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Déclaration d'engagement de responsabilité Civile et Pénale pour l'administration des thérapies géniques PFIZER/BIONTECH OU MODERNA dans le cadre de la COVID-19
I- RAPPEL DES PRINCIPES CONCERNANT LE CONSENTEMENT LIBRE ET ECLAIRE DES MALADES : - La Convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997 impose, en son article 5 : « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu'après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l'intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. » - L’article 16-3 du Code civil dispose encore : « Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui. Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle il n'est pas à même de consentir. » - L’article L1111-4 du code de la santé publique prévoit : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ». Cette obligation d’obtenir le consentement du patient est reprise à l’article R4127-36 du code de la santé publique ainsi qu’à l’article 36 du code de déontologie des médecins. II- RAPPEL DES OBLIGATIONS INCOMBANT AU MEDECIN DANS SA RELATION AVEC LE PATIENT Ces obligations sont rappelées dans le code de la santé publique : - En son article L1111-2 :
« Toute personne a le droit d'être informée sur son état de santé. Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu'ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. Lorsque, postérieurement à l'exécution des investigations, traitements ou actions de prévention, des risques nouveaux sont identifiés, la personne concernée doit en être informée, sauf en cas d'impossibilité de la retrouver.
Cette information incombe à tout professionnel de santé dans le cadre de ses compétences et dans le respect des règles professionnelles qui lui sont applicables. Seules l'urgence ou l'impossibilité d'informer peuvent l'en dispenser. » Document établi par l’Association REACTION19, Loi de 1901 pour toute personne concernée par le « vaccin » Pfizer/BioNTech ou Moderna
- En son article R4127-34 : « Le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu'il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension. »
Cet article est repris à l’identique à l’article 35 du code de déontologie des médecins. - En son article R4127-39 : « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite. »
* * *
DECLARATION A FAIRE SIGNER PAR LE MEDECIN QUI PRECONISE L’ADMINISTRATION DU « VACCIN » PFIZER/BIONTECH OU MODERNA Je soussigné(e)…………………………………………………………… Par cette déclaration, et après avoir pris connaissance de l’ensemble des textes internationaux et nationaux concernant le devoir d’information du personnel médical envers son patient, atteste administrer la thérapie génique, communément dénommée « vaccin », émise par les laboratoires Pfizer/BioNtech ou Moderna, en ayant respecté mon devoir d’information dû au patient. J’affirme, par la présente, en toute conscience professionnelle, que l’administration de ce « vaccin » est la solution la plus adaptée pour M./Mme…………………………………………………..., dans le contexte de la Covid-19. J’atteste avoir informé mon patient du contenu de cette thérapie, de son fonctionnement et de l’ensemble de ses effets indésirables potentiels. Je déclare assumer ma responsabilité civile et pénale personnelle si ledit patient devait subir un quelconque effet indésirable pouvant aller jusqu’au décès de la personne. Fait le………………, à………………………………………… Signature:
C'est facile de proposer des Lois en France et ensuite de se décharger de ses responsabilités Civiles et Pénales vers l'Union Européenne qui a géré la Plandémie de manière catastrophique pour les intérêts d'une certaine Caste mafieuse, et ce, tout en écartant nos Professeurs en Infectiologie, en interdisant à nos Médecins de prescrire des traitements médicaux qui existaient pour certains en vente libre en pharmacie pour quelques Euros, depuis 70 ans, et ce, pour nous imposer leur Dictature et leur Tyrannie !
Il va falloir sortir de cette colonisation étrangère de manière urgente par le FREXIT!
Personne n'en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne "renforcée" dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l'an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !
Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France.
Une résolution contre la souveraineté sanitaire
Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée.
On retiendra du texte qu’il appelle :
à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”
Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…
Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible
On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques.
On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.
Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe.
Nous relayons ici, les Conseils Juridiques pour les Gendarmes, les Pompiers, les Militaires, les Personnels soignants, les Médecins libéraux et les salariés, ainsi que pour que vous puissiez conserver vos enfants à la maison, en sécurité, en les faisant mettre en arrêt de maladie par votre médecin traitant habituel pendant que vous prenez RDV avec un pédopsychiatre qui pourra les suivre et prolonger l'arrêt de maladie, le temps que le Juge des Référés du Tribunal Judiciaire de Paris, ne rende en octobre 2021, sa décision de suspension des 4 thérapies biogéniques, leurs injections, et leur retrait de leur commercialisation en France, ainsi que le retrait du Passe Sanitaire.
Ces Conseils Juridiques sont prodigués par l'Association Réaction19, Présidée par Me Carlo BRUSA - Avocat au Barreau de Paris et nous mettons à votre disposition, en téléchargement, toutes les dernières mises en ligne des actes de procédures ou des exemples de lettres à utiliser ou des lettres de conseils à suivre afin de pouvoir mener vos actions personnelles ou collectives, en toute légalité et que vous puissiez valablement vous défendre.
L'association est domiciliée au :
RÉACTION19 Association Loi 1901 Agrément N° : W751256495 68, Rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Tél. : 01 88 31 11 77
Le lien du site de l'association Réaction19 qui compte déjà plus de 90 000 adhérents, dont des Magistrats, des Avocats et autres adhérents, et association à laquelle vous pourrez adhérer pour 10 € par an, afin de vous permettre de mener des actions judiciaires collectives : https://reaction19.fr/
Le lien pour voir toutes les vidéos d'informations diverses de l'association Reaction19 WebTV qui sont animées par Me Carlo BRUSA : https://videos.reaction19.fr
Ou encore la Chaine Vidéos sur Odyssée par ce lien :
En effet, quatre « vaccins contre la Covid-19 » ont fait l'objet d'Autorisations de Mise sur le Marché (ci-après : « A.M.M. ») conditionnelles par la Commission Européenne. En France, l'utilisation des médicaments pour lutter contre « la Covid-19 » a été fixée par le décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020, tel que modifié par le décret n°2021-384 du 2 avril 2021.
Or, ce décret vise d'autres produits médicamenteux que ceux visés par les A.M.M. conditionnelles. De plus, les produits autorisés par le décret ne figurent pas dans le dictionnaire du Vidal répertoriant les médicaments autorisés sur le marché français. Ainsi, en France, les produits médicamenteux injectés comme étant des «vaccins contre la Covid-19 » n'ont fait l'objet d'aucune autorisation légale ou réglementaire et sont donc inexistants.
C'est pourquoi, l'injection de tous les produits médicamenteux désignés comme étant des « vaccins contre la Covid-19 » depuis le 27 décembre 2020, date de début de la « campagne de vaccination » en France, jusqu'à la suspension de l'utilisation desdits produits, est illégale. Par ailleurs, toutes les procédures et les mesures ainsi que tous les remboursements afférents à la « vaccination » par les produits visés par le décret, sont illégaux et toujours en phase de tests.
Par conséquent, l'Association REACTION19 demande notamment la suspension immédiate de l'utilisation, du transfert et de la livraison desdits produits médicamenteux utilisés aux fins de « vaccination contre la Covid-19 ».
Aussi, à ce jour, les personnes qui se font vacciner au moyen de produits médicamenteux inconnus, n’ayant fait l’objet d’aucune autorisation légale, sont illégaux et inconnus en France et tous ceux qui se font injecter ces 4 thérapies biogéniques qui sont toujours en phase de tests, ne servent que de "COBAYES" et qu'il se pourrait bien que le Passe Sanitaire ne soit que le BREVETprouvant que vous appartenez désormais à BIG PHARMA qui peut vous tracer comme il l'entend, et ce, tout en violant non seulement votre vie privée mais aussi le secret médical.
Et ce, tout en sachant que les Laboratoires pharmaceutiques de BIG PHARMA ont obtenu l'autorisation des Etats et de la Commission Européenne, d'être relevés de toute responsabilité, en cas d'effets secondaires ou de décès et de toutes poursuites en réparation et de toutes poursuites pénales ou civiles et que les assurances privées ont déjà prévenues qu'elles ne prendraient pas en charge de quelconques effets secondaires ou de morts qui seraient dus à l'injection des 4 thérapies biogéniques.
Bien évidemment tous les contrats signés entre, les non élus par les 27 Peuples européens, et qui siègent illégalement auprès de la Commission Européenne et les Laboratoires Pharmaceutiques de BIG PHARMA, sont tenus secrets !
Les 4 thérapies biogéniques dont l’existence est contestée qui sont inconnues et illégales en France depuis décembre 2020, car elles ne correspondent pas à celles commandées par la Commission Européenne, sont les suivantes :
1 - COMIRNATYDISPER DILUER P SOL INJ : du 4 août 2021
Substance : ARNm modifié codant la glycoprotéine spike (S) du SARS-CoV-2
Vaccin à ARNm** contre la COVID-19 (encapsulé dans des nanoparticules lipidiques)
Composition : ** L'ARN messager (ARNm) simple brin à coiffe en 5' est produit à l'aide d'une transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d'ADN correspondantes et codant pour la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.
Excipients à effet notoire : EEN sans dose seuil : éthanol
Composition: Adénovirus de chimpanzé codant pour la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 (ChAdOx1-S)
Produit sur des cellules rénales embryonnaires humaines (Human Embryonic Kidney, HEK) 293 génétiquement modifiées et par la technologie de l'ADN recombinant. Excipients : L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, chlorure de magnésium hexahydraté, polysorbate 80 (E433), éthanol, saccharose, chlorure de sodium, édétate disodique (dihydraté), eau pour préparations injectables. Excipient à effet notoire : chaque dose (0,5 ml) contient environ 2 mg d'éthanol. Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Substance : ARNm modifié codant la glycoprotéine spike (S) du SARS-CoV-2
Composition : ARN messager simple brin, à coiffe en 5', produit par transcription sans cellule in vitro à partir des matrices d'ADN correspondantes, codant la protéine Spike (S) virale du SARS-CoV-2.
Excipients à effet notoire: EEN sans dose seuil : éthanol
Composition: Adénovirus type 26 codant pour la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2* (Ad26.COV2-S), non inférieur à 8,92 log10 unités infectieuses (U. Inf.).
* Produit sur la lignée cellulaire PER.C6 TetR et par la technologie de l'ADN recombinant.
Le produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Ont été assignés par voie d’Huissier de Justice les mis en cause au sein de la procédure de référé suspension, les entités suivantes :
1 - l’AGENCE NATIONALE DE SECURITE DU MEDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTE,
2 - le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MEDECINS,
3 - le CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES PHARMACIENS,
4 - la société VIDAL FRANCE.
Sur le consentement libre et éclairé du patient par son Médecin ou tout autre vaccinateur.
Ces 4 thérapies géniques étant inconnues et illégales en France, les Médecins, les Pharmaciens et tous les personnels vaccinateurs n'ont pas été informés des contenus et des effets secondaires produits par lesdites thérapies biogéniques afin d'obtenir le consentement éclairé des patients et des enfants des parents, comme cela a été fait en Suisse par Réinfo Santé.
Téléchargez l'Assignation en référé suspension datée du 6 septembre 2021 et le communiqué de presse daté du, 7 septembre 2021, par les liens, ci-dessous :
Me Carlo BRUSA - Président de l'Association Réaction19, avait déjà prévenu de toutes ces infractions et irrégularités par le biais d'une vidéo diffusée le 26 août 2021.
Me Carlo BRUSA soutient que les produits injectés depuis décembre en France sont illégaux ! Le dossier part en Justice. L'implication est l'arrêt, séance tenante, de toute injection.
Liste des ingrédients composant les vaccins covid19
L'avocat Maître Carlo BRUSA dresse la liste des ingrédients composants les vaccins covid19. Est-ce bien clair pour tout le monde désormais ?
Observez bien comment les manœuvres sont organisées par le Gouvernement et Blanquer pour tromper les parents d'élèves :
1 - « en procédant tout d'abord au retrait de l'autorité parentale aux deux parents.»
2 - « Blanquer en roue libre, il a créé un nouveau fichier clandestin pour l’école pour faire croire aux parents qu'ils sont encore en mesure d'exercer leur autorité parentale pour donner leur accord pour faire vacciner leurs enfants.
Retrait de l'autorité parentale aux deux parents : Amendement N°CL449 déposé à l'Assemblée Nationale le mardi 20 juillet 2021 qui a été adopté, le 21 juillet 2021.
Les médecins auraient reçu des documents de l'état leur faisant interdiction d'établir des certificats de contre-indication vaccinale, aux enfants, ce qui rend "la vaccination obligatoire", tout comme cela était prévu par l’amendement N°CL449 déposé à l'Assemblée Nationale, le mardi 20 juillet 2021 et qui a été adopté, le 21 juillet 2021 et qui stipule :
"Le présent amendement vise à faciliter l'accès au dépistage et à la vaccination aux personnes mineures de 12 ans et plus. Il s'agit d'autoriser ces actes de dépistage ou d'injection du vaccin contre le SARS-CoV-2 sans le recueil préalable du consentement des deux titulaires de l'autorité parentale".
Le tribunal a considéré que l’absence d’aménagements permettant d’accéder sans passe aux commerces essentiels dans les galeries marchandes invalidait la décision du préfet.
Les deux avocats de Versailles qui ont obtenu la suspension du pass sanitaire dans les centres commerciaux des Yvelines ont mis en demeure tous les préfets d’Ile-de-France.
La décision rendue par la Juge des Référés de Versailles, le 24
Dans les Yvelines, le passe sanitaire ne sera plus d'application dans les centres commerciaux. Ainsi vient d'en décider le juge des référés du tribunal administratif de Versailles, à la demande d'un habitant du département, lui-même avocat. Cette importante décision fondée sur le principe selon lequel l'Etat ne peut empêcher les personnes d'accéder aux biens de première nécessité, même sous un motif sanitaire, est facilement transposable sur le reste du territoire national. Voici un mode d'emploi pour demander la même mesure au Préfet de votre département, avec l'aide de Maître X, notre conseillère secrète !
La décision rendue par la Juge des Référés de Versailles, le 24 août 2021 à télécharger en PDF : ICI
Lorsque vous aurez pris connaissance de la plainte et de ses motivationns, vous pourrez participer à celle-ci en remplissant le formulaire dont le lien vous est communiqué en bas de page.
S'agissant de crimes commis contre l'humanité commis par l'église, cette dernière n'aura pas notre aval, et nous dénonçons ces crimes pour être conformes à notre éthique morale que cela plaise ou pas au bigots et aux fanatiques religieux.
La banalisation des crimes commis par les élites sectaires et religieuses qu'il ne faut pas dénoncer sous prétexte qu'elles se sont collées le nom et l'image de Dieu qui est leur meilleure immunité, c'est un temps largement révolu pour une humanité en pleine ouverture de conscience et d'évolution neurologique.
Les imposteurs doivent payer leurs dettes à la société, comme les innocents paient pour les dénoncer !
Une plainte en justice contre Joseph Ratzinger, le Pape Benoît XVI
La plainte a été déposée auprès de la Cour pénale internationale de La Haye. Elle a pour objet des crimes contre l’humanité.
Y sont dénoncés trois crimes contre l'humanité, dont Mr Joseph Ratzinger, en tant qu’ancien cardinal et pape actuel, est soupçonné pénalement :
1. Le maintien et la direction, dans le monde entier, d’un régime totalitaire coercitif asservissant ses membres par des menaces anxiogènes pouvant porter atteinte à la santé ;
2. le maintien de l’interdiction meurtrière d’utiliser des préservatifs, même en cas de danger de contamination par le VIH/Sida, et
3. la mise en place et le maintien d’un système mondial de dissimulation des crimes sexuels commis par des prêtres catholiques et les soustrayant à la justice, système qui ouvre la voie à de nouveaux crimes
Si ces crimes mondiaux n’ont pas été dénoncés jusqu’alors, c’est pour la seule raison qu’ils ont été commis par une institution dont « les plus hauts dignitaires » semblent être au dessus de tout fait délictueux. La déférence portée traditionnellement aux « dignitaires de l'Eglise » obscurcit la conscience juridique.
Si un nouveau groupe religieux, par l’exercice d’une pression psychique massive sur ses membres, les obligeait à embrigader leurs nouveaux-nés dans le groupe pour qu’ils le financent par la suite et suivent toute leur vie ses directives, on le qualifierait de « secte ». Il se pourrait même que l’Etat dissolve cette organisation et condamne les « chefs de la secte » pour coercition et intimidation, d’autant plus si le groupe ne tolérait pas que ses membres le quittent et les en dissuadait en les menaçant des pires punitions, entraînant chez bon nombre d’entre eux des dommages psychiques considérables ainsi qu’une entrave au libre épanouissement.
Peut-il en être autrement dans un même cas de figure, où de plus une organisation se comporte de la sorte non pas seulement envers quelques individus mais dans le monde entier, tout simplement parce qu’elle se nomme « Eglise catholique romaine » et parle sans cesse de liberté de religion, tout en lançant des « chargés aux sectes » aux trousses de personnes dont la foi diverge de la sienne ? Il n'en est pas autrement, mais on s'y est accoutumé. Depuis le 01/07/2002, jour où le Statut de la Cour pénale internationale qui incrimine les « crimes contre l'humanité » est entré en vigueur, cette accoutumance n’est plus autorisée.
Si une secte coercitive, correspondant à la description que nous venons de faire, était largement répandue actuellement en Afrique et interdisait à ses membres l'utilisation de préservatifs, sous peine de lourdes punitions, on accuserait les dirigeants de la secte d'être responsables des cas de contamination par le VIH/sida et des décès qui en découleraient, et on ouvrirait une enquête pénale contre eux. Peut-il en être autrement uniquement parce que la secte coercitive se nomme « Eglise » et que son chef revendique l’infaillibilité de sa personne ?
Si, dans une secte coercitive répandue dans le monde entier, des centaines de milliers d'enfants avaient été victimes d'abus sexuels, que ces crimes avaient été dissimulés sur ordre du dirigeant de la secte et leurs auteurs protégés de poursuites judiciaires, cette organisation criminelle et son chef seraient poursuivis en justice. Peut-il en être autrement uniquement parce que la secte coercitive se nomme « Eglise » et que la loi du silence sur les crimes ne vient pas d’un chef de la mafia mais du pape ? Il n'en est pas autrement, on s’est simplement habitué depuis des siècles à un clergé pédophile et au pouvoir de son grand prêtre. Depuis que sont définis les éléments constitutifs du crime contre l'humanité, il n’est plus permis de fermer les yeux.
Beaucoup de personnes ne vont pas en croire leurs yeux : « Poursuivre le pape en justice ? C’est une idée folle ! » Bon nombre encore se demanderont : « Pourquoi seulement maintenant ? » Les catholiques fidèles à l'Eglise en seront outrés, les esprits libres en éprouveront de la satisfaction. Qu’une plainte contre le pape déclenche des émotions tient à la personne même de l'accusé, considéré par les uns comme le représentant de Dieu et par les autres comme le prince des ténèbres. Dans la plainte imprimée dans cet ouvrage, qui a été adressée à la Cour pénale internationale à La Haye, il n'est ni l'un ni l'autre mais tout simplement « l'accusé, M. Joseph Ratzinger », à qui sont reprochés des crimes graves - contre les enfants victimes des crimes commis par son clergé, contre les africains tués par son interdiction mortelle du préservatif et contre les membres de l'Eglise asservis par sa domination sacerdotale totalitaire.
Je suis avocat et j'ai rédigé cette plainte avec mon collègue Me Gert-Joachim Hetzel dans la conscience que le moment est venu de se libérer enfin de la soumission moyenâgeuse dont il est fait preuve envers les princes de l'Eglise et de les appeler, comme tout autre citoyen, à rendre des comptes lorsqu'ils commettent des crimes.
Nous dédions cet ouvrage à tous ceux qui, sous le système inhumain de l'Eglise, ont enduré de graves souffrances psychiques, à tous ceux qui sont morts à cause de la « morale sexuelle » misanthropique des vieillards de Rome, et avant tout aux innombrables enfants victimes des crimes sexuels du clergé. Dans le cadre de notre activité d'avocats nous avons vu combien les victimes, même adultes, souffrent de ce qu’elles ont vécu enfant. C’est avant tout pour elles que nous avons déposé cette plainte. Elles ont bien souvent perdu toute foi en la justice, et aussi en Dieu. Notre souhait est qu’elles retrouvent si possible les deux.
L'entrée en vigueur du Statut de Rome de la Cour pénale internationale, le 01/07/2002, a marqué un tournant dans la civilisation. Ce fut la fin du temps où les crimes de masse motivés par une politique ou une idéologie restaient impunis, parce qu'ils ne pouvaient pas être définis par les éléments délictueux constituant classiquement le meurtre, la séquestration et la coercition. La définition des " crimes contre l'humanité ", telle qu'elle existe dans le Statut de Rome, ne fait pas seulement état de la " commission multiple d'actes " et de la responsabilité pénale des meneurs, mais élargit aussi le spectre des droits protégés : Dans l'article 7, § 1k, sont aussi passibles de peine les " Autres actes inhumains … causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves … à la santé physique ou mentale ", à condition que ces atteintes soient d'une gravité analogue à celle par exemple du viol, de l'esclavage ou de la déportation. La violence psychologique, pouvant porter atteinte à la santé, en fait ainsi partie. Une grande partie de la violence traditionnelle de ce monde, qui était acceptée parce que " ça a toujours été comment ça " est, en vertu du Statut de Rome, désormais punie par la loi.
Cette plainte arrive à la conclusion que cette définition correspond au régime coercitif de l'Eglise catholique romaine, dirigée par l'accusé, ainsi qu'à la menace anxiogène des tourments éternels de l'enfer qu'elle véhicule.Ces menaces conduisent de nombreuses personnes dans une dépendance mentale maladive et les privent de leur propre conscience dans des domaines existentiels de la vie. Ce n'est que par l'intermédiaire de ce système coercitif que les deux autres crimes contre l'humanité, incriminés par cette plainte, ont pu être possibles. Une appréciation pénale de cet usage du pouvoir exerçant une pression psychologique extrême est d'autant plus appropriée que l'accusé tente de faire oublier le totalitarisme de son système en détournant l'attention par une éloge à tout va de la liberté de religion, que sa propre Eglise foule aux pieds, que ce soit par la manière dont elle traite ses propres membres que par son intolérance agressive envers des concurrents religieux, surtout s'il s'agit de minorités religieuses.
De plus, cette plainte arrive également à la conclusion que l'accusé est pénalement coresponsable de la mort de centaines de milliers, peut-être même de millions de personnes atteintes du sida car, malgré le développement de l'épidémie, il maintient l'interdiction de l'utilisation de moyens de protection contre la transmission du VIH prononcée par l'Eglise, et l'impose en se servant des menaces exprimées par son système coercitif.
Pour finir, la plainte arrive à la conclusion que l'accusé est pénalement responsable de l'augmentation continue des crimes sexuels commis par des prêtres catholiques au cours des dernières décennies. En public, l'accusé simule le dirigeant ecclésiastique pieux qui s'excuse auprès des victimes des criminels pédophiles de l'Eglise et veut empêcher que de telles choses se reproduisent à l'avenir. En réalité, il agit en implacable " parrain " d'un système de dissimulation généralisé en vigueur dans le monde entier, système qui favorise les criminels au détriment de leurs victimes et ouvre chaque jour la voie à de nouveaux crimes.
Vous êtes pour cette plainte ? Prononcez-vous !
Vos données ne seront utilisées que pour soutenir la plainte déposée auprès de la Cour pénale internationale de La Haye
Je soutiens la plainte contre Joseph Ratzinger à cause :
1. du maintien et de la direction, dans le monde entier, d’un régime totalitaire coercitif asservissant ses membres par des menaces anxiogènes pouvant porter atteinte à la santé ; 2. du maintien de l’interdiction meurtrière d’utiliser des préservatifs, même en cas de danger de contamination par le VIH/Sida ; 3. de la mise en place et du maintien d’un système mondial de dissimulation des crimes sexuels commis par des prêtres catholiques, les soustrayant à la justice, système qui ouvre la voie à de nouveaux crimes. http://www.affaire-ratzinger.com/soutenir-la-plainte/inde...
Plus le scandale de la campagne criminelle de vaccination contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1 qui n'est toujours pas réglé.
Cela fait beaucoup pour un Président qui se dit intègre, non ?
Nous savons aussi que ce sont deux pays qui mènent l'Eurogroupe, si cher à Sarkozy, dont la France et l'Allemagne, dont il a dit dans son allocution télévisée du 11 juillet 2010 : "qu'il fallait cesser d'attacher l'image du Nazisme à ce dernier pays".
Nous voyons que l'affaire ELF a été partiellement étouffée et que Eva Joly a été menacée. Mais ne devons-nous pas instaurer les liens entre les pétroliers, ELF et les Laboratoires Pharmaceutiques Sanofi-Aventis ?
Ne voyez-vous pas un lien entre le bide que nous avons infligé aux Laboratoires Pharmaceutiques (les pétroliers) par notre lutte contre la vaccination criminelle et la marée noire déclenchée dans le Golfe du Mexique ?
"Sanofi Aventis est un groupe pharmaceutique français qui a été créé en2004suite à l'acquisition par le groupe français Sanofi-Synthélabo du groupe franco-allemand Aventis.
Sanofi-Synthélabo est issue de la fusion de Sanofi et Synthélabo, respectivement filiales pharmaceutiques des groupesElf(faisant partie aujourd'hui de Total) et L'Oréal. Aventis est le fruit de multiples fusions comprenant des groupes français (Rhône-Poulenc et Roussel Uclaf), allemands (Hoechst), américains (Rorer, Marion) et britanniques (Fisons)."
Extrait : Historique
"En1970, les laboratoires Dausse et Robert & Carrière fusionnent pour donner naissance à Synthélabo, racheté parL'Oréalen 1973. La même année, la Société nationale des pétroles d'Aquitainecrée une filiale dans le secteur de l'hygiène et de la santé qui prend le nom de Sanofi et grossit par l'absorption des laboratoires Labaz et Parcor, et d'entreprises de parfumerie, d'alimentation et de santé animale."
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Quels sont les liens qu'entretiennententre-eux, les laboratoires pharmaceutiques soit, les pétroliers, avec BP ?
Selon vous, la marée noire déclenchée dans le Golfe du Mexique est-ce un accident ou un attentat et un crime dirigé contre l'humanité, et commis en représailles de sa résistance à se laisser vacciner et aux pertes infligées aux Laboratoires pharmaceutiques, soit aux pétroliers ?
Il fallait à tout prix dépopuler la planète par ce moyen bioterroriste et entraver l'évolution neurologique de l'Homme pour le lobotomiser chimiquement sur du long terme pour en faire un mouton décébré !
La marée noire déclenchée dans le Golfe du Mexique pourrait être le plan B à déclencher en cas de résistance des peuples à la vaccination criminelle et pour pousser à l'Instauration du Nouvel Ordre Mondial à tout prix, après avoir instauré le chaos sur la planète.
Ce qui fait partie des plans des Illuminati-reptiliens !
Créer le chaos mondial pour pousser l'humanité à réclamer l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, leur seul moyen de survie soi-disant !
Ne trouvez-vous pas curieux que le Mexique soit à nouveau visé par la Marée Noire ?
Le virus de la GrippeA/H1N1 est soi-disant né au Mexique en avril 2009. Les Laboratoires Sanofi-Aventis (les pétroliers) ont créé leurs laboratoires au Mexique en mars 2009, etc...
Que se passe-t-il avec le Mexique et les pétroliers propriétaires des Laboratoires Sanofi-Aventis, et BP ?
Les pratiques eugénistes continueraient-elles, bien que les gouvernants s'en défendent ?
Marée noire US dans le Golf du Mexique, un coup monté ?
Une série de scandales liés à la corruption dans les secteurs pétrolier et de l’armement, s’étalant sur une vingtaine d’années, constitue le contexte judiciaire du procès de l’affaire Clearstream engagé par le président Nicolas Sarkozy contre l’ex-premier ministre Dominique de Villepin.
Si le but principal du procès est de légitimer et renforcer les changements politiques de droite menés par Sarkozy depuis son élection de 2007, il y a un autre objectif en lien avec celui-ci : cacher la corruption incroyable que ces affaires ont révélée. Au lieu d’élucider le contexte plus large de ces « affaires politico-financières », le procès s’est concentré très étroitement sur le fait de savoir si Villepin cherchait à diffamer Sarkozy en préparant des listings financiers truqués. Il faut également noter que Sarkozy a décidé en janvier dernier de supprimer la fonction de juge d’instruction telle qu’elle existe actuellement, alors que ce sont de tels juges qui ont fait révéler au grand jour ces scandales.
Un aspect remarquable de ces affaires tient à l’impunité juridique dont jouissent les politiciens et les hommes d’affaires impliqués – alors même que les enquêtes ont mis à jour des preuves de détournements de fonds, de fraudes à grande échelle, et de meurtres. Être membre de la bourgeoisie européenne signifie apparemment qu’il n’est pas nécessaire de s’excuser pour quoi que ce soit.
L’affaire Elf
L’affaire Elf impliquait des détournements de fonds de grande envergure commis par des responsables haut placés de la compagnie pétrolière Elf – aujourd’hui absorbée par la principale compagnie française, Total. Outre l’enrichissement de membres de la direction, ces fonds servaient à soudoyer des dirigeants africains soutenus par la France et à financer des guerres en Afrique subsaharienne, où les impérialismes français et américain se sont livrés à une série de guerres par Etats interposés dans les années 1990.
Elf fut créé en 1963 par le président de l’époque, Charles De Gaulle, sous la direction de Pierre Guillaumat. Guillaumat était l’ex-directeur du Commissariat à l’énergie atomique français, qui avait créé le programme d’armes nucléaires français sous sa direction, et un ex-responsable du renseignement des gaullistes durant la Seconde Guerre mondiale. Le PDG d’Elf, Loïk Le Floch-Prigent expliqua lors de son procès en 2003 : « En 1962, [Pierre Guillaumat] convainc [le général de Gaulle] de mettre en place une structure parallèle autour de vrais techniciens du pétrole. [En créant Elf à côté de Total] les gaullistes voulaient un véritable bras séculier d’État, en particulier en Afrique, [...] une sorte de ministère du pétrole inamovible, [...] une sorte d’officine de renseignement dans les pays pétroliers. »
L’affaire Elf avait éclaté en 1994, à l’occasion d’une enquête sur le financement illégal par Elf de l’entreprise textile Bidermann. La juge d’instruction Éva Joly avait découvert un réseau de financement illégal très étendu au sein d’Elf, lequel avait détourné au moins 305 millions d’Euros en fonctionnant sous le second mandat de François Mitterrand (1988-1995). Ces fonds étaient versés par le président gabonais Omar Bongo aux gouvernements de l’Angola, du Cameroun et du Congo-Brazzaville. L’argent d’Elf s’était également retrouvé chez le chancelier allemand de l’époque, Helmut Kohl et le premier ministre espagnol, Felipe Gonzalez.
Joly dut subir des tentatives d’intimidation de la part de l’Etat durant son enquête. Dans un livre publié en 2004, Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?, elle relate que son téléphone était sur écoute et sa maison surveillée. Elle reçut une protection policière 24 heures sur 24 après avoir reçu des menaces de mort clouées sur la porte de son bureau. Après s’être rendue compte que la protection policière était plus menaçante que rassurante, elle demanda à ce qu’elle lui soit retirée ; cependant, sa demande fut refusée et sa garde permanente de deux policiers fut doublée.
Le Floch-Prigent et les dirigeants d’Elf, Alfred Sirven et André Tarallo (dit « Monsieur Afrique ») comparurent finalement devant les juges. Le Floch-Prigent témoigna qu’Elf payait « au grand minimum » 5 millions d’euros à chaque grand parti politique français, et était en « contact journalier » avec l’Élysée au sujet des activités d’Elf. Cependant, aucun politicien n’a jamais été condamné pour un acte illégal dans l’affaire Elf.
Le Floch-Prigent, Sirven et Tarallo reçurent tous des condamnations légères. En particulier Tarallo qui ne purgea pas sa peine de prison de 4 ans ni ne paya l’amende de 2 millions d’euros : il sortit de prison après deux mois.
Un autre aspect de cette affaire tient au scandale touchant l’ex-ministre des Affaires étrangères socialiste Roland Dumas. En 1998, il fut révélé qu’au début des années 1990, Elf avait donné des sommes importantes pour un appartement et des produits de luxe à Christine Deviers-Joncour, une employée d’Elf qui était l’amante de Dumas et lui achetait des cadeaux. L’on soupçonne que l’un des principaux objectifs d’Elf dans ces relations avec Dumas était d’emporter son accord pour la vente des frégates à Taiwan.
Afin de lever des fonds pour sa défense lors du procès, Deviers-Joncour écrivit une autobiographie révélatrice, intitulée La putain de la République, qui confirme largement les soupçons sur le fait qu’Elf essayait d’acheter Dumas. Dumas fut reconnu coupable de fraude en 2001, mais relaxé en appel en 2003 — la cour admettant qu’il se pourrait qu’il n’ait pas su que le salaire de Deviers-Joncour versé par Elf était gonflé pour le soudoyer.
Le scandale des frégates de Taiwan
En 1988 l’entreprise d’armement française Thomson CSF (aujourd’hui Thalès) organisa la vente de six frégates de la classe Lafayette à Taiwan pour 2,8 milliards de dollars. Le prix fut gonflé pour payer des pots-de-vin à des responsables en France et en Asie. Sur l’insistance des juges au cours de son procès dans l’affaire Elf, Dumas reconnut que les pots-de-vin se montaient à 2,5 ou peut-être même 5 milliards de francs (500 millions à 1 milliard de dollars).
Cette vente buta initialement contre l’opposition de la Chine continentale [qui prétend toujours détenir Taiwan], et Dumas en tant que ministre des Affaires étrangères s’opposa à la vente. Thomson et Elf montèrent des réseaux d’influence en Chine, à Taiwan et en France pour vaincre cette opposition. Au moins 10 responsables liés à ce marché sont morts de causes suspectes. On compte parmi eux le capitaine de la marine taiwanaise Yin Chen-Feng, qui s’était opposé à cet achat, trouvé noyé dans le port de Taipei en 1993, avec des contusions à la nuque. Un agent de Thomson à Taiwan, Andrew Wang, fut obligé de fuir Taiwan pour se réfugier à Londres après avoir été accusé de fraude, blanchiment d’argent, corruption, et meurtre.
Un directeur de Thomson, Jacques Morisson et un responsable des services de renseignement français, Thierry Imbot, sont morts d’une chute depuis la fenêtre de leurs appartements à Paris. Les juridictions françaises conclurent que ces deux décès étaient des suicides. Le Général René Imbot, père de Thierry et précédent chef de la DGSE (direction générale de la sécurité extérieure – le service de renseignement étranger), a catégoriquement nié que la mort de son fils puisse être un suicide. Il a déclaré que son fils lui avait dit que l’affaire des frégates de Taiwan avait permis à certains individus de faire « fortune » et qu’il recevait des menaces de mort.
Les ministres des Finances successifs – Laurent Fabius, du Parti socialiste, en 2001, et Francis Mer, de l’UMP, en 2002 – se servirent du secret défense pour bloquer les enquêtes sur cette affaire. Le gouvernement taiwanais déposa une plainte en 2003 pour récupérer les pots-de-vin qu’il soupçonnait avoir payé. En 2004, Taiwan prouva grâce à des données provenant de banques suisses que le prix de vente final des frégates comprenait au moins 520 millions de dollars en pots-de-vin. En juin 2007, les tribunaux suisses reversèrent à Taiwan 34 millions de dollars provenant de ces fonds.
En France, en 2008, le procureur parisien Jean-Claude Marin a fait cesser toutes les enquêtes liées à cette affaire en raison de prétendues erreurs judiciaires.
Le scandale des délits d’initiés à EADS
L’implication de Jean-Louis Gergorin, directeur d’EADS et officier des services de renseignements français, dans l’affaire Clearstream était une conséquence de la crise qui fit trembler le géant franco-allemand des industries aérospatiales et de l’armement EADS, après la mort en 2003 du magnat des affaires Jean-Luc Lagardère. Un autre scandale y est lié : celui des délits d’initiés lors de la vente des parts que le Groupe Lagardère détenait dans EADS.
La mort de Jean-Luc Lagardère transféra la direction du groupe à son fils Arnaud – un homme généralement considéré comme un passionné de sport et de publicité, et non de l’industrie de la défense. De plus, l’avion de transport de grande capacité A380, principal nouveau produit d’Airbus (filiale d’EADS), a rapidement été victime de retards de production, attribués par la suite à des erreurs dans l’organisation du câblage interne de l’avion.
Des dirigeants et actionnaires de premier plan d’EADS – dont le PDG d’Airbus Noël Forgeard, le Groupe Lagardère, et la compagnie allemande Daimler-Chrysler – ont vendu leurs parts juste avant que cela n’entraîne un effondrement du cours des actions EADS au printemps 2006, après l’annonce de délais supplémentaires. Le Groupe Lagardère a vendu pour 2 milliards d’euros d’actions EADS, y compris une part à 600 millions au gouvernement français (à la Caisse des dépôts et consignations) dont la valeur a rapidement baissé d’au moins 125 millions – c’est-à-dire qu’il a réalisé un profit de ce montant au détriment des contribuables français.
Dans un entretien accordé au Monde, Arnaud Lagardère a déclaré : « J’ai le choix de passer pour quelqu’un de malhonnête ou d’incompétent, qui ne sait pas ce qui se passe dans ses usines, je choisis cette deuxième version. »
D’après une information de l’hebdomadaire satirique réputé Le Canard enchaîné, l’AMF (Autorité des marchés financiers) a trouvé des documents chez Lagardère qui démontrent qu’il avait connaissance des retards de l’A380 avant de vendre ses parts dans EADS, empochant au passage 890 millions d’Euros. Arnaud Lagardère n’a été mis en accusation pour aucune faute dans la vente de ces actions.
Ils se moquent de qui avec leurs soi-disant préoccupations sur la santé de nos enfants ?
Qu'ils se mêlent de leurs affaires au lieu de penser à continuer à enrichir leurs amis des laboratoires pharmaceutiques et à massacrer la santé de nos enfants !
L'OMS et leurs amis, BASTA !
Plus on fait soi-disant de progrès dans la recherche médicale et plus l'humanité est malade ! Qu'on donne à manger convenablement aux mères et aux enfants et le taux de mortalité tombera ! Sauf qu'il faut les éliminer parce qu'il semblerait selon la thèse mondialiste que nous soyons trop nombreux sur la planète et qui leur faut le prétexte de la santé pour s'infiltrer sur les territoires et aller y voler les richesses qui s'y trouvent.
POLITIQUE|Barack Obama s’est engagé à contribuer à hauteur de plus de 1,3 milliard de dollars à la lutte contre la mortalité infantile.
Les dirigeants de plusieurs pays du G8 réunis au Canada ont annoncé vendredi des contributions totalisant cinq milliards de dollars en faveur de la santé maternelle et infantile dans les pays en développement.
Ce fonds, baptisé initiative de Muskoka, du nom de la région canadienne où se tient le sommet du G8, a été fortement poussé par Ottawa mais la faiblesse du montant débloqué par le Canada a été dénoncée par des ONG.
"L’exemple donné par les dirigeants du G8 a attiré des dons et des contributions d’autres pays (non membres du groupe) et fondations pour plus de 2,3 milliards, ce qui donne au total 7,3 milliards", a annoncé à la presse le Premier ministre canadien, Stephen Harper.
Il a remercié les contributeurs du G8 et aussi les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud, l’Espagne, la Suisse, la fondation Gates et la Fondation des Nations unies.
Selon la Maison Blanche, Barack Obama s’est engagé à contribuer à hauteur de plus de 1,3 milliard de dollars à la lutte contre la mortalité infantile. Le président américain va demander au Congrès d’approuver l’attribution de 1,346 milliard de dollars sur deux ans (2010-2011) à l’initiative de Muskoka, selon la même source.
Il faut que "nous nous engagions ensemble à garantir que les femmes dans les pays en développement ne souffrent plus et ne meurent plus à cause de la grossesse ou de l’accouchement", a fait valoir M. Harper.
Le Canada fournira 2,75 milliards de dollars américains sur cinq ans pour cette cause. Selon les services du Premier ministre, cela représente 1 milliard de dollars américains d’argent nouveau et la reconduction de 1,75 milliard de contributions déjà existantes pour les cinq prochaines années. La fondation de Bill et Melinda Gates a promis 1,5 milliard de dollars.
La Russie fournira 75 millions de dollars sur trois ans, selon le sherpa de la délégation de Moscou, Arkadi Dvorkovitch. La France ne rendra publique sa participation que samedi, a-t-on indiqué dans l’entourage de Nicolas Sarkozy.
Malgré l’importance de sa participation - un cinquième du total du G8 - Ottawa s’est attiré des critiques.
"Le Canada a réussi à trouver au moins 1,1 milliard qui seront dépensés pour la sécurité du G8 et du G20 en une semaine, et 1,1 milliard également à dépenser en cinq ans pour la santé dans les pays pauvres", a ironisé un responsable de l’organisation humanitaire One, Guillaume Grosso.
"L’Initiative de Muskoka" vise à accélérer le progrès vers les "objectifs du millénaire sur le développement" (OMD) censés être atteints d’ici à 2015 selon le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
A cinq ans de la date butoir, le PNUD a noté au début de la semaine à Vienne un retard patent pour la mortalité infantile malgré certains progrès. Le taux a baissé de 28% entre 1990 et 2008, à 72 décès pour 1.000 naissances, mais l’objectif fixé est une baisse de 66% entre 1990 et 2015. 8,8 millions d’enfants sont morts avant l’âge de cinq ans en 2008.
Pour la santé maternelle, une baisse annuelle de 5,5% des décès pendant la grossesse est encore nécessaire pour parvenir à l’objectif (75% de réduction par rapport à 1990).
L’initiative de Muskoka vise à combler ces retards, en insistant en particulier sur "l’amélioration de la santé des femmes, des nouveau-nés et des enfants", a précisé la Maison Blanche.
D’autres "objectifs du Millénaire" ne devraient pas être atteints, selon des experts. Notamment la réduction de moitié entre 1990 et 2015 du nombre de personnes vivant avec moins d’un dollar par jour.
La Fondation Bill et Melinda Gates commence à se faire connaître pour le financement des technologies destinées à favoriser la stérilisation de masse et les programmes de vaccination dans le monde. L'un de ces programmes récemment financés par la fondation est un programme de stérilisation qui utiliserait de puissantes projections d'ultrasons sur le scrotum d'un homme pour le rendre stérile six mois. Cette technologie devrait plutôt s'appeler "castration temporaire". Plus d'informations ici.
Maintenant, la fondation finance un nouveau programme "de vaccin à libération provoquée par la sueur" se basant sur des nanoparticules traversant la peau humaine. Cette technologie est décrite comme une façon de "...fabriquer des nanoparticules pénétrant la peau par les follicules pileux et éclatant au contact de la sueur humaine pour libérer le vaccin."
La subvention de recherche est attribuée à Carlos Alberto Guzman, du Centre Helmholtz de Recherche sur les Infections en Allemagne et à Claus-Michael Lehr et Steffi Hansen de l'Institut Helmholtz pour la Recherche Pharmaceutique.
Ils participent tous deux au programme "Grand Challenges Explorations" que soutient la Fondation Gates, dont le but serait "d'accomplir des percées majeures en matière de santé mondiale."...des percées comme la stérilisation de masse et les vaccins à nanoparticules qui pourraient être secrètement administrés sans que vous en soyez informé, visiblement. Ces nanoparticules pourraient être utilisée sous forme de nuage de fines gouttelettes pulvérisées sur toute personne traversant un barrage de sécurité dans un aéroport, par exemple. Ou elles pourraient être diffusées dans les systèmes de ventilation d'un bâtiment de bureaux d'entreprise ou d'une école publique pour vacciner les masses. Vous ne sauriez même pas que vous êtes vacciné.
Cette technologie est potentiellement très dangereuse pour la liberté de votre santé. En l'utilisant, les gouvernements ou compagnies pharmaceutiques (c'est la même chose de nos jours) pourraient créer une crème-pour-la-peau/vaccin qui serait présentée sous forme de "crème solaire".Mais lorsque vous l'utiliseriez, vous vous vaccinerez vous-même avec des nanoparticules s'enfonçant sous la peau et éclatant en libérant un ADN étranger dans votre corps.
Histoire de la médication discrète des masses
Vous vous demandez pourquoi les gouvernements chercheraient à soigner les gens sans qu'ils le sachent ou sans leur consentement ? Ils le font déjà avec la fluoration de l'eau. Le fluor est un médicament, et les gouvernements régionaux et nationaux partout sur terre utilisent la distribution de l'eau potable pour donner du fluor à la population, qu'elle en ait besoin ou non et sans aucune prescription ou diagnostic médical.
Donc si les gouvernements donnent déjà des médicaments discrètement à la population comme le montre l'exemple du fluor dans la distribution de l'eau, ils ont préparé le terrain à une vaccination de masse par des voies similaires, comme la distribution d'air dans les immeubles.Et grâce à Bill Gates, la nanotechnologie nécessaire à cette fin est maintenant financée.
Est-ce vraiment une "percée majeure en matière de santé mondiale ?"
J'imagine que c'est à condition que vous soyez favorables à une médecine discrète fournissant au peuple les médicaments et vaccins derrière leur dos. La médecine occidentale est si outrageante pour les personnes rationnelles qu'elle ne peut même pas opérer au grand jour. C'est pourquoi elle recourt à une contamination discrète de la distribution en l'eau afin d'obliger le public à avaler ces médicaments.
Fluor et médecine discrète
Ah, et au passage, pour quiconque arguant que le fluor n'est pas un médicament, rappelez-vous ceci : Selon la FDA, toute substance chimique ayant un effet biologique sur le corps humain est, par définition, un médicament. De ce fait le fluor est aussi un médicament.
De plus, le fluor est promu avec la revendication extravagante de "prévention des caries", ce qui en fait un "médicament non-approuvé" selon la FDA.Alors comment se fait-il qu'un médicament non approuvé soit versé dans la distribution en eau et donné de force à des centaines de millions de personnes sans un seul diagnostic de carence en fluor ou même une seule ordonnance d'un docteur ?
La réponse est que la médecine occidentale est si rrogante qu'elle ne croit pas devoir suivre de règles, règlements ou lois quelconques. Il n'y a qu'un système de médecine "tyrannique" qui vous ferait avaler des médicaments de force, en les versant dans la distribution en eau, sans que vous ne le sachiez. Alors pourquoi penser que ce serait différent pour les vaccins ? Si la médecine mainstream peut trouver le moyen d'obliger tout le monde à recevoir des vaccins en secret, soyez sûr qu'ils chercheront à le faire !
Et de tels efforts recevront sans aucun doute le soutien financier de Bill Gates.
Encore une revendication de l'assassin MONSANTO qui a la prétention de tout breveter, notamment le vivant.
Les manipulations génétiques sur toutes les espèces vivantes, dont l'homme avec les vaccins tueurs, ça suffit !
Si on n'appelle pas cela l'eugénisme on peut se demander ce que c'est !
La Terre est le patrimoine naturel de l'humanité et de toutes les espèces vivantes qui y vivent en harmonie. Nous devons protéger notre patrimoine et non pas le laisser entre les mains de l'oligarchie criminelle US qui mène le monde à sa perte et l'humanité à sa ruine.
Que font les gouvernements complices ? RIEN !
REVEILLEZ-VOUS !
ACTION N° 355 : HALTE AU BREVETAGE DE LA FILIÈRE ALIMENTAIRE Cyber action mise en ligne le 05/05/2010 , en partenariat avec : La coalition « Pas de brevets sur les semences » Elle sera envoyé à : Représentant de la France à l'office Européen des Brevets
Elle prendra fin le : 31/12/2010
*La multinationale Monsanto revendique de la viande comme invention*
Les semencières multinationales poursuivent obstinément une stratégie visant à gagner la mainmise sur les ressources de base permettant la production d'aliments.
Une étude récente : http://www.no-patents-on-seeds.org/index.php?option=com_c... montre que ces entreprises s'intéressent de plus en plus non seulement à breveter les plantes modifiées génétiquement mais aussi les obtentions végétales produites à l'aide de procédés conventionnels. Les demandes de brevet dans ce secteur ont explosé pour doubler de 2007 à 2009. Les groupes Monsanto, Syngenta et Dupont sont à la tête des demandeurs. En outre, les multinationales étendent leurs revendications à toute la filière de la production alimentaire, depuis le fourrage en passant par les animaux de rente jusqu'aux produits alimentaires tels la viande. Dans un cas de demande de brevet toujours en suspens Monsanto revendique même des droits de propriété sur du jambon et des steaks. En effet la demande de brevet d'invention WO2009097403 revendique des droits sur la viande en provenance de cochons nourris avec des plantes génétiquement modifiées par Monsanto. Un brevet analogue a été déposé par Monsanto pour des poissons produits en aquaculture durant le mois de mars 2010 (WO201027788).
Les autorités ont déjà donné leur aval à des brevets sur des aliments de grande portée comme le brevet européen (EP 1356033) accordé en 2009 à Monsanto. Ce brevet englobe toute la chaîne alimentaire depuis la semence en passant par les plantes modifiées génétiquement jusqu'aux produits alimentaires tels que viande ou huile.
François Meienberg de la Déclaration de Berne s'indigne : « Un mécanisme pervers a été lancé, les multinationales essaient de plus en plus d'obtenir la mainmise sur toute la filière de la production alimentaire. Les consommateurs, les paysans, les sélectionneurs et les producteurs d'aliments sont tous pris au même piège. Il s'agit là d'une tentative des plus immorales de détourner les objectifs de la législation sur les brevets. Les entreprises s'efforcent de maximiser leurs profits en déposant des brevets sur des aliments alors que dans le même temps un milliard de personnes souffre de la famine. »
L'expérience des Etats-Unis montre que les brevets sur les semences entraînent une concentration du marché et une hausse importante du prix des semences, ainsi qu'une réduction du choix de semences disponibles et une dépendance accrue des agriculteurs de l'agro-industrie. Les sélectionneurs n'ont plus librement accès au matériel pour de futurs croisements avec les conséquences négatives pour l'innovation que cela implique. Les premières oppositions commencent à se manifester : le Ministère de la Justice et les procureurs généraux dans divers Etats aux Etats-Unis mènent une enquête pour savoir si Monsanto a abusé de sa puissance économique pour évincer des concurrents du marché et augmenter le prix des semences. La coalition « Pas de brevets sur les semences » tire la sonnette d'alarme : La concentration des marchés risque encore d'augmenter si le haro n'est pas mis sur les violations de la législation sur les brevets. Plus de 200 associations dans le monde entier soutiennent la coalition. Ces organisations exigent que la politique et la pratique des offices de brevets changent de façon radicale. Elles demandent aux gouvernements de réviser leur législation nationale sur les brevets de façon à exclure le brevetage de semences, d'animaux et de parties de ces organismes.
Si demain les animaux engraissés par les OGM de Monsanto deviennent propriété de Monsanto, en sera-t-il de même pour les êtres humains qui consommeront de la viande Monsanto ?
Nous vous proposons de nous associer par cette cyber@ction à La coalition « Pas de brevets sur les semences »