Vaccins : Dossiers SOS JUSTICE

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20/10/2009

GrippeA/H1N1 : la vaccination des enfants

La vaccination débutera pour les enfants après les vacances de la Toussaint.
Ne vous laissez pas impressionner par les morts soi-disant dues au virus H1N1 car il n'existe aucune preuve scientifique que les décès soient dus au virus H1N1.

Tout cela n'est que manipulation mentale et la grippe normale fait plus de 35 000 morts par an en France !

Posez-vous une seule question !
Avez-vous vu des malades atteints du virus H1N1 autour de vous et qui en soient morts ?
Parce que nous, NON  et personne de notre entourage non plus !

Le virus est contenu dans le vaccin qui doit être le vecteur de la pandémie mondiale !
Ne vous faites pas vacciner !!!!!!!


AFP, Mise a jour: 19/10/2009 16:08

La vaccination contre le H1N1 débute mardi pour le personnel hospitalier

La campagne de vaccination contre le virus de grippe pandémique H1N1 débute mardi pour le personnel hospitalier, prioritaire, dans un contexte où les réticences persistent parmi les professionnels de santé et le public et alors que l'épidémie apparaît relativement bénigne.

Une infirmière vaccine une femme

La campagne de vaccination contre le virus de grippe pandémique H1N1 débute mardi pour le personnel hospitalier, prioritaire, dans un contexte où les réticences persistent parmi les professionnels de santé et le public et alors que l'épidémie apparaît relativement bénigne.

La campagne de vaccination contre le virus de grippe pandémique H1N1 débute mardi pour le personnel hospitalier, prioritaire, dans un contexte où les réticences persistent parmi les professionnels de santé et le public et alors que l'épidémie apparaît relativement bénigne.

Pour les autres (hors hospitaliers), la vaccination - qui n'est pas obligatoire - commencera après les vacances de la Toussaint, a confirmé le ministère.

Face à une épidémie grippale encore pour l'instant qualifiée de "petite", les autorités sanitaires auront à faire oeuvre de davantage de pédagogie pour convaincre la population.

Un bas niveau d'inquiétude expliquerait une faible motivation pour la vaccination, d'après des sociologues.

"Beaucoup de ceux qui ne se sentent pas concernés par la vaccination vont, au contact de la montée de la pandémie, certainement changer d'avis", a d'ailleurs pronostiqué le Premier ministre fin septembre.

Selon diverses enquêtes, 60 à 65% des Français n'ont pas l'intention de se faire vacciner contre la grippe A (H1N1) en septembre.

Mais pour le Pr Bruno Lina, la vaccination du personnel est un "enjeu clé". "Si on a un pic épidémique important, s'il n'y a pas de soignants, des malades mourront", a averti le virologue.

Du côté des médecins libéraux, susceptibles de servir de relais auprès du public, la situation n'est guère brillante, si l'on en croît un sondage Ipsos réalisé également en septembre pour le Quotidien du Médecin : à peine plus de la moitié d'entre eux se disent prêts à se faire vacciner.

Et, d'après une consultation lancée sur Internet à la même période par le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI), parmi les 4.100 premières réponses, 65% refusent la vaccination. Même s'il reste à vérifier si ces résultats sont représentatifs, force est de constater que les réticences ne sont pas l'apanage des Français.

La défiance sévit aussi aux Etats-Unis où certains soignants ont intenté une action en justice contre la vaccination "forcée" et où 40 % seulement des adultes sont sûrs de se faire vacciner, selon une étude de la Harvard School of Public Health. Et seulement un parent américain sur deux déclare vouloir faire vacciner ses enfants.

Trois vaccins ont déjà reçu leur autorisation à la commercialisation. Deux doses séparées de 21 jours minimum, sont prévues. Une seule dose pourrait finalement suffire dans la plupart des cas, selon les essais, mais il faudra attendre le feu vert des autorités sanitaires pour valider cette simplification de la vaccination, soulignent les spécialistes.

"Il y a un problème de confiance aujourd'hui entre les autorités et le corps médical et plus largement la population parce qu'on a survendu la problématique de la vaccination", a estimé pour sa part lundi Jean-Marie Le Guen, par ailleurs président du conseil d'administration de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris.

La mort dimanche à Paris d'un bébé de 11 mois rappelle que la grippe pandémique HIN1 peut tuer les personnes fragiles.

Les Etats-Unis ont enregistré 43 décès pédiatriques en un peu plus d'un mois alors que ce chiffre varie de 40 à 50 par an pour toute la saison de grippe saisonnière.

Selon la liste rendue publique par le gouvernement fin septembre, les personnels de santé prioritaires sont ceux travaillant dans la réanimation néonatale et pédiatrique ou ceux côtoyant des patients grippés ou porteurs de facteurs de risque (insuffisants respiratoires, asthmatiques...).

Pour les autres (médecins libéraux compris), la vaccination interviendra après les vacances de Toussaint dans les 1.080 centres mis en place sur le territoire.

http://news.fr.msn.com/m6-actualite/article.aspx?cp-docum...