27/03/2012
Plainte contre Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA. Les réactions sur le net au dépôt de plainte de Sos Justice du 9 février 2012
Nous voulions vous faire profiter des réactions enregistrées sur le net à la suite de la plainte déposée par Sos Justice & Droits de l'Homme contre Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA.
Est-ce le début de la fin? Fin de cet immonde traité de Lisbonne qu'il nous a imposé alors que 56% des français ont voté contre en 2005 ?
Fin des lois liberticides ? Fin du MES ?
Trop beau pour être vrai ?
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2012/03/18/af...
vero57
AH ! ENFIN !
Excellent !!! Merci chère Véro pour la transmission de cette bonne nouvelle.
Je regrette qu'il ne soit possible de signer une pétition qui augmenterait vite fait le nombre de plaignants de plusieurs millions de français. Je vais leur soumettre cette proposition s'il ne l'ont déjà fait, car bon nombre n'a pas les moyens d'imprimer les documents.
http://www.dossiers-sos-justice.com/media/02/00/239145397...
SOS JUSTICE & DROITS DE L'HOMME
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Anne Onime 1- Enfant de Dieu
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.....(pétition )..... Je vais leur soumettre cette proposition s'il ne l'ont déjà fait, car bon nombre n'a pas les moyens d'imprimer les documents.
C'est fait, j'attends leur réponse.
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12:36 Publié dans Conseil constitutionnel maçonnique, Corruption, Cour de Cassation, Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA, Plainte criminelle Parquet de Nice, Société, Sos Justice | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
02/06/2010
La discutable "privatisation" du contrôle des radars routiers
Publié le 31/05/2010 à 19:12 Le Point.fr
INFO LEPOINT.FR
La discutable "privatisation" du contrôle des radars routiers
Par Stéphanie Fontaine
© Zabulon Laurent / Abaca
Depuis le début de l'année, les radars de vitesse ne sont plus vérifiés par les agents de l'État, mais par des privés. Une situation passée totalement inaperçue et qui n'est pas sans soulever quelques interrogations. Explications.
Depuis la mise en place des radars automatiques, en 2003, c'est le groupe Sagem qui fournit la quasi-totalité des 2.600 radars automatiques en France. La société est également chargée de gérer leur maintenance. Ainsi, jusqu'en décembre 2009, conformément à la réglementation, Sagem devait faire appel à des fonctionnaires pour les vérifier, un dispositif censé assurer l'indépendance du contrôle.
Mais en décembre 2009, le ministère de l'Industrie a modifié le processus de contrôle en dressant une liste de cinq organismes jugés aptes à étalonner les radars . Il ne restait plus qu'à choisir, au sein de cette liste, la société en charge de contrôler les radars automatiques, qui constituent près de 90 % des P.-V. de vitesse.
C'est la société SGS Qualitest Industrie qui a remporté l'affaire, fin janvier. Une décision restée totalement confidentielle. Mais, ce que lepoint.fr a surtout découvert, c'est que ni le ministère de l'Intérieur ni la Direction du projet interministériel du contrôle automatisé (DPICA), considérée pourtant comme l'utilisatrice des machines, ne sont intervenus à la passation du contrat. Non, c'est Sagem elle-même ! En clair, Sagem vend à l'État ses radars automatiques et choisit l'entreprise chargée de contrôler ses appareils...
Désormais, Sagem traite donc de privé à privé, mais certainement pas d'égal à égal. Son prestataire SGS Qualitest Industrie courra-t-il le risque de se montrer trop tatillon lors de la vérification des radars, alors que les contrats sont renouvelables tous les ans ?
Une pratique éloignée des textes en vigueur
Surtout, laisser Sagem sous-traiter directement les "contrôles en service" (la vérification annuelle, ndlr) de ses appareils semble assez éloigné des textes en vigueur. En effet, aux termes du décret du 3 mai 2001, relatif au contrôle des instruments de mesure, il apparaît que les organismes désignés pour la vérification des radars - SGS Qualitest Industrie, donc - doivent non seulement "présenter toute garantie d'intégrité et d'impartialité", mais aussi "être indépendants de toute personne ayant un intérêt direct ou indirect dans les instruments de mesure". Le lien de subordination de SGS Qualitest Industrie vis-à-vis de Sagem semble indiquer que cette condition n'est pas respectée.
Il en est de même avec l'arrêté du 31 décembre 2001, qui dispose que "l'organisme (en l'espèce SGS Qualitest Industrie), son responsable et son personnel (...) doivent être à l'abri de toute pression et de tout risque de corruption, notamment financière, susceptibles d'influencer leur jugement ou les résultats de leurs travaux (...), notamment de la part de personnes ou de groupes de personnes intéressées par ces résultats".
De quoi donner matière à contester les 8 millions d'excès de vitesse relevés annuellement par le contrôle automatisé ? "Sans aucun doute", considère Caroline Tichit, avocate spécialiste du droit routier.
Du côté de la Direction de la sécurité et de la circulation routière (DSCR), qui commande les appareils à Sagem, on ne s'en alarme pas. "Nous avons passé un marché avec Sagem pour le déploiement des radars (automatiques) et elle, à son tour, a fait un appel d'offres pour choisir un organisme vérificateur... Ça ne pose aucun problème."
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2010-05-31/info-...
02:26 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook