Codex Alimentarius : Dossiers SOS JUSTICE

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20/05/2010

Le cadeau empoisonné de Monsanto à Haîti !!!

Le séisme Monsanto : Un nouveau «tremblement de terre» se déchaîne en Haïti



Mondialisation.ca, Le 16 mai 2010
Monsanto va «offrir» aux agriculteurs haïtiens 475 tonnes de semences génétiquement modifiées: un cadeau mortifère. Le statut de «population assistée» n’est pas unanimement accepté ! Ainsi, le 10 mai 2010, d’importantes mobilisations se sont produites contre le président haïtien René Préval. A cette date, le sénat approuvait un projet de loi prolongeant pour trois le mandat présidentiel de Préval. De la sorte, son mandat ne prendra fin qu’en mai 2011. Selon Batay Ouvriye (Bataille ouvrière), les manifestants de diverses forces d’oppositions, se sont dirigés vers le Palais présidentiel – à Port-au-Prince – pour exiger le départ de Préval. La police a réprimé les manifestants et les a empêchés d’atteindre le Palais présidentiel. Des mobilisations sur le même thème ont eu lieu à l’intérieur. Selon Batay Ouvriye, non seulement la population est largement délaissée par le gouvernement, mais elle subit une présence renforcée des troupes des Etats-Unis (qui, entre autres, établissent un «cordon sanitaire» contre toute émigration). Elle prolonge la présence répressive de la Minustah (force de l’ONU placée sous le commandement du Brésil). Le 18 mai, fête nationale qui est censée célébrer l’indépendance nationale obtenue au XIXe siècle, sera, selon Batay Ouvriye, une occasion de manifester contre l’occupation d’Haïti et pour «un nouveau pays» répondant aux exigences des masses populaires. Un appel dans ce sens est relayé par les radios locales. (Réd. À l'Encontre)

Le tremblement de terre à Haïti, le 12 janvier 2010, a fait le bonheur de certains affairistes. La multinationale étatsunienne Monsanto est en train d’offrir aux agriculteurs du pays un cadeau mortel, à savoir 475 tonnes de semences [de céréales et légumes, dont 60 sont déjà livrées] génétiquement modifiées (OGM), en plus des engrais et pesticides qui leur sont associés.

Tout cela sera distribué gratuitement par le projet WINNER [1], avec le soutien de l’ambassade étasunienne en Haïti. Les Haïtiens savent-ils que c’est Monsanto qui fabriquait le défoliant dit «agent orange» [herbicide dispersé massivement de 1961 à 1971 pour liquider la forêt qui «servait de sanctuaire aux combattants vietnamiens engagés contre l’armée impérialiste des Etats-Unis] que les bombardiers américains ont utilisé pendant la guerre du Vietnam, empoisonnant ainsi les soldats américains autant que les civils vietnamiens ?

Les Haïtiens savent-ils que dans beaucoup de pays on a déclaré ces semences dangereuses ? Elles viennent souvent en kit accompagnées d’un herbicide de Monsanto du nom de Round Up qui contient du glyphosate. Dans ma Bretagne natale, cette substance a déjà contaminé l’eau potable. Mais Monsanto continue à prétendre que son produit est biodégradable. Ce qui lui a valu un procès intenté par le service de répression des fraudes de Lyon [2].

Monsanto a déjà commencé à distribuer ses semences de maïs OGM dans les régions de Gonaïves, Kenscoff, Pétionville, Cabaret, Arcahaie, Croix-des-Bouquets et Mirebalais. En Haïti, il n’y aura bientôt plus que des semences Monsanto. Ce sera alors la fin de l’indépendance des agriculteurs. Monsanto a investi récemment 550 millions de dollars au Brésil pour fabriquer son herbicide Round Up dans l’Etat de Bahia. Mais il semble que le pays soit en train de résister à la multinationale.

Monsanto fait toute une publicité autour de ce don de semences qui serait un cadeau généreux. Mais les agriculteurs haïtiens qui voudront disposer de droit de resemer pour leurs récoltes futures devront payer des royalties à Monsanto.

Le représentant de Monsanto en Haïti est Jean-Robert Estimé. Il fut ministre des Affaires étrangères sous la longue dictature de la famille Duvalier. Une alliance prometteuse !


Traduction A l’Encontre

Notes

[1] Le projet WINNER a été lancé le 8 octobre 2009 – avant le tremblement de terre, mais après les tempêtes tropicales – par l'Agence américaine pour le développement international (USAID). Ce projet qui vise, entre autres «l'intensification agricole». Il est financé par l'USAID à plus de 126 millions de dollars. Une délégation de Monsanto a visité Haïti le 6 mai 2010. Un débat existe sur le caractère des semences (maïs hybride) et des pesticides et le ministère haïtien affirme qu’il ne s’agit pas de semences Round UP Ready. (Réd.)

[2] La cour d’appel de Lyon a confirmé en octobre 2008 la condamnation en première instance de la firme d’agrochimie Monsanto pour publicité mensongère à propos de son désherbant, le Round Up. (Réd.)



Le père Jean-Yves Urfié est membre de l’Ordre du Saint-Esprit; il est un ancien professeur de chimie au Collège Saint Martial de Port-au-Prince.


Le séisme Monsanto : Un nouveau «tremblement de terre» se déchaîne en Haïti


Articles de Jean-Yves Urfié publiés par Mondialisation.ca

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15/03/2010

Génériques et compléments alimentaires

Un combat de plus en Justice pour notre survie !

Si cela continue les citrons qui contiennent de la vitamine C seront considérés par les lobbies pharmaceutiques comme étant des médicaments. Idem pour tous les aliments que nous trouvons dans la nature "végétaux et fruits" qui contiennent tous des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments nécessaires à nourrir correctement nos cellules et à assurer toutes les synthèses !

A quand les pharmacies transformées en grands bazars pour vendre les fruits et légumes frais ou en gélules ?


Est-ce que les laboratoires pharmaceutiques vont prendre aussi le monopole sur notre alimentation et sur les ventes des épices, qui contiennent aussi des éléments nutritifs et des principes actifs curatifs ?
Ducros a du souci à se faire, lui dont les produits sont vendus en grandes surfaces !

LA MORT DES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES par Maître BEUCHER à télécharger ci-dessous :

TEXTE Maître BEUCHER - La Mort des compléments alimentaires.pdf

La Mort des compléments alimentaires - Par Maître BEUCHER

 


 


 


 

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15/12/2009

La Miviludes rattaque : Les médecins pratiquant une médecine non conventionnelle qualifiés de "sectaires"

Ben voyons !

Quand on respecte la vie sous toutes ses formes et la santé humaine, que l'on refuse les pratiques eugénistes et ciminelles, et de se faire empoissonner par les Laboratoires pharmaceutiques,  nous sommes bien sûr qualifiés de personnes sectaires !


On peut se demander alors pour quelles raisons légitimes, les Laboratoires pharmaceutiques oeuvrant soi-disant pour  le bien-être et la protection des personnes dans le cadre d'une pandémie dite mondiale, ne le feraient-ils pas gratuitement, dans la mesure où ils prétendent sauver l'humanité ?

Pour quelle raison encore déposent-ils des brevets et empêchent-ils les gouvernement de pratiquer à des analyses sur les vaccins ?

Quand à la prochaine signature par nos politiques, le 31 décembre 2009, du Codex Alimentarius, ce sera sans commentaire n'est-ce pas ?


Ils viendront encore nous dire que c'est pour notre bien !

Les Illuminati-reptiliens, veillent au grain !

Par qui est réellement financée la Miviludes ?

Jeudi 3 décembre 2009 par Jsf

(Source : Futura-Science)

En France, entre 2.000 et 3.000 professionnels de santé sont considérés comme suspects de dérives sectaires. Les médecins et par conséquent leur patientèle, constituent en effet une cible privilégiée des sectes. Les autorités toutefois sont vigilantes, particulièrement en cette période de pandémie grippale.

La Direction générale de la Santé, la Mission interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives sectaires – Miviludes – ainsi que les ministères de la Justice, de l’Education nationale et de l’Intérieur) se sont alliés en février 2009, pour mettre en place un Groupe d’appui technique dédié à cette question. Il a pour mission de « recenser les pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique les plus dangereuses », explique Françoise Chalmeau, conseillère du pôle santé-social à la Miviludes. Par pratique non conventionnelle, elle fait par exemple référence « aux médecines alternatives, médecines douces, psychothérapies diverses et variées… Tout ce qui n’a pas fait l’objet d’une évaluation indépendante ».

Ces pratiques ne sont pas forcément toutes nuisibles. Concernant les psychothérapies, l’objectif du groupe d’appui est d’opérer un tri : d’une part celles réalisées dans le cadre conventionnel (défini notamment par la loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires), d’autre part celles menées par des charlatans. Egalement dans le viseur, toutes les approches thérapeutiques « expliquant que la maladie a une cause psychologique, qu’elle constitue non pas une agression de l’organisme mais une défense. Car derrière, il y a des patients qui subissent de véritables pertes de chances ».

Les ligues anti-vaccination à l’affût…

Si les pratiques alternatives constituent un creuset important de dérives sectaires, tous les médecins peuvent être visés. « En attirant un professionnel de santé, ces organisations espèrent toucher aussi ses patients » souligne ainsi Françoise Chalmeau.

Chaque année par exemple, l’Eglise de Scientologie mène campagne contre les drogues et l’enfermement psychiatrique. Des lettres, des DVD sont alors adressés aux professionnels de santé pour leur expliquer que… la maladie mentale n’existe pas. Cette « église » assure ainsi qu’au contraire, ce sont les médicaments qui les provoquent !

Ces jours-ci, les ligues anti-vaccination mènent grand battage. Pandémie grippale oblige… « Toutes les critiques sur le recul dans l’élaboration du vaccin, le monde pharmaceutique qui s’enrichit etc., sont mises en avant par ces organisations, qui pratiquent l’opposition systématique. Leur objectif est simple : rebondir sur le débat actuel pour introduire du doute et saper la confiance dans la médecine conventionnelle… » Pour en savoir davantage sur le sujet, consultez le site de la Miviludes.

Colloque "Vigilance et lutte contre les dérives sectaires : état des lieux en France"

http://www.miviludes.gouv.fr/Colloque-Vigilance-et-lutte-...

Jsf : Un avant-goût du Codex Alimentarius, n’est-ce pas ?

Nous y sommes :

Voici ce que prévoit le nouveau dispositif du codex alimentarius à partir du 31 décembre 2009 :

- De supprimer et d’interdire de nombreuses vitamines et nutriments essentiels dans notre alimentation ainsi que d’introduire 7 des 9 pesticides que 176 pays ont bannis !

De rendre les vitamines illégales !

- D’interdire les compléments alimentaires naturels et de les remplacer par des produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et seront uniquement disponibles en pharmacie sur prescription médicale.

- D’interdire progressivement les médecines alternatives telles que l’ acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine.

- L’agriculture et l’alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l’agriculture dite bio-dynamique.

- L’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée (ex : irradiée au Cobalt - le terme technique employé pour rassurer la population étant ionisé .)"

D’après les études de scientifiques-neurologues, ces nouvelles normes alimentaires et de soin constituent un véritable génocide au niveau mondial qui coutera la vie à environ 3 milliards de personnes.

Prenez note que ce n’est pas moi qui déclare ces suppositions, je n’ai aucune idée de leur authenticité. Alors soit cette femme dit vrai ou alors elle est complètement folle et essai de nous faire paniquer littéralement.

L’Afrique du Sud et l’Inde refusent de se soumettre à ces directives, et aux États-Unis et au Royaume-Unis, la résistance s’organise. Tony Blair est qualifié d’hypocrite pour défendre le codex alimentarius.

Cette règlementation aussi absurde qu’elle soit, s’explique par l’origine même du codex alimentarius et ses liens étroits avec Rockefeller, qui détient l’étendue de l’industrie pharmaceutique mondiale et qui souhaite stopper par ce moyen la concurrence qu’exerce la médecine naturelle sur le pharmaco-chimique.

http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article6934

 

 

22/11/2009

Liesi 194: la santé mondiale en otage

Ils nous aiment ! Il faut nous flinguer par tous les moyens !

Numéro 194 15 novembre 2009

Les menteurs et les haineux de la nation face à la Science

Depuis plusieurs semaines maintenant, politiciens et scientifiques véreux ou dupes, inféodés au complexe militaro-industriel, voire aux grands laboratoires, ont pris pour tactique d’accuser de conspirationnisme ceux qui s’opposent à l’application d’un programme massif de vaccination contre un virus non naturel. Les présentateurs de certaines émissions grand public, entretiennent pour leur part le mensonge et les attaques sournoises, devenant ainsi les complices d’un probable et futur crime contre l’humanité, si l’on se réfère à l’épisode de la grippe espagnole.
Dans le même temps, un journaliste comme C. Cotten rappelle l’itinéraire de Mme Bachelot et l’on en vient conséquemment à s’interroger sur les motivations de la ministre de la Santé. N’a t-elle pas été « visiteuse médicale » durant vingt longues années, « chargée de relations publiques pour l’industrie pharmaceutique » ? Quel est l’objectif réel poursuivi par Mme Bachelot et pourquoi des propos violents exprimés à l’encontre des opposants à son plan de vaccination massive ?


Face à une telle équipe d’incompétents et d’affairistes, il est bon d’opposer les certitudes de quelques scientifiques qui, eux, ont fait la preuve de leur compétence. Pour le Pr. Léon Grigoraki, professeur à la faculté de médecine d’Athènes : « L’organisme doit rester vierge de toute pollution autant que possible et aussi longtemps que possible… Actuellement, nous créons nous-mêmes des maladies et nous allons vers la cancérisation généralisée et les débilités mentales par encéphalite, par l’usage des médicaments, des vaccins et autres abus chimiothérapeutiques ». Et que dire encore du Dr J.W. Hodge, qui écrit dans son ouvrage The vaccination superstition : « Après avoir étudié de très près, de la manière la plus impartiale possible, l’histoire des vaccinations, les statistiques, les études fiables, et après avoir moi-même vacciné quelque 3 000 personnes, je suis fermement convaincu que les graves maladies mortelles comme le cancer, la syphilis, les maladies cardiaques, la polio, la tuberculose, etc., ne pourront jamais être vaincues tant que la pollution du sang par les vaccinations continuera ». Ce qui fera dire au Dr C.V. d’Autrec : « L’introduction de virus dans un corps sain le rend inévitablement malade. Voilà la vérité biologique contre laquelle aucun mensonge officiel ne pourra rien ». Traduction de ce principe : la grippe espagnole , apparue initialement chez des militaires américains, fut la conséquence d'une campagne de vaccination massive de la soldatesque au service du cartel bancaire, laquelle devait s’engager en Europe afin de renverser le cours de la guerre et permettre aux banques américaines d’être dûment payées par leurs débiteurs : les nations européennes.


On a dit que la grippe espagnole avait fait 20 millions de morts dans le monde entier. Certains parlent même de 40 millions ! Au-delà de cette guerre des chiffres, l’on s’est bien gardé de préciser que les pays ayant refusé la vaccination ont échappé à l’épidémie de grippe espagnole. Tel est le cas de la Grèce dont les autorités avaient catégoriquement refusé la vaccination massive.

Vers un remake du scénario de la grippe espagnole

Sachant qu’une équipe de chercheurs de l’armée américaine, dirigée par le Dr Jeffrey Taubenberger, a reçu pour consigne de « recréer le virus de la grippe espagnole » au même moment où de nombreux virologues furent assassinés, voire disparurent sans aucune explication, il est évident, du moins pour quelqu’un de censé, que certains personnages du complexe militaro-industriel, et par conséquent sous la coupe du cartel bancaire, ont pour objectif de recréer un virus mortel. D’où ce commentaire avisé d’Edward Hammond, professeur à l’Université du Texas : « Les risques d’une libération délibérée ou accidentelle du virus dans la nature par l’armée américaine auraient dû justifier l’interdiction de ces travaux ».


Faut-il alors s’étonner de la découverte publiée le 21 mars 1997 par Science Magazine Report : « Le virus de la pandémie de 1918 était un nouveau virus porcin recombiné avec des fragments de virus aviaires (H5N1) et humains (H3N2) dans la structure même de leur ARN ». Dès 2003, des scientifiques de l’armée américaine avaient recréé en laboratoire le virus mortel de la grippe espagnole. Le Projet Sunshine, une organisation non gouvernementale, signalait alors que « plusieurs gènes du virus extrêmement meurtrier de la grippe de 1918 avaient été isolés et introduits dans des souches de grippe contemporaine ». La suite de l’histoire est connue de chacun… Par contre, nos bons penseurs n’établissent aucun lien entre les Etats-Unis et un « Etat-voyou ».

Il appert, à la lumière de tout cela et du déclenchement des récents scandales politico-financiers [dont l’enchaînement, pour la France, n’est même plus sous le contrôle de l’Elysée], qu’au lieu d’agresser verbalement les pères de famille, soucieux de la vie de leurs enfants, certains ministres feraient bien de réfléchir au fait que le paradigme d’une société où l’on s’enrichit aux dépens des autres, ne durera plus très longtemps et que des moments bien difficiles pourraient survenir à tout moment, pour les uns comme pour les autres. A ce moment-là, les marionnettistes qui ont placé leurs pions sur un siège éjectable, ne se priveront pas de les jeter en pâture à la haine du peuple, pour de « justes raisons », du moins selon l’opinion commune. Le battage médiatique réalisé autour de cette vaccination est tout bonnement scandaleux, voire criminel. La vérité est la suivante : le génome de ce virus avait complètement disparu de la surface du globe jusqu’à ce que l’armée américaine le ressuscite récemment à partir d’un cadavre congelé d’une personne morte de la grippe, en 1918, en Alaska. Il est évident que le souci de santé publique a été détourné à des fins militaires. Que les groupes financiers à l’origine de ces travaux soient les mêmes qui contrôlent les conseils d’administration des firmes pharmaceutiques à l’origine d’un vaccin, contesté par plus de 60 % du corps médical, ne semble pas gêner ceux qui se croient des « lumières » au siècle des ténèbres !
En prenant en compte les confidences apportées à la rédaction de LIESI par une pointure qui préfère rester dans l’ombre du pouvoir, notre rédaction ne peut conclure autrement que des centaines de millions de personnes ont de fortes chances de mourir à cause du feuilleton de la grippe du cochon… Non pas du fait de la maladie du « goret » à proprement parler, mais de la malice de certains hommes, pervers, sans pitié, et surtout sectateurs du Diable. Rappelons que leur force vient, en partie, de l’ignorance volontaire du plus grand nombre.

Le curieux cas du professeur Moshe

Récemment, Joseph Moshe a fait l’objet d’une interpellation absolument rocambolesque. Avant cela, il s’était présenté à l’émission du Dr A. True Ott, diffusée en direct sur Republic Broadcasting. Se prétendant microbiologiste, « il voulait apporter des preuves démontrant que les vaccins de la grippe H1N1, produits par Baxter BioPhrama Solutions, étaient souillés. Il a même affirmé que le laboratoire ukrainien de Baxter produisait une arme biologique déguisée en vaccin ». « Le vaccin contient un adjuvant (additif) destiné à affaiblir le système immunitaire et il réplique l’ARN du virus responsable de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 ». Au cours de l’émission, il a expliqué que son intention était de propager cette information, même si une telle perspective allait à l’encontre de la volonté du président ou de la Maison-Blanche ».


Quand il a constaté la présence de policiers et de responsables du FBI devant sa maison pour le mettre en détention, Joseph Moshe a essayé de rejoindre le consulat d’Israël, puisqu’il bénéficie de la double nationalité américaine et israélienne. Finalement, le FBI et la brigade antiterroriste l’en ont empêché. Une enquête journalistique confirme que Joseph Moshe est un spécialiste en maladies virales qui a publié de nombreux articles sur la manipulation génétique des virus. Joseph Moshe a été renvoyé en Israël peu de temps après son arrestation. Certains affirment qu’il a eu une formation au Mossad, les services secrets israéliens .

Baxter est encore impliqué dans un scandale…

Il y a quelques semaines, la presse allemande révélait que les dirigeants du pays s’étaient réservé quelques vaccins spécifiques de Baxter à leur intention personnelle. En effet, le ministère de l’Intérieur a commandé 200 000 doses de Celvapan, fabriquées par le groupe Baxter, à l’usage exclusif des dirigeants, du personnel de l’Etat et de l’armée. Par contre, les autorités allemandes ont commandé 50 millions d’exemplaires du vaccin Pandermix, fabriqué par la firme GlaxoSmithKline (GSK), à l’usage exclusif de la population allemande, c’est-à-dire des citoyens ordinaires.
Il existe donc un vaccin pour la caste dirigeante et un autre pour le « peuple ». La différence entre les deux vaccins réside dans les adjuvants que contiennent les vaccins Pandermix. Les spécialistes expliquent que l’adjuvant a pour caractéristique de renforcer l’efficacité du vaccin, permettant de réduire la présence des extraits de virus morts dans le médicament pour faire réagir l’organisme. Par contre, le Celvapan est dépourvu d’adjuvants, comme le vaccin équivalent de la firme suisse Novartis, mais il doit, à l’inverse, intégrer une dose supérieure de virus atténué pour produire le même effet.

La grippette cache t-elle la survenance de la peste en Europe ?

Fin octobre 2009, le Premier ministre ukrainien Ioulia Timochenko a annoncé la fermeture de tous les établissements scolaires et l’annulation des rassemblements publics dans le pays, pour une durée de trois semaines, en raison de la pandémie de grippe H1N1. En réalité, le ministère de la santé annonce « au moins » un cas mortel de grippe H1N1 et avoue que l’Ouest du pays est en proie à un début de panique après la mort d’une trentaine de personnes, « d’une pneumonie d’origine inconnue ».
Après avoir interrogé l’une de ses sources les mieux informées dans ce domaine, LIESI a appris que la peste pneumonique sévissait en Ukraine, mais que des consignes précises ont été données pour ne pas diffuser cette information. Cela signifie très clairement que la désintégration systémique de l’économie mondiale, et tout particulièrement celle de l’Ukraine et des anciens pays du bloc de l’Est, en cette première étape de la « crise », garantissent l’émergence de nouvelles et d’anciennes maladies pandémiques.
Si le Ministère de la Santé ukrainien s’est contenté de signaler la mort de 30 personnes dans l’Ouest du pays, la réalité est autre : au 1er novembre, 379 000 personnes étaient touchées par des infections respiratoires virales, dont 500 enfants. Une semaine plus tard, 763 000 personnes, dont une grande majorité d’enfants, sont touchées par des infections respiratoires aiguës et parfois de la grippe .
De fait, « en réponse au nombre inhabituellement élevé de cas signalés d’infections respiratoires aiguës », l’OMS vient d’envoyer d’urgence son chef de mission, Jukka Pukkila. A mots couverts, des scientifiques chevronnés évoquent « la peste pneumonique, plus rare que la peste bubonique, mais beaucoup plus mortelle ».

L’Ukraine sera-t-elle la boîte de Pandore permettant à l’OMS d’imposer un programme de contrôle mondial ?

Cette situation se produit à un moment bien particulier de la vie politique ukrainienne puisque nous sommes en pleine campagne électorale. Le gouvernement envisagerait de décréter l’état d’urgence et de reporter l’élection, prévue en janvier, au 30 mai 2010. L’un des hommes de main du cartel bancaire – et donc de l’OMS – n’est autre que Victor Iouchtchenko. Le président (et candidat) accuse le gouvernement d’avoir négligé ses mises en garde du mois de mai dernier. Même s’il avoue manquer cruellement de données scientifiques suffisantes pour l’affirmer avec certitude, Victor Iouchtchenko prétend que le virus qui touche le pays serait d’un type nouveau, entre la grippe aviaire et la grippe porcine. N’est-ce pas précisément le genre de conclusion souhaitée par les véritables décideurs de l’OM ? Après avoir refusé, à titre personnel, la vaccination, le Premier ministre ukrainien Ioulia Timochenko a confié à l’Ukrainian Journal. Com : « Ce n’est pas le moment de se relâcher car l’OMS prédit que deux vagues supplémentaires de grippe sont attendues en Ukraine , y compris la grippe aviaire ».
Les témoignages de médecins ne laissent malheureusement aucun doute quant à l’interprétation des événements qui se déroulent en Ukraine : « Plusieurs de mes patients ont montré les symptômes de fièvre accompagnée de toux et de crachats de sang. Après certaines autopsies, la conclusion est sans appel : c’est la peste pulmonaire. Certains avaient des poumons noirs de sang et de pus. Le gouvernement ukrainien ne parle que de grippe H1N1 même si seulement quelques décès, ces derniers jours, sont attribués à cette dernière, mais les médecins de l’hôpital de la ville de Rivne ont reçu l’ordre de ne plus pratiquer d’autopsies » .

Un projet de loi martiale en Ukraine ?

De récents rapports, confirmés par plusieurs centaines de témoignages grâce à Internet, font état d’une médication forcée de la population ukrainienne par les autorités, survenue dans la journée du 30 octobre 2009. En effet, de nombreuses personnes ont observé plusieurs avions légers et des hélicoptères faire des cercles dans le ciel en plein jour, en pulvérisant un aérosol non identifié dans l’atmosphère. Suite à quoi, des hommes d’affaires locaux ont rapporté que les autorités locales leur avaient conseillé de « rester à l’intérieur durant la journée ». De fait, des journalistes assaillis par plusieurs témoins ont contacté des fonctionnaires du gouvernement à Kiev, lesquels ont affirmé que ces informations étaient sans fondement. Même le bureau de l’Emergency Response dans le district de Desniansko, à Kiev, réfute catégoriquement cette opération de pulvérisation de substances. En réalité, les témoignages concordent pour les villes ukrainiennes de Kiev, Lviv, Ternopil et bien d’autres à travers le pays. Dans la foulée, le président Victor Iouchtchenko a ordonné au ministère de la Défense la mise en place d’hôpitaux militaires mobiles sur l’ensemble du territoire et il a également appelé le personnel médical militaire réserviste à faire son devoir. D’aucuns laissent entendre que le président Victor Iouchtchenko annoncera bientôt la loi martiale en Ukraine .
Ces événements en Ukraine auront-ils des conséquences pour le monde ? N’oublions pas que Tchernobyl… c’était en Ukraine !

La situation ukrainienne rappelle les sombres projets de l’OMS

Rappelons que l’Organisation Mondiale de la Santé a toujours refusé de publier le procès-verbal d’une réunion organisée le 7 juillet 2009, au cours de laquelle des recommandations relatives à des campagnes de vaccination massive furent formulées. A cette réunion, avaient été invités de grands noms du complexe pharmaceutique, comme Baxter et d’autres grands groupes. Cela a été l’occasion de rappeler qu’en vertu du Règlement Sanitaire International, les recommandations de l’OMS ont un caractère obligatoire pour tous les 194 pays signataires de la charte de l’OMS en cas d’urgence pandémique. Il va donc de soi que si le virus vient à muter et que les morts s’entassent dans les morgues, l’OMS pourra déclarer l’urgence pandémique, ce qui contraindrait tous les pays signataires à vacciner leurs populations.


La présence de Baxter et de confrères à cette réunion confirme l’évidence d’un scénario bien ficelé dont l’exécution a un rapport direct avec le programme de dépopulation de la nomenklatura mondialiste.
Comment les gouvernements réagiront-ils ? Si l’OMS acquiert une nouvelle autorité à l’échelle internationale en cas de pandémie, les instances gouvernementales nationales perdront leur autorité ; elles seront remplacées par des comités de crise prenant en charge, au titre de la santé, les infrastructures sécuritaires du pays. Ces comités spéciaux de crise devront faire appliquer la législation des autorités mondiales à l’ensemble des citoyens nationaux. La désorganisation complète du système économique, l’effondrement financier, des bouleversements en tous genres, la famine, l’enchaînement d’événements envisageables comme imprévus : la conjugaison de tous ces éléments ne peut que déboucher sur une réduction drastique de la population mondiale.
Pour mieux comprendre ce dont les véritables responsables de l’Organisation Mondiale de la Santé sont capables, il faut se pencher sur les origines mêmes de cette organisation supranationale.

Dépopulation mondiale et gouvernance mondiale grâce à l’OMS

Après la Première Guerre mondiale, la grippe espagnole de 1918-1919, qui fit en six mois plus de 20 millions de morts, donna à la Société des Nations (SDN) l’opportunité de créer le Comité International pour l’Hygiène Mentale de la SDN, l’embryon de l’OMS. L’OMS fut fondée le 7 avril 1948. Cette même année, le Comité International pour l’Hygiène Mentale fut renommé Fédération Mondiale pour la Santé Mentale (WFMH) sous l’impulsion, entre autres, du psychiatre canadien Brock Chisholm et du Brigadier General anglais John Rawlings Rees, psychiatre en chef et expert des services de renseignement britanniques. Chisholm devint le premier directeur de l’OMS, et Rees le premier président de la WFMH.


En 1940, Rees s’exprimait ainsi : « Depuis la dernière guerre mondiale, nous avons fait beaucoup pour infiltrer les diverses organisations sociales dans tous les pays et influencer les gens dans leur manière de penser. [...] Nous nous sommes lancés à l’assaut de nombre de professions. Les plus faciles d’entre elles naturellement sont les professions d’enseignement et l’Eglise : les deux plus difficiles sont la loi et la médecine. Si nous voulons infiltrer les activités sociales et professionnelles, je pense que nous devons imiter les Totalitaires et organiser une sorte d’activité de cinquième colonne ! » Rees était aussi le directeur de la clinique psychiatrique liée à l’Institut Tavistock en Allemagne, financée par la famille Rockefeller.


Montagu Norman, ancien directeur de la Banque d’Angleterre, qui financera l’armement d’Hitler, est aussi à l’origine de la WFMH.
Chisholm, qui fut pendant une grande partie de sa carrière médecin psychiatre dans l’armée, sera directeur de l’OMS jusqu’en 1953. Comme le rapporte un historien de l’OMS, John Farley, cette nomination était « imprévue », d’autant que Chisholm était devenu un objet de moquerie dans la presse, suite à des déclarations excessives. L’homme aurait sombré dans l’oubli s’il n’avait été « sauvé par la machination qui le porta à la tête de l’OMS ». Pourquoi Chisholm devait-il donc occuper ce poste et qui y avait intérêt ? La réponse réside peut-être dans cette affirmation de Farley : « …longtemps avant d’assumer son poste à l’OMS, il fut un promoteur actif du contrôle démographique et de l’eugénisme ». Chisholm ne put néanmoins se faire réélire à la tête de l’OMS.


Quels sont les principaux soutiens financiers de l’OMS ? Bien sûr, il y a les Etats-membres, mais aussi l’industrie pharmaceutique, des représentants de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Bill and Melinda Gates, deux fondations qui poursuivent un programme eugéniste bien déterminé. Selon le Dr Matthias Rath, qui s’exprime en connaissance de cause : « En 1963, l’OMS est devenue l’instrument de l’ensemble du cartel pharmaceutique. Tout était mis en place pour bloquer la diffusion des informations de santé naturelle concernant, par exemple, les avantages scientifiquement prouvés des micronutriments. Ainsi le cartel pharmaceutique [lire le cartel bancaire] a manipulé l’OMS et en a fait son instrument global pour instaurer les premières lois sur la mondialisation : des lois protectionnistes en matière de santé pour garantir de manière artificielle le monopole mondial des médicaments brevetés en matière de santé ». Par le cartel pharmaceutique, le cartel bancaire a, en quelques décennies, pris le contrôle de la médecine. Résultat obtenu grâce au financement de la recherche médicale, des facultés de médecine, des médias et des partis politiques.


Au fil des années, le lobbying de la WFMH à l’OMS n’a rien perdu de sa vigueur puisqu’en 2001, « l’Organisation Mondiale de la Santé a dédié le Jour Mondial de la Santé 2001 et son Rapport annuel aux problèmes de santé mentale. (Allan Rock, Ministre de la Santé du Canada) ». En 2001, le secrétaire général de la WFMH déclarait d’ailleurs : « (la WFMH) travaille en coopération avec les Nations Unies, l’OMS, l’Unesco, et l’Organisation du Travail (OIT) ».

Les fondations des familles oligarchiques financent un programme criminel de dépopulation mondiale

« La fondation Rockefeller est le premier sponsor des relations publiques pour le programme de dépopulation drastique des Nations Unies. Les preuves en possession d’un nombre croissant de chercheurs en Amérique, Angleterre et Allemagne, démontrent que la Fondation et ses associés industriels, médicaux et politiques, ont organisé le programme de meurtres de masse de l’Allemagne nazie », écrit Anton Chaïtkin. « D’autres milliardaires ont commencé à financer des parties du mouvement eugéniste. Bill Gates, l’homme le plus riche du pays, et George Soros, le financier, ont commencé à mettre leur argent dans des projets de contrôle démographique », écrit John Cabanaugh-O’Keefe dans The Roots of Racism and Abortion: An Exploration of Eugenics. « Les firmes pharmaceutiques ont fourni des fonds et des lobbyistes à Washington pour exécuter des tâches eugénistes. Aujourd’hui, les firmes de biotechnologie rejoignent ce groupe. [...] Les sommes apportées en faveur des programmes eugénistes au début du XXIe siècle sont énormes. [...] Ted Turner est devenu milliardaire en développant la chaîne de TV CNN. Il donne un milliard de dollars aux Nations Unies, distribués au compte-gouttes sur 10 ans par l’intermédiaire de sa fondation. Une grande partie de cet argent est destiné au contrôle démographique. Warren Buffet veut créer une fondation qui emploiera son argent après sa mort pour réaliser deux objectifs : la paix mondiale et le contrôle démographique. [...] »


Ce sont les mêmes David Rockefeller Sr, Bill Gates, George Soros, Ted Turner, Warren Buffet, qui avec le maire de New York Michael Bloomberg, Eli Broad et Oprah Winfrey, se sont réunis au mois de mai 2009, peu avant la rencontre du Groupe Bilderberg dont ils font partie, pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale. Récemment, le 1er juillet 2009, la Fondation Rockefeller annonçait qu’elle lançait des initiatives pour « booster les systèmes de santé en Afrique et en Asie »… l’accent sera mis sur la vaccination !


Cette brève analyse historique de l’OMS a montré que, dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les familles oligarchiques à la tête des cartels industriels américains et européens, ont mis en œuvre des « outils politiques » qui, finalement, leur permettent de régner sur le monde. Il y a bien sûr l’OMS, mais encore l’OMC, le FMI, la FAO, la Banque mondiale, l’OTAN et… le Codex Alimentarius.

Le Codex Alimentaire arrive en fin d’année…

Le 31 décembre 2009, le Codex Alimentaire entrera « pleinement » en vigueur . Cela signifie que des centaines de compléments alimentaires, des remèdes simples, deviendront introuvables dans leur forme efficace. Le but des règles du Codex qui s’appliqueront au niveau mondial est de bloquer la production de tout ce qui ne tombe pas directement dans l’escarcelle de l’industrie pharmaceutique. Le Codex n’est rien d’autre qu’un moyen assurant le contrôle des sources de nourriture de la ferme à la fourchette. Cela va même beaucoup plus loin : en plus de s’occuper de l’alimentation, le Codex définit aussi les normes pour les vitamines et compléments alimentaires, les nomenclatures de soins, les aliments biologiques, les aliments OGM, l’étiquetage sur les emballages alimentaires, la publicité pour les aliments, les additifs alimentaires et les résidus de pesticides et de drogues vétérinaires dans les aliments. Il va de soi que, pour toutes ces questions, les puissances agissant derrière l’OMS et le Codex entendent privilégier leurs propres intérêts économiques, et surtout ceux des industries pharmaceutiques, chimiques et génétiques qu’elles contrôlent par l’intermédiaire de la finance internationale. Ainsi, par exemple, les vitamines qui seront commercialisées en dehors des circuits de Big Pharma, ne pourront l’être que si elles contiennent très peu de substance active, c’est-à-dire si elles ne servent à rien. Ces règles ont été approuvées par le Parlement de l’Union européenne en 2002.


Le lecteur comprendra que de telles mesures prises dans un contexte de crise économique majeure, avec toutes les conséquences sociales imaginables, des carences alimentaires pour des familles de plus en plus démunies, condamnées à consommer une nourriture expurgée des éléments nutritionnels vitaux, ne sont absolument pas innocentes. Elles s’inscrivent parfaitement dans le schéma « prophétisé » par David Rockefeller en 1994 : cette « bonne crise dont nous avons besoin » pour introduire le Nouvel Ordre Mondial. La banqueroute des Etats, la faillite des entreprises et des banques, l’augmentation du chômage ou la perte des emplois, l’abêtissement des populations, les saisies immobilières et des familles entières dans la rue, l’effondrement des conditions sanitaires et le retour de maladies appartenant au passé, la trahison des chefs, l’apostasie des peuples, etc., et le contenu du Codex Alimentarius, ne sont que les éléments d’un même puzzle visant à instaurer le chaos par la globalisation, établir un contrôle mondial par le biais des multinationales et des organismes supranationaux, profiter d’une banqueroute énergétique, contrôler l’accès à une alimentation saine et aux médecines naturelles… contrôler la vie de chaque individu. Ce plan ne pouvant être complet sans le marquage de l’humanité par une puce, ce que nous verrons dans le prochain numéro de LIESI.


Comme ces gens sont des lâches et que leurs œuvres sont diaboliques, ils ont besoin de rester dans l’ombre et d’agir par procuration. C’est pourquoi la Commission Codex Alimentarius (Codex) est un organisme des Nations unies financées par l’OMS et la FAO. Fondé en 1963, le Codex Alimentarius a pour objectif de définir les normes pour tous les produits alimentaires et compléments alimentaires.


Les instigateurs de ce plan avancent qu’il s’agit seulement de définir une série de lignes directrices pour faciliter le commerce international. L’accord de libre échange Nord américain (NAFTA) se trouverait ainsi facilité par le Codex, celui-ci fixant des normes de confiance assurant la qualité des produits importés comme exportés, par exemple. C’est du moins la version officielle permettant de légitimer la mise en place du Codex. Cependant, de plus en plus d’observateurs s’inquiètent à juste raison, du fait que le Codex outrepasse largement ce programme officiel et se transforme en un instrument de contrôle absolu de l’alimentation et de la santé, donc des populations. L’alimentation étant la base de la santé, privilégier certains produits et en éliminer d’autres, peut altérer la santé. Du fait même, cela permettra d’augmenter considérablement la vente de médicaments, eux aussi sélectionnés au profit de Big Pharma. Si 60 % de la population mondiale dépendent pour leur santé de médications à base de plantes, ceux-ci ne seront pas, voire plus, en mesure de payer les médicaments qui remplaceront ces plantes, éliminées par le Codex au nom de ses nouvelles normes en passe de s’imposer partout. La nourriture réellement « bio » et les compléments alimentaires sont de même menacés. Il devient de plus en plus évident que le Codex est une arme de guerre contre tout ce qui échappe ou menace d’échapper au contrôle des grandes multinationales de l’agro-alimentaire et de la pharmacie.


Alors que la Convention de Stockholm s’est efforcée de réduire la présence de pesticides autorisés dans les aliments, le Codex autorise sept des neufs pesticides les plus toxiques au monde, avec 206 autres pesticides toxiques ! Le Dr Matthias Rath écrivait le 1er décembre 2008 : « Le Codex Alimentaire sera vu par les générations à venir comme la plus grande menace contre le droit humain fondamental à la santé. Jamais auparavant dans l’histoire un petit groupe d’intérêt, l’industrie pharmaceutique, n’avait essayé de manière aussi éhontée de compromettre la santé de millions de gens de façon à maintenir ses milliards de dollars de vente de médicaments prescrits » . Dans cette affaire, les Etats-Unis sont encore un peu protégés par le Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA), loi fédérale de protection du consommateur de 1994 ; mais pour combien de temps ? Pour sa part, la France a avalisé le Codex et cautionne la version officielle. (http://www.senat.fr/rap/r99-450/r99-4500.html).

Le rapport du Sénat à télécharger Codex Alimentarius.pdf

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