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Ce nouvel épisode confirme bien ce qu'avance Me Carlo BRUSA, Président de l'association Réaction19, au sein de son assignation en référé suspension, mise en œuvre, depuis le 6 septembre 2021, pour une audience qui se tiendra le 21 octobre 2021 à 13 h 30 par devant le Tribunal Judiciaire de Paris et qui invoque l'inexistence en France, des 4 thérapies géniques, qui n'ont jamais reçues, une quelconque AMM ou Autorisation de Mise sur le Marché en France par l'ANSM et que par voie de conséquence, ces 4 thérapies géniques sont inconnues et illégales en France, nouveau décret ou pas !
Et l'on peut se demander pour quelle raison légitime faudrait-il accepter l'injection, dès lors que depuis 1 an, il n'y a plus aucune épidémie en France relative au COVID-19, comme l'on peut de le constater sur le dernier bulletin épidémiologique ci-dessous :
Les fabricants de vaccins covid-19 ont obtenu des autorisations de mise sur le marché conditionnelles (AMMC) auprès de l’EMA (Agence européenne du médicament). Ces autorisations nécessitent le respect d’un calendrier comprenant des points d’étapes, notamment pour ce qui s’agit des demandes de renouvellement, qui doivent s’effectuer tous les six mois. De plus, certains documents sur la composition des vaccins entres autres choses, devaient être versés au dossier par les fabricants.
Saisi par trois associations dont BonSens, la LNLV (Ligne nationale pour la Liberté des Vaccinations) et l’AIMSIB (Association internationale pour une Médecine scientifique indépendante et bienveillante), Me Teissedre avait d’abord envoyé un courrier à l’ANSM pour demander les informations. Devant l’absence de réponse, il a déposé un référé-liberté auprès du Conseil d’État pour enjoindre l’Agence nationale de sécurité du médicament à répondre à ses questions.
Questions importantes pour Me Teissedre, car les professionnels de santé sont soumis depuis hier à l’obligation vaccinale, sous peine de suspension de rémunération ou d’interdiction d’exercer. Une contrainte pour le moins importante, qui pose les questions de la discrimination, de la disproportion et du respect des droits fondamentaux, parmi lesquels le consentement libre et éclairé. Ce n’est pas la première fois que Me Teissedre interroge l’ANSM et remet en question son « obscure transparence ».
L’ANSM lui a répondu ce jour, avec un courrier en date du 7 septembre 2021 : elle ne sait pas si les obligations réglementaires ont été respectées par les fabricants. Il aura donc fallu neuf jours pour faire parvenir cette réponse, alors qu’un simple courriel aurait suffi. Cela n’a pas empêché le gouvernement de pousser la représentation nationale à voterla loi sur l’obligation vaccinale et la mise en place du passe sanitaire fin juillet 2021, ni la décision duConseil constitutionnel du 5 août 2021.
L'ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre
Me Teissedre ne cache pas sa surprise. En France, les associations ont un nouveau rôle : celui de vérificateur du respect des règles et des régulateurs. En effet, afin d’assurer la confiance, il est important que transparence soit faite sur ces points précis. Les associationnels ne comptent pas en rester là.
Tout est bien orchestré par avance et ce dans la mesure où Macron attend que le Sénat ne statue le 13 octobre 2021 pour rendre la vaccination obligatoire pour tous, avant d'examiner devant le Sénat, la prolongation du Passe Sanitaire après la mi-octobre 2021.
Emmanuel Macron « n’exclut pas » la prolongation du passe sanitaire, instauré jusqu’au 15 novembre. Un projet de loi sera nécessaire. Il prolongera aussi le régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire, qui se termine le 31 décembre. La question se pose pour le gouvernement de le proroger pour deux mois, ou au-delà de la présidentielle… Le débat s’annonce sensible.
On imaginait mal le passe sanitaire s’arrêter le 15 novembre, comme le prévoit la loi votée cet été. Sa prolongation semble bien se confirmer. Après le ministre de la Santé, Olivier Véran, c’est Emmanuel Macron qui ne l’exclut pas.
« Il est trop tôt pour le dire. Il est vraisemblable que les situations épidémiques, en particulier en Outre-mer, restent quand même très tendues après la mi-novembre. C’est un débat qui se nouera au sein du gouvernement et au Parlement. Il ne faut pas exclure qu’il y ait besoin, pour les territoires qui sont encore sous forte pression de l’épidémie, de cet instrument, qui est un instrument provisoire, qui évite de fermer les structures », a affirmé Emmanuel Macron, lors d’un point de presse, dans le cadre de son déplacement à Marseille. « Donc si l’épidémie est encore présente dans les semaines qui viennent, il faudra se laisser cette possibilité pour les territoires qui sont les plus touchés », a insisté le chef de l’Etat.
Le ministre de la Santé avait déjà avancé cette éventualité le 26 août. « Ce passe ne peut être prolongé au-delà du 15 novembre, sans quoi il nous faudrait un nouveau texte de loi, qui serait à nouveau débattu au Parlement », a souligné Olivier Véran, avant d’ajouter : « Je ne dis pas que ça ne peut pas arriver, ça pourrait arriver si le Covid ne disparaissait pas de nos vies dans les trois prochains mois ». Autrement dit, on voit mal aujourd’hui comment on pourrait éviter de prolonger le passe sanitaire. Le sujet ne fait guère plus de doute.
« Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire »
Ce projet de loi devra forcément être adopté avant la date de fin prévue pour le passe. De source gouvernementale, on soutient qu’il devrait être examiné par les députés « dans la deuxième quinzaine d’octobre ». Il devra ensuite passer par le Sénat. « Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire », nous confie un ministre. On imagine mal en être autrement, après les tensions de l’été et les manifestations des anti-passe.
Ce projet de loi ne concernera pas le seul passe sanitaire. Se posera aussi la question du régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire. Pour lutter contre l’épidémie de covid-19, il permet au premier ministre de prendre de nombreuses mesures privatives de libertés – celles d’aller et venir, de commerce, de rassemblement, fermeture de lieux recevant du public, etc – à l’exception du confinement généralisé, qui nécessite la proclamation de l’état d’urgence sanitaire. Mis en place le 2 juin, ce régime transitoire avait été prolongé jusqu’au 30 septembre, puis jusqu’au 31 décembre.
« On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… » (un ministre)
La question de la nouvelle date de prolongation du régime de sortie de l’état d’urgence n’est pas tranchée. D’autant que le sujet est épineux. Deux possibilités pourraient s’offrir au gouvernement. Soit prolonger le régime jusqu’à la fin de la session parlementaire, qui se termine le 28 février 2022, pour cause de campagne présidentielle. Mais la situation épidémique risque d’être encore difficile et la prolongation serait un peu courte. Soit prolonger jusqu’au 30 juin 2022.
Certains pensent que prolonger le régime au-delà de la présidentielle et des législatives, c’est s’aventurer en terrain glissant. Dans le contexte électrique des derniers mois, les anti-passe, et plus globalement les oppositions à Macron, n’hésiteront pas à s’en saisir. C’est du moins la crainte d’un ministre : « On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… Si on peut s’éviter cette polémique en pleine année présidentielle… »
Reste une autre option, toujours possible : celle de prolonger jusqu’au 28 février, et « s’il faut, reconvoquer le Parlement » pour adopter une nouvelle prolongation, face à la situation sanitaire. Quelle que soit la solution, le même ministre euphémiste : « Ça promet des petits débats… » Une chose est sûre, la présidentielle se fera sous covid. Au gouvernement, on espère que l’épidémie restera, comme aujourd’hui, sous relatif contrôle.
Publié le : 02/09/2021 à 17:17 - Mis à jour le : 02/09/2021 à 17:24
Il faut que ce soit le Syndicat de la Magistrature qui rappelle au garde des Sceaux, le Droit, la Constitution et la séparation des Pouvoirs !
On voit clairement dans la République bananière qui veut s'octroyer tous les droits y compris celui "d'enterrer les affaires sensibles qui mettent en cause des élus et non des moindres" ! C'est ce que l'on appelle la transparence et la démocratie dans le pays des Droits de l'Homme et l'état de Droit !
Encore un joli mythe pour endormir les Français et l'opinion internationale !
Il va s'en dire que le Juge Courroye est un proche de SARKOZY !
Cherchez l'erreur !
S'il ne s'agit pas de corruption, de trafic d'influence et de conflit d'intérêts, on peut se demander ce que c'est ?
La Dictature à la Française et les magouilles qui se passent dans les coulisses du pouvoir illégitime !
Ensuite on mettra sur la sellette la dictature Iranienne !
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Lettre ouverte au garde des Sceaux au sujet de l’affaire Bettencourt et de l’attitude du procureur de la République de Nanterre
Deux événements, survenus ces derniers jours, nous conduisent à vous interpeller, car ils nous semblent mettre en cause, de façon très forte, l’image et le cours de la justice.
En premier lieu, la presse vient de révéler de bien curieuses pratiques en marge de l’affaire dite « Bettencourt ». Ainsi, selon plusieurs médias, la police aurait récemment saisi au domicile de Liliane Bettencourt des documents datés de 2008 au terme desquels l’avocat « Goguel prépare une note à remettre au directeur adjoint du cabinet du ministre de la justice, de façon à ce qu’il puisse nous dire où en sont les choses dans l’esprit du juge et quelle est la position du parquet ».
La démarche est, vous en conviendrez, surprenante : il n’appartient nullement à la Chancellerie de renseigner une partie sur un dossier en cours, et encore moins sur la position du parquet.
Vous observerez à ce propos que, pour ces avocats, interroger le cabinet du garde des Sceaux revient à connaître la position des magistrats, ce qui en dit assez long sur l’image d’indépendance qui est donnée dans cette affaire. Comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement dès lors que des enregistrements clandestins ont démontré que ce dossier d’abus de faiblesse avait été pris en compte par le propre conseiller justice du président de la République ?
Aussi le Syndicat de la magistrature souhaiterait-il savoir si cette note est bien parvenue à votre ministère et quelle réponse y a été apportée.
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En second lieu, il s’avère que le procureur de la République de Nanterre, Philippe Courroye, a signé, lundi 4 octobre, un réquisitoire aux fins de non-lieu en faveur de Jacques Chirac dans l’affaire du financement occulte du RPR.
A cet égard, le Syndicat de la magistrature constate qu’une fois de plus dans une affaire sensible, les réquisitions du parquet sont parfaitement conformes aux intérêts du pouvoir exécutif. C’est sans doute un effet de ce que vous appelez son « indépendance ».
Pour autant, un problème déontologique majeur semble se poser dans cette affaire.
En effet, la presse a révélé comment, durant l’été 2008, Philippe Courroye avait dîné en compagnie de Jacques Chirac au domicile de François Pinault. Interrogé à ce sujet, le magistrat n’avait pas contesté et s’était permis cet unique commentaire : « Je dîne avec qui je veux ».
Il se trouve que le recueil déontologique des magistrats apporte au moins deux contrepoints à cette dernière affirmation.
L’article A.20 dispose en effet que « le magistrat a, comme tout citoyen, le droit au respect de sa vie privée. Il s’abstient cependant d’afficher des relations ou d’adopter un comportement public de nature à faire naître un doute sur son indépendance dans l’exercice de ses fonctions. »
Quant à l’article C.22, il ajoute que « dans sa vie privée, le magistrat reste soumis à une stricte obligation de probité qui inclut la délicatesse. Elle lui impose de faire preuve de discernement et de prudence dans la vie en société, le choix de ses relations, la conduite de ses activités personnelles et sa participation à des événements publics ».
Il nous paraît essentiel, Madame le garde des Sceaux, que vous vous saisissiez d’un tel sujet, en indiquant les suites que vous entendez réserver à cette affaire : les magistrats ont besoin de savoir s’il leur est dorénavant possible de dîner avec une personne mise en examen dans un dossier dont ils ont la charge, puis, quelques mois plus tard, de prendre des décisions ou des réquisitions en sa faveur.
Ces questionnements seraient sans rapports entre eux si les faits dont ils procèdent n’accréditaient, dans l’esprit de nos collègues mais aussi des citoyens, l’idée d’un traitement différencié des procédures et des magistrats par le ministère de la justice, selon leur sensibilité politique.
Compte-tenu de l’intérêt général qui s’attache aux questions soulevées, vous comprendrez que nous rendions public le présent courrier.
Nous vous prions d’agréer, Madame le garde des Sceaux, l’expression de notre considération vigilante.
Nouveau rebondissement: Un journal suisse très important, l’Hebdo, consacre six pages aux relations tumultueuses entre la France et la Suisse à propos des évadés fiscaux français.
Une bonne partie de l’article relate la stratégie mise en place pour pousser les évadés fiscaux français qui résident en Suisse à verser leur obole à l’UMP.
Je vous fais le pitch ? C’est parti !
Il fallait quelqu'un qui connaisse bien ce milieu particulier des exilés fiscaux français en Suisse. Un ancien banquier d'affaire, Pierre Condamin Gerbier, s’est d’abord chargé de séduire les futurs donateurs en créant une UMP « Suisse »,puis des personnalités importantes de l’UMP s’y rendirent régulièrement pour porter la bonne parole sarkoziste. On parle entre autres de Valérie Pécresse.
L’objectif : faire connaître les intentions politiques du candidat Sarkozy et faire cracher au trésor de campagne de l’UMP, une bonne partie des 100.000 exilés fiscaux français qui vivent en Suisse.
Eric Woerth et Patrick Devedjan furent les porteurs de valises ou d’enveloppes. Voici ce qu’en dit l’article :
Ce vendredi 23 mars 2007, c’est en jet privé qu’Eric Woerth et Patrick Devedjian atterrissent à 19 heures sur l’aéroport de Cointrin. L’avion, selon nos informations, un Falcon 10, accueille à son bord les épouses des convoyeurs de fonds de l’UMP, Florence Woerth et Sophie Vanbremeersch. Un avion mis à disposition par un compatriote fortuné au bénéfice d’un forfait fiscal en Suisse. Tout ce petit monde dort à Genève chez des amis respectifs. De retour à Paris, Eric Woerth rencontre Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt, qui lui aurait remis ce chèque de 150 000 euros qui agite désormais les esprits de la République.
A l’époque en effet, Eric Woerth récolte les fonds pour alimenter la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. A Paris ou à Genève. Sitôt descendu du Falcon avec Patrick Devedjian, le futur ministre file vers un hôtel cinq étoiles à quelques pas de là, le Crowne Plaza où patientent plus d’une cinquantaine d’adhérents et sympathisants de l’UMP. Avant de rejoindre, vers 21 heures, une petite trentaine d’invités triés sur le volet à la Caviar House, rue du Rhône. Le marathon suisse d’Eric Woerth et de Patrick Devedjian sera bref, mais profitable.
Selon nos estimations relues et confirmées par l’ancien président Pierre Condamin-Gerbier, les deux hommes repartent avec des promesses de dons qui frôlent un demi-million de francs suisses.
Par la suite, un litige opposa Pierre Condamin-Gerbier aux responsables de l’UMP à Paris et à certains donateurs de Suisse, il préféra abandonner toute responsabilité à l’UMP.
Voici ce qu’il dit maintenant à propos d’Eric Woerth :
«Quand Eric Woerth est venu récolter les chèques pour Nicolas Sarkozy, il avait en face de lui différents représentants de la communauté des grandes fortunes de France qui ont voulu s’expatrier. Quelques mois plus tard, au gouvernement, il a totalement ostracisé les mêmes. Ne pas encourager l’expatriation fiscale, soit, mais aller un pas plus loin en caricaturant les gens qui ont décidé de se délocaliser à l’étranger, en les faisant passer pour des mauvais Français, de mauvais patriotes, cela a été très peu apprécié par cette communauté. Ce que je reproche à M. Woerth c’est une mauvaise foi évidente, une forme de malhonnêteté intellectuelle et de cracher dans une soupe dans laquelle il a été ravi de tremper seslèvres.»
Depuis l’an passé, Pierre Condamin-Gerbier n’est plus que sympathisant du parti de Nicolas Sarkozy.
Le journal suisse présente les choses avec pas mal de détails ce qui indique qu'il se base sur des témoignages précis.
Une dizaine de journaux de toutes sortes ont fait des révélations sur l'affaire Bettencourt-Woerth. "Le Point", "Le Canard Enchaîné", "Libération", "Marianne", "Le Monde", "La Tribune de Genève"..etc Et bien sûr "Mediapart".
Des journaux pas du même bord politique. Et pour la deuxième fois, c'est la presse suisse peu encline à utiliser des méthodes fascistes, staliniennes ou "hitléro-trostkistes" qui s'y met.
Cela commence à faire beaucoup pour Eric Woerth et Nicolas Sarkozy...
Par Philippe Le Bé - Mis en ligne le 07.07.2010 à 17:24
AFFAIRE BETTENCOURT. En Suisse, rares sont les membres de l’UMP à défendre Eric Woerth.Un homme qui, en 2007, avait récolté auprès des mêmes un demi-million de francs suisses pour la campagne du candidat Sarkozy.
A chaque jour, son lot de révélations. L’affaire Bettencourt secoue la République, l’un de ses ministres les plus en vue, Eric Woerth, et depuis mardi 6 juillet, son président Nicolas Sarkozy. Selon Mediapart et Le Monde, l’actuel locataire de l’Elysée aurait touché en toute illégalité des dizaines de milliers d’euros de l’héritière de L’Oréal pour financer son destin présidentiel. De l’argent qu’Eric Woerth, en charge du financement de cette campagne, aurait recueilli en main propre. Des enveloppes avec entre 50 000 et 150 000 euros en cash. La source citée par la presse n’est autre que Claire T., l’ancienne comptable de la société Clymène qui gère la fortune de Liliane Bettencourt. L’Elysée a beau démentir, l’enquête de Philippe Courroye, le procureur de Nanterre qui a aussi entendu Claire T., ne s’arrêtera pas de sitôt. Un épisode de plus dans cette saga politico-financière qui a le chic de passer par les bords du lac Léman et Genève. Depuis juin dernier, on sait que l’héritière de L’Oréal possédait un très confortable bas de laine de ce côté-ci du Jura. Et au moins trois comptes bancaires. Un premier à Genève avec 12 ou 13 millions d’euros et un deuxième à Vevey où 65 millions y trouvaient refuge l’an passé encore. L’existence de ces comptes a été révélée par les enregistrements clandestins de Pascal B., l’ancien majordome de Mme Bettencourt. Des enregistrements qui laissent apparaître que ces deux comptes n’ont pas été déclarés au fisc et que les proches de la milliardaire – dont son gestionnaire de fortune, Patrice de Maistre – auraient transféré une partie de cet argent hors de Suisse en raison des pressions fiscales de Paris contre Berne l’an dernier. Enfin, affirme une source anonyme reprise par la Tribune de Genève, un troisième compte existerait. Où? Dans les coffres de la filiale UBS de la ville du bout du lac où près de 280 millions d’euros auraient été transférés, sans qu’il soit possible de dire si cet argent a été, ou non, dissimulé à Bercy.
Au centre de l’affaire figure un couple: Eric Woerth, l’actuel ministre du Travail en charge de l’épineux dossier de la réforme des retraites et son épouse, Florence. Une femme active dans la finance dès le début des années 80 et qui, sous la pression médiatique, a démissionné en juin 2010 de Clymène, la société de gestion du patrimoine Bettencourt.
Préparez-vous à vous faire massacrer grâce aux politiques qui sont les agents des laboratoires pharmaceutiques et des lobbies agraoalimentaire et autres !
Les empêcheurs de tuer en rond, espèce menacée ! Et pas des moindres !
Et surtout continuez à croire que tout est fait pour votre bien !
On ne parle que de biotechnologies et de génétique ! Est-ce pour cela que le Traité de Lisbonne a autorisé le clonage ? Qui dit biotechnologies dit ADN et matériel génétique humain et animal ! C'est sûr qu'il ne puisse s'agir que de science du vivant... !
Nous n’avons affaire qu’à des humanistes désintéressés !
Et tout cela bien sûr, durant la période de la soi-disant pandémie de la GrippeA/H1N1 !
Pour couronner le tout, on veut nous pucer par le biais des biotechnologies, Applications des nanotechnologies à la médecine !
Politique conventionnelle
Conseil stratégique des industries de santé
Le CSIS, Conseil stratégique des industries de santé, réunit les Pouvoirs Publics et les dirigeants des Industries de Santé. Dernière réunion : 26 octobre 2009.
Initié en 2004, ce Conseil s’est réuni 3 fois depuis et a permis de créer un contexte français attractif pour l’innovation. Outre la vision partagée de la nécessité de faire de la France un pays majeur des Sciences du Vivant, le CSIS a mis en place des mesures concrètes afin de favoriser la localisation de R&D et de production via lesCeNGEPS (Centres Nationaux de Gestion et d’Essai des Produits de Santé)ou encore des crédits de remises de régulation pour des entreprises ayant effectué des investissements industriels et/ou de recherche sur le territoire Européen.
Une quatrième réunion du Conseil Stratégique des Industries de Santé a eu lieu le 26 octobre 2009.
Cette réunion était suivie d'une table ronde présidée par le Président de la République. au Palais de l’Elysée, avec les principaux industriels de santé français et étrangers en présence de Mme Christine LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, de Mme Valérie PECRESSE, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la Santé et des Sports, et de M. Christian ESTROSI, ministre auprès du ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, chargé de l’Industrie.
Liste des thèmes et mesures du CSIS n°4 :
Fonds d’investissement dans le domaine des biotechnologies de la santé
Politique de l’emploi et de la formation
Dynamisation de la collecte du renseignement et répression des trafics de contrefaçons de médicaments
Augmenter la recherche partenariale dans le domaine biomédical
L’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé interlocuteur des industriels
Développement de la bio-production
Ouvrir le capital de la filiale biotechnologique du Laboratoire français du fractionnement et des biotechnologies
Mécanisme incitatif destiné à l’activité de fabrication de spécialités pharmaceutiques
Déclaration des ventes à l’exportation et territorialité des prix nationaux
Les industries de santé constituent un secteur stratégique. Elles contribuent à répondre aux enjeux de santé publique, auxquels nos concitoyens sont attachés. Fortement créatrices de valeurs, elles concourent au développement économique de notre pays. Elles sont également porteuses de gisements d’emplois, en particulier dans la recherche développement et la production. Plus spécifiquement, il apparaît indispensable de soutenir le développement des biotechnologies et biomédicaments, principaux relais de croissance et de création d’emploi du secteur.
C’est pourquoi le Gouvernement et les industriels de la santé, réunis à l’occasion du Conseil stratégique des industries de santé (CSIS) affirment la vocation de notre pays à demeurer plus que jamais un grand [...]
Table ronde sur l’attractivité du territoire national pour les industries de santé
Lundi 26 octobre 2009 – Palais de l’Élysée
Mesdames, Messieurs les ministres,
Mesdames, Messieurs les présidents et directeurs généraux,
Mesdames, Messieurs,
Je voudrais d’abord, au nom de tous les Français, vous souhaiter, la bienvenue en France, en tout cas pour ceux qui ne sont pas Français et souhaiter la bienvenue à l’Elysée pour les autres. L’horaire de la réunion a été modifié, je voudrais vous demander de m’en excuser et je vous remercie très chaleureusement de vous êtes rendus disponibles.
Je suis heureux d’accueillir ici les dirigeants des plus grands groupes industriels de la santé, français et étrangers. Le conseil stratégique des industries de santé vient de se réunir en présence des ministres et en votre présence.
Vos entreprises sont toutes prospères, nous nous en félicitons. Elles ont toutes, à des degrés divers, des implantations et des effectifs en France. Les industries de santé, le secteur pharmaceutique en particulier, vont pourtant connaître dans les cinq années à venir la période sans doute la plus difficile de votre histoire. Difficile parce que vous aurez à faire face à l’expiration des brevets des médicaments les plus vendus, les revenus de vos entreprises vont pour certains d’entre vous baisser de 20, 30, voir 40% ! C’est une chute historique et donc un bouleversement qui vous attendent. Les médicaments génériques représenteront 15% du marché mondial du médicament en 2012, ils représentaient 9% en 2000. Ils permettent, de concilier qualité des soins et performance économique.
Ce n’est pas tout. Les industries de santé, qui ont bâti leur développement sur la chimie, sont désormais de plus en plus dépendantes des produits biologiques. La part des biotechnologies dans le marché mondial du médicament passera de 10% à plus [...]
Ecoutez bien le discours ! Les produits biologiques sont importants ! Mais c’est pour cela qu’ils vont signer le Codex Alimentarius le 31 décembre 2009.
Sarkozy & Laboratoires pharmaceutiques de biotechnologie ! Lundi 26 octobre 2009
Dans ce cadre, il nous faut soutenir, un projet national de partenariatpublic-privépour la recherche sur les bioprocédés, c’est notre troisième grande proposition.
Que faut-il faire pour attirer les unités de production de lots
commerciaux en France ?
L’étude a permis d’identifier quatre axes majeurs d’intervention :
1. d’abord sécuriser la production de lots cliniques en France,
2. favoriser en France la création de nouveaux établissements de productionde lots commerciaux,
3. soutenir un projet national de partenariat public/privé pour larecherche sur les bioprocédés,
4. enfin, développer une formation et des compétences spécifiques
Plus que jamais, nous avons besoin de priorités clairement définies et au moment où les pouvoirs publics réfléchissent à une stratégie nationale de recherche, je souhaite que cette étude et ses conclusions apportent un éclairage précis sur l’importance de la bioproduction dans la stratégie d’investissement et de développement d’un grand pays des sciences du vivant.
Fondateurs et dirigeants : François Sarkozy et François de la Brosse
François Sarkozy:
Managing Partner d’AEC Partners,cabinet de conseil en stratégie et en organisation spécialisé dans le domaine de la santé. Depuis 2005, il est vice-président du conseil de surveillance deBio Alliance Pharma. Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, pédiatre,titulaire d’un DEA de Physiologie Respiratoire et d’un MBA à l’Insead, François Sarkozy a également, après sa carrière hospitalière,passé 10 ans dans l’industrie pharmaceutique,en France et aux Etats-Unis.
François de la Brosse:
Président de Z-groupe, fondé en 1980 avec Jean-Michel Buche, plus jeune directeur de création de l’histoire de Publicis. Z est un groupe de communication multipolaire qui depuis 1997 a développé un pôle internet incluant le concept novateur de la webTV. En 2007, François de la Brosse a lancé CITI TV, un réseau de micro-entreprises dédié à l’audiovisuel adossé à l’Internet dans les quartiers en difficulté.
Rédacteurs en chef: Martine Allain Regnault et Laura Tenoudji
Santé - Martine Allain Regnault:
Journaliste spécialisée dans le domaine de la santé. Elle a été en charge de la rubrique biologie, médecine et sciences naturelles au magazine « Sciences et avenir », puis de la rubrique médicale au « Monde » avant de rejoindre France 2 ou elle a animé entre autres « Savoir plus Santé » pendant huit ans avec François de Closets.
Magazine - Laura Tenoudji:
Journaliste sur France 2dans l’émission « Télématin », elle y tient une rubrique sur l’actualité Internet sous son nom « Laura du web »
Coordination et développement : Adrien de Fayet
Equipes journalistiques et techniques:
CITI TV, un réseau de production audiovisuelle employant des jeunes JRI (journalistes reportes d’images) dans les quartiers en difficulté. (www.cititv.fr)
Un réseau d’experts médicaux d’envergure internationale
Les partenaires
Les forums de L'Unesco
Interview de Marcio Barbosa
Directeur général adjoint de l'UNESCO du 2008 février 14 -Un interview à écouter
17ième Congrès Annuel de l'ESGCT (European Society of Gene & Cell Therapy) - Présentation orale : "Plasmid-AMEP: an efficient antiangiogenic and antitumor gene medicinal product for metastatic melanoma treatment" - Poster : "Muscle electrotransfer of Plasmid AMEP, a gene product for melanoma treatment, is safe and well tolerated in mice"- Hanovre, Allemagne - 21 - 25 novembre 2009