
Si vous aviez encore un doute sur le nom qui est porté sur les pupitres des machines électroniques à voter, vous avez de quoi le vérifier ci-dessous. Ce qui prouve que la complicité du Conseil Constitutionnel que nous dénonçons est bien acquise, car non seulement il ne vérifie pas les pièces d'identités des candidats, mais en prime il les autorise à se présenter sous un nom d'usage, en violation de l'article 1 de la loi du 6 fructidor de l'an II , «toujours en vigueur», et l'article 433-19 du Code pénal à se présenter sous un nom d'usage qui...