Faux en écritures publiques : Dossiers SOS JUSTICE

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25/04/2012

"Contestation houleuse" de Mme Etoile MARQUET à Aix-en-Provence, le 22 avril 2012 - 1er tour des élections présidentielles

Voici, le vrai parcours du combattant auquel s'est livrée Madame Etoile MARQUET - Présidente de l'association DDEFH ( Défense des Droits de l'Enfant, de la Famille et du Respect Humain) pour se heurter finalement à une fin de non recevoir par toutes les instances.
 

Elle prépare actuellement sa plainte à déposer auprès du Parquet d'Aix-en-Provence et auprès du Préfet de son département.

Vive le Pays de la Dictature !

Le témoignage qu'elle nous adresse ce jour.


 

Chère Mirella,

Je viens vous faire un petit compte rendu des actions citoyennes du 22 avril 2012, jour de vote du 1er tour valant témoignage.

Donc,

Le 22 avril 2012, à 13H15 mn, légère et court vêtue, je suis allée à grands pas accomplir ma première action citoyenne à savoir, voter au bureau N° 57, sis école Jules Payot à AIX-EN-PROVENCE.

Je n’ai nullement omis d’emmener avec moi votre plainte du 09 février 2012, les documents prouvant qu’un certain Nicolas SARKOZY était inconnu de l’état civil, l’attestation d’incident  ( ci-jointe ) que vous aviez rédigé et, sachant par avance que ma contestation serait refusée puisque les politiques placent leurs adeptes à la présidence des bureaux de vote et en tant qu’assesseurs ( la mairesse étant Maryse JOISSAINS UMP ) et par mesure d’argumentation, celle de René Hoffer dûment remplie et tamponnée- communiqué.

Deuxième action citoyenne – déroulement des faits :

-          Après avoir signé et enfourné l’enveloppe dans l’urne, je demande qui est le président du bureau que l’on me désigne du doigt ( il se promenait dans la salle, se pavanant ).

 

-          Alors qu’il s’approchait, je lui dis haut et fort ( pour que toutes les personnes présentes l’entendent ) : « je conteste la validité d'un candidat dont le nom n’existe pas à l’état civil ».

 

-          Lui : « Lequel ? »

 

-          Moi : « Nicolas Sarkozy ! ».

 

Se tenant coi, interloqué, il me met à l’écart ( sans se présenter )-  mais pas assez loin pour que personne ne m’entende - et lit uniquement l’attestation d’incident, paralysé pendant quelques minutes et ignore totalement les éléments de preuves de mon affirmation et la plainte du 09 février 2012.

Surgit une blonde criant hystériquement  «  c’est moi qui m’en occupe !!!».

 

Moi : « Qui êtes-vous ? »

 

Elle : «  la secrétaire »

 

Moi : « mais qui êtes-vous ?»

 

Refus de se présenter.

 

Moi : « C’est au président de s’occuper d’une contestation pas à vous ! »

 

Le président toujours penché et tétanisé, les yeux rivés  sur l’attestation dit  : « Téléphonez à la mairie pour savoir ce que nous devons faire ».

Elle, en s’éloignant : « On ne prend pas de contestations ! »

Moi, montrant au président  l’attestation d’incident de René Hoffer : « Comment ! Dans d’autres mairies, il n’y a aucune opposition et vous, vous m’en causez ! Si on est sous  dictature, il faut le dire !»

Elle, revenant sur ses pas et mensongèrement dit : « Allez 17, rue Venelles. Ce sont eux qui s’en occupent ! Et bon courage ».

Ce qui signifie : vous n’aboutirez pas (ce que je savais déjà avant de partir de chez moi : le « téléphone » fonctionnant très bien à AIX-EN-PROVENCE ).

Je m’arrête à l’accueil de la mairie et demande le bureau des contestations.

La personne me dirige également vers le 17, rue venelles

Avant la contestation, je demande le nom du président du bureau N° 57 et de la secrétaire.

La fonctionnaire demande l’autorisation au responsable du service élections de me citer le nom du président de bureau. OK

Il s’agit de Monsieur Daniel KAPIKIAN. La secrétaire est inconnue.

Je demande le bureau des contestations et, puisque demandé par la fonctionnaire, expose les motifs de ma contestation. Réponse : il n’y en a pas.

Je demande à voir le président de la commission de contrôle des élections pour la mairie d’AIX-EN-PROVENCE. Réponse : il n’y en a pas.

Le responsable du bureau des élections, Monsieur Michel  X étant scotché à son téléphone, la fonctionnaire ( également sans nom ) me demande de patienter. Attente pendant presque 2 heures pendant lesquelles il est resté pendu au téléphone.

Je lui expose à nouveau ma contestation.

Une conversation houleuse s’ensuit au cours de laquelle je soulève encore une fois l’opposition illégale et abusive par la mairie d’AIX-EN-PROVENCE à ma contestation ; la fonctionnaire ( secrétaire aux bureaux des élections  - brune cette fois-ci ) se mêle à la conversation agressivement.

Rebelote : Je la recadre à plusieurs reprises en lui intimant de ne pas se mêler à la conversation puisque je ne m’adressais nullement à elle mais à son supérieur. Et parce que j’avais sorti tous les documents concernant ma contestation, elle m’a sommé de ne pas les montrer (faisant allusion à la fin de la campagne électorale ).

Ce à quoi je lui ai rétorqué que ce n’était pas de la « Publicité » mais qu'il s'agissait d'actes pénaux officiels.

En résumé, la réponse de Monsieur Michel  X est la suivante : " on ne peut pas contester la validité d’un bulletin de vote concernant la candidature de Nicolas Sarkozy ni cette dernière mais, pour ce faire, je devais aller soit au conseil constitutionnel soit au tribunal d’Instance d’AIX-EN-PROVENCE pour ma contestation".

Je suis revenue à nouveau à l’accueil de la mairie pour avoir les coordonnées du président de la commission de contrôle des élections pour la mairie d’AIX-EN-PROVENCE.

Le cabinet de la mairesse m’a fait savoir qu’il ne les connaissait pas.

Bien que sachant que le tribunal d’instance est incompétent en la matière mais par acquis de conscience je m'y suis rendue quand même.

TRIBUNAL D’INSTANCE D’AIX-EN-PROVENCE

Lui disant que la mairie m’envoyait pour une contestation concernant un candidat virtuel, la greffière m’a confirmé que cette instance n’était pas compétente en la matière.

Ce qui m’a permis de lui répondre : « je n’en doute point, car la mairie protège leur gourou »

Sur ce, je me suis rendue

AU COMMISSARIAT

Pour déposer une plainte sous les motifs de violation de mes droits constitutionnels, abus d’autorité, abus de pouvoir, complicité, atteintes à l’ordre public, etc.

Après consultation avec d'autres personnes se trouvant dans " l'arrière boutique", l'agent  a refusé d’enregistrer ma plainte mais m’a conseillé de porter plainte directement auprès du procureur.

Le procureur étant Madame Dominique MOYAL.

17 heures 04mn : fin du parcours du combattant.

Plainte sera portée auprès du Parquet d'Aix-en-Provence.

 

Conclusion :

Il en ressort que :

Les citoyens français n’ont que des devoirs et des obligations mais aucun droit.

Vu les faits, les droits des citoyens sont virtuels.

Les citoyens français, peuple souverain, n’est, pour les politiques, souverain que pour les dettes qu’ils nous infligent volontairement pour nous asservir et ce, à cause de leur gestion catastrophique du pays :

La responsabilité et les conséquences leur revenant, c’est à eux de payer la dette nationale.

 

Localement,

A AIX-EN-PROVENCE, on infantilise les citoyens en les faisant voter dans les écoles alors que des mairies annexes existent dans tous les quartiers.

Bien  que le nom des personnes doivent être porté au su et au vu de tous citoyens afin de pouvoir les nommer en cas de litiges, dans aucun bureau de vote et aucune administration cette règle obligatoire  n’est nullement appliquée ( ce, depuis Mitterrand ).

Ce ne sont pas les présidents de bureau de vote et les responsables du service des élections à la mairie d’AIX-EN-PROVENCE qui dirigent mais les secrétaires ( UMP ).

Les secrétaires usurpent  la fonction de leur supérieur.

Et l’on peut continuer ainsi encore pendant plusieurs pages.