autre les Etats leur assuraient qu’ils leur achèteraient bien tout cela. Au terme de ce drôle de marché l’industrie pharmaceutique ne prenait aucun risque économique en s’engageant dans les nouvelles fabrications. Et elle était assurée de toucher le jack pot en cas de déclenchement d’une pandémie.

Vous contestez les diagnostics établis et la gravité, même potentielle, de la grippe A ?

Wolfgang Wodarg. Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne provoque qu’un dixième des décés occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie.

Ce sont de très graves accusations que vous portez là. Comment un tel processus a-t-il été rendu possible au sein de l’OMS ?

Wolfgang Wodarg. Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique.

L’enquête du conseil de l’Europe va travailler aussi dans cette direction ?

Wolfgang Wodarg. Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. Et nous devons enfin présenter des revendications aux gouvernements. 
L’objectif de la commission d’enquête est qu’il n’y ait plus à l’avenir de fausses alertes de ce genre. Que la population puisse se reposer sur l’analyse, l’expertise des instituions publiques nationales et internationales. Celles ci sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuelles risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.

Avez-vous des chiffres concrets sur l’ampleur de cette gabegie ?

Wolfgang Wodarg.

En Allemagne ce sont 700 millions d’euros. Mais il est très difficile de connaître les chiffres précis car on parle maintenant d’un côté de reventes de vaccins à des pays étrangers et surtout les firmes ne communiquent pas, au nom du principe du respect du « secret des affaires » les chiffres des contrats passés avec les Etats et les éventuelles clauses de dédommagements qui y figurent.

Le travail de « lobying » des labos sur les instituts de santé nationaux sera-t-il aussi traité par l’enquête du conseil de l’Europe ?

Wolfgang Wodarg. Oui nous nous pencherons sur l’attitude des instituts comme le Robert Koch en Allemagne ou Pasteur en France qui aurait dû en réalité conseiller leurs gouvernements de façon critique. Dans certains pays des institutions l’ont fait. En Finlande ou en Pologne, par exemple, des voix critiques se sont élevées pour dire : « nous n’avons pas besoin de cela ».

La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants ?

Wolgang Wodarg. Dans les ministères cela me paraît évident. Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes , des gens très intelligents qui connaissent par coeur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire.

Que s’est-il passé alors ?

Wolfgang Wodarg. Sans aller jusqu’à la corruption directe qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions. J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr qui était le chef du département épidémiologique de l’OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter (etc) et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est à dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables.

Mais si votre enquête aboutit, ne sera-t-elle pas un appui pour les citoyens d’exiger de leurs gouvernements qu’ils demandent des comptes à ces grands groupes ?

Wolfgang Wodarg. Oui, vous avez raison, c’est l’un des grands enjeux lié à cette enquête. Les états pourraient en effet se saisir de cela pour contester des contrats passés dans des conditions, disons, pas très propres. S’il peut être prouvé que c’est la prise d’influence des firmes qui a conduit au déclenchement du processus alors ils faudra les pousser à ce qu’ils demandent à être remboursés. Mais ça c’est uniquement le côté financier, il y a aussi le côté humain, celui des personnes qui ont été vaccinés avec des produits qui ont été insuffisamment testés.

Quel type de risque ont donc pris, sans qu’ils le sachent, ces gens en bonne santé en se faisant vacciner ?

Wolfgang Wodarg.

je le répète les vaccins ont été élaborés trop rapidement, certains adjuvants insuffisamment testés. Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui.

Pourquoi, je ne suis évidemment pas un spécialiste, mais comment peut-on prétendre faire un vaccin à partir de cellules malades ?

Wolfgang Wodarg. Normalement on utilise des œufs de poules sur lesquels les virus sont cultivés. On a besoin en effet de travailler sur des cellules vivantes. Car les virus ne peuvent se multiplier que de cette manière et donc, par définition, les préparations antivirus qui vont avec. Mais ce procédé présente un gros défaut, il est lent, il faut beaucoup d’œufs. Et il est long et complexe sur le plan technique. Une autre technique au potentiel remarquable consiste à cultiver les virus sur des cellules vivantes dans des bio-réacteurs. Pour cela il faut des cellules qui croissent et se divisent très vite. C’est un peu le procédé que l’on utilise pour la culture du yaourt que l’on réalise d’ailleurs aussi dans un bio-réacteur. mais dans ce contexte la cellule a été tellement bouleversée dans son environnement et sa croissance qu’elle croit comme une cellule cancéreuse. 
Et c’est sur ces cellules au rendement très élevé que l’on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin des restes de cellule cancéreuse demeurent dans la préparation. Comme cela se produit dans la fabrication classique avec les oeufs. On sait ainsi que dans le cas d’une vaccination de la grippe classique des effets secondaires peuvent apparaître chez les personnes qui sont allergiques à l’ovalbumine que l’on trouve dans le blanc d’oeuf. Il ne peut donc pas être exclu que des protéïnes, restes d’une cellule cancéreuse présentes dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, n’engendre une tumeur sur la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution il faudrait donc, avant qu’un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus.

Et cela n’a pas été fait ?

Wolfgang Wodarg. On ne l’a pas fait. L’AME ( Agence Européenne du Médicament), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l’économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l’occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque « significatif ». Cela a été très différemment apprécié par de nombreux spécialistes ici en Allemagne et une institution indépendante sur le médicament, qui ont au contraire alerté et fait part de leurs objections. J’ai pris ces avertissements au sérieux. J’ai étudié le dossier et suis intervenu dans le cadre de la commission santé du Bundestag dont j’étais alors membre pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. J’ai fait savoir que je n’étais certainement pas opposé à l’élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu’il fallait d’abord avoir une garantie totale d’innocuité. Le produit n’a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec novartis.

Quel est le nom de ce vaccin ?

Wolfgang Wogart. Obta flu.

Mais cela veut dire que dans d’autres pays européens comme la France le produit peut être commercialisé sans problème ?

Wolfgang Wogart. Oui , il a obtenu l’autorisation de l’AME et peut donc être utilisé partout dans l’Union Européenne.

Quelle alternative entendez vous faire avancer pour que l’on échappe à de nouveaux scandales de ce type ?

Wolfgang Wogart. Il faudrait que l’OMS soit plus transparente, que l’on sache clairement qui décide et quelle type de relation existe entre les participants dans l’organisation. Il conviendrait aussi qu’elle soit au moins flanquée d’une chambre d’élue, capable de réagir de façon très critique où chacun puisse s’exprimer. Ce renforcement du contrôle par le public est indispensable.

N’est ce pas la question d’un autre système capable de traiter une question qui relève en fait d’un bien commun aux citoyens de toute la planète qui affleure ?

Wolfgang Wodarg. Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent ? Ou bien la production de vaccins n’est-elle pas quelque chose du domaine par excellence , que les Etats doivent contrôler et mettre en œuvre eux même ? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins. C’est à dire la possibilité d’une monopolisation de la production de vaccin par un rand groupe. Car cette possibilité suppose que l’on sacrifie des milliers de vies humaines, simplement au nom du respect de ces droits monopolistiques. Vous avez raison , cette revendication là a pris en tout cas pour moi l’aspect de l’évidence.

Entretien réalisé par Bruno Odent

http://www.humanite.fr/2010-01-07_Societe_Grippe-A-L-impl...

 

 

09/01/2010

Zemmour : "Experts de l’OMS et laboratoires pharmaceutiques, même combat !"

Dans sa chronique du 6 janvier sur RTL, Eric Zemmour met en cause l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour avoir sonné, en juin 2009, "l’alerte pandémique mondiale" : l’OMS a en effet organisé une "panique médiatique généralisée", et recommanda à tous les gouvernants une "campagne de vaccination massive".
 
Or, qui siège à l’OMS ? Des experts internationaux éminents. Et qui les paie ? Les grands laboratoires pharmaceutiques, ceux-là même qui ont vendu les vaccins et les anti-viraux aux Etats en leur plaçant un pistolet médiatique sur la tempe.
 
C’est l’enquête du virologue Tom Jefferson qui avait tout révélé. Der Spiegel en Allemagne en avait parlé le 21 juillet 2009.
 
En complément du coup de gueule de Zemmour, voici l’interview intégrale de Tom Jefferson, publiée le 15 décembre dernier sur Ria Novosti - édifiante :
 
QUESTION : Bref, votre étude n’a pas établi que le Tamiflu est capable de prévenir efficacement les complications dues à la grippe, entre autres, la pneumonie, n’est-ce pas ?

REPONSE : Notre travail est une synthèse des résultats de nombreuses études. Mais nous n’avons pas réussi à obtenir de preuves que le Tamiflu ou le Relenza agissent sur le virus provoquant une pandémie.

QUESTION : Mais l’Organisation mondiale de la Santé recommande justement ces médicaments contre la grippe porcine. Il en découle deux variantes : soit l’OMS choisit de façon insuffisamment minutieuse les médicaments et les recommandations aux gouvernements, soit il s’agit d’une collusion entre les fonctionnaires et les grands pharmaciens.

REPONSE : Je ne crois pas aux complots, mais certaines choses m’inquiètent. Premièrement, début mai, l’OMS a changé la définition de la pandémie. Personne n’a expliqué qui a retiré le taux élevé de mortalité de la liste des
facteurs déterminant la pandémie et pour quelle raison.

Les experts des comités de l’OMS entretiennent de larges contacts avec l’industrie pharmaceutique ou d’influentes personnes qui d’une année à l’autre rivalisent de prévisions apocalyptiques. Voici une remarquable citation du livre "Epouvante" de Philip Alcabes (professeur à l’Université de la Ville de New York, City University of New York, - BFM.ru) : "Nous devons être prêts à l’annonce d’une pandémie de telle ou telle grippe, car certains ont intérêt à recevoir des subventions. Il est plus qu’avantageux pour ces gens de persuader les organisations distribuant des subventions qu’une terrible peste est sur le point de s’abattre sur l’humanité".

QUESTION : De quels experts de l’OMS parlez-vous ?

REPONSE : L’un des experts dirige un groupe de lutte contre la grippe porcine qui est financé par toutes les principales compagnies pharmaceutiques. Il a aussi sa propre entreprise, qui vend des tests. Un autre a fait carrière en vendant des modèles mathématiques de l’épidémie. Ces deux exemples relèvent de conflits d’intérêts évidents, mais, on ne sait pourquoi, personne n’y prête attention. Il y a aussi un comité mystérieux de 12 conseillers pour la grippe porcine auprès du directeur général de l’OMS.

QUESTION : Selon le journal suédois Svenska Dagbladet, certains de ces experts seraient liés aux pharmaciens.

REPONSE : Il semble que l’OMS soit étroitement liée à l’industrie pharmaceutique. Quant aux vaccins et aux antivirus, ils sont, en général, une idée fixe de l’organisation. Ainsi, dans son récent document sur les mesures à prendre contre la grippe, l’OMS mentionne une seule fois la nécessité de se laver les mains et de porter des masques, des gants et des blouses de médecins, contre 24 à 18 fois les vaccins et les antivirus.

QUESTION : Qu’en pensez-vous, est-ce que l’OMS devait annoncer la pandémie de grippe porcine ?

REPONSE : Il est toujours plus facile de brandir les poings après la bagarre. Je répète depuis octobre 2005 que la grippe est devenue une industrie et que les preuves scientifiques de l’efficacité des antivirus et des vaccins sont insuffisantes, pour ne pas dire plus.

QUESTION : Pourquoi cette affection a-t-elle semé une telle panique, alors que la grippe ordinaire emporte, comme il est admis de le considérer, bien plus de vies ?

REPONSE : Les deux grippes ne présentent pas un grand danger. Tout simplement, nous n’avons pas de renseignements précis, alors que les chiffres qui vous sont présentés ne sont pas confirmés et que les propos sur le taux de mortalité sont fondés sur des modèles.

QUESTION : Après les propos sur une collusion éventuelle entre les fonctionnaires de la Santé publique et les pharmaciens, le député à la Douma (chambre basse du parlement russe) Igor Barinov a invité notre représentant à l’OMS à effectuer une enquête officielle sur les faits présumés de corruption. Signeriez-vous cet appel du député russe ?

REPONSE : Je ne suis pas citoyen de la Russie, c’est pourquoi je ne peux probablement pas signer de telles pétitions. Mais je voudrais serrer la main de votre député et de la ministre polonaise de la Santé qui a refusé d’autoriser la vaccination contre la grippe porcine tant qu’il ne sera pas prouvé que ce vaccin est absolument inoffensif.

QUESTION : Le maire de Moscou a promis de retirer les licences aux pharmacies qui ne rempliront pas leurs entrepôts de médicaments antivirus. En tant que médecin hygiéniste, comment évaluez-vous l’efficacité d’une telle mesure destinée à prévenir la propagation de l’infection ?

REPONSE : Je ne me fierais pas trop aux médicaments antivirus et je proposerais de mettre l’accent sur l’hygiène, le lavage des mains, le port de masques, de gants et de blouses de médecins.

04/01/2010

Les critiques du Pr Bernard Debré

La plus grande escroquerie que nous ayons pu connaître jusqu'à présent ! Et tout cela pour enrichir les amis et la famille de Nicolas Sarkozy et favoriser les profits des Laboratoires pharmaceutiques.


"Nous avons acheté 10% des vaccins du monde"


NOUVELOBS.COM | 04.01.2010 | 23:21

Le professeur et député UMP Bernard Debré joint sa voix aux critiques qui fusent contre la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 menée par le gouvernement. PS et NC réclament une commission d'enquête tandis que le lobby des laboratoires est montré du doigt.

Bernard Debré (AP)

Bernard Debré (AP)























La virulente polémique sur la campagne de vaccination contre l'épidémie de grippe A (H1N1) est montée d'un cran, lundi 4 janvier. Alors que gouvernement et laboratoires pharmaceutiques sont montrés du doigt, le PS et le Nouveau Centre ont demandé une commission d'enquête parlementaire sur la campagne de vaccination.

Parmi les voix accusatrices, le professeur de médecine et député UMP Bernard Debré a dénoncé le manque de prudence de la France qui a "acheté 10% des vaccins du monde". A l'UMP, on défend la gestion de l'épidémie : "Imaginez un seul instant, si le gouvernement n'avait pas pris de telles précautions et que la pandémie avait été ce que l'on craignait à l'époque", a répliqué le porte-parole adjoint de l'UMP. Bernard Kouchner s'est, lui, dit "scandalisé par le scandale".

"10% des vaccins du monde"


"Nous avons le tiers du Tamiflu mondial, qu'on est en train de fourguer aux pharmacies ; nous avons 10% des vaccins du monde", a lancé Bernard Debré, sur RTL.

"Le coût est plus que le déficit de tous les hôpitaux français, trois fois le plan cancer, il fallait peut-être un peu plus de prudence", a-t-il ajouté.

"Il y a eu en juillet une pression des laboratoires absolument fantastique", a souligné le député. "Je comprends qu'on ait pu céder à la tentation des laboratoires", a-t-il ajouté, dénonçant également le "principe absurde, poussé à l'extrême, de précaution".

Bernard Debré, qui s'est lui-même fait vacciner, a par ailleurs exclu "un deuxième pic aussi virulent que le premier". "Ce n'est pas possible étant donné qu'il y a des barrières, les gens vaccinés, les gens qui ont été en contact (avec le virus pandémique, NDLR)", a-t-il estimé.

En juillet dernier, le professeur affirmait déjà que la mobilisation contre la pandémie "ne servait qu'à nous faire peur", parlant alors de "grippette".

Sur France Info cette fois, il a estimé que la France dispose de quelques 50 à 70 millions de vaccins en trop. Un stock difficile à écouler au prix coûtant, comme annoncé, à cause des dates de péremption, a-t-il souligné, évaluant le coût total de la campagne contre la grippe A à 2 milliards d'euros. Au final, "c'est nous qui allons payer", a-t-il conclu.

"Tout ceci était prévisible", a aussi estimé le professeur Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses. "Jouer le pire n'était pas forcément jouer juste et ceci se fait au détriment d'autres problèmes de santé publique, nationaux ou internationaux", a-t-il fait remarquer.

La stratégie gouvernementale critiquée


Pour François Bayrou, en revanche, pas question de jeter "la pierre au fait qu'on ait pris des précautions". Le président du Mouvement Démocrate (MoDem) a critiqué, sur France Info, "le procès sur trop de doses" de vaccins fait au gouvernement.

"La faute stratégique a été de ne pas associer les généralistes, de ne pas demander à chaque Français de se faire vacciner par son médecin et de passer par cette procédure, qui a été si incroyablement difficile à mettre en place et à gérer, des centres de vaccination", a-t-il estimé. "Il y a eu là une faute très lourde de la part du gouvernement", a insisté le leader centriste.

Le socialiste Pierre Moscovici qualifie lui, de "dérapage" l'achat massif de vaccins. "On a acheté trop de vaccins, cela profite à l'industrie pharmaceutique de façon assez éhontée, cela a un coût pour les finances publiques, de un à 2 milliards d'euros, alors que celles-ci sont quand même dans une situation extrêmement difficile, et cela prouve que l'on a poussé beaucoup trop loin le principe de précaution sans aller dans le principe de responsabilité", a-t-il dénoncé. "Nous avons suréagi, dans des conditions économiques imprévoyantes et des conditions de finances publiques aberrantes", a également déploré Pierre Moscovici.

De son côté, William Dab, ancien directeur général de la santé, estime dans un entretien au Monde que la question du surplus est "une mauvaise querelle". "Au moment de la commande, en juin-juillet, il était assez logique de se mettre en position de pouvoir vacciner toute la population, partant sur l'hypothèse de deux doses nécessaires à une bonne efficacité", affirme-t-il.

"N'importe quel ministre aurait pris cette décision, étant donné la grande incertitude dans laquelle nous étions à l'époque". "La seule chose constante avec le virus de la grippe est son imprévisibilité". Cependant, l'ancien directeur général de la santé souligne "qu'il a manqué des instances de débat sur les incertitudes et leurs implications". William Dab rappelle qu'en France "le débat est compliqué par la succession d'échecs de sécurité sanitaire (sida, vache folle, hormone de croissance, canicule...), qui ont engendré une défiance de l'opinion et une logique de rachat chez les politiques".

PS et NC réclament une commission d'enquête


Le député PS Jean-Marie Le Guen, également président du Conseil d’administration des hôpitaux de Paris, a, lui, réclamé une mission parlementaire pour faire le bilan de ce qu'il a qualifié d'"échec" du gouvernement dans la campagne de vaccination contre la grippe H1N1.
"La politique vaccinale est malheureusement un fiasco" aboutissant "à ce que nous ayons le plus faible taux de personnes vaccinées des pays développés", a estimé le député.

"Tous les scientifiques français ont attiré l'attention du gouvernement sur le fait que la façon dont il faisait n'était pas la bonne", a également soutenu Benoît Hamon. Selon lui, "tout cela est inquiétant sur la gouvernance" à un moment "où nous avons si peu d'argent, où nous sommes tellement endettés".

Pierre Moscovici s'est également déclaré favorable à une mission parlementaire, jugeant qu'elle est nécessaire "pour voir dans quelles conditions il y a eu un dérapage".

"Ce gouvernement n'a pas été écouté ceux qui savent, ce n'est pas la première fois, il y a un mépris pour le savoir, il y a une gestion par la peur", a renchéri sur France 2 l'eurodéputé Vincent Peillon.

Même constat du côté du Nouveau Centre, qui a également demandé, dans un communiqué signé de Jean-Christophe Lagarde, député-maire de Drancy et président exécutif du Nouveau Centre, "une commission d'enquête parlementaire sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne". "La France est en échec dans cette affaire, où on voit que notre pays fait partie de ceux qui ont le taux de vaccination le plus faible, malgré une débauche de moyens", a-t-il estimé.

"L'Assemblée nationale doit créer une commission d'enquête pour aider notre pays à mieux se préparer à l'avenir. Face à ces véritables enjeux, la polémique sur la vente des surplus de vaccins, ce que font de nombreux pays européens, apparaît comme anecdotique et purement politicienne", a-t-il également affirmé.

La revente de vaccins aussi en ligne de mire


La revente des surplus de vaccins contre la grippe A (H1N1) est en effet l'autre sujet de crispation.

Pour Benoît Hamon, les laboratoires pharmaceutiques sont "les grands vainqueurs dans cette affaire". "Je trouve ça pour le moins curieux qu'on achète pour l'équivalent de 90 millions" de doses de vaccin et que "70 millions, c'est-à-dire qu'à peu près deux tiers, n'ait pas été utilisé", a déclaré le porte-parole du PS sur Canal+.

Il a dénoncé de la part du gouvernement "une campagne bien anxiogène pour essayer d'écouler les stocks" et le fait qu'il tente "de justifier qu'on ait payé l'équivalent d'un milliard d'euros aux labos pharmaceutiques qui sont les grands vainqueurs dans cette affaire".

Pour François Bayrou, il y a "quelque chose d'un peu choquant dans cette revente de vaccins" décidée par le gouvernement pour écluser les stocks, alors qu'"il y a tellement de pays pauvres dans le monde" envers lesquels on pourrait avoir "un vrai geste de solidarité active". "On a pris des précautions peut-être excessives, au moins ne nous donnons pas le ridicule de ce qu'on est en train de faire en vendant à l'encan ces doses de vaccins", a-t-il déclaré.

Au total, la campagne de vaccination et de prévention contre la grippe A aurait coûté près de 2 milliards d'euros, alors que seulement 5 millions de Français ont été vaccinés pour 94 millions de doses commandées. Afin d'alléger la facture, le gouvernement a décidé de "revendre une partie du stock", a précisé une porte-parole du ministère de la Santé.

Le Qatar a déjà acheté 300.000 doses et la négociation est bien engagée avec l'Egypte pour 2 millions de doses, précise le ministère. Des négociations sont également en cours avec le Mexique et l'Ukraine.

L'UMP justifie les stocks


De son côté, l'UMP a justifié l'importance des stocks de vaccins. "Il y avait, à l'époque à laquelle on a acheté ces vaccins, nécessité de deux injections, nous avions tablé sur une pandémie durable - il faut toujours envisager les hypothèses les plus graves - et sans doute un engouement plus grand des Français pour la vaccination", a expliqué Dominique Paillé, porte-parole adjoint de l'UMP, sur France-Inter.

"Cela étant, aujourd'hui le constat c'est le recul de l'épidémie, nous allons sortir de l'hiver en ayant eu, et c'est tant mieux, un minimum de dégâts causés par la grippe A", a-t-il poursuivi. "Imaginez un seul instant, si le gouvernement n'avait pas pris de telles précautions et que la pandémie avait été ce que l'on craignait à l'époque, les accusations qui auraient été portées, notamment contre la ministre de la Santé et le chef du gouvernement", a-t-il ajouté.

Quant à la demande d'une mission information parlementaire sur la gestion et le coût de la grippe, le porte-parole adjoint de l'UMP a estimé que "c'est au parlement à se prononcer". "J'ai toujours défendu la transparence à une condition, que ce ne soit pas une vision polémique", a-t-il ajouté.

Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, également porte-parole de l'UMP a assuré de son côté, qu'il préfère affronter une "polémique parce qu'on en fait trop". "Je préfère qu'il y ait une polémique parce qu'on en fait trop qu'une polémique parce qu'on en fait pas assez", a-t-il souligné. Et de rappeler : "Notre pays a connu notamment en matière sanitaire des polémiques, voire des condamnations - je pense au sang contaminé, un ministre condamné - parce qu'on en faisait pas assez".

Le scandale du sang contaminé avait abouti en 1999 à la condamnation avec dispense de peine de l'ancien secrétaire d'Etat à la Santé Edmond Hervé. Des hémophiles avaient reçu dans les années 80 des produits contaminés par le virus du sida.

Frédéric Lefebvre a également cité le cas de la "canicule" meurtrière de 2003, où le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin avait été accusé d'inaction en faveur des personnes âgées.

"Je veux dire au gouvernement qu'à l'UMP nous soutenons la protection des Français et le fait qu'on ne prenne pas de risque", a également affirmé le porte-parole. Selon lui, il s'agit d'un "débat malhonnête" et d'une "polémique gratuite" car le gouvernement avait décidé d'acheter les vaccins "au vu des rapports d'experts" qui préconisaient à l'époque deux injections, alors qu'une seule s'est avérée désormais nécessaire.

"Je préfère être dans la peau d'un Français qui parce qu'il est bien protégé peut se permettre ensuite d'aider les autres que d'être dans la peau de tous ceux qui, au contraire aujourd'hui, vont acheter des vaccins".

Sanofi prêt à renégocier son contrat


Le groupe pharmaceutique Sanofi s'est quant à lui déjà dit "disposé" à renégocier les conditions du contrat d'achat de vaccins avec la France. Pour l'heure, seule la moitié des 28 millions de doses commandées au laboratoire ont été livrées. Le reste doit être livré début 2010. La négociation pourrait porter sur cette livraison.

La France a conclut des contrats avec les groupes GlaxoSmithKline (GSK), Novartis, Sanofi-Pasteur et Baxter. Elle a acheté 94 millions de doses de vaccins en se basant sur un schéma vaccinal à deux doses et sur la vaccination des trois quarts de sa population (soit 47,7 millions de personnes). Pour la revente de dose, la France est en concurrence avec l'Allemagne qui essaie elle aussi de se défaire de ses excédents en vendant à Kiev 2,2 millions des 50 millions de doses commandées. Les Pays-Bas également, qui avaient commandé 34 millions de doses ont annoncé leur intention d'en revendre 19 millions.

(Nouvelobs.com)

http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/la_grippe_a/2010...


Grippe H1N1 : les critiques pleuvent contre le gouvernement

Tant mieux que les critiques pleuvent sur le Gouvernement ! Il était temps qu'ils se réveillent après leur campagne terroriste de vaccination de masse !

Ce qui prouve que nous avions raison de nous mobiliser dès juillet 2009 contre cette imposture criminelle pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques qui ne sont pour les gouvernements que des instruments de guerre dirigés contre les populations innocentes et ignorantes !

Leurs vaccins ne sont que des armes biologiques de destruction massive pour handicaper et décimer les populations !

L'homme existe depuis des millions d'années et son évolution s'est faite sans les vaccins et les médicaments !

C'est l'hygiène et la bonne alimentation qui font le lit de la bonne santé, et non pas les médicaments et les vaccins tueurs !

Ouvrez les yeux !

Depuis quand la grippe est-elle une maladie ?
Hippocrate le père de la médecine doit s'arracher les cheveux !

Depuis quand un gouvernement instaure la Loi martiale et pratique les réquisitions pour vacciner de force les populations ?


NOUVELOBS.COM | 04.01.2010 | 16:26

"Faute stratégique lourde", "moyens surproportionnés" : de nombreux politiques, mais aussi des médecins, vilipendent la gestion par le gouvernement de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1.

Un centre de vaccination à Lyon (AFP)

Un centre de vaccination à Lyon (AFP)





















De violentes critiques, essentiellement venues des politiques, mais aussi de médecins, se sont abattues lundi 4 janvier sur le gouvernement, pour fustiger sa gestion de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1, après l'annonce de la revente d'un certain nombre de doses de vaccins.

"Fiasco", "scandaleux échec", "faute stratégique lourde": du Parti socialiste au MoDem, en passant par le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) et certains médecins, les mots étaient sévères pour dénoncer la campagne de vaccination contre la grippe H1N1.

L'annonce dimanche de la revente à l'étranger d'une partie du stock de vaccins commandés en excédent, afin d'alléger la facture, a mis le feu aux poudres. Les attaques existaient jusque-là, mais elles étaient contenues.

En vue d'une pandémie mondiale redoutée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le ministère de la Santé avait commandé l'été dernier 94 millions de doses de vaccins - d'un montant total de 869 millions d'euros, selon le ministère - misant sur une double injection par personne.

Mais à partir du 20 novembre, il est apparu qu'une dose unique suffisait à protéger les patients. A ce moment-là, la France a commencé à se tourner vers l'étranger pour écouler ses stocks.

Hamon demande une commission d'enquête


Premier à brocarder le gouvernement, le socialiste Jean-Marie Le Guen a réclamé dimanche une "mission d'information parlementaire". Lundi, le porte-parole du PS Benoît Hamon a pris le relais, demandant cette fois une "commission d'enquête", plus contraignante qu'une mission. Une requête reprise par Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du Nouveau Centre, ainsi que par Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République et par le NPA qui, comme le PS, a dénoncé une "gabegie" financière au profit "des laboratoires pharmaceutiques".

A droite, le député UMP et professeur de médecine Bernard Debré a joint sa voix aux critiques, en vilipendant le "principe absurde, poussé à l'extrême, de précaution".

François Bayrou a jugé pour sa part que le gouvernement avait commis "une faute stratégique très lourde", notamment en ne faisant pas appel aux généralistes pour la vaccination. Pour autant, le président du MoDem s'est refusé "à jeter la pierre au fait qu'on ait pris des précautions".


Des moyens "surproportionnés"


Le virologue Bruno Lina, directeur du Centre national de référence des virus de la grippe pour le sud de la France, a de son côté reconnu lundi qu'"on en a fait beaucoup plus que ce qui était nécessaire" contre la grippe H1N1, tout en soulignant qu'"on ne le sait que maintenant".

"Rétrospectivement, c'est clair aujourd'hui qu'on a développé des moyens qui sont d'une certaine façon surproportionnés, je ne voudrais pas dire disproportionnés, mais de taille supérieure à la cible", a déclaré le spécialiste sur RTL.

"Il y a trop de vaccins en France, mais ceci, il faut le revoir au fil des événements qui se sont passés au cours de cette pandémie (...). On ne peut pas faire un état des lieux simplement maintenant", a-t-il souligné.

"ça n'a pas été un succès"


"Tout ceci est lié au fait que, finalement, au cours de cette pandémie nous n'avons fait qu'accumuler d'excellentes nouvelles : il ne fallait qu'une seule dose pour le vaccin, le virus n'était pas aussi dangereux qu'on l'avait cru", a expliqué le Pr Lina.

"L'épidémie n'est pas terminée", a cependant mis en garde le virologue, assurant qu"'il y aura une deuxième vague". "Il est possible qu'au cours de la deuxième vague les formes graves soient observées avec une plus grande fréquence", a-t-il souligné.

A propos de la campagne de vaccination, le spécialiste a jugé que "clairement, ça n'a pas été un succès". "On voit que les centres de vaccination ont leur intérêt, mais ont aussi leurs limites", a-t-il dit.

"Si on veut avoir une bonne adhésion à la vaccination, il faut qu'on change probablement quelque chose, certainement en passant par les généralistes", a encore jugé le Pr Lina.

(Nouvelobs.com)