Génocide financier : Dossiers SOS JUSTICE

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14/11/2009

Génocide financier de la France !

Croyez-vous que Sarkozy qui a préparé le génocide financier de la France et de l'Europe, réviserait les Lois pour permettre au moins à la France de sortir de l'endettement dans lequel il a participé à la plonger ?

Ben non, il vaut mieux nous livrer entre les mains de Rothschild et Rockefeller, et permettre aux Illuminati-reptiliens d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial !

Ensuite il aura encore le culot de nous parler de l'identité nationale !

 

Comment prépare-t-on le génocide financier de la France et de l'Europe ?
Par l'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme et le Nouvel Ordre Mondial

La FED (Fédérale Banque aux USA est une banque privée) constituée de plusieurs cartels bancaires qui appartiennent à Rothschild, Rockefeller, JP Morgan, etc...
Qu'en est-il de la Banque de France chez nous ?
Comment les présidents de la République française qui se sont succédés au Gouvernement ont préparé le génocide financier de la France et de l'Europe au profit des Banquiers Illuminati en préparation de  l'instauration du Nouvel Ordre Mondial ?


Les origines de l'endettement de la France.
Les agents du Nouvel Ordre Mondial en France
Les rôles de Pompidou, de Valery Giscard d'Estaing, de Mitterrand, de Chirac et de Sarkozy
Georges Pompidou et l'endettement de la France

Bilbiographie de Georges Pompidou - Association Georges Pompidou

Georges Pompidou et la Banque Rothschild
En 1953, il quitte la fonction publique pour entrer à la banque Rothschild, dont il devient directeur général en 1956.
1953 : Il entre à la banque de Rothschild
1954 : Il est administrateur de nombreuses sociétés du groupe Rothschild (sauf interruption du 1er juin 1958 au 7 janvier 1959), notamment :
- Société anonyme de gérance et d'armement, 1954-1962,
- Compagnie du chemin de fer du Nord, 1955-1962,
- Société Rateau, 1957-1962,
- Compagnie franco-africaine de recherches pétrolières françaises.
1956-1962 : Directeur général chez Messieurs de Rothschild frères
Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France - Article 25 de la Loi
Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=0...
L'Etat devient un simple citoyen qui s'endette auprès des banques.
Les Étapes de l'évolution de La Monnaie ou les étapes historiques de notre esclavage

 

15 août 1971 : dématérialisation totale de la monnaie. Le président américain Richard Nixon, conseillé par George Shultz (qui sera plus tard le mentor des administrations Bush père et fils), supprime la libre-convertibilité du dollar en or. Ce découplage sera suivi de mesures de dérégulation des marchés permettant des spéculations de plus en plus énormes.

3 janvier 1973 : loi Pompidou-Giscard d'Estaing par laquelle la Banque de France abandonne son rôle de service public. Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à leescompte de la Banque de France. » Dès lors, sous prétexte de lutte anti-inflationniste, le recours au crédit productif public est interdit.

Mars 1973 : régime des changes internationaux flottants. Il n'y a plus de contrepartie métallique à la monnaie émise, seulement de la dette. Les spéculateurs peuvent s'en donner à coeur joie avec des produits financiers dérivés, en particulier sur les taux de change entre monnaies (on parie plusieurs fois sa mise, avec un effet de levier, moyennant des informations obtenues sur les pressions politiques exercées sur telle ou telle devise deEtat).

1987 : Alan Greenspan combat l'effondrement des bourses mondiales par l'émission pratiquement illimitée de monnaie-crédit en faveur des marchés.

1992 : Traité de Maastricht. Prélude à un euro découplé de l'autorité des Etats. Abdication de fait des souverainetés nationales par privation des moyens de les exercer. Son article 104, § 1, « interdit en effet à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, si après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres ; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE, ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »

4 août 1993 : loi Mitterrand-Balladur donnant son indépendance à la Banque de France. Son article 3 lui interdit d'autoriser des découverts ou d'accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publique, de même que l'acquisition de titres de leur dette.

Juin 1997 : Jacques Cheminade et Christophe Lavernhe rédigent Un plan de relance par le crédit productif, ou la nécessaire transformation de la monnaie en capital, expliquant comment les monnaies nationales sont prises en otage par les intérêts financiers depuis le renoncement de 1973 en France et le Traité de Maastricht à l'échelle européenne. Rejet de la proposition d'avances par la banque de France au Trésor public pour un plan de relance économique, faite par un groupe parlementaire français, jugée contraire au Traité de Maastricht et au choix effectué en 1973.

12 mai 1998
: loi Chirac-Jospin, intégrant la Banque de France au Système européen de banques centrales (SEBC) et à la BCE. Le Traité de Maastricht prévoyant déjà que « l'objectif principal du SEBC est de maintenir la stabilité des prix ».

1999 : vote aux Etats-Unis du Gramm-Leach-Bliley Act, qui annule le Glass-Steagall Act voté sous la présidence Roosevelt. Désormais, il n'y a plus de séparation aux Etats-Unis entre banques de dépôt et banques d'affaires, et les banques sont autorisées à fusionner avec des sociétés d'assurance. Chute de la « muraille de feu » prudentielle. L'Europe, elle aussi, déréglemente.

Mai 2005 : rejet par le peuple français du Traité constitutionnel européen qui, dans son article III-181, aurait « constitutionnalisé » l'article 104, § 1 du Traité de Maastricht.

2007-2008 : le Traité de Lisbonne reprend (article 123 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) l'article 104, §1 du Traité de Maastricht. L'objectif est bel et bien d'abandonner la création monétaire aux banques privées, dans un contexte de mondialisation financière sans limites.
L'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme et le Nouvel Ordre Mondial
En complément :
Réforme des statuts de la Banque de France : Les réponses de Valéry Giscard d'Estaing ! Membre de la Trilatérale commission
Les Illuminati, le Nouvel Ordre Mondial et le Conseil des 13 : Comment est constitué le Conseil Général de la Banque de France ?
Le conseil général comprend le gouverneur (1), les sous-gouverneurs (2) et dix conseillers, (10) tous de nationalité française. Un censeur et son suppléant assistent aux séances du conseil général ; ils sont nommés par le ministre de l'économie et des finances.

13 personnes constituent le Conseil Général de la Banque de France. Ce qui correspond au Conseil des 13 druides et au Tribunal de Rothschild.

http://www.scribd.com/doc/19828356/Le-Conseil-Des-13-Et-L...

Pour vérification de la constitution de ce conseil :

Loi n°93-980 du 4 août 1993 relative au statut de la Banque de France et à l'activité et au contrôle des établissements de crédit
Section II : Conseil général de la Banque.
Article 13 (abrogé au 1 janvier 1994) En savoir plus sur cet article...

Le conseil général comprend le gouverneur (1), les sous-gouverneurs (2) et dix conseillers, (10) tous de nationalité française. Un censeur et son suppléant assistent aux séances du conseil général ; ils sont nommés par le ministre de l'économie et des finances.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do;jsess...

Parution au JO
Organigramme de la banque de France

 

Sarkozy veut imposer le Nouvel Ordre Mondial

http://www.dailymotion.com/video/x86i7k_sarkozy-veut-impo...

 





Transcription de la vidéo :

 

2009 peut être l'année de naissance d'un nouveau capitalisme, d'un Nouvel Ordre Mondial. Et j'en appelle à tous les gouvernements : aucun d'entre nous n'en sortira en faisant sa propre politique dans son coin, isolé de ce que font les autres.

 

On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer. Car, à travers le monde, les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes.

 

- Cette crise marquera sans doute pour l'histoire, le commencement véritable du 21ème siècle.

Le moment où tout le monde aura compris qu'il était temps de changer, temps de donner un nouveau visage à la mondialisation, temps de construire un Nouvel Ordre Mondial politique, économique, social assis sur de nouveaux principes et de nouvelles règles.

 

Le sommet mondial pour refonder le capitalisme, c'est l'Europe qui l'a proposé. Le Nouvel Ordre Mondial c'est autour des propositions de l'Europe qu'il se construira. Plus que jamais, l'Europe prend conscience qu'elle a besoin d'un véritable gouvernement économique dont elle vient d'expérimenter ce qu'il pourrait être et l'utilité qu'il pourrait avoir.

 

Ce gouvernement économique, c'est tout naturellement l'Euro-groupe qui doit en être le cadre.

 

Peut ( ? ) arrive ce qui sera l'antidote à la dangereuse tentation du protectionnisme, de l'anticapitalisme, du dirigisme bureaucratique que les désordres actuels vont immanquablement mûrir et le doute grandira si les français ont le sentiment qu'on leur cache quelque chose.

 

- C'est la 1ère fois que je m'exprime au nom de la France à cette tribune.

 

Il s'agit pour moi d'un instant solennel, d'un instant émouvant. C'est un véritable new deal à l'échelle planétaire qui est nécessaire, un new deal écologique et économique. Au nom de la France, j'en appelle à tous les Etats à se réunir pour fonder le Nouvel Ordre Mondial du 21ème siècle sur cette idée forte que les biens communs de l'Humanité doivent être placés sous la responsabilité de l'Humanité toute entière. (C'est-à-dire que les biens communs de l'humanité doivent remis entre les mains de ses grands copains les Banquiers Illuminati : Rothschild, Rockefeller, JP Morgan, La couronne d'Angleterre, etc.…)

 

- Et personne, je dis bien personne ne pourra s'y opposer.

 

Nicolas Sarkozy