Paradis fiscaux & Vatican : Dossiers SOS JUSTICE

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17/11/2010

Terrorisme d'origine gouvernementale : un aveu étonnant à la Chambre des Lords britannique.

L'Etat du Vatican mis en cause sous couvert de la Fondation X ?

Vous avez dit paradis fiscaux ?
Qui contrôle les banques du Vatican ?

Le Pape ne bénéficie-t-il pas, comme par hasard, d'une Garde Suisse rapprochée (les porteurs de valises soi-disant diplomatiques) et qui bénéficie du statut diplomatique et de l'impunité internationale ?


Pratique pour organiser dans l'ombre tous les trafics internationaux !

Le Vatican, n'est-il pas devenu le passage obligé de tous les politiques ?

Voilà comment le Vatican et les gouvernements financent le terrorisme d'Etat pour relancer l'économie de la guerre et les génocides commis contre l'humanité, sous couvert des guerres de religions  !

Quelle belle aubaine que l'image intouchable que celle de Dieu, n'est-ce pas ?

Continuez à dormir et à croire que vous serez sauvés par le Vatican et ses représentants !

 

17 novembre 2010

Terrorisme d’origine gouvernementale : un aveu étonnant à la Chambre des Lords britannique

S’il subsistait un quelconque doute sur le fait que les gouvernements financent la terreur et montent de toute pièce de fausses attaques contre eux-mêmes, ce dernier doit disparaître à l’écoute d’un récent échange (voir vidéo plus bas) au sein de la Chambre des Lords britannique. En s’adressant à ses pairs à la Chambre, Lord James of Blackheath a révélé qu’il avait été impliqué dans le blanchiment de milliards de livres d’argent du terrorisme, en particulier celui de l’IRA et de divers terroristes d’Afrique du Nord, à la demande de la Banque d’Angleterre. James a également expliqué qu’il avait été contacté par une organisation secrète qui offrait d’aider la Grande-Bretagne à rembourser son énorme dette.


Lord James of Blackheath speaks of Foundation X
http://www.youtube.com/watch?v=SlwJPFEZ_-I&feature=player_embedded


La question de la dette a été en fait ce qui a provoqué un aveu de culpabilité aussi incroyable de la part de Lord James au départ. Au début, il a annoncé qu’il avait été contacté par une très « étrange » et secrète organisation qui voulait « investir de grosses sommes d’argent pour aider à la reprise de l’économie » en Angleterre. Après avoir relayé cette information à un collègue à la Chambre des Lords, on aurait apparemment dit à Lord James qu’il n’était pas suffisamment important pour que cette organisation le contacte directement, une déclaration que James a évidemment mal pris. En réponse à la déclaration de son collègue selon laquelle il n’avait pas l’expérience nécessaire pour traiter avec cette agence, qui est apparemment inconnue pour tout le monde sauf pour ceux qui sont dans le secret des dieux, la réponse de James a été remarquable.

« Si c’est le cas », a-t-il dit. « Je dispose d’une des plus grandes expériences dans le blanchiment de l’argent du terrorisme et de l’argent sale/contrefait qui soit à la City. J’ai eu sous ma responsabilité des milliards de livres de l’argent du terrorisme. »

Lorsque la baronne Hollis of Heigham lui a demandé où cet argent était allé, il a en outre expliqué:

« Pas dans ma poche. Mon plus gros client terroriste était l’IRA, et je suis heureux de dire que j’ai réussi à blanchir plus de # 1 milliard de son argent. J’ai également eu de nombreux contacts avec des terroristes d’Afrique du Nord, mais ceci était d’une nature bien plus nauséabonde, et je ne veux pas en parler parce que c’est toujours une question de sécurité. »

James est allé encore plus loin dans ses révélations, impliquant également la Banque d’Angleterre dans le financement des terroristes. « Je m’empresse d’ajouter que ça ne serait pas une bonne idée de faire intervenir la police, parce que j’appellerais immédiatement la Banque d’Angleterre en tant que témoin pour ma défense, étant donné que c’est elle qui m’a chargé de m’occuper de ces problèmes. »

Bien que l’idée que la Banque d’Angleterre, la Chambre des Lords, et d’autres institutions gouvernementales financent les terroristes mêmes dont ils prétendent avoir si peur ne soit pas du tout surprenante; il est juste étonnant de voir une discussion aussi ouverte à ce sujet en public. La Grande-Bretagne a dégénéré en un Etat policier, ces dernières années sous couvert de lutte contre le terrorisme, mais leurs propres institutions gouvernementales et bancaires admettent ouvertement qu’elles financent ces terroristes. Il s’agit d’un exemple évident de mise en œuvre de la technique Problème-Réaction-Solution qui a été un tel succès pour les gouvernements et les dirigeants sociaux durant des milliers d’années.

Mais les commentaires de James ne s’arrêtent pas là. « Le fait est« , dit-il, »que lorsque j’accomplissais cette activité étrange, j’avais à ma disposition une intéressante série de numéros de téléphone et de références que je pouvais utiliser pour demander de l’aide quand j’en avais besoin. Donc, les gens à la City savent que s’ils veulent vérifier quelque chose qui leur semble anormal, ils peuvent venir me voir et je peux composer quelques numéros de téléphone pour obtenir une référence. » James n’a pas expliqué qui sont ces contacts en réalité, mais ils s’agit à n’en pas douter de gens qui ont beaucoup de relations et sont très puissants s’ils peuvent être appelés ainsi pour confirmer et fournir des références pour des affaires intérieures telles que celles évoquées par Lord James.

Pourtant, les commentaires de James révèlent une activité encore plus secrète, quand il commence à parler de l’organisation de l’ombre, la Fondation X comme il l’appelle, qui l’aurait contacté pour proposer d’aider l’Angleterre dans le paiement de sa dette. Il ne fait aucun doute que la stature de la Fondation X est supérieure à celle de toutes les organisations que nous connaissons. Alors que Lord James tentait de mettre en rapport la Fondation X avec les personnes appropriées au sein de la Chambre des Lords et de la Banque d’Angleterre, il a dit, « je me suis retrouvé entre le marteau et l’enclume qui étaient totalement paranoïaques les uns vis-à-vis des autres, parce que les gens de la fondation X font preuve d’une obsession incroyable pour leur propre sécurité. Ils s’attendent à n’être contacté que par une personne ayant un statut équivalent à celui d’un chef d’Etat, ou une personne ayant une cote de sécurité internationale équivalente à celle des six personnes les plus hauts placées dans le monde. »

James décrit clairement des personnages très puissants ayant des tendances élitistes. Ils sont de manière évidente habitués à être contactés par des personnes très haut placées dans la hiérarchie sociale, et ils n’apprécient pas d’être contactés par ceux des couches inférieures. Cependant, lorsque des membres de la Banque d’Angleterre et de la Chambre des Lords britannique sont considérés comme des membres inférieurs de la société, ont peut se demander où les gens de la Fondation X se situent dans la hiérarchie? Alors que des blogueurs ont suggéré que la mystérieuse organisation pourrait être l’Office des Nations Unies de contrôle du Trésor international (UNOITC), certains laissant même entendre qu’il s’agirait du Vatican, Lord James a précisé que la Fondation X, quelle que soit son identité, en est « toujours à l’étalon-or depuis les années 1920, et que leurs avoirs en devises dans le monde entier, qui sont très importants, sont appuyés sur des lingots d’or. » Cela signifie que « le chiffre pour le montant de lingots qui seraient nécessaires pour couvrir leurs réserves de devises, ainsi qu’il est soutenu, serait supérieur à la valeur totale de lingots qui a jamais été extraite dans l’histoire du monde. » Selon Lord James, la Fondation X est disposée à prêter des milliards de livres au gouvernement britannique pour des projets aussi divers que des hôpitaux, des écoles, et des crossrails.

Quel que soit le résultat final de la discussion sur la Fondation de prêt X, son offre a provoqué un aveu des plus étonnants de la part d’un membre de la Chambre des Lords britannique. Un gouvernement qui admet ouvertement financer le terrorisme, qui vise sa propre population, et envisage ensuite de passer des accords commerciaux avec des organismes financiers de l’ombre sans les en informer devrait provoquer une vague d’indignation. Mais, étant donné l’état actuel des choses en Angleterre, ceci n’arrivera probablement pas.

Références:

« Le pair Conservateur Lord James of Blackheath: je suis un nettoyeur d’argent, pas un blanchisseur. » Belfastetelegraph.co.uk. 4 novembre 2010. http://www.belfasttelegraph.co.uk/news/local-national/nor...

Brandon Turbeville est un auteur de Mullins, Caroline du Sud. Il a un diplôme de l’Université Francis Marion où il a obtenu le Prix Pee Dee Electric Scholar en tant qu’étudiant de premier cycle. Il a publié de nombreux articles traitant d’un large éventail de sujets dont la santé, l’économie, et les libertés civiles. Il est également l’auteur de Codex Alimentarius – The End of Health Freedom

Source: infowars.com

http://www.choix-realite.org/terrorisme-d%E2%80%99origine-gouvernementale-2

18/07/2010

Bettencourt : "Justice en trompe-l'oeil ?

Le Juge Courroye gagne-t-il du temps pour vider le dossier au sein duquel il est lui-même cité ?

Là Sarkozy et MAM du Ministère de la Justice, ne pipent toujours pas mot !


Bettencourt : "Justice en trompe-l'oeil ?

http://www.dailymotion.com/video/xe1wyg_bettencourt-justi...

 

Retrouvez l'émission gratuitement sur notre site : WWW.ARRETSURIMAGES.NET

Perquisitions, gardes à vue, saisies de documents : la justice semble mettre les bouchées doubles dans l'affaire Banier/Bettencourt qui fait la Une de l'actualité, sur fond de financement occulte de partis politiques de droite (UMP et autres partis de poche). Mais l'enquête judiciaire n'est pas menée par un juge d'instruction indépendant mais par le procureur, Philippe Courroye, soumis hiérarchiquement au gouvernement. S'agit-il donc d'une vraie enquête ou d'une enquête en trompe-l’œil ?

Pour tenter de comprendre les conséquences de la procédure choisie, trois invités sur notre plateau cette semaine : Eva Joly, ex-magistrate et hui députée européenne, qui a instruit de nombreuses affaires politico-financières sensibles ; Christophe d'Antonio, journaliste et auteur d'un livre sur Bettencourt, "La lady et le dandy"; Georges Moréas, ex-commissaire principal et blogueur sur le site du Monde, qui suit de près le déroulement de l'enquête.

Pour télécharger la vidéo : http://videos.arretsurimages.net/telecharger/ASI_2010-07-16_Bettencourt-Eva_Joly.avi

 

 


12/07/2010

Des Diamants de Bokassa aux billets de Bettencourt: Giscard et Sarkozy, même combat?

Par Bruno Roger-Petit

le 11/07/2010 à 17:33,

L'affaire des billets de Bettencourt est en passe de devenir pour l'actuel président de la République ce que fut à son prédécesseur des années 70 l'affaire des diamants de Bokassa, mais elle est aussi, hélas, le tragique symptôme qui illustre le retour aux sources de la droite française.

D'un certain point de vue en effet, le sarkozysme a rendu à la droite sa traditionnelle manière d'exercer la conduite des affaires de l'État. Au pouvoir, elle ne s'occupe pas des affaires, elle fait des affaires.

« Là où l'argent règne, il ne faut pas s'étonner des effets qu'il produit » disait un ancien président de la République. Le Sarkozysme, idéologiquement dénué de racines historiques authentiquement françaises, a ramené la droite française, culpabilisée par le Pétainisme corrupteur, complexée par le Gaullisme rédempteur, à sa nature profonde. Le Sarkozysme a revitalisé la vraie conscience de la droite, ce cerveau reptilien en sommeil depuis 1944.

Pour la droite française, l'argent est enfin redevenu l'alpha et l'oméga de la vie publique. Ce que l'affaire Woerth-Bettencourt révèle, ou plutôt confirme, c'est que la droite française, profondément, naturellement est de ce point de vue incorrigible. L'argent roi, celui des amis, "des copains et des coquins", est au coeur de l'action publique. Peu importe que la corruption par l'argent roi soit illégale ou illégitime, elle est ontologiquement liée à la droite. L'actuel pouvoir à une apparence : un quarteron de ministres avilis, incultes et formatés par les « éléments de langage » du Prince qui les élève. Il a une réalité : une élite avide et cupide, qui confisque l'économie de la Nation pour son seul profit.

L'affaire Woerth-Bettencourt, avec ses billets remis de la main à la main dans des enveloppes de papier kraft, ses petits arrangements entre amis, le mari ministre du Budget et l'épouse conseillère fiscale d'une des premières fortunes de France, ses charges contre le dernier contre-pouvoir, la presse libre et indépendante née sur le net et dont Médiapart est devenu le symbole à abattre, tout cela démontre, jour après jour, que la droite française, livrée au sarkozysme a-historique, déculpabilisée, décomplexée, revitalisée en est rendue à l'état où elle se trouvait à la fin des années 30, lorsqu'elle préférait soutenir n'importe quoi plutôt que le Front Populaire, pourvu que l'argent règne.

Le Giscardisme triomphant des années 70, ce premier retour de la droite de l'argent roi, sur fond de restauration apparente de monarchie d'Ancien régime, avait constitué une première tentative de rupture avec le Gaullisme, d'où l'hostilité des vrais gaullistes à ce Régime là. Le Sarkozysme, enfanté par le parti unique UMP est, paradoxe étonnant, le continuateur du Giscardisme, à une nuance prêt : Giscard était le produit d'une modèle historique authentiquement français, ce qui signifie qu'il avait intégré les leçons du passé. A ce titre, il n'avait pas hésité à se montrer réformateur (IVG, Droit de vote à 18 ans,etc), ce qui n'est pas le cas de l'actuel président qui, depuis le début de son mandat, n'a pas accompli une réforme marquant un progrès, dans quelque domaine que ce soit.

Parfois, j'entends ou je lis, ici et là, que dans la perspective de l'élection présidentielle de 2012, certains s'inquiètent de la montée du Front National réincarnée par Marine Le Pen. Pour ma part, je ne m'en inquiète pas. D'abord parce que c'est le Sarkozysme qui nourrit le Lepénisme. Ensuite parce que si le Sarkozysme nourrit le Lepénisme, c'est bien qu'ils se ressemblent politiquement. Enfin, parce que compte tenu des deux points précédents, si le Sarkozysme forge lui-même l'instrument de sa propre défaite, il n'avait qu'à rester Gaullien, comme Villepin...

On en revient donc à ce qui était dit au début de ce développement. Cette affaire des billets Bettencourt sera à l'actuel président ce que fut l'affaire des diamants à l'un de ses prédécesseurs. En pire.

PS : on lira à ce sujet avec profit le livre d'Annie Lacroix-Riz, « Le choix de la défaite, les élites françaises dans les années 30 » paru cette année chez Armand Colin, ouvrage aux résonances très actuelles.

Des Diamants de Bokassa aux billets de Bettencourt: Giscard et Sarkozy, même combat? - Bruno Roger-Petit sur LePost.fr

11/07/2010

Bettencourt, l'Oréal, les Laboratoires pharmaceutiques : Sanofi-aventis et les pétroliers !

Cherchez l'erreur !

Comment les pétroliers acquièrent les laboratoires pharmaceutiques ?
Où est la recherche scientifique là-dedans ?

Les laboratoires pharmaceutiques sont-ils finalement des instruments de guerres biologiques des politiques pour réprimer, contenir et réduire les populations ? 

Bettencourt et les Laboratoires Sanofi-Aventis !

Faut bien financer les copains politiques pour qu'ils renvoient la balle en créant de toutes pièces des virus dans les laboratoires militaires pour enrichir en contrepartie les laboratoires pharmaceutiques, en leur promettant des milliards d'achat de vaccins payés au profit de l'EPRUS et au détriment de la Sécurité Sociale et du peuple français !

Les laboratoires pharmaceutiques ne seraient-ils pas finalement que des instruments de guerres biologiques et des pompes à fric intermédiaires pour alimenter la recherche du complexe industrialo-militaire, les armes  exotiques, les armes biologiques, les guerres génocidaires et eugénistes, les travaux sur le clonage, les biotechnologies, les nanotechnologies, les pratiques eugénistes et les manipulations génétiques sur l'ADN humain, animal et végétal par les OGM ?

Et vous croyez que l'on travaille toujours pour votre santé ?

Et devinez qui a travaillé ou travaille encore pour le Groupe Pharmaceutique Sanofi-Aventis de la famille Sarkozy  ? François SARKOZY - Pédiatre et frère de Nicolas SARKOZY

Pour les milieux financiers, pas de souci, on a aussi ce qu'il faut à partir des USA avec le Groupe Carlyle administré par un autre frère de Sarkozy : Olivier SARKOZY.

Il est donc urgent d'étouffer l'affaire BETTENCOURT avant que le peuple n'établisse tous les liens !

Et si on regardait la plainte déposée par le Dr. Leonard G. Horowitz, contre la vaccination criminelle du virus de la GrippeA/H1N1 pour voir quel réseau international il dénonçait ?

http://www.dossiers-sos-justice.com/media/01/01/882902538...

Sanofi Aventis

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sanofi_Aventis

Sanofi Aventis est un groupe pharmaceutique français qui a été créé en 2004 suite à l'acquisition par le groupe français Sanofi-Synthélabo du groupe franco-allemand Aventis.

Sanofi-Synthélabo est issue de la fusion de Sanofi et Synthélabo, respectivement filiales pharmaceutiques des groupes Elf (faisant partie aujourd'hui de Total) et L'Oréal. Aventis est le fruit de multiples fusions comprenant des groupes français (Rhône-Poulenc et Roussel Uclaf), allemands (Hoechst), américains (Rorer, Marion) et britanniques (Fisons).

C'est le numéro 1 en France, numéro 1 en Europe et le numéro 5 mondial de l'industrie pharmaceutique pour 2009 (chiffres d'affaires 2008 avec fusions de plusieurs laboratoires)[réf. souhaitée], après Pfizer-Wyeth, Merck & Co.- Schering-Plough, Roche-Genentech et Novartis. En 2009 après intégration du tchèque Zentiva, il est le numéro 11 mondial dans l'industrie pharmaceutique générique[3].

Ce groupe est concentré sur sept axes principaux : cardiovasculaire, thrombose, système nerveux central, oncologie, maladies métaboliques, médecine interne et vaccins. Il est présent sur les cinq continents.

Sommaire

Historique

En 1970, les laboratoires Dausse et Robert & Carrière fusionnent pour donner naissance à Synthélabo, racheté par L'Oréal en 1973. La même année, la Société nationale des pétroles d'Aquitaine crée une filiale dans le secteur de l'hygiène et de la santé qui prend le nom de Sanofi et grossit par l'absorption des laboratoires Labaz et Parcor, et d'entreprises de parfumerie, d'alimentation et de santé animale.

En 1980, Sanofi est introduite en bourse et acquiert le laboratoire Clin Midy, puis Sterling Winthrop à Eastman Kodak en 1994, qui lui ouvre le marché américain.

En 1999, Sanofi et Synthélabo s'unissent pour devenir Sanofi-Synthélabo. Le groupe se recentre sur la pharmaceutique, se délestant des activités luxe, beauté et cosmétiques de Sanofi (les parfums Yves Saint Laurent, Van Cleef and Arpels, Oscar de la Renta, Roger & Gallet, Nina Ricci, Yves Rocher...) et des participations dans diverses sociétés comme les fromages Entremont.

En 2004, Sanofi-Synthélabo acquiert pour 55 milliards d'euros Aventis, issu de la fusion de Rhône-Poulenc Rorer (RPR) et Hoechst-Marion-Roussel, devenant alors le troisième groupe mondial de la pharmacie.

Le 1er décembre 2008 voit l'arrivée de Chris Viehbacher en tant que nouveau directeur général du groupe en remplacement de Gérard Le Fur. Jean-François Dehecq reste président du conseil d'administration, fonction qu'il possède depuis 1988.

Partenariats

  • Accords de commercialisation

Sanofi-Aventis commercialise de nombreux produits en partenariats avec d'autres laboratoires concurrents, en fonction des marchés géographiques. Par exemple Plavix (clopidogrel) est commercialisé par Sanofi-Aventis en Europe (notamment), et par le laboratoire Bristol-Myers-Squibb aux Etats-Unis (notamment).

Sanofi-Aventis possède 50% des co-entreprises Mérial, spécialisé dans la santé animale, et Sanofi Pasteur - MSD, spécialisé dans les vaccins pour l'homme. Ces deux co-entreprises sont menées avec le laboratoire Merck & Co. (aussi appelé Merck Sharp and Dohme, MSD).

  • Filiales

Sanofi-Aventis possède plusieurs laboratoires commercialisant des médicaments sous leur propre nom de marque : Sanofi Pasteur pour les vaccins, ou Winthrop pour les médicaments génériques.

Conseil d'administration

Au 1er décembre 2008[4] :

Actionnariat

Au 31 janvier 2008[5]

Actions (en %) :

  • Public : 74,40 %
  • Total : 12,64 %
  • L'Oreal : 8,65 %
  • Auto-Contrôle : 3,07 %
  • Salariés : 1,24 %

Droits de vote (en %) :

  • Public : 63,75 %
  • Total : 19,55 %
  • L'Oreal : 14,72 %
  • Salariés : 1,98 %

Chiffres clé

Pour 2007[6] :

  • Chiffre d'affaires consolidé : 28 milliards d'euros (2007)
  • Budget de Recherche & Développement : 4,537 milliards d’euros (2007) (Dépenses R&D représentant 16,2 % du chiffre d’affaires)
  • Près de 100 000 collaborateurs

Pour 2008[7]

  • Chiffre d'affaire consolidé : 27,5 milliards d'euros (2008)

Controverses

Sanofi Aventis, ses rapports avec la presse et avec la santé

Dans son édition du mercredi 30 avril 2008, Le Canard enchaîné révélait que la direction du laboratoire, en mars 2008, diffusait au cours d'une réunion du comité d'entreprise de la filiale française un document mentionnant la nécessité de « neutraliser la grande presse »[8]. Le Canard mentionne le nombre de pages de publicité achetés par le groupe dans divers magazine comme moyen de pression et poursuit : « Pour venir à bout des plus récalcitrants, les labos connaissent d'autres remèdes de cheval : "voyages d'études", tous frais payés, au soleil, invitations multiples, cadeaux agréables et autres sévices du même tonneau. [...] les responsables de Sanofi-Aventis jurent, la main sur le coeur, qu'il s'agit là d'une époque révolue et que la destination des voyages de presse est "toujours liée à une activité scientifique". Qu'en termes galants ces choses-là sont dites... »[9]. Mise en cause, une pilule dénommée « Acomplia » censée soigner l'obésité et décriée par la presse. « L'an passé, poursuit le Canard, un comité d'experts de la toute puissante Food and Drug Administration américaine a émis un avis négatif sur la diffusion de ce médicament outre-Atlantique. Ces empêcheurs de prescrire en rond estimaient qu'Acomplia pouvait déclencher des dépressions graves, voire des tentatives de suicides chez certains malades. »[9]. Du coup, c'est un marché estimé à 3 milliards de dollars par an qui passe provisoirement sous le nez de Sanofi-Aventis.

En France, des journaux comme le Parisien, l'Express, ou le Figaro, relayent ces observations et sont accusés par Sanofi-Aventis de faire peur aux patients et aux payeurs (CNAM). « Plus grave, poursuit Hervé Liffran, le nombre de boites d'Acomplia vendues chaque semaine "stagne". La neutralisation des journalistes n'a donc jamais été aussi urgente.... ». Sanofi-Aventis est alors prêt à se mobiliser : « les visiteurs médicaux du labo sont priés de "prendre entre les yeux" (sic) les médecins les plus rétifs pour les persuader de la qualité du produit. » Le Canard poursuit que ce même document se fixait un autre objectif « surprenant » : « augmenter la durée du traitement » des patients. « Rien de tel que la lutte contre l'obésité, conclut le Canard, pour engraisser le chiffre d'affaires... ».

Divers

L'expérimentation animale:

Autre:

  • Acomplia® n'est plus d'actualité du fait de la suspension de commercialisation du produit et de l'arrêt du développement clinique.
  • Les brevets de plusieurs produits importants du groupe sont aujourd'hui contestés devant les tribunaux américains par des laboratoires génériques, en particulier l'Allegra® ou le Lovenox®.
  • Fin 2008, le portefeuille de Recherche et Développement du Groupe comptait 65 projets en développement clinique dont 27 en phase III ou soumis aux autorités de santé[12].
  • Sanofi Aventis répond aux exigences du standard financier MSI 20000.

Notes et références

  1. a et b Profil de la société [archive]
  2. [1] [archive]
  3. La tribune, 25/02/2009 [archive]
  4. Composition du conseil d’administration [archive] - Site de l'entreprise
  5. Sanofi-Aventis - Structure de l'actionnariat [archive]
  6. Sanofi-Aventis Document de référence 2007 - Page 115 [archive]
  7. "Résultats 2008 & Perspectives"document publié sur le site Sanofi-Aventis [archive]
  8. Hervé Liffran, Sanofi-Aventis, géant de la pharmacie, prescrit un remède contre la presse - Priorité du laboratoire : faire taire les journaux qui ont osé critiquer son nouveau médicament., Le Canard enchaîné, mercredi 30 avril 2008, p. 4.
  9. a et b Le Canard enchaîné, mercredi 30 avril 2008, p. 4.
  10. Notamment par Stop Huntingdon Animal Cruelty (voir un compte-rendu d'action en France [archive])
  11. http://www.lefigaro.fr/actualite/2007/09/24/01001-20070924ARTFIG90119-les_militants_antivivisection_sement_la_peur.php [archive]
  12. http://www.sanofi-aventis.com/binaries/Sanofi_RA_FR_tcm29-24842.pdf [archive]

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sanofi_Aventis

 


L'Oréal vend 1,8% de ses parts dans Sanofi

Le 15 novembre 2007 par Rédaction L'Usine Nouvelle
Le numéro un mondial des cosmétiques, L'Oréal, a annoncé son intention de céder 1,8% de ses titres dans le capital du laboratoire français Sanofi-Aventis. Il ramène ainsi sa participation de 10,5% à 8,7%.

La transaction, qui se fait par l'intermédiaire d'un placement privé accéléré auprès d'investisseurs institutionnels, va rapporter au groupe de cosmétiques environ 1,55 milliard d'euros.

« Cette opération s'inscrit dans la démarche de flexibilité de L'Oréal vis-à-vis de cette participation, afin de lui permettre d'optimiser les ressources financières dédiées au financement de son développement et de ses projets stratégiques », a commenté le groupe basé à Clichy (Hauts-de-Seine). Il pourrait céder une autre portion de son capital.

La compagnie pétrolière française Total
, autre actionnaire de référence de Sanofi-Aventis, détenant 13% du capital, a annoncé mercredi vouloir vendre la totalité de sa participation d'ici à 2012.

Des annonces qui font mal. Le champion français de la pharmacie traverse déjà depuis plusieurs mois une mauvaise passe : concurrence des génériques, dont les dépôts de brevets devraient être nombreux d'ici à 2012, rejet par les autorités sanitaires américaines de son médicament anti-obésité l'Acomplia
.

Des rumeurs évoquant le risque d'OPA de la part de fonds ou du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, sur Sanofi-Aventis ont également agité les marchés ces derniers mois.

Camille Harel

Les laboratoires SANOFI AVENTIS

1  - 9 mars 2009 Inauguration des Laboratoires Sanofi-Aventis au Mexique le 9 mars 2009 en présence de M. Nicolas SARKOZY
Ces laboratoires sont spécialisés dans la Grippe A, une heureuse coïncidence !

http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090309_mexico_fl...

2 - 2 avril 2009 - Sanofi-aventis acquiert Laboratorios Kendrick au Mexique
http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090402_kendrick_...

Les affaires fonctionnent bien pour SANOFI-AVENTIS grâce aux efforts soutenus de l'ONU et de l'OMS (Organisation Mortuaire de la Santé)

3 - Le 1er Septembre 2009 : Shantha Biotechnics remporte d’importants contrats de vaccins auprès d’une agence des Nations Unies
http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090901_shantha_f...

4 - Qui a payé les vacances de M. Sarkozy au Mexique ?
Nicolas Sarkozy s’est-il fait inviter par un milliardaire mexicain lors de sa visite au Mexique?
Un homme qui, de plus, traînerait un passé trouble lié au narcotrafic.
http://www.liberation.fr/politiques/0101554905-qui-a-paye...

5 - Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents
à la présidence de la République française

par Thierry Meyssan*

Fiscalité : un cadeau de 20 milliards aux entreprises sans aucune contrepartie
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2010/02/14/fiscalite-un-cadeau-de-20-milliards-aux-entreprises-sans-auc.html

Génocide financier de la France ! SARKOZY ET LES BANQUIERS.
http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/14/genocide-financier-de-l.html

Woerth, l'homme des comptes en Suisse : personne ne savait ?

Ah bon ?  C'est nouveau qu'Eric Woerth ne savait pas qu'il existait des comptes d'évadés fiscaux en Suisse ?

Et il fait quoi de l'affaire qui est actuellement instruite au Parquet de Nice sur le vol des fichiers bancaires de la HSBC de Genève ?


Woerth, l'homme des comptes en Suisse : personne ne savait ?
http://www.lepost.fr/article/2010/06/28/2133075_woerth-et...

Fraude: "Nous avons décrypté 130 000 noms"
http://www.lejdd.fr/Economie/Actualite/Fraude-Nous-avons-...

FICHIERS DÉROBÉS

Éric de Montgolfier : le cadre de la HSBC est un personnage "messianique"
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/eric-de-montgol...

HSBC: 8.000 Français identifiés dans les fichiers soustraits à la banque (Montgolfier)

Fichier de la banque HSBC - Relance de l'affaire des comptes français en Suisse
http://inventerre.canalblog.com/archives/2010/04/15/17578...

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Un « Genevagate » menace Mme Bettencourt et les Woerth / Woerth, et ça continue !
TRIBUNE DE GENEVE

"les langues se délient à Genève, et pour cause ! Les gérants de fortune de la place financière genevoise n’en veulent pas tellement à l’héritière de L’Oréal ... ils en veulent à Eric Woerth, aujourd’hui ministre français du Travail, mais qui fut, il y a quelques mois encore ministre du Budget, n’hésitant pas à brandir la liste des 3000 noms de citoyens français, volée par Hervé Falciani en 2009 chez HSBC Private Bank Suisse à Genève. L’un d’eux, spécialiste des « family offices » (sorte de banques privées pour très grandes fortunes) tempête : « Eric Woerth, qui avait fait de l’évasion fiscale sa priorité, nous a longtemps fustigés comme les ennemis numéro un. C’est lui aussi qui, avec Peer Steinbrück, alors ministre allemand de l’Economie, nous a conduits sur la liste grise de l’OCDE, celle des paradis fiscaux non coopératifs. Mais savez-vous qu’au même moment, sa femme Florence ... était vue très souvent dans le « family office » de la milliardaire française, qui se situe à deux pas de l’Hôtel d’Angleterre ? » ...

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GROUPE CARLYLE & Olivier Sarkozy

Société d'investissements américaine fondée en 1987.

Basé à Washington D.C., il est présent dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias. Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est. Le groupe possède 89,3 milliards de dollars de capitaux propres et il emploie plus de 515 professionnels de l'investissement dans 21 pays.

Les différentes entreprises de son portefeuille emploient, quant à elles, plus de 286 000 personnes dans le monde et Carlyle a environ 1 100 investisseurs répartis dans 31 pays à travers le monde.
Le groupe détiendrait 52 milliards d'euros d'actifs répartis dans 60 fonds, soit 774 transactions réalisées depuis 1987.

Son portefeuille immobilier est estimé à 20,3 milliards d'euros, dont 8,6 milliards investis en Europe (France, Italie, Allemagne, Espagne, Grande-Bretagne, Danemark et Finlande).


Le groupe Carlyle est dirigé depuis janvier 2003 par
Louis Gerstner, ancien patron d'IBM. Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy), copilote depuis avril 2008, l’activité mondiale des services financiers de Carlyle Group.


Historique :
Carlyle a été créé en 1987, avec 5 millions de dollars, dans les salons du palace new-yorkais du même nom à la faveur d’une affaire d’esquimaux. Au terme d’un accord avec l’État fédéral, des sociétés d’Alaska ont reçu, en 1971, d’importantes subventions du gouvernement fédéral pour créer des entreprises sur place. Quinze ans plus tard, la plupart de ces sociétés avaient accumulé des dettes considérables et menaçaient de déposer le bilan. Le sénateur de l’Alaska, Ted Stevens, parvint alors à faire adopter une clause dans la loi fiscale de 1984 autorisant ces sociétés à vendre leurs dettes à des compagnies états-uniennes florissantes. Ses fondateurs, quatre juristes, dont David Rubenstein (ancien conseiller du président américain Jimmy Carter à la Maison Blanche), ont alors pour ambition - limitée - de profiter de cette faille de la législation fiscale. Elle autorise les sociétés détenues en Alaska par des Eskimos à céder leurs pertes à des entreprises rentables qui payent ainsi moins d'impôts. Le groupe végète jusqu'en janvier 1989 et l'arrivée à sa tête de l'homme qui inventera le système Carlyle, Frank Carlucci. Ancien directeur adjoint de la CIA, conseiller à la sécurité nationale puis secrétaire à la défense de Ronald Reagan. Également second secrétaire de l'ambassade des États-Unis à Léopoldville dans ce qui était encore le Congo belge, il est soupçonné d'avoir facilité l'accession au pouvoir du général Mobutu et d'être impliqué dans l'assassinat de son rival Patrice Lumumba. Ils ont partagé une chambre quand ils étaient étudiants à Princeton. Ils se sont ensuite croisés dans de nombreuses administrations et ont même travaillé, un temps, pour la même entreprise.


En 1997, le groupe a acquis la société américaine United Defense, gros fournisseurs de l'armée américaine en véhicules de combat et en artillerie.
En juin 1999, il investit 1 milliard d’euros dans le quotidien français
Le Figaro(devançant le Groupe Dassault) détenant ainsi 40% de l'actionnariat du quotidien (les 60% restant étant détenu par la Socpresse) . En 1999, le groupe gérait plus de 4 milliards de dollars d'investissements dans le monde.


Dassault a progressivement repris en 2006 l'intégralité du capital de la Socpresse, maison-mère du journal Le Figaro, après être monté à 60% en mars 2004, après une première tranche de 30% en 2003.

En 2003, le groupe achète à l'État français les locaux de l'
Imprimerie nationale, qui est démantelée, pour 85 millions d'euros. L'État lui rachète en 2007 ces mêmes bâtiments pour en faire le nouveau ministère des affaires étrangères, pour 376,5 millions d'euros, soit 4,5 fois le prix de départ après environ 120 millions d'euros de travaux.
Annonce de la faillite de la filiale de fonds d'investissement Carlyle Capital Corporation (CCC) suite à
la crise des subprimes le 13 mars 2008, ce qui n'aurait "pas d'impact mesurable" sur la situation financière du Groupe Carlyle. En effet grâce à un ingénieux système de cloisonnement des filiales, le groupe permet de préserver l'intérêt des actionnaires en diluant le risque financier sur la collectivité.

Plusieurs membres prestigieux :

James Baker
, ancien Secrétaire d'Etat au Trésor de Ronald Reagan (déjà sité plus haut) entre 1985 et 1988 et ancien Secrétaire d'État de George H. W. Bush de 1989 à 1993, il préside aujourd'hui le Groupe d'études sur l'Iraq.
Laurent Beaudoin
, ex-président du groupe Bombardier jusqu'en juin 2008, date à laquelle il laisse sa place à son fils Pierre. Il est toujours le président du conseil d'administration. Quelques faits marquants.
George H.W. Bush
, (déjà sité plus haut) ancien Président des États-Unis et vice président de Ronald Reagan.
Frank Carlucci
, ancien directeur-adjoint de la CIA, ancien Secrétaire à la Défense américain. A occupé la présidence du groupe.

Richard Darman, ancien directeur de l' U.S. Office of Management and Budget.
Paul Desmarais
, président de Power Corporation of Canada (médias de masse et services financiers), entreprise qui fut critiquée pour ses liens avec la politique canadienne, et spécifiquement pour son engagement envers la défense du fédéralisme au Québec. Il fait actuellement partie de nombreuses associations dénoncées par la gauche, tels l'inquiètant groupe Bilderberg, le North American Competitiveness Council qui définit le Partenariat pour la sécurité et la prospérité, ainsi que le Council on Foreign Relations ou CFR de la puissante familleRockefeller (voir plus bas). Son fils est membre du conseil d'administration de Total SA, de Suez et du groupe Lafarge. Nicolas Sarkozy (déjà sité plus haut) a privatisé les compagnies dans lesquelles Power Corporation a investi. Par l'entremise du groupe Carlyle, plusieurs projets de port méthaniers sont en développement dont les controversés projet Rabaska au Québec et celui de Nord Médoc en France.
La famille Desmarais entretient également des relations avec les dynasties industrielles françaises Dassault, Peugeot et Rothschild, entre autres. Nicolas Sarkozy ayant séjourné dans son domaine dira « Quand tu entres dans la propriété, on t'ouvre un premier portail. Ensuite, tu dois faire des kilomètres et des kilomètres avant d'arriver au château ».
Le 16 février 2008 au Québec, Paul Desmarais a été fait Grand-Croix de la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy. Plusieurs articles dans la presse se sont fait l'écho à cette occasion des liens anciens qui unissent Messieurs Sarkozy et Desmarais, mettant en lumière l'éventuel soutien financier que le premier aurait reçu du deuxième dans sa remise en selle après 1995.


Depuis, les positions de M. Sarkozy qui n'a vraisemblablement pas d'opinion personnelle sur le statut de la Belle Province suivraient à la lettre les consignes de son ami Desmarais dont les intérêts à Ottawa sont bien connus.

Liu Hong Ru, ancien président de l'organisme de surveillance des opérations boursières de Chine.
Arthur Levitt, ex-président de la Securities and Exchange Commission (organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers, c'est en quelque sorte le « gendarme de la Bourse » américain).


John Major, ancien Premier Ministre conservateur de Grande-Bretagne.
Henri Martre
, ancien de Matra Aérospatiale (aujourd'hui EADS) de 1977 à 1983, président-directeur général de la société Aérospatiale de 1983 à 1992, puis président de l'Afnor (association française de normalisation) de 1993 à 2002 et délégué général pour l'armement (DGA) auprès du ministre de la défense qui a pour mission de concevoir, d'acheter et d'évaluer tous les systèmes d’armes destinés à l'Armée française.

En poste au Commissariat général au Plan, il est l'auteur d'un premier rapport sur l'intelligence économique en 1994

Anand Panyarachun
, ancien Premier Ministre de Thaïlande et l'un des rédacteurs de la constitution de son pays.
Karl Otto Pöhl, ex-président de la Bundesbank.
Fidel Ramos
, ex-président des Philippines, cousin et ministre de la défense du dictateur F. Marcos, il fut une des figures les plus importantes des manifestations qui poussèrent Marcos hors du pouvoir.

Le financier et milliardaire George SorosL'homme qui fit sauter la banque d'Angleterre est à l'origine des hedge funds apparus dans les années 1970. Il est actuellement président de Soros Fund Management qui subit de nombreuses critiques et de l'Open Society Institute.
Thaksin Shinawatra, ancien Premier Ministre de Thaïlande. Suite à la contestation qui a agité le pays en mars 2006 et des élections anticipées boycottées par l'opposition, il démissionne le 5 avril.
Merrill Lynch
, banque d'investissement américaine qui gère 1 800 milliards$ d'actifs pour ses clients. Opérant dans plus de 40 pays, elle affiche un chiffre d'affaires mondial annuel de 48 milliards$ en 2005. Le 1er novembre 2007, le PDG, Stanley O'Neal, a démissionné à la suite des nombreuses critiques concernant sa gestion de la crise des subprimes. Malgré ça le groupe a reçu près de 13 milliards de dollars, en automne 2008, que lui devait American International Group (AIG), qui a pu payer parce que ce dernier groupe avait été lui-même renfloué par la Réserve fédérale américaine (Fed).

le fonds de pension de General Motors (Buick, Cadillac, Chevrolet, Daewoo, GMC, Holden, Hummer, Opel, Pontiac, Saturn et Saab).

Olivier Sarkozy
(demi-frère de Nicolas Sarkozy), copilote depuis avril 2008, l’activité mondiale de services financiers de Carlyle Group.
Mikhaïl Khodorkovski
, ancien oligarque russe des années Eltsine, ancien PDG de Ioukos. Après avoir été la première fortune russe, il est en prison depuis 2004 pour vol par escroquerie à grande échelle et évasion fiscale.


Carlyle n’est pas coté en bourse, et n’est donc non tenu de divulguer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que leurs parts respectives.

Controverse :

Le 11 septembre 2001, lors de l'attaque terroriste contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington, Carlyle réunit dans cette même ville plusieurs centaines d'investisseurs liés au groupe. Parmi les invités figurent entre autres George H.W. Bush, 41e Président des États-Unis et père du Président en exercice George W. Bush, et Shafiq Ben Laden, un demi-frère d'Oussama Ben Laden qui sera accusé de diriger Al-Qaida, la structure accusée de l'agression. La proximité des noms Bush et Ben Laden en ce jour précis frappe les consciences, et révèle Carlyle au grand public.

La proximité de Carlyle avec la Maison Blanche, conjuguée au fait que le groupe possède des intérêts dans l'industrie de l'armement, provoque bon nombre de controverses. Le cinéaste
Michael Moore l'a notamment dénoncé dans son film Fahrenheit 9/11. Il considère que le Groupe Carlyle profite de manière directe des guerres en Irak et en Afghanistan et indique qu'une partie de ses capitaux était détenue par des Saoudiens, appartenant notamment à la famille d'Oussama Ben Laden, et qui se sont débarrassé de leur participation suite à la révélation de cette situation. Le Groupe Carlyle est suspecté aussi par certains journalistes indépendants comme François Missen.

Théorie du mythe Illuminati ayant pour but de camoufler le groupe Carlyle 1 et 2

Les organisations mondiales des Illuminati (élite de la Franc-maçonnerie).

Olivier Sarközy de Nagy-Bocsa, dit Olivier Sarkozy, est un homme d'affaires franco-américain. Il est le demi-frère de Nicolas Sarkozy et dirige le groupe Carlyle.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Sarkozy

Introduction au Carlyle Group~Olivier SARKOZY

Lien Google : ICI

Olivier Sarkozy au Carlyle Group