Nice : Dossiers SOS JUSTICE

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23/04/2012

Sarkozy, président-candidat, a voté dans le XVIe arrondissement de Paris ! Sous quel nom a voté l'imposteur et avec quelle carte d'identité ?

La fraude massive des élections présidentielles de 2012 ! Ensuite ils viendront nous parler de vote démocratique !

Sous quel nom et avec quelle pièce d'identité Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA a-t-il voté pour Nicolas SARKOZY qui n'existe dans aucune mairie de Paris ?

C'est l'ensemble des élections qui doit être invalidée pour fraude électorale organisée en bande avec la complicité du Conseil Constitutionnel !

Vont-ils nous faire croire que le Conseil Constitutionnel, ne demande pas la carte d'identité du candidat aux présidentielles lors de l'inscription des candidats aux élections ?


 

Sarkozy, président-candidat, a voté dans le XVIe arrondissement de Paris

 
 
Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni le 22 avril 2012 dans un bureau de vote du 16e arrondissement à Paris (Photo Eric Feferberg/AFP)

Dimanche 22 avril 2012, 13h27


Le président-candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy a voté dimanche vers 11H45 dans un lycée du XVIe arrondissement de Paris pour le premier tour de l'élection présidentielle, en compagnie de son épouse Carla Bruni-Sarkozy.

Tous deux avaient quitté l'Elysée un peu plus tôt pour se rendre sur leur lieu de vote. M. Sarkozy, costume bleu marine, a voté au lycée Jean de la Fontaine, au 32 boulevard Murat, après avoir pris une partie seulement des 10 bulletins alignés sur la table.

Il a au préalable laissé son épouse, toute de noir vêtue, glisser en premier son bulletin dans l'urne, tandis qu'il saluait le personnel du bureau, sous le regard du maire UMP du XVIe arrondissement, Claude Goasguen. Au moins 200 personnes attendaient pour voter, qui l'ont salué, en lançant des "bravos". M. Sarkozy a échangé quelques mots avec l'assesseur, inaudibles.

Après son vote, le président-candidat, l'air décontracté, a serré des mains, s'offrant un bain de foule, se laissant photographier avec son épouse, tous deux très souriants, avant de remonter dans sa voiture sans faire de déclaration aux médias, a constaté une journaliste de l'AFP.

Nicolas Sarkozy à la sortie du bureau de vote du 16e arrondissement le 22 avril 2012 à Paris à Paris (Photo Jean-Paul Pelissier/AFP)
 

Son principal adversaire, François Hollande, a voté dans son fief corrézien de Tulle à 10H10, également en compagnie de sa compagne, Valérie Trierweiler.

Le couple présidentiel est ensuite retourné à l'Elysée. Selon son entourage, M. Sarkozy se rendra "après les résultats", à la Mutualité à Paris, où l'UMP organise sa soirée électorale. Après 20h00, il y fera une déclaration.

Avant de se rendre à la Mutualité, M. Sarkozy doit réunir à l'Elysée, vers 19H00, les personnalités de son camp qui iront s'exprimer sur les plateaux après les résultats, notamment François Fillon, Premier ministre, Jean-François Copé, patron de l'UMP, Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères.

Selon son entourage, il devrait également avoir une réunion avec les responsables de sa campagne, notamment sa porte-parole Nathalie Kosciusko-Morizet, et Guillaume Lambert, son directeur de campagne.


http://www.linternaute.com/actualite/depeche/afp/21/93467...
 

10/12/2009

Economie : Montgolfier irrite Bercy et les Suisses

 



Montgolfier irrite Bercy et les Suisses

09.12.2009, 07h00

NICE (ALPES-MARITIMES), LE 17 JUILLET. Eric de Montgolfier , le procureur de Nice , a décidé, dans la plus grande discrétion, d’ouvrir une enquête préliminaire sur les comptes détenus par des Français de la région niçoise.

En décidant, en juin dernier, d’ouvrir une enquête préliminaire sur des soupçons de blanchiment, Eric de Montgolfier déclenche un tremblement de terre. L’initiative du procureur de Nice, qui a pour cadre le Code pénal, « vise à retrouver des criminels pour les punir », décrypte un magistrat. Elle vient heurter de front la stratégie douce, « tout en négociation », que privilégie Bercy, « avec le risque que de nombreux détenteurs de comptes ne prennent la fuite », pointe le juriste.

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D’habitude, l’administration fiscale préfère la discrétion. Face à une simple évasion fiscale, elle négocie. Face à un fait plus grave, elle saisit le parquet. Le procureur se charge alors d’une enquête préliminaire, au terme de laquelle il décide soit de classer le dossier, soit de le confier à un juge d’instruction. « De nombreuses affaires sont réglées en amont sans que personne ne le sache », témoigne un magistrat.

« On est à la limite du conflit diplomatique »

L’enquête d’Eric de Montgolfier s’appuie sur le travail d’une cellule d’enquête spécialisée qui collabore avec Antoine, l’ex-employé de la HSCB (NDLR : lire son portrait page suivante). Elle oblige les autorités françaises à admettre qu’elles détiennent les fichiers piratés et qu’elles les exploitent. « Officiellement, les Suisses ignorent que nous sommes en train de les décrypter », glisse un enquêteur. Problème : ces données ont été volées. « On est à la limite du conflit diplomatique », estime un magistrat. D’autant que la justice helvète aurait réclamé, en vain, que les fichiers lui soient restitués. L’avocat d’Antoine se félicite de l’initiative d’Eric de Montgolfier. « Cela oblige les autorités fiscales à exploiter ces données », explique Me Patrick Rizzo. Mais, en haut lieu, elle irrite. « Qu’est-ce qui permet au procureur de penser que ces comptes servent à du blanchiment ? », s’étonne un haut fonctionnaire.


Tout en rendant hommage à « un magistrat très volontaire et motivant, courageux, voire téméraire », un membre de la cellule d’enquête admet le côté « limite » de la procédure. « Il nous faut intégrer le fait que nous travaillons sur des données d’origine impure. Cela nous oblige à nous dépasser. » Et à vérifier, très scrupuleusement, l’exactitude des informations.


A en croire les enquêteurs, les fichiers d’Antoine semblent « béton ». « Tout ce que nous avons pu vérifier est fiable », témoigne un membre de la cellule, qui concède que passer au crible la totalité des fichiers est une « mission impossible ». « Il va nous falloir inventer des critères et une méthode de travail pour limiter nos recherches, explique ce spécialiste de la lutte contre la criminalité financière. C’est excitant mais, en même temps, il n’est pas exclu que la montagne accouche d’une souris ».

http://www.leparisien.fr/economie/montgolfier-irrite-berc...


 

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