22/11/2009
Un neurochirurgien réputé met en garde!
Les dangers des vaccins se confirment !
-Dr RUSSELL L. BLAYLOCK sur le risque du squalène se confirmant de plus en plus et sur le long terme par de graves maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde et le lupus
-Chris SHAW est spécialiste en neurosciences à l’Université de British Columbia et évoque les effets délétères du mercure contenu dans tous les vaccins et en particulier du risque pour la femme enceinte qui en incorpore plus par une injection que voie alimentaire
VACCIN GRIPPE A (H1N1): un neurochirurgien réputé met en garde!
Personne ne devrait accepter le vaccin contre la grippe porcine….il s’agit d’un des vaccins les plus dangereux jamais conçus. Il contient un adjuvant nommé squalène (MF-59) . Il a été montré que ce produit pouvait provoquer de graves maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde et le lupus. Il s’agit de l’adjuvant vaccinal qui a été mis en cause dans le syndrome de la Guerre du Golfe qui a tué plus de 10.000 soldats et provoqué une augmentation de 200% de la maladie de Lou Gehring (sclérose latérale amyotrophique ou maladie de Charcot (ALS), maladie mortelle.
Le virus H1N1 tue en provoquant une « tempête de cytokines », entraînant le système immunitaire à réagir de manière excessive. C’est la raison pour laquelle il tue des jeunes personnes et provoque une maladie plus légère chez les personnes plus âgées dont le système immunitaire est davantage affaibli. Ce vaccin est un puissant stimulateur de l’immunité qui rend le virus capable d’une beaucoup plus grande létalité .
La meilleure protection est la vitamine D3. Il faudrait dès que possible en prendre 5000 UI (IU en anglais) par jour et quand la maladie commence à s’étendre, augmenter la dose jusqu’à 15.000 UI par jour. La vitamine D3 module la réaction immunitaire, réduisant le risque de réactions excessives. Elle stimule le corps à produire ce qu’on appelle des peptides antimicrobiens (antimicrobial peptides) puissants destructeurs de virus qui ne font pas intervenir l’immunité. L’effet est proportionnel à la dose administrée. Plus la dose de vitamine D3 est élevée, meilleure la protection. Les huiles de poisson contribuent également à réduire une réaction immunitaire excessive. Une cuillère à café par jour serait suffisante. ( La meilleure est l’huile de poisson Norvégienne au citron Carlson ) . En cas de symptômes graves, prendre une cuillère à café deux fois par jour. Divers antioxidants peuvent aussi être utiles comme le curcuma, le « quercetin », l’extrait de pépin de pamplemousse, la vitamine C , ainsi que la vitamine E naturelle. Un apport multi minéraux/vitamines est aussi essentiel.
Puis-je vous demander de répandre ce message. Les gens doivent savoir comment se protéger.
Dr RUSSELL L. BLAYLOCK, M.D.
http://blogs.redding.com/tpratt/archives/2009/10/health-experts.html
Trudi PRATT, 4 oct. 2009.
Chris SHAW est spécialiste en neurosciences à l’Université de British Columbia.
Se basant sur les chiffres publiés dans la notice du vaccin H1N1, Chris SHAW conclut à un taux de 395 cas de réactions graves sur 100.000 vaccinations. Ce qui, dit-il représente plus de 50 fois le taux d’hospitalisations dus au H1N1 lui-même (7,3 pour 100.000).
Ce qui inquiète Chris SHAW ce sont les effets « long terme » possibles. La plupart des études sur les vaccinations font état de suivi de quelques jours, voire au plus de quelques mois. Chris SHAW déclare que ce n’est pas suffisant. Avec certains vaccins, précise-t-il, les réactions les plus graves apparaissent des années après la vaccination. Les problèmes neurologiques n’apparaissent pas du jour au lendemain. Il a fallu de 5 à 10 ans pour découvrir l’ampleur du syndrome de la guerre du Golfe. SHAW s’inquiète quant au suivi des effets secondaires des vaccinations au Canada. Ce sont de piètres suivis déclare-t-il .
(…) L’Agence de Santé Publique Canadienne déclare sur son site que le thimérosal est sûr et que la quantité de mercure contenue dans le vaccin H1N1 est en dessous de la limite de sécurité fixées par Santé Canada.
« Il y a moins de mercure dans le vaccin que vous ne pourriez en trouver dans du thon » publie le site.
En fait, la quantité de mercure dans le vaccin H1N1 non adjuvanté dépasse le taux de sécurité quotidien admis pour les femmes enceintes. Santé Canada a précisé que le taux de sécurité alimentaire pour le mercure chez les femmes enceintes est de 0,2 microgrammes ( millionième de gramme) par kilo de poids corporel.
Le vaccin H1N1 non adjuvanté contient lui 25 microgrammes de mercure.
Un simple calcul mathématique montre qu’une canadienne enceinte qui pèse 80 Kg à terme reçoit environ 56% de mercure en plus que ce que les normes de sécurité autorisent quand elle reçoit un vaccin non adjuvanté.
Selon les normes plus draconiennes de l’EPA, la même dose équivaut en fait au triple de la dose quotidienne considérée comme sûre.
En outre, SHAW note que les normes de sécurité ont été établies pour le mercure entrant dans la composition des aliments et non pour l’injection dans le corps. L’injection d’un neurotoxique comme le mercure a un impact beaucoup plus important.
(…) En ce qui concerne le squalène, de plus en plus de preuves se sont accumulées ces dernières années pour montrer que le squalène peut causer des maladies autoimmunes comme le lupus et l’arthrite rhumatoïde chez les animaux.