Mutations virus : Dossiers SOS JUSTICE

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/09/2021

Déclaration d'engagement de responsabilité Civile et Pénale pour l'administration des thérapies géniques PFIZER/BIONTECH OU MODERNA dans le cadre de la COVID-19   

Document établi par l’Association REACTION19, Loi de 1901 pour toute personne concernée par le «vaccin » Pfizer/BioNTech ou Moderna 

RÉACTION19
Association Loi 1901
Agrément N° : W751256495
68, Rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
Tél. : 01 88 31 11 77 

https://reaction19.fr
reaction19fr@gmail.com 

 

Télécharger la déclaration d'engagement  de responsabilité Civile et Pénale pour l'administration des thérapies géniques PFIZER/BIONTECH OU MODERNA dans le cadre de la COVID-19   

Déclaration d'engagement de responsabilité Civile et Pénale pour l'administration des thérapies géniques PFIZER/BIONTECH OU MODERNA dans le cadre de la COVID-19   


 
I-  RAPPEL DES PRINCIPES CONCERNANT LE CONSENTEMENT LIBRE ET ECLAIRE DES MALADES :  
 
-  La Convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997 impose, en son article 5 :  
 
« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu'après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. 
 
Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l'intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. » 
 
-  L’article 16-3 du Code civil dispose encore :  
 
« Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui. 
 
Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle il n'est pas à même de consentir. » 
 
-  L’article L1111-4 du code de la santé publique prévoit : 
 
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ». 
 
Cette obligation d’obtenir le consentement du patient est reprise à l’article R4127-36 du code de la santé publique ainsi qu’à l’article 36 du code de déontologie des médecins.  
 
II-  RAPPEL DES OBLIGATIONS INCOMBANT AU MEDECIN DANS SA RELATION AVEC LE PATIENT 
 
Ces obligations sont rappelées dans le code de la santé publique :  
 
-  En son article L1111-2 :  


« Toute personne a le droit d'être informée sur son état de santé. Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité,  leur  urgence  éventuelle,  leurs  conséquences,  les  risques  fréquents  ou  graves normalement prévisibles qu'ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les  conséquences  prévisibles  en  cas  de  refus.  Lorsque,  postérieurement  à l'exécution  des investigations, traitements ou actions de prévention, des risques nouveaux sont identifiés, la personne concernée doit en être informée, sauf en cas d'impossibilité de la retrouver. 

Cette information incombe à tout professionnel de santé dans le cadre de ses compétences et dans le respect des règles professionnelles qui lui sont applicables. Seules l'urgence ou l'impossibilité d'informer peuvent l'en dispenser. » Document établi par l’Association REACTION19, Loi de 1901 pour toute personne concernée par le « vaccin » Pfizer/BioNTech ou Moderna 


-  En son article R4127-34 : 
« Le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu'il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension. » 

Cet article est repris à l’identique à l’article 35 du code de déontologie des médecins.  
-  En son article R4127-39 :   
 
« Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite. »  
 

*  *  *

 
 
DECLARATION A FAIRE SIGNER PAR LE MEDECIN QUI PRECONISE L’ADMINISTRATION DU « VACCIN » PFIZER/BIONTECH OU MODERNA 
 
 
Je soussigné(e)…………………………………………………………… 
 
Par cette déclaration, et après avoir pris connaissance de l’ensemble des textes internationaux et nationaux concernant le devoir d’information du personnel médical envers son patient, atteste administrer la thérapie génique, communément dénommée « vaccin », émise par les laboratoires Pfizer/BioNtech ou Moderna, en ayant respecté mon devoir d’information dû au patient.  
  
J’affirme, par la présente, en toute conscience professionnelle, que l’administration de ce « vaccin »  est  la  solution  la  plus  adaptée  pour  M./Mme…………………………………………………..., dans le contexte de la Covid-19.   
 
J’atteste avoir informé mon patient du contenu de cette thérapie, de son fonctionnement et de l’ensemble de ses effets indésirables potentiels.  
 
Je déclare assumer ma responsabilité civile et pénale personnelle si ledit patient devait subir un quelconque effet indésirable pouvant aller jusqu’au décès de la personne.  
 
 
Fait le………………, à………………………………………… 
 
Signature:  

 

Télécharger la déclaration d'engagement  de responsabilité Civile et Pénale pour l'administration des thérapies géniques PFIZER/BIONTECH OU MODERNA dans le cadre de la COVID-19   

 

 

 

 

Plus de 35000 médecins du Canada refusent le vaks

Plus de 35000 médecins du Canada refusent le vaks

 

Cliquez sur l'image pour voir la vidéo sur Twitter

Opera Instantané_2021-09-24_161521_twitter.com.png

https://twitter.com/MitchRagnarson/status/143961424845234...

08/09/2021

Passe sanitaire : sa prolongation devrait être examinée au Parlement après la mi-octobre

Tout est bien orchestré par avance et ce dans la mesure où Macron attend que le Sénat ne statue le 13 octobre 2021 pour rendre la vaccination obligatoire pour tous, avant d'examiner devant le Sénat, la prolongation du Passe Sanitaire après la mi-octobre 2021. 

Vaccination obligatoire contre le covid-19 : les sénateurs PS déposent une proposition de loi

Passe sanitaire : sa prolongation devrait être examinée au Parlement après la mi-octobre 

LE 02 SEP 2021

Controle Pass Sanitaire

 

Emmanuel Macron « n’exclut pas » la prolongation du passe sanitaire, instauré jusqu’au 15 novembre. Un projet de loi sera nécessaire. Il prolongera aussi le régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire, qui se termine le 31 décembre. La question se pose pour le gouvernement de le proroger pour deux mois, ou au-delà de la présidentielle… Le débat s’annonce sensible.

On imaginait mal le passe sanitaire s’arrêter le 15 novembre, comme le prévoit la loi votée cet été. Sa prolongation semble bien se confirmer. Après le ministre de la Santé, Olivier Véran, c’est Emmanuel Macron qui ne l’exclut pas.

« Il est trop tôt pour le dire. Il est vraisemblable que les situations épidémiques, en particulier en Outre-mer, restent quand même très tendues après la mi-novembre. C’est un débat qui se nouera au sein du gouvernement et au Parlement. Il ne faut pas exclure qu’il y ait besoin, pour les territoires qui sont encore sous forte pression de l’épidémie, de cet instrument, qui est un instrument provisoire, qui évite de fermer les structures », a affirmé Emmanuel Macron, lors d’un point de presse, dans le cadre de son déplacement à Marseille. « Donc si l’épidémie est encore présente dans les semaines qui viennent, il faudra se laisser cette possibilité pour les territoires qui sont les plus touchés », a insisté le chef de l’Etat.

Le ministre de la Santé avait déjà avancé cette éventualité le 26 août. « Ce passe ne peut être prolongé au-delà du 15 novembre, sans quoi il nous faudrait un nouveau texte de loi, qui serait à nouveau débattu au Parlement », a souligné Olivier Véran, avant d’ajouter : « Je ne dis pas que ça ne peut pas arriver, ça pourrait arriver si le Covid ne disparaissait pas de nos vies dans les trois prochains mois ». Autrement dit, on voit mal aujourd’hui comment on pourrait éviter de prolonger le passe sanitaire. Le sujet ne fait guère plus de doute.

« Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire »

Ce projet de loi devra forcément être adopté avant la date de fin prévue pour le passe. De source gouvernementale, on soutient qu’il devrait être examiné par les députés « dans la deuxième quinzaine d’octobre ». Il devra ensuite passer par le Sénat. « Ce sera un débat chaud de la rentrée parlementaire », nous confie un ministre. On imagine mal en être autrement, après les tensions de l’été et les manifestations des anti-passe.

Ce projet de loi ne concernera pas le seul passe sanitaire. Se posera aussi la question du régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire. Pour lutter contre l’épidémie de covid-19, il permet au premier ministre de prendre de nombreuses mesures privatives de libertés – celles d’aller et venir, de commerce, de rassemblement, fermeture de lieux recevant du public, etc – à l’exception du confinement généralisé, qui nécessite la proclamation de l’état d’urgence sanitaire. Mis en place le 2 juin, ce régime transitoire avait été prolongé jusqu’au 30 septembre, puis jusqu’au 31 décembre.

« On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… » (un ministre)

La question de la nouvelle date de prolongation du régime de sortie de l’état d’urgence n’est pas tranchée. D’autant que le sujet est épineux. Deux possibilités pourraient s’offrir au gouvernement. Soit prolonger le régime jusqu’à la fin de la session parlementaire, qui se termine le 28 février 2022, pour cause de campagne présidentielle. Mais la situation épidémique risque d’être encore difficile et la prolongation serait un peu courte. Soit prolonger jusqu’au 30 juin 2022.

Certains pensent que prolonger le régime au-delà de la présidentielle et des législatives, c’est s’aventurer en terrain glissant. Dans le contexte électrique des derniers mois, les anti-passe, et plus globalement les oppositions à Macron, n’hésiteront pas à s’en saisir. C’est du moins la crainte d’un ministre : « On va nous accuser de mettre sous couvre-feu les isoloirs… Si on peut s’éviter cette polémique en pleine année présidentielle… »

Reste une autre option, toujours possible : celle de prolonger jusqu’au 28 février, et « s’il faut, reconvoquer le Parlement » pour adopter une nouvelle prolongation, face à la situation sanitaire. Quelle que soit la solution, le même ministre euphémiste : « Ça promet des petits débats… » Une chose est sûre, la présidentielle se fera sous covid. Au gouvernement, on espère que l’épidémie restera, comme aujourd’hui, sous relatif contrôle.

Publié le : 02/09/2021 à 17:17 - Mis à jour le : 02/09/2021 à 17:24
Crédits photo principale : Mourad ALLILI/SIPA
 

23/11/2009

Les vaccinés, vecteurs de la mutation des virus

Grippe A : Les vaccinés pourraient devenir vecteurs de la mutation du virus

Mardi 10 Novembre 2009

« L’histoire du virus H1N1 lié à la pandémie 2009 continue et c’est un descendant de quatrième génération du virus 1918 ». La généalogie du virus porcin n’a jamais été rompue depuis la pandémie de 1918 : c’est ce qui ressort d’une étude du « New England Journal of Medecine », étude pour laquelle la pandémie actuelle est issue de la combinaison de deux virus dont l’un (Source : Science Mai 2009) est un descendant de la souche H1N1 de 1918, tristement célèbre pour avoir fait plus de mort que la première guerre mondiale.

ette étude dit la chose suivante : « Une fois que les nouveaux virus de grippe humains apparaissent et causent des pandémies, l’immunité des populations contre leurs protéines d’ha et de Na augmente rapidement. La contre performance offensive de l’immunité des populations est contrée par la capacité remarquable du virus de grippe, d’évoluer au moyen de mutation ou par l’acquisition de réassortiment de différents sous-types […] Ce processus dirigent des descendants “causé par le virus de 1918 […] ils ont également causé “la pandémie-comme l’events”, lié au réassortiment intra subtypiques en 1947 (H1N1), 1951 (H1N1) … ».
   
   
 Or que s’est-il passé en 1947 ? Une pandémie H1N1 : « D’abord détectée dans les bases militaires américaines (ndlr : tiens donc !?) au Japon en 1946, elle s’est rapidement propagée dans le monde entier [….] Alors qu’il s’agissait encore du H1N1, il y a eu un changement antigénique soudain et significatif, créant un échec complet du vaccin cette année-là ».
   
 Que s’est-il donc passé ? Une mutation du virus H1N1 est apparue après une campagne de vaccination. 
    
 
 En 1951, une autre pandémie, plus virulente encore, s’étend de l’Angleterre au Canada, puis aux Etats-Unis, pour laquelle on constate que le « taux de mortalité hebdomadaire a même surpassé celui de la pandémie de grippe de 1918 ». Le vaccin est-il là-aussi en cause ? Selon une étude, ces deux proches parents H1N1, celui de 1947 et celui de 1951, auraient pu procéder à un échange de matériel génétique.
   
 L’auteur de l’étude pointe du doigt les vaccins en insistant sur la vigilance à apporter aux observations pour prévenir toute mutation : « Si nous voulons vacciner tous les ans, notre surveillance ne doit pas seulement se focaliser sur l’évolution d’une seule lignée de virus […] Il y a de multiples chaînes co-circulant et échangeant du matériel génétique. Par exemple les chaînes H1N1 et H3N2 génèrent occasionnellement des hybrides H1N2 ».
   
 Les vaccins interfèrent-ils dans la possible mutation d’un virus, voire même la favorisent-ils ? C’est ce qu’il ressort d’une étude de l’université japonaise de Shizuoka : « Bien que la vaccination puisse être un outil utile pour le contrôle des épidémies de grippe aviaire, cela peut entraîner l’émergence d’une chaîne résistante au vaccin. Des études expérimentales et de terrain démontrent que des chaînes de grippes aviaires acquièrent une capacité de résistance contre la vaccination ».
   
 Les auteurs poursuivent : « Le vaccin peut faciliter le fait que la maladie se répande : Une diffusion considérable de la résistance de la chaîne peut partiellement compromettre les bénéfices du programme de vaccination. Par exemple, même si on exécute complètement le programme de vaccination, la taille finale de la pandémie peut devenir plus importante qu’avant la pandémie. Cela implique que la vaccination, au lieu d’enrayer la diffusion de la pandémie, aide à sa propagation ».
   
 Les auteurs insistent sur le fait que la vaccination ne doit pas être le seul facteur de soin, mais être cumulé à d’autres mesures, comme la quarantaine et une « biosécurité » accrue. Selon leurs conclusions, la course à la résistance doit se suivre sur une période de 500 jours, l’apparition de la résistance pouvant commencer à apparaître entre 250 et 300 jours après vaccination, pour culminer et rester stable à partir de 400 jours.
   
 Malheureusement, peu d’études scientifiques ont été entreprises sur le sujet, et on peut s’étonner du peu de voix, issues du « milieu médical autorisé », qui évoquent l’éventualité qu’un vaccin pouvant favoriser les mutations. Mais dans la dictature médicale qui est la nôtre, on sait qu’il ne faut rien attendre des laboratoires, rien des gouvernements qui sont leurs suppôts, rien des médecins libéraux qui sont leurs pions, médecins avec, au-dessus de leurs têtes, l’épée de Damoclès de l’ordre qui a droit de vie et de mort sur leur cabinet s’il advenait que l’un d’eux dévie sa trajectoire d’un seul degré par rapport aux attendus conventionnels.
   
 Et Dieu sait si la vaccination est une source de jouvence financière, aussi bien pour l’industrie pharmaceutique que pour les médecins eux-mêmes.
Ceux-ci, mêmes réquisitionnés, toucheront quand-même 66€ de l’heure et n’hésiteront pas injecter un vaccin très suspect, qu’eux-mêmes, en majorité, n’ont pas pris. L’obéissance et la servitude avant l’éthique et la recherche objective, comment attendre de qui que ce soit du milieu médical qu’il mette en doute la mécanique de la poule aux œufs d’or ?
   
 La séquence vaccination-mutation est une chaîne sans fin que l’on constate dans la grippe saisonnière depuis l’invention du vaccin correspondant en 1944 suite au financement de l’armée américaine (encore elle). La grippe saisonnière n’a jamais été guérie par la vaccination, au contraire elle s’est adaptée par mutations successives depuis 60 ans : « Pour tenir compte des glissements antigéniques, les vaccins grippaux sont donc préparés chaque année à partir des souches virales ayant circulé l’année précédente. En février de chaque nouvelle année, l’Organisation mondiale de la santé fixe les souches virales qui composeront le vaccin antigrippal de l’année suivante, en fonction des données épidémiologiques résultant de la surveillance des virus influenza circulants » (source Wikipedia). Quelle manne astronomique pour toute la chaîne médicale, médecins compris !
   
 Pourquoi devrait-il en être autrement pour le virus H1N1 qui nous hante depuis 91 ans, et pour lequel la première vaccination de 1947 a été un fiasco la même année, et est suspectée d’avoir muté par échange de matériel génétique pour mener au désastre de la pandémie de 1951 ? L’histoire ne va-t-elle pas se répéter, dans un intervalle de temps beaucoup plus court, vue la masse vaccinée ?
   
 Personne ne doit attendre une étude diligentée par le milieu médical, qui se tirerait une balle dans le pied. Ne restent que les médecins mis au banc pour oser mettre en cause le Graal. Comme Vercoutère ou d’autres initiatives, comme Crèvecoeur, pour qui la vaccination pourrait générer une souche mutante :
   
 « dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, rendant les virus extrêmement mortels »
   
  Si cette éventualité s’avérait exacte, les vaccinés pourraient devenir les bouillons de culture vivants permettant l’essor d’une nouvelle souche mutante. Ce qui expliquerait la démesure du plan actuel de vaccination massive pour une ridicule grippette : une mutation attendue avec une infrastructure déjà en place.
 
 
 John Lloyds
 
 
 LIENS :
 
 http://content.nejm.org/cgi/content/full/NEJMp0904819
 
 http://diablogtime.free.fr/?p=1150
 
 http://www.zonegrippeaviaire.com/showthread.php?t=2184
 
 http://www.news-medical.net/news/2008/03/06/36007.a...
 
 http://www.plosone.org/article/info:doi%2F10.1371%2... 
 
http://www.plosone.org/article/slideshow.action?uri=info:...
 

http://jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_c...


L'imposture de la "grippe A" Dévoilée
http://www.dailymotion.com/video/xazqo2_limposture-de-la-grippe-a-devoilee_webcam


L'imposture de la "grippe A" Dévoilée
envoyé par ichigo253. - Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.

http://www.alterinfo.net/Grippe-A-Les-vaccines-pourraient-devenir-vecteurs-de-la-mutation-du-virus_a39049.html