Hommage solennel à Philippe Séguin : Dossiers SOS JUSTICE

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12/01/2010

Hommage solennel à Philippe Séguin

La nouvelle vision de Sarkozy de ceux qui aiment leur pays la France avec passion :   "Tu as aimé la France avec passion. Si tu l'as tant aimée c'est parce qu'elle était à tes yeux le seul bien de ceux qui n'ont rien. Mais tu la voulais grande, ouverte généreuse, exemplaire", a-t-il dit.

Conclusion : ceux ont TOUT peuvent lui cracher dessus !

Le Président de tous les Français avez-vous dit ?
C'est quoi l'identité nationale si vous êtes pauvres ou endettés ?
Il faut tuer les pauvres qui coûtent de l'argent à l'Etat !

Un petit vaccin tueur, ça vous dit ?

Une honte pour la France et une insulte pour tous les français !


Et ils font quoi les Députés et les Sénateurs ?
Au secours .........VIREZ-LES !!!!!!!!!!!!!

 

Par Reuters Hier, 18h18

PARIS - Nicolas Sarkozy a présidé lundi un hommage solennel à Philippe Séguin, saluant dans l'ancien président de l'Assemblée nationale, mort la semaine passée à 66 ans, un homme qui "a aimé la France avec passion".

La classe politique dans son ensemble, toutes sensibilités confondues, s'était rassemblée pour l'occasion à la cathédrale Saint-Louis des Invalides autour du cercueil recouvert du drapeau tricolore de cette grande figure du gaullisme.

Outre Nicolas Sarkozy et le gouvernement de François Fillon quasiment au complet, étaient présents les anciens présidents Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing, ainsi que d'anciens Premiers ministres, les UMP Jean-Pierre Raffarin et Alain Juppé, le socialiste Pierre Mauroy.

Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry, ainsi que plusieurs parlementaires de l'opposition ont assisté également à la cérémonie.

L'office religieux a été célébré par le cardinal archevêque de Paris, André Vingt-Trois, qui a qualifié Philippe Séguin de "grand serviteur de la France".

Nicolas Sarkozy a prononcé lui-même l'éloge funèbre de celui qu'il a présenté comme son ami, retraçant avec une certaine émotion l'itinéraire de "cet enfant meurtri" qui a perdu son père, mort pour la France, en bas âge et à qui la "République a donné sa chance".

Député pendant 24 ans, maire d'Epinal (Vosges) pendant 14 ans, ministre des Affaires sociales entre 1986-1988, pourfendeur du traité de Maastricht qui a permis la création de l'euro, Philippe Séguin était depuis 2004 premier président de la Cour des comptes.

SOUS LE CIEL BLEU

"Tu as aimé la France avec passion. Si tu l'as tant aimée c'est parce qu'elle était à tes yeux le seul bien de ceux qui n'ont rien. Mais tu la voulais grande, ouverte généreuse, exemplaire", a-t-il dit.

Le chef de l'Etat, qui a pris comme Premier ministre et conseiller spécial - François Fillon et Henri Guaino - des proches de Philippe Séguin, a encore rendu hommage à celui qui avait choisi "le gaullisme parce que le général de Gaulle mettait l'Etat, la Nation, la République au-dessus de la droite et de la gauche".

Le maire de Paris Bertrand Delanoë et son prédécesseur Jean Tiberi, que Philippe Séguin avait affrontés lors des municipales de 2001, étaient au nombre de ses anciens adversaires présents lundi aux Invalides.

L'office religieux a été suivi d'une cérémonie militaire au cours de laquelle les honneurs ont été rendus par deux unités, dont le premier régiment de tirailleurs d'Epinal.

"Aujourd'hui, dans cette cour des Invalides, dans ce cadre solennel où tu aimais tant ressentir la grandeur de la France, je veux te rendre l'hommage solennel de la nation que tu as servie avant tant de noblesse et de dévouement. Puis tu iras, mon cher Philippe, dormir paisiblement au bord de ta chère Méditerranée, sous le ciel bleu et le soleil", a conclu Nicolas Sarkozy.

Philippe Séguin doit être inhumé dans le caveau de sa famille à Bagnols-en-Forêt, un village du Var.

Yann Le Guernigou, édité par Véronique Tison

 

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08:49 Publié dans France, Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

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