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13/11/2009

Grippe A : Les vaccinés pourraient devenir vecteurs de la mutation du virus

« L’histoire du virus H1N1 lié à la pandémie 2009 continue et c’est un descendant de quatrième génération du virus 1918 ». La généalogie du virus porcin n’a jamais été rompue depuis la pandémie de 1918 : c’est ce qui ressort d’une étude du « New England Journal of Medecine », étude pour laquelle la pandémie actuelle est issue de la combinaison de deux virus dont l’un (Source : Science Mai 2009) est un descendant de la souche H1N1 de 1918, tristement célèbre pour avoir fait plus de mort que la première guerre mondiale.

 
Cette étude dit la chose suivante : « Une fois que les nouveaux virus de grippe humains apparaissent et causent des pandémies, l’immunité des populations contre leurs protéines d’ha et de Na augmente rapidement. La contre performance offensive de l’immunité des populations est contrée par la capacité remarquable du virus de grippe, d’évoluer au moyen de mutation ou par l’acquisition de réassortiment de différents sous-types […] Ce processus dirigent des descendants “causé par le virus de 1918 […] ils ont également causé “la pandémie-comme l’events”, lié au réassortiment intra subtypiques en 1947 (H1N1), 1951 (H1N1) … ».
 
 
Or que s’est-il passé en 1947 ? Une pandémie H1N1 : « D’abord détectée dans les bases militaires américaines (ndlr : tiens donc !?) au Japon en 1946, elle s’est rapidement propagée dans le monde entier [….] Alors qu’il s’agissait encore du H1N1, il y a eu un changement antigénique soudain et significatif, créant un échec complet du vaccin cette année-là ».
 
Que s’est-il donc passé ? Une mutation du virus H1N1 est apparue après une campagne de vaccination.
 
 
En 1951, une autre pandémie, plus virulente encore, s’étend de l’Angleterre au Canada, puis aux Etats-Unis, pour laquelle on constate que le « taux de mortalité hebdomadaire a même surpassé celui de la pandémie de grippe de 1918 ». Le vaccin est-il là-aussi en cause ? Selon une étude, ces deux proches parents H1N1, celui de 1947 et celui de 1951, auraient pu procéder à un échange de matériel génétique.
 
L’auteur de l’étude pointe du doigt les vaccins en insistant sur la vigilance à apporter aux observations pour prévenir toute mutation : « Si nous voulons vacciner tous les ans, notre surveillance ne doit pas seulement se focaliser sur l’évolution d’une seule lignée de virus […] Il y a de multiples chaînes co-circulant et échangeant du matériel génétique. Par exemple les chaînes H1N1 et H3N2 génèrent occasionnellement des hybrides H1N2 ».
 
Les vaccins interfèrent-ils dans la possible mutation d’un virus, voire même la favorisent-ils ? C’est ce qu’il ressort d’une étude de l’université japonaise de Shizuoka : « Bien que la vaccination puisse être un outil utile pour le contrôle des épidémies de grippe aviaire, cela peut entraîner l’émergence d’une chaîne résistante au vaccin. Des études expérimentales et de terrain démontrent que des chaînes de grippes aviaires acquièrent une capacité de résistance contre la vaccination ».
 
Les auteurs poursuivent : « Le vaccin peut faciliter le fait que la maladie se répande : Une diffusion considérable de la résistance de la chaîne peut partiellement compromettre les bénéfices du programme de vaccination. Par exemple, même si on exécute complètement le programme de vaccination, la taille finale de la pandémie peut devenir plus importante qu’avant la pandémie. Cela implique que la vaccination, au lieu d’enrayer la diffusion de la pandémie, aide à sa propagation ».
 
Les auteurs insistent sur le fait que la vaccination ne doit pas être le seul facteur de soin, mais être cumulé à d’autres mesures, comme la quarantaine et une « biosécurité » accrue. Selon leurs conclusions, la course à la résistance doit se suivre sur une période de 500 jours, l’apparition de la résistance pouvant commencer à apparaître entre 250 et 300 jours après vaccination, pour culminer et rester stable à partir de 400 jours.
 
Malheureusement, peu d’études scientifiques ont été entreprises sur le sujet, et on peut s’étonner du peu de voix, issues du « milieu médical autorisé », qui évoquent l’éventualité qu’un vaccin pouvant favoriser les mutations. Mais dans la dictature médicale qui est la nôtre, on sait qu’il ne faut rien attendre des laboratoires, rien des gouvernements qui sont leurs suppôts, rien des médecins libéraux qui sont leurs pions, médecins avec, au-dessus de leurs têtes, l’épée de Damoclès de l’ordre qui a droit de vie et de mort sur leur cabinet s’il advenait que l’un d’eux dévie sa trajectoire d’un seul degré par rapport aux attendus conventionnels.
 
Et Dieu sait si la vaccination est une source de jouvence financière, aussi bien pour l’industrie pharmaceutique que pour les médecins eux-mêmes. Ceux-ci, mêmes réquisitionnés, toucheront quand-même 66€ de l’heure et n’hésiteront pas injecter un vaccin très suspect, qu’eux-mêmes, en majorité, n’ont pas pris. L’obéissance et la servitude avant l’éthique et la recherche objective, comment attendre de qui que ce soit du milieu médical qu’il mette en doute la mécanique de la poule aux œufs d’or ?
 
La séquence vaccination-mutation est une chaîne sans fin que l’on constate dans la grippe saisonnière depuis l’invention du vaccin correspondant en 1944 suite au financement de l’armée américaine (encore elle). La grippe saisonnière n’a jamais été guérie par la vaccination, au contraire elle s’est adaptée par mutations successives depuis 60 ans : « Pour tenir compte des glissements antigéniques, les vaccins grippaux sont donc préparés chaque année à partir des souches virales ayant circulé l’année précédente. En février de chaque nouvelle année, l’Organisation mondiale de la santé fixe les souches virales qui composeront le vaccin antigrippal de l’année suivante, en fonction des données épidémiologiques résultant de la surveillance des virus influenza circulants » (source Wikipedia). Quelle manne astronomique pour toute la chaîne médicale, médecins compris !
 
Pourquoi devrait-il en être autrement pour le virus H1N1 qui nous hante depuis 91 ans, et pour lequel la première vaccination de 1947 a été un fiasco la même année, et est suspectée d’avoir muté par échange de matériel génétique pour mener au désastre de la pandémie de 1951 ? L’histoire ne va-t-elle pas se répéter, dans un intervalle de temps beaucoup plus court, vue la masse vaccinée ?
 
Personne ne doit attendre une étude diligentée par le milieu médical, qui se tirerait une balle dans le pied. Ne restent que les médecins mis au banc pour oser mettre en cause le Graal. Comme Vercoutère ou d’autres initiatives, comme Crèvecoeur, pour qui la vaccination pourrait générer une souche mutante :
 
« dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, rendant les virus extrêmement mortels »
 
 Si cette éventualité s’avérait exacte, les vaccinés pourraient devenir les bouillons de culture vivants permettant l’essor d’une nouvelle souche mutante. Ce qui expliquerait la démesure du plan actuel de vaccination massive pour une ridicule grippette : une mutation attendue avec une infrastructure déjà en place.

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/grippe-a-les-vaccines-pourraient-64721