UPR, Frexit UE, GOPE, Réforme Territoriale : Dossiers SOS JUSTICE

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09/01/2019

Pièces à conviction - Président à tout prix : Enquête sur les millions de la campagne

Une petite idée sur ce que les français paient pour élire un président et pour entretenir les partis politiques, auxquels l'État verse des subventions qui ont le droit de réclamer des dons durant la campagne présidentielle, de faire des crédits auprès des Banques auxquelles ils doivent ensuite des comptes. Ensuite nous payons pour les Députés et les Sénateurs, leurs salaires, leurs frais de divers déplacements, leurs salariés, leur sécurité, leurs retraites, leur enterrement, quand il ne s'agit pas encore de financer les anciens Présidents qui passent automatiquement au Conseil Constitutionnel et auxquels, il faut aussi assurer, leurs salaires, leurs déplacements, leurs salariés, leur sécurité et leurs retraites à vie. Sans compter que certains députés bénéficient de plusieurs postes auprès de la France mais aussi auprès de la Commission Européenne et nous payons aussi pour les dirigeants de l'UE que les peuples n'ont jamais élus, leurs structures, leurs déplacements, leurs frais, leur sécurité, puis nous payons aussi pour l'OTAN et se sont des débours sans fin qui nous endettent pour quelques dizaines d'années ! 

Compte tenu du fait que SARKOZY nous a fait adhérer par la force à l'UE, que la France tout comme tous les pays de la communauté européenne ont perdu leur souveraineté nationale, il l s'avère donc que le Président de la République ainsi que les Députés et Sénateurs, ne sont mis en place et entretenus dans leurs fonctions par les français ou par les peuples européens que pour simplement modifier la Constitution et les lois pour les faire s'adapter aux GOPES et satisfaire aux exigences de la Commission Européenne et de la BCE, et n'ont pas pour travailler en faveur des citoyens de la communauté européenne !

Ils ne sont donc payés et entretenus dans leurs fonctions que pour trahir les peuples européens. Il serait temps de dégraisser le Mammouth qui ne sert à rien, à part à nous endetter à enrichir les banquiers et les multinationales tout en nous trahissant !

 

Pièces à conviction - Président à tout prix : Enquête sur les millions de la campagne

Trois jours après l’élection du nouveau président de la République, "Pièces à conviction" lève le voile sur les secrets du financement de la campagne présidentielle de 2017. Six mois d’une enquête délicate dans les coulisses des QG de campagne et des meetings. Comment les deux finalistes, Emmanuel Macron ou Marine Le Pen, ont-ils financé leur campagne ? Et les autres candidats qui n’ont pas dépassé le premier tour ? D'où vient l'argent ? Qui a fait des dons, sachant que les candidats s’appuient sur un financement privé, provenant en majorité des partis, mais aussi de personnes privées ? Qui a signé les chèques et négocié les dépenses ? Depuis 1988, plusieurs lois ont été votées pour encadrer le financement des campagnes électorales (plafonnement des dépenses, encadrement des ressources, contribution de l’Etat aux dépenses…), le tout étant vérifié par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). L’argent, un sujet crucial, mais tabou ? Mais en ces temps de soi-disant transparence, les questions d'argent continuent de déranger, surtout chez les deux finalistes : le camp Macron s'est montré plutôt réservé, l'équipe Le Pen carrément réticente. Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon ont plus volontiers ouvert leurs portes… L’enquête de "Pièces à conviction" révèle aussi comment l'argent a été crucial dans le maintien de la candidature de François Fillon. Une enquête de Stéphane Girard. Le reportage est suivi d'un débat animé par Virna Sacchi, qui reçoit Jérôme Lavrilleux, député européen, directeur adjoint de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, et Eva Joly, députée européenne, candidate à l'élection présidentielle de 2012.

 

 

Gros salaires, privilèges et gaspillages : enquête sur les milliards de l’Europe

Chaque année, la France verse 20 milliards d’euros à l’Union européenne. A l’heure où l’Europe traverse une passe difficile à cause du Brexit, "Pièces à conviction" a enquêté dans les coulisses, et a suivi des députés, des fonctionnaires, et même l’un de ses plus hauts dirigeants pour savoir comment ces milliards sont dépensés. Comment fonctionne le Parlement européen ? La machine est gourmande, et les dépenses parfois ubuesques. Une fois par mois, et pour trois jours seulement, les 750 parlementaires et leurs assistants déménagent de Bruxelles à Strasbourg : cela coûte 110 millions d’euros, une dépense inutile juge la Cour des comptes européenne… Quant aux députés européens, ils sont parmi les mieux rémunérés au monde, avec 11 000 euros net par mois. Mais malgré ces conditions privilégiées, certains arrondissent leurs fins de mois en travaillant pour le secteur privé, parfois en toute illégalité. D’autres ne brillent pas par leur assiduité, et parmi eux beaucoup de députés français… Avec de tels moyens financiers, que vaut le vote de ces parlementaires qui représentent 600 millions d’Européens ? L’enquête de "Pièces à conviction" révèle comment des multinationales parviennent à influencer Bruxelles et imposer leur choix, parfois contre l’avis du Parlement, démocratiquement élu. "Gros salaires, privilèges et gaspillages : enquête sur les milliards de l’Europe", un document de Stéphane Girard diffusé le 21 février 2018.

 

 

 

Les jobs en or de la République !

La République fourmille de postes très privilégiés. Comment et par qui sont-ils attribués? Qui sont ces hommes et ces femmes que l’Etat gratifie généreusement ? Combien coûtent-ils à l’Etat ? Ces jobs en or, la plupart les doivent à leurs compétences et à leur travail : préfets, conseillers d’Etat, inspecteurs généraux, inspecteurs des finances. Ils influencent les lois et les choix budgétaires, ils dirigent la grande machine de l’Etat, ils contrôlent l’administration des départements et des régions. Leurs salaires et leurs avantages sont à la hauteur de leurs responsabilités. Mais l’enquête révèle que des centaines de hauts fonctionnaires obtiennent leur poste pour des raisons plus opaques. Chaque année, le président de la République et ses ministres nomment ou mutent des centaines de hauts fonctionnaires pas seulement pour leur mérite. Un moyen de remercier certains pour service rendu, de s’assurer de la loyauté ou du silence d’un opposant, d’offrir un avenir à un ami en disgrâce ou en fin de carrière. Résultat, la haute fonction publique abrite une bonne part de préfets sans affectation, de conseillers d’états peu productifs, d’inspecteurs généraux parfois incompétents, Alors mérite ou piston : qui profite des meilleurs postes de la République ? Une enquête de Stéphane Girard, produite par Cat & Cie. Elle sera suivie d'un débat animé par Virna Sacchi qui recevra Charles De Courson, député de la Marne, magistrat à la Cour des comptes Camille Mialot, avocat et enseignant à Sciences Po.  


 

Nos très chers sénateurs !

Le Sénat ? Une institution qui échappe au contrôle de l'État. Du détail de son budget aux inquiétudes des sénateurs sur sa survie en passant par les scandales qui la secouent, Pièces à conviction fait le tour de cette vénérable maison − affaiblie par les retraits d'argent en liquide, utilisations frauduleuses des moyens alloués à la haute assemblée et détournements de la réserve parlementaire. Le palais de 35 000 m2 où siège le Sénat se trouve au cœur du jardin du Luxembourg. Mais le cachet de leur lieu de travail n'est pas le seul avantage des sénateurs : outre leur salaire de 5 000 euros mensuels, ils disposent aussi d'une enveloppe de 6 000 euros pour leurs frais. Dans les couloirs gravitent également 1 200 fonctionnaires recrutés sur concours. Jardiniers et agents d'entretien commencent leur carrière à 2 200 euros net par mois quand les chauffeurs et dactylos débutent, eux, à 5 000 euros mensuels. Quant aux administrateurs, ils finissent leur carrière à 10 000 euros. Alors que le poids du Sénat diminue dans l'élaboration des lois et que certains politiques voudraient le faire supprimer, l'équipe de Pièces à conviction est allée à la rencontre de sénateurs nouvellement arrivés et lève le voile sur les coulisses d'une institution aujourd'hui décriée.