Vaccin ou arme biologique : Dossiers SOS JUSTICE

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/05/2010

La fin de la vaccination contre la variole a pu contribuer à la flambée du VIH

Elle est bien bonne celle-ci !

Fallait bien trouver une excuse pour recommencer à vacciner les innocents et réduire la population mondiale grâce à la vaccination criminelle !

Surtout que la vaccination contre la variole provoquait des encéphalites et notamment le purpura.
Il existe par ailleurs des preuves formelles qui attestent que le VIH est une fabrication issue des laboratoires militaires US.

Renseignez-vous et ne vous faites pas vacciner !

Pourrait-on savoir qui a encore financé cette étude bidon ?

Alors que l'OMS célèbre le trentième anniversaire de l'éradication de la variole, une étude suggère que la fin de la vaccination antivariolique, au milieu du 20e siècle, a pu causer la propagation rapide du VIH.
Campagne de vaccination contre la variole au Congo en 1962. Dalmas/SIPA

Campagne de vaccination contre la variole au Congo en 1962. Dalmas/SIPA

Prononcée il y a trente ans, l'éradication de la variole est considérée comme une importante victoire en matière de santé publique qui s'est accompagnée de l'arrêt de toute vaccination antivariolique. Une action qui aurait entrainé une diminution de l'immunité naturelle contre le VIH et contribué à son essor dans le monde.

Sur le même sujet

C'est en tout cas l'hypothèse que font des chercheurs américains dans le journal BMC Immunology. Ils  ont étudié du sang prélevé sur des personnes vaccinées contre la variole pour cette recherche et étudié les réactions des globules blancs face au VIH. Leurs résultats montrent un taux de réplication du virus significativement plus faible chez les personnes vaccinées contre la variole par rapport au sujets témoins.

Raymond Weinstein, de l'Université George Mason, en Virginie, a déclaré : « Il y a eu plusieurs explications proposées pour la propagation rapide du VIH en Afrique, y compris les guerres, la réutilisation des aiguilles non stérilisées et la contamination de lots de vaccin antipoliomyélitique au début. Cependant, certaines ont été réfutées et les autres n'expliquent pas le comportement de la pandémie de Sida. Notre conclusion selon laquelle la vaccination préalable antivariolique peut fournir à une personne un certain degré de protection contre le VIH suggère que le retrait de cette vaccination peut être une explication partielle. »

Le chercheur prévient toutefois que ses  résultats sont préliminaires et qu'il n'est pour le moment pas question de « recommander la vaccination contre la variole pour lutter contre le VIH. »

J.I.
Sciencesetavenir.fr

http://www.sciencesetavenir.fr//actualite/sante/20100518....